L'histoire commence à la mort du père du prince Duncan. Ce dernier, malgré son jeune âge, prend la tête du royaume d'Araluen. Malheureusement pour lui, le seigneur Morgarath et autres barons sous son jouc décident de faire un coup d'état. Une guerre sanglante s'en suit. La déroute du jeune roi et proche, mais, l'un de ses fidèles, un homme venu de Gallica, un prénommé Halt Arratay prend la tête d'une cavalerie lourde et attaque les ennemis par derrière. Les traitres au royaume sont en déroute quand soudain un hurlement retenti. Normal me direz vous sur un champ de bataille, sauf si c'est celui d'un roi. Ce qui était effectivement le cas. Le seigneur Morgarath avait sa lame sur le cou de Duncan. D'une voix forte et claire, qui sonna comme un glas aux oreilles des allies, il déclama :
- Aujourd'hui est la fin d'une époque, messieurs les chevaliers, posez vos épées ou votre roitellet décèdera. Echec au roi !
Un à un, les fiers soldats lâchèrent leurs armes et les mercenaires au service du seigneur noir les attachèrent. Ils leurs prirent leurs armes, et les dépouillèrent aussi de leur fierté. Certains essayèrent de résister mais furent bien vite métrisés. Le conquérant eu un sourire aux lèvres et repris la parole :
- Merci à tous de votre compréhension. Je vais vous laissez le choix, soit vous me rejoignez ici et maintenant, soit vous mourrez. C'est aussi simple que cela. Aussi, que l'on m'amène les rodeurs. Ils seront exécuter en place publique, leur règne s'achève.
Quelque part dans la foule, des rebellions ont eu lieu. Se qui n'avaient pas encore perdu espoir firent du grabuge ou aidèrent les rodeurs à s'enfuirent au péril de leur vie. Et malheureusement, ses actes de bravours eurent peu de conséquence. Aux dires des survivants, on pense qu'une trentaine de rodeurs ont survécu pour une centaine de morts. Les autres furent exécutés, comme de nombreux soldats. En se jour funeste, plus de 10 000 hommes perdirent la vie.
- George tait toi ! Des soldats arrivent ! cria un jeune adolescent arrivé en trombe dans la grange
- C'est ainsi que blanche neige s'endormis. En effet, la pomme était empoisonnée par la méchante sorcière…
- Que tout le monde sorte immédiatement ! Les rassemblements sont interdits ! hurla une voix
Les jeunes présents dans la grange sortirent petit à petit, ils étaient environ une vingtaine, ayant entre 8 et 14 ans. Le conteur était l'un des plus grands. Il s'appelait George. Son rêve, entrer dans l'école de scribe, mais, ne faisant pas partie de l'élite, se projet sera difficile à réaliser. Le second garçon est plus petit que son ami en taille, mais plus en muscle aussi. Son nom, Will. Pour les autorités, c'est un petit fouineur et voleur, pour ses amis, quelqu'un sur qui l'on peut compter. Mais revenons-en à notre situation de crise. Les jeunes furent alignés devant le bâtiment. Le garde qui dirigeait l'équipe de patrouille les observa avec minutie, lorsque son regard tomba sur Will. D'un geste, il le propulsa en avant. Le garçon tomba au sol. Le sergent le regarda avec un sourire satisfait. Il prit la parole :
- J'imagine que comme d'habitude, tu diras que tu es à l'origine de cette petite réunion, et que vous ne racontiez pas des calomnies sur notre bon roi mais un conte de fée ? Que tu l'es a poussez à être présent ?
- Vous supposez bien monsieur, répondis l'adolescent en le regardant dans les yeux
- Parfais, tu ne verras donc pas d'inconvénient à être fouetté en place publique demain à l'aube. Et, aussi, tu quitteras la ville juste après. Ou sinon…
Le garde fit le geste du pendu. Cette fois-ci, il n'y aurait pas de punition mais une exécution. Le jeune homme fit un signe de tête aux personnes présentes et suivit les gardes. Les grands raccompagnèrent les enfants et rentrèrent à leur planque. Ce petit groupe de 4 personnes était constitué de George le conteur, Alice une grande et jolie blonde parlant plusieurs langue à la voix douce et calme parfaite pour être une messagère, Jenny une petite rondelette cuisinant avec rien comme personne et Horace un grand garçon tout en muscle ayant déjà la structure d'un chevalier. Le dernier membre et meilleur ami d'Horace est Will. Les résistants ramassèrent leurs affaires, tous se qu'ils auraient besoins pour voyager. Leur groupe s'était formé à partir des deux garçons, Horace et Will. Tous orphelins, ils les avaient rejoins car ils ne voulaient pas se soumettre. Le père d'Horace était le feu chevalier Altman, l'un des plus proche ami du roi hérité Duncan. Durant la guerre, il a refusé de se soumettre. Morgarath l'a tué pour ses convictions. Il a aussi envoyé des hommes pour tuer sa famille mais le fils avait déjà disparu. Sa mère l'avait confié à un rodeur. Celui-ci avait déjà récupérer un autre garçon, nommé Will. Ce dernier était né quelque semaine auparavant. Il fut nommé Will par le rodeur, car, dans leur langue, Will signifie volonté. En effet, l'enfant était né en avance et à malgré tout survécu. Pendant 7 ans, le rodeur éleva les deux garçons. Cependant, comme son ordre était pourchassé, il fut arrêté et torturé. Les deux enfants s'enfuirent et se promirent se jour là plusieurs choses. La première, quoi qu'il se passe, être toujours dans le même camp. Le second, racontera à tout le pays se qu'il s'est véritablement passé durant la bataille. Et troisièmement, à cause ou grâce à l'éducation du rodeur, de remettre le roi Duncan ou sa fille sur le trône. Ils partirent avec cet objectif et rencontrèrent par la suite les autres jeunes orphelins de leurs loyaux parents.
Mais revenons en au présent, le jeune Will reçu 50 coup de fouet puis disparu en forêt avec ses amis. Ils s'enfoncèrent profondément dans cette dernière. Arrivé près d'un court d'eau, Alice nettoya les plaies du jeune homme. Ce dernier grimaça mais ne dis rien. Après tout, ce n'était pas la première fois. Le silence pesait sur le groupe jusqu'à ce qu'Horace prenne la parole :
- Je crois qu'il est temps. Nous devrions mettre en place notre plan.
- Surtout pas, rien n'est prêt ! s'exclama Jenny
- Je suis d'accord avec Horace, si nous attendons trop, ils se méfieront de nous et nous ne pourrons pas avoir les places que nous voulons, répondis Will
- Mais c'est trop tôt encore ! Nous ne les avons pas encore rencontrés ! Et puis, à partir du moment où nous nous séparerons, nous devrons supposez que les autres sont encore en vie ! Will nous ne pouvons… s'écria George à son tour
- Il suffit. Horace et Will ont raison. Nous n'avons que trop tardé. De plus, je ne pense pas qu'en restant en groupe nous les retrouverons. Je suis sur que Will a un moyen de les retrouver mais qu'il a promis de rien révéler. Tout comme Horace d'ailleurs, dit posément Alice
- Alors tu as deviné ? J'aurais du m'en douté. Mais tu as raison. Si je vous pousse à partir maintenant, c'est que j'ai trouvé le moyen de les approché et de faire fonctionné notre plan, si vous entendez parler d'un robin… fit malicieusement Will
- Robin… Robin… Attend, tu ne vas tout de même pas jouer le bouc émissaire ! s'horrifia Jenny
- Si, c'est une bonne idée, les loyaux parlent tous le rodera (ici une langue inventé par les rodeurs pour parler entre eux et parler avec les personnes dignes de confiance), ils comprendront son intention et le protègerons. Et maintenant que Will sait tirer et porter la cape du rodeur… Pourquoi ne pas t'appeler Robin Hood ? Robin Hood des bois ça sonne bien, réfléchie à haute voix George
- Si Jenny pense y ! Will deviendra la face ouverte des rodeurs. Le peuple le suivra, car il croira que c'est un rodeur. Les rodeurs l'aideront, car ils le prendront pour l'un des leurs. Enfin, nous nous l'aiderons une fois que notre position sera assurée. Tu lui fourniras les ragots des cantines, George les plans et les comptes du royaume, je serais le lien entre tout le monde et Horace sera le contact avec le roi, continua Alice
- Parfais, mais j'aimerais que l'on fasse un serment. Quoi qu'il arrive, on ne trahira jamais les nôtres et l'on se retrouvera une fois que nous aurons gagné, objecta Jenny
- Cela va de soi, murmura Will, maintenant, je dois vous laissez, j'ai de nombreuses choses à mettre en place et je pense que ça va me prendre beaucoup de temps. N'attendez pas de mes nouvelles avant plusieurs années.
