Les personnages appartiennent à Stephanie Meyer.
Chapitre1 ou comment se faire prendre la main dans le sac.
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POV Nessie
Encore,non c'est pas vrai j'ai encore raté mon bus... Ah oui je me présente,je suis Rénesmée Cullen dite Nessie car Rénesmée est trop « zarbi », à se demander si les médecins n'ont pas donné trop d'anesthésiants à ma mère lors de son accouchement... Bref, j'ai 16 ans, je suis au lycée et j'ai toujours pas mon permis, quelle poisse!!!!!
A vrai dire ma vie est composée que de malheurs, j'ai l'impression de n'avoir exclusivement que de la poisse. Tous les porte-bonheurs ne peuvent rien contre moi. Croyez-moi j'ai déjà essayé: le fait d'avoir un trèfle à quatre feuilles ou une patte de lapin ne m'empêchait pas de trébucher après être passée sous une échelle.
Superstitieuse moi? Non je fais juste que constater des faits(N/A : oh! à peine.).
D'ailleurs si je me souviens bien, mes malheurs ont commencé après cette nuit du 30 avril 2000, alors que je n'avais que 6 ans et que je dormais tranquillement, je me réveilla et entendis des bruits bizarres. Je suis allée voir d'où provenait le bruit et après plus rien. Mes parents m'ont réveillé et m'ont dit que je m'étais évanouie.
Seulement, le lendemain, mon père est parti de la maison sans aucune explication, en disant que c'était pour notre bien à moi et maman.
Depuis ils ont divorcé et mon père a emménagé dans le centre de notre ville où j'y passais mes weekend. C'est là que j'ai rencontré Jacob, Jake pour les intimes. Il a 22 ans et il est étudiant en sciences mécanique. Il a débarqué il y a 4 ans, à l'époque je n'étais qu'une gamine de 12 ans et il me voit toujours de la même façon et ne se rend pas compte de mon changement.
Par contre j'ai vu le sien, il était mince, timide et avec des cheveux long quand je l'ai vu pour la première fois. Depuis il s'est coupé les cheveux, ce que je regrette amèrement, et s'est mis à la musculation ainsi qu'à courir les filles.
Et quand j'entendais les gémissements bizarres provenant du couloir les jours où j'allais voir mon père, je m'enfuyais vers le glacier le plus proche afin de savourer ma lâcheté. Je n'osais pas lui dire ce que j'avais sur le cœur et que malgré son comportement je l'aimais encore et le désirais autrement qu'un frère. Je voudrais me faire sauter moi aussi...(N/A: c'est la frustration qui parle).
Enfin bref, vu mon état actuel je ferais bien d'appeler un de mes parents.
POV Edward
Elle m'avait encore épuisé, mais c'était si bon de la revoir comme on le fait bien souvent, dans ces moments si intenses, parfaits où tout se faisait dans une douceur voluptueuse ou dans l'envie bestial. Oui, on a eu une séance plus que brutale.
Lorsqu'elle est rentrée chez moi, elle avait un trench noir mais quand elle l'enleva j'y aperçus son soutien-gorge et ses bas attachés par des porte-jarretelle. Le sexe parfaitement épilé, elle ne portait pas de culotte.
Reprends tes esprits mec elle fait ça juste pour t'enrager.
Et ça marche, elle est si humm...
Sois fort ne lâche pas!!!
Pourquoi?
Parce que tu seras aussi frustré que la dernière fois, j'en ais assez que ma main droite me soulage.
Tu parles aussi de ma main, et puis c'est pas un coup de plus ou de moins qui me rendra accroc... encore.
Pfff! Si tu le dis...
C'est alors que la magnifique femme qui était devant moi me sortit de mes pensés:
-Alors? Qu'en dis tu?
A peine avait elle terminé cette phrase que je la poussais vers le mur, en l'embrassant passionnément . Sensuellement, mes mains caressaient sa clavicule dans le but de lui dégrafer son soutien-gorge, et elle, s'activait pour défaire mon pantalon.
Une fois en boxer, ma bouche se dirigea vers ses seins majestueux. Elle m'enleva le boxer et je voulus enlever mon tee-shirt quand elle me dit:
-Non, prends moi, tout de suite, je veux te sentir...
Elle ne put terminer sa phrase car je la pénétrai d'une manière forte et sauvage. Je sentis ses jambes sur ma taille. Je tins ses cuisses avec mes mains et commençai ainsi mes mouvements.
Elle était si serré que j'étais proche du paradis. Ses halètements se transformèrent en gémissements sous les coups de reins que je lui infligeais:
-Oh! Oui... encore... ah! Plus fort... ah! Comme ça c'est trop bon, dit-elle en me mordant le cou.
-Arrête ça ma chérie, sinon je vais venir... Réussis-je à dire.
C'est là que je me décide à lui caresser son point de plaisir.
-Je ne...suis..pas...ta...chérie...oh! mon dieu!...oh! oui..oui...Edward!!!
Je sentis ses parois se resserrer sur moi dans un dernier coup de rein. Je finis par trembler dans son antre chaud et y déposer le fruit de ma jouissance en criant son nom.
Je me retirai d'elle et la déposai sur mon canapé. Nous nous écroulâmes essoufflés par cette séance.
Elle alla dans la salle de bain quand son téléphone sonna. Je ne pouvais décemment pas le prendre, nous n'étions pas un couple. Mais quand je vis le nom de la personne qui appelait, j'éteignis son portable et attrapai le mien afin de l'appeler:
-J'allais justement t'appeler, dit la voix dans le combiné.
-C'est à croire que je lis dans tes pensés, répondis-je avec le sourire.
-Oui, en fait j'aurais besoin de toi pour me ramener à la maison, enfin si maman est d'accord.
-Tu ne l'as pas appelé? dis-je mesquin.
-Si mais elle ne répond pas.
Bien sûr qu'elle ne peut pas y répondre tu viens de la sauter.
Mais tu vas te taire toi.
Pff! Débrouille toi.
-Tu es où là?
-Je suis devant l'arrêt de bus du lycée.
-Je te retrouve dans un quart d'heure, j'arrive!
-Au fait papa?
-Oui?
-Merci, de ne rien dire à maman.
-Je serais muet comme une tombe. (N/A: Pff! Tu paries)
Je coupai la communication et m'habillai quand la mère de ma fille réapparut devant moi:
-Que se passe-t-il?
-Notre fille a encore raté son bus.
-Encore!!
-Oui, elle tient bien de sa mère en matière de catastrophe, dis-je en riant.
Je sentis un coup sur l'épaule.
-Tu peux parler de toi Cullen.
-Mais qu'il y a-t-il, mon amour?
-Je t'ai déjà dit de ne plus m'appeler comme ça. Si ta sœur l'apprenait, elle sauterait au plafond et je serais partie pour une bonne journée de shopping.
-Ah, j'avais oublié à quel point tu aimais ça. Répondis-je avec un sourire niais.
-Tu n'es pas censé aller chercher notre fille?
-Bien sûre que si. Je n'irais que si tu me donnes un baiser, mon amour.
Elle rougit, et regarda ses pieds. Les surnoms que je lui donnais lui faisaient toujours cet effet. Je m'approchai lentement près d'elle, pris son menton dans ma main et le relevai doucement.
Mes lèvres s'approchèrent des siennes, au moment où elles se touchèrent elle s'enflamma. Ses mains autour du cou, elle me donna un baiser passionné dans lequel nos langues entremêlées bataillaient.
Le baiser achevé, nous reprîmes notre respiration et je lui posai un baiser sur son front:
-Merci ma belle! Maintenant que tu m'as insufflé le courage nécessaire je m'en vais de ce pas... Aïe!
Elle m'avait encore tapé.
-Arrête ton cinéma et bouge-toi!!! Cria-t-elle dans un éclat de colère.
-C'est fou ce que tu m'excites là.
-C'est bon tu sors maintenant Cullen avant de recevoir mon pieds sur tes fesses!!!
-Oh,oui! Fesse moi!! Répondis-je sur le ton de la plaisanterie.
-Non!
-Hein? Pourquoi?
-Parce qu'il serait temps que tu prennes tes responsabilités.
-En quoi je serais irresponsable?
-Sur le fait que tu devrais déjà être au lycée et ramener notre fille chez moi.
-Je te rappelle que c'était chez moi aussi il n'y a pas si longtemps.
-En tout cas je m'en vais.
Elle se dirigeait vers la porte.
- Pas comme ça!!! Je te prête des vêtements si tu veux.
J'avais vraiment peur qu'un autre homme s'aperçoive de ce qu'elle portait ou plutôt de l'absence de tissus sur elle.
-Non comme ça, je pourrais rendre fou le voisin d'en face.
Ni une ni deux cette phrase me retourna, depuis que ce Jacob était arrivé, je ne pouvais que grrr... Je n'aimais pas la manière dont il regardait ma fille. C'est à la limite si il ne lui coulait pas de la bave à ce chien galeux. Mais imaginer mon ex-femme se pavaner devant lui avec ses dessous me rendait, ah! Je sens que si ça continue ce clébard mourra dans des circonstances étranges. (N/A: Trop fort Edward jaloux! J'adore!!!)
-Vous ne seriez pas jaloux M. Cullen?
-Point du tout Mme Cullen.
Je reçus encore un coup.
-Tu peux plus m'appeler comme ça souviens toi.
-Isabella!!!
Je la vis frissonner, je sais qu'elle n'aimait pas qu'on l'appelle par son prénom en entier. Oui Isabella Marie Swan-Cullen dite Bella a été ma compagne pendant presque 10 ans avant ce tragique
« accident » survenu après plus de 8 ans de mariage.
-Tu fermeras bien la porte après mon départ, je te fais confiance.
Je partis vite en direction de ma voiture, à la recherche de ma progéniture.
POV BELLA
Il était enfin partit. Cette situation devenait pesante. La manière dont il s'amusait à me provoquer me rendait folle, j'en étais presque sur le point de lui ressauter dessus (N/A: moi je veux bien lui sauter dessus tout court!!). Cela faisait maintenant 10 ans qu'on jouait à ce petit jeu, 10 ans que je viens chez lui tous les vendredis soir afin qu'il me comble de l'accumulation de la semaine.
Aujourd'hui c'était une exception, j'avais terminé mon travail plus tôt.
Mais en règle général je m'arrangeais toujours avec Alice, la sœur de mon ex-mari afin qu'elle puisse garder Nessie chez elle. Je prétextais une la volonté de cultiver en participant à un club de lecture. Je suis prof de littérature alors personne ne s'est posé de question, bien qu'Alice pensait que que je faisais ça dans le but d'éviter Edward, et bien non. Depuis quelques temps, je passe de plus en plus de temps avec lui.
Au départ je partais après avoir fini car j'avais peur qu'Alice me découvre avec Edward.
Mais depuis que Nessie a ses 15 ans et qu'elle y va seule, j'ai eu tendance à rester dans le lit de mon amant et avais de plus en plus de mal à le quitter. De retour à la la réalité, je me dirigeai vers son armoire et mis un des jean et tee-shirt d'Edward.
Je voulais vite rentrer avant ma fille, sous peine d'éveiller des soupçons. Quand je sortis de l'appartement, je vis un beau jeune homme, grand, musclé, brun, les cheveux courts. Si j'avais été plus jeune et que je ne connaissais pas les performances sexuelles d'Edward, j'aurais bien volontiers accepté un éventuel rancard.
-Bonjour, je ne savais pas que monsieur Cullen avait de la compagnie.
-Hum, oui, en fait j'étais juste de passage...
Il avait un sourire du style, mais bien sûr je te crois, je n'ai rien vu mais tout entendu. J'étais cramoisie et ce type avait déjà découvert le pot aux roses, tant qu'il connaît pas mon identité tout ira bien.
-Vous êtes? Demandais-je dans l'intention de connaître l'identité de mon interlocuteur.
-Jacob Black, mais vous pouvez m'appeler Jake, me répondit-il avec un clin d'œil.
Non mais je rêve! Je viens de tomber sur le mec pour qui ma fille a le béguin.
Oui je le sais car comme sa mère elle parle dans ses rêves et les siens où il y avait « Jake » me donnaient vraiment envie d'aller voir Edward.
Il est bien sympa ce Jake mais si il pouvait arrêter son numéro ce serait pas si mal, j'ai quand même l'âge d'être sa mère.
-Renée Dwyer, répondis-je d'un souffle.
Qu'es-ce qui m'avait pris d'emprunter le nom de ma mère?
-Je vois que monsieur Cullen a du goût en matière de femme.
-Excusez moi Jacob mais je suis vraiment pressée et je tiens à être de retour avant que ma fille débarque chez moi .
Je vis ses traits se durcir peut-être a-t-il compris que je n'étais pas intéressée.
J'allais aussitôt chercher ma voiture, sur le retour je repensais à comment on en était arrivé là.
C'était de ma faute si tout ceci était arrivé mais je savais qu'Edward disait le contraire.
Il se culpabilisait pour rien alors que c'était mon rôle de mère de me préoccuper de Nessie, de m'assurer qu'elle n'aurait pas envie d'aller faire pipi cette nuit du 30 avril en 2000, il y a 10 ans de cela.
C'était à moi de dire stop en faisant le coup de la migraine. Mais non quand Edward était avec moi, je ne pouvais pas m'empêcher de le provoquer, l'allumer ou de lui sauter dessus, et lui non plus ne pouvais pas y résister d'ailleurs. Je me demandais comment il faisait pour être prêt à chaque fois que je lui faisais des avances.
Ce soir là, j'avais encore supplié mon mari de me faire l'amour. Il était en train de me prendre en levrette, j'étais très proche de l'orgasme et j'entendis un « Boum ». Inquiète je me précipitai vers la porte entrouverte, et je la vis allongée. Elle avait fait un malaise, elle se souvenait plus de rien après.
Le docteur a dit qu'elle avait fait un choc post-traumatique. Edward a pris la décision de vivre ailleurs sous peine que notre fille nous prenne encore la main dans le sac, où devrais-je dire, la pine dans le con.
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je remercie Delphine94 de m'avoir aidé dans la chasse des fautes d'orthographe
prochain chapitre visite chez le gényco
vous ne devinerez jamais qui c'est.
