Bonjour à tous et à toutes !
Et oui je viens pour une nouvelle fiction Miraculous Ladybug (alors que j'en ai une en cours et pleins d'autres mais BREF) !
Donc c'est du Marichat (à 100%). Pour cette fic, sachez que c'est parti à la base d'un rêve et qu'il était tellement génial que j'ai décidé d'en faire une fic x)
Sinon elle devrait faire moins de 10 chapitres (mais pas plus de 10 je pense ... enfin avec moi on sait jamais XD)
Aussi j'avais commencé à l'écrire bien avant l'épisode Glaciator, du coup les éléments de cet épisode ne seront pas repris pour le bien de l'histoire. Mais sachez que Chat noir et Marinette se sont croisés un peu plus souvent que dans les épisodes avant le début de cette histoire.
Avant que quelqu'un me le demande, le rythme de publication sera irrégulier, car je vais être beaucoup occupée ces prochaines semaines et que j'ai mon autre fic ML en cours.
Sinon c'est tout ce que j'avais à dire, à part vous souhaitez une bonne lecture :)
Chapitre 1 : Sauvetage
En ce mois d'avril, alors que la nuit était tombée, Paris continuait à resplendir tant par ses lumières, des animations en tout genre ou encore par d'autres activités des habitants, comme une simple promenade ou une sortie dans un restaurant ou un bar.
D'autant plus, que le temps était plutôt doux et bon.
Enfin, cela ne durait jamais longtemps. En effet, d'un seul coup, les parisiens avaient été surpris par une violente averse, qui les avaient obligés à abandonner leurs projets en plein air, pour se réfugier à l'abri. Et une jeune fille, du nom de Marinette, ne faisait pas exception à la règle. Celle-ci était tranquillement assise sur les marches du Trocadéro – n'ayant pas vu l'heure passée, malgré la nuit bien commencée – jusqu'à ce qu'une goutte ne la réveillât de sa transe et de son observation de sa belle ville lumière. Sentant que la météo allait se dégrader, elle s'apprêtait doucement à rentrer chez elle, avant de remarquer, qu'il était déjà assez tard et que ses parents allaient finir par s'inquiéter.
Et en quelques secondes à peine, une simple goutte s'était transformée en véritable averse torrentielle, qui l'avait trempée aussi vite. Elle avait envisagé de se transformer en Ladybug pour rentrer plus vite, mais vu que sa kwami, Tikki, dormait profondément dans sa sacoche, et altruiste comme elle est, elle avait abandonné l'idée. Alors, avec un carnet sous le bras, elle se mit à courir dans les rues de Paris, pour rentrer chez elle. Elle courait et courait à travers les différentes rues de Paris, qui se vidaient au fur et à mesure que l'averse devenait violente.
En quelques minutes de course, Marinette était déjà bien trempée, mais elle ne se préoccupait pas trop de ça. Elle était plutôt inquiète de sa sanction lorsqu'elle allait rentrer aussi tard à la maison. Elle était sûre que ses parents allaient être très inquiets, et donc, que son retour tardif n'allait pas être sans conséquences. Elle était persuadée qu'elle allait être punie, surtout que ses retards en classe, commençaient vraiment à lui poser problème et que ses parents étaient mécontents par rapport à ça. Mais comment leur expliquer qu'elle était en retard, car elle sauvait Paris, sous un masque ? Non, elle ne pouvait pas vraiment leur donner cette explication, identité secrète obligeait. Alors le fait, que même le soir, elle était en retard, en plus, lorsqu'il faisait nuit noire, n'allait pas vraiment arranger les choses pour la jeune fille.
A cette pensée, elle accéléra la cadence, voulant limiter les dégâts.
Mais, préoccupée, et ne voulant pas trop inquiéter ses parents, en étant plus en retard qu'elle ne l'était déjà, elle prit la décision de prendre des raccourcis, en passant par des petites ruelles.
Ceci était sans doute, l'une de ses pires idées.
Ces rues étaient étroites, sombres, lugubres et surtout malfamées. Et par-dessus le marché, dans toutes ces ruelles, qu'elle ne connaissait pas, elle avait fini par se perdre. Mais elle ne s'en inquiéta pas pour l'instant. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était de rentrer chez elle, au plus vite – et retrouver son chemin aussi.
Sauf ce qui devait arriver, arriva.
Alors qu'elle tournait dans une autre petite ruelle sombre, perpendiculaire à une rue principale – où elle courait à toute vitesse pour la rejoindre, avec une lueur d'espoir d'avoir retrouvé son chemin – elle se fit arrêter sur son chemin par deux personnes, qui jusque-là étaient cachées dans l'ombre. Elle s'arrêta nette dans sa course, reprenant son souffle. Ces deux personnes s'approchèrent d'elle, et elle put voir que c'était deux hommes, plutôt jeunes. Ils portaient chacun un jogging, un sweat trop large, la capuche sur leurs têtes. Elle se demandait ce qu'ils voulaient, mais vu la façon dont ils la regardaient, elle sut tout de suite, que ce n'était pas du bien. Inquiète, elle s'apprêta à faire demi-tour, mais elle se rendit compte que deux autres hommes, du même look, l'avaient bloqué. Elle était complètement cernée et à leur merci. Elle serra les dents et les poings, de l'inquiétude dans son regard. Elle ne pouvait pas se transformer, déjà parce que Tikki dormait dans sa sacoche, mais surtout parce qu'elle ne pouvait pas se transformer devant des civils, aussi malfaisants qu'ils étaient. Ladybug pouvait régler leurs comptes. Marinette ne pouvait pas. Malgré tout, elle regarda autour d'elle, essayant de trouver une échappatoire. Les 4 hommes tournèrent autour d'elle, auquel elle les surveillait de près.
Puis, les hommes finirent par s'arrêter, toujours en l'encerclant, avec un sourire mauvais sur leur visage. Marinette sentit son inquiétude s'amplifier, mais elle espéra qu'elle ne laissait rien paraitre sur son visage. Ça s'annonçait mal pour elle. Très mal.
Soudain, un des 4 hommes sortit du cercle pour s'approcher de l'adolescente, avec un sourire encore plus mauvais que les autres.
- Alors jeune demoiselle, que faites-vous ici, à cette heure de la nuit ?
Marinette ne répondit pas, mais toisa méchamment son interlocuteur, comme pour montrer qu'elle ne comptait pas se laisser faire. Ceci fit encore plus sourire l'homme qui avait parlé, alors que cela contrariait les autres.
- Hé ! On t'a causé !
- Laissez-moi passer ! finit-elle par dire, ignorant les autres, et toisant toujours le premier homme, qui avait pris la parole.
Son instinct de superhéroïne lui avait fait comprendre que c'était celui-ci le plus dangereux. Elle ne savait pas encore pourquoi, mais elle sentait qu'elle n'allait pas tarder à le découvrir.
Celui-ci justement agrandit son sourire mauvais, comme amusé de la situation.
- Oh c'est qu'elle a du caractère. J'aime ça. Si on m'amusait un peu ?
Marinette grogna un peu plus fort, en serrant les dents, avant de tenter une fuite. Mais un des hommes la saisit par l'arrière et la ramena au centre du cercle, qu'ils avaient formé. Marinette perdit un peu l'équilibre, mais se redressa vite. Sauf que dans cette action, elle avait fait tomber son carnet, auquel, elle n'avait pas encore remarqué.
Les 4 hommes continuèrent leur petit jeu, en la bousculant de tous les côtés, ce qui allait finir par énerver la jeune fille. Ils essayaient de la faire tomber, limite dans une falque d'eau, tellement l'averse continuait à être violente. Marinette ne savait pas trop à quoi ils jouaient. A l'humilier peut-être ? Lui faire perdre sa détermination et son courage ? Ou simplement se jouer d'elle, comme si elle était qu'un simple jouet, qu'on pouvait torturer à sa guise. Dans tous les cas, cela commençait vraiment à l'agacer, et elle envisageait de plus en plus à se transformer pour leur montrer de quel bois elle se chauffait.
Mais toujours à se faire bousculer, elle finit par trébucher et se retrouva à 4 pattes dans une flaque d'eau, la trempant plus ce qu'elle ne l'était déjà. Elle grogna d'avantage, et se sentait vraiment humiliée, sous le ricanement de ses malfaiteurs. Elle s'apprêta à se transformer, pour cesser ce petit jeu, lorsqu'elle vit un des hommes ramasser son carnet à dessin. Elle écarquilla les yeux d'horreur. Tous ses croquis pour des vêtements, et tout ce qu'elle avait fait dans la journée étaient dans ce carnet. Un des hommes regarda avec curiosité le carnet qu'elle avait fait tomber, lorsqu'ils l'avaient bousculé. Un autre homme – qui avait l'air d'être le chef de la bande – prit le cahier des mains de son complice et le feuilleta. Marinette, hors d'elle, se leva d'un coup, et s'apprêta à lui reprendre. Voulant encore s'amuser et l'ayant vu, le chef arrêta son inspection du carnet et leva le bras pour que celui-ci soit hors d'atteinte. Et vu qu'il était plus grand qu'elle, elle ne pouvait pas reprendre son bien. Il s'amusa encore un peu comme ça, tout en la poussant avec son autre main, pour la faire reculer. Ceci accompagné d'un ricanement méchant, suivi par l'hilarité de ses complices. Mais Marinette n'abandonna pas et repartit à la charge plusieurs fois, essayant d'atteindre la main qui tenait ses croquis à dessin, malgré les bousculades de plus en plus violentes des hommes, qui commençaient à lui faire mal.
Plus loin, une certaine personne sautait de toit en toit. Cette personne s'apprêtait à rentrer chez elle, lorsqu'elle entendit un bruit, qui attira son attention. Elle s'arrêta sur un toit à proximité pour observer la scène attentivement. Elle remarqua une jeune fille en difficulté, face à une bande de 4 malfrats plus âgés qu'elle. Il semblait qu'ils lui avaient pris quelque chose, qu'elle essayait de récupérer. Cette personne ne s'attarda pas sur la question de la présence de la jeune demoiselle, dehors sous cette pluie à cette heure tardive, mais plutôt sur la délicate situation, dans laquelle, la jeune fille se trouvait. Observant toujours la scène, le témoin fronça les sourcils de mécontentement. Son visage devint grave, ses yeux s'assombrirent, et sa colère monta.
Ne s'attardant pas plus longtemps, cette personne sauta de son toit d'observation.
Marinette, essayait toujours de récupérer son bien, mais elle commençait à en avoir marre. Son sang-froid commençait à disparaitre, et sa colère s'intensifia. Alors ce qu'elle fit par la suite, stupéfia les malfrats. En ayant plus que marre, elle cessa de sauter pour récupérer son carnet. Le chef de la bande la regarda en souriant de victoire. C'était alors que Marinette s'approcha suffisamment de lui et d'un coup, le surprenant, lui et ses complices, elle lui donna un coup de pied dans le tibia de son malfaiteur. Celui-ci, hurlant de douleur, sautilla sur une jambe, en se tenant le membre frappé, tout en lâchant le carnet, tellement la souffrance était telle. Ses complices, d'abord abasourdis et surpris, se reprirent vite et hors d'eux, s'apprêtaient à venir venger leur chef, en donnant à la jeune fille, une correction. Mais leur chef les arrêta d'une main, et regarda Marinette avec haine. La jeune fille n'avait pas vu son regard assassin, ramassant son carnet qui était tombé plus loin, contre un mur. Et malgré qu'elle se fût dépêchée de récupérer son bien, avant de vouloir s'enfuir, elle se fit coincée par le chef de la bande, un mur derrière elle, empêchant tout échappatoire. Elle leva les yeux vers lui, moitié inquiète, moitié furieuse, ne voulant pas démontrer sa peur grandissante.
Et sans vraiment qu'elle ne put réagir, le malfrat la gifla avec violence, la faisant trébucher, et cognant sa tête contre le mur, la sonnant.
Sauf qu'une certaine personne avait tout vu, et sa colère grandissait à vue d'œil. On pouvait entendre un grognement furieux sortir de sa gorge, son visage devint grave et sombre. Ses muscles furent tendus, ainsi que ses nerfs.
Après s'être cognée la tête assez durement, Marinette se mit en position assise, en entrouvrant légèrement les yeux, pour regarder son agresseur en face. Celui-ci ne perdit pas de temps, et la plaqua contre le mur, en l'étranglant. Marinette gémit de douleur, mais garda toute de même le même regard de détermination, défiant son malfaiteur, ne voulant pas montrer sa peur. Le chef de la bande, lui, la fixa vraiment avec méchanceté, et maintenant avec colère, surtout en voyant qu'elle ne fléchissait pas. Il aimait bien qu'on lui résiste un peu, mais là sa proie résistait un peu trop. Il voulait lui montrer qui était le plus fort. Et il allait lui montrer.
- Tu te prends pour qui toi ? Je vais t'apprendre où est ta place, sale gamine.
Il arma son poing gauche, prêt à la frapper au visage et à toute vitesse, il l'approcha de sa tête. Marinette ferma les yeux, attendant le coup, n'ayant aucun moyen de se défendre cette fois ci.
Mais soudain, le poing du malfrat fut arrêté d'un coup sec, avec force et dureté, à plusieurs centimètres du visage de Marinette. Le délinquant regarda surpris, la raison de cet arrêt et constata une main gantée noire, qui tenait fermement son poignet. Il tourna brusquement la tête, lâchant un peu la gorge de Marinette, qui pouvait mieux respirer. Et en voyant, qui l'avait stoppé, il écarquilla les yeux de peur. Des yeux verts de félin le regardait avec fureur, comme s'il était prêt à le déchiqueter sur place.
- Chat … Chat noir ?
Ne sentant rien arriver, mais surtout, en ayant entendu ces mots, Marinette rouvrit les yeux et fit un hoquet de surprise, en voyant que son partenaire avait bloqué le coup de poing qui lui était destiné, non sans remarquer la fureur dans son regard. Elle ne se demandait même pas ce qu'il faisait dans le coin. Elle s'en fichait. Elle était heureuse qu'il fut là. Un sourire se dessina sur ses lèvres, montrant sa joie de le voir.
Quant à Chat noir, n'ayant toujours pris la parole – mais son simple regard suffisait – et toujours en bloquant la main du délinquant, serra un peu plus celle-là, faisant doucement souffrir l'homme qui était sur le point de frapper la jeune fille.
- Ce n'est pas franchement gentil de frapper une demoiselle.
Et juste après qu'il avait sorti ces paroles, il retourna le poignet du malfrat, faisant hurler de douleur celui-ci. Par réflexe, il relâcha totalement Marinette, alors qu'il la maintenait toujours contre le mur. Dans cette action, Marinette – qui avait enfin retrouvé sa respiration – avait cru entendre un craquement, signe que Chat noir avait peut-être bien cassé le poignet de son agresseur. Mais elle ne s'attarda pas à ce détail, lorsque le superhéros obligea le malfrat à se relever – alors qu'ils étaient tous les deux accroupis en face d'elle, qui était toujours assise – en maintenant toujours le poignet tordu du malfaiteur. Une fois sur ses pieds, il lui fit une clé de bras dans le dos, toujours sous les hurlements du délinquant. Et d'un coup sec, il poussa le malfrat, avec ses bras et en donnant un coup de pied dans le dos, comme pour le jeter plus loin. Le chef de la bande tomba sur ses complices, qui avaient assisté à toute la scène avec peur et impuissance. Le chef de la bande se retourna sur son dos, tout en tenant son bras et poignet meurtris, en gémissant de douleur, sous le regard abasourdi des autres hommes – alors qu'ils étaient toujours les uns sur les autres, au sol.
Chat noir les fixait avec férocité, toujours les poings serrés, avant de reporter son attention sur Marinette. Celle-ci le regarda incrédule, abasourdie, n'ayant jamais vu son partenaire comme ça. Lorsqu'elle le vit se rapprocher d'elle, elle remarqua qu'il avait un regard plus doux et tendre, qu'il y a quelques secondes. Et cette fois, il n'avait pas de l'arrogance dans son regard. Juste de la tendresse et de l'inquiétude. Chat Noir s'accroupit pour se retrouver à la hauteur de Marinette.
- Tout va bien Marinette ?
Marinette ? Il ne l'avait encore jamais appelé par son prénom. En plus, pas avec autant d'inquiétude et de douceur. Dire qu'elle était abasourdie était un doux euphémisme. C'était pourquoi, elle ne répondit pas au superhéros et restait là sans bouger à le regarder avec stupéfaction.
En voyant son mutisme et sa stoïcité – sans oublier son regard surpris – Chat noir sentit son inquiétude s'agrandir. Il posa sa main sur celle de la jeune fille avec hésitation, comme craignant qu'elle pût avoir peur de lui, à cause de sa mésaventure avec ces 4 hommes.
- Marinette ?
Sentant le contact contre sa main, la jeune fille semblait sortir de sa transe. Elle secoua la tête et bien qu'encore un peu secouée et sonnée, elle hocha simplement la tête pour lui répondre. Chat noir soupira de soulagement, de manière discrète, puis saisit sa main pour l'aider à se relever. Marinette le laissa faire, non sans avoir des difficultés à trouver son équilibre, encore un peu sonné. Chat noir la tint par la taille avec son autre main, le temps, qu'elle retrouva son équilibre, avec un regard inquiet sur son visage. Il sentait qu'elle était un peu sonnée, et il voulait s'assurer que tout allait bien pour elle. Une fois sur pied, et son équilibre retrouvé, Marinette se détacha un peu de son coéquipier – alors qu'elle le tenait pour s'aider à se maintenir debout. Elle dépoussiéra son pantalon, bien que cela ne servait à rien, vu qu'elle était plus trempée qu'autre chose. Mais peu à peu, elle retrouvait ses sens, signe qu'elle commençait à aller mieux.
Pendant le geste de Marinette, Chat noir vérifia qu'elle n'était pas blessée, en inspectant son corps d'un simple regard. Marinette ne fit pas attention à ça, encore un peu remuée par la scène qui venait de se dérouler.
Constatant qu'elle n'avait rien de grave – à part peut-être une joue rouge par la gifle, et une légère bosse qui se formait sur son front, dû à l'impact contre le mur – il soupira de soulagement discrètement. D'ici le lendemain, ces mauvaises traces auront disparu, ce qui le rassura grandement, ne voulant pas, que Marinette gardait des séquelles de cette histoire.
Il se dit que cela aurait pu eu être plus grave, s'il était arrivé, une seconde plus tard. Il chassa cette idée de la tête, et décida de montrer sa personnalité, plus … Disons plus Chat noir. Alors il croisa les bras d'un air provocateur, et un sourire taquin ornait son visage.
- Alors qu'est-ce qu'une jolie demoiselle fait-elle dehors à cette heure-ci, sous ce temps à faire fuir les chats ?
Marinette semblait se réveiller par le ton taquin et arrogant de Chat noir. Elle retrouva ses esprits et fit un roulement des yeux, d'un air blasé. Chat noir semblait s'amuser de sa réaction et il en rit. Marinette soupira d'exaspération avant de sourire faiblement de reconnaissance.
- Merci Chat noir.
Chat noir la regarda avec tendresse, ce qui déstabilisa un peu Marinette, qui avait plus l'habitude de son côté taquin.
Il y a quelque chose de nouveau chez lui … Quelque chose qui a changé… Quelque chose de …, pense-t-elle, déstabilisée par ce changement chez son partenaire.
Mais avant qu'elle n'eût pu penser plus longtemps, le superhéros lui prit la main, et la baisa comme il avait l'habitude de le faire avec Ladybug – mais aussi depuis peu, lorsqu'elle était Marinette.
- Un chevalier est toujours au service de sa princesse.
Ou peut-être pas, pense-t-elle, blasée par ce comportement habituel.
Marinette laissa échapper un petit rire malgré son exaspération pour le côté dragueur de Chat noir.
- Que fais-tu ici Chat noir ? Bien que ça ne me dérange pas car tu m'as sauvé la mise mais … Que fait un superhéros de Paris sous cette pluie ?
- J'ai demandé le premier, la taquina-t-il, en relâchant sa main.
Marinette leva à nouveau les yeux au ciel, sous le rire de Chat noir. Décidément, il ne pouvait pas se passer de sa réaction. Et cela lui faisait étrangement penser à une autre personne. Mais il ne s'en préoccupait pas vraiment.
Et alors que Marinette allait reprendre la parole, elle se fit interrompre par des voix plus graves.
- Chat noir !
Le superhéros félin perdit son sourire, et se retourna lentement vers les malfrats, en les regardant avec férocité. Il vit les 4 délinquants le toiser du regard, surtout celui où il avait cassé le poignet. En même temps, il avait frappé Marinette et allait recommencer, donc il avait mérité son sort.
Cependant, il laissa ça dans ses pensées, se mit devant Marinette d'un air protecteur – ce qui la surprit de nouveau – et attendit que le chef de la bande reprît la parole, pour voir ce qu'il voulait.
- Qu'est-ce que tu fais là, Chat Noir !?
- Mon devoir de superhéros. Quoi d'autre ? répondit-il avec arrogance, non sans s'exprimer d'une voix grave, que remarqua aussitôt Marinette, qui était toujours derrière lui.
- Mêle toi de ce qui te regarde Chat noir ! Cette histoire ne te concerne pas !
- Ouais ! Occupe-toi plutôt des akumas et reste en dehors de ça, ajouta un complice.
Les ignorant complètement, Chat noir se retourna vers Marinette d'un air faussement choqué.
- Sérieux ? C'est comme ça qu'on nous voit ? Juste pour attraper des akumas ? C'est tout ?
Marinette le regarda incrédule, face à sa réaction. Il réagissait d'une manière si désinvolte et insolent. Mais après tout c'était Chat Noir. Alors, elle décida de jouer le jeu, et haussa les épaules, en souriant. A sa réaction, le superhéros posa ses mains sur son visage pour dire de continuer sa comédie dramatique – et peut être de se moquer des 4 malfrats devant lui.
- Vraiment je suis déçu ! Je suis Chat noir. Le superhéros de Paris. Le plus beau, le plus fort, le meilleur et je suis juste un chasseur d'akumas ? Déçu. Je suis tellement déçu. Qu'est-ce que dirait ma Lady ? Tu m'entends Ladybug ? On est juste des chasseurs d'akumas. Quelle déception. Moi qui pensait que tout Paris nous idolâtrait, parce qu'on était géniaux ! Mes fans, je suis tellement désolé de vous décevoir, vous aussi.
Marinette le regarda blasée, mais en même temps, elle avait envie de rire. C'était du Chat Noir tout craché. Surtout lorsque celui-ci accompagnait des gestes à sa tirade dramatique. Elle mit sa main devant sa bouche, pour s'empêcher d'éclater de rire. Sauf que Chat noir l'avait remarqué, et cela lui avait fait esquisser un sourire, fier de son petit jeu.
Cependant, ça n'avait fait rire que ces deux-là, car les 4 hommes avaient très mal pris la comédie moqueuse du superhéros. Ils fulminaient de fureur, surtout le Chef de la bande.
- Maudit soit tu Chat noir !
Le superhéros arrêta son petit jeu, et regarda avec arrogance, les malfaiteurs devant lui. Sentant qu'il avait toute l'attention du héros, le chef de la bande continua avec arrogance.
- Exact Chat Noir. Mêle toi de ce qui te regarde et va t en ! Tu n'as rien à faire ici ! Alors tu vas gentiment t'en aller.
- Non, répondit-il avec dureté, avec un air plus sérieux et grave.
Le malfrat était un peu déstabilisé, par cette réponse et notamment du ton, qu'avait employé Chat noir, mais il ne laissa rien paraitre.
- Non ? Tu n'as pas encore compris. Cette histoire ne te regarde pas. Ça se passe entre cette sale gamine et moi. On n'a pas besoin de toi ici. Alors tu vas me laisser faire gentiment, ce qu'on a commencé. Sans t'en mêler.
- C'est ce que vous croyez. Répondit-il avec une voix beaucoup plus grave et sérieuse.
Le ton de cette voix avait fait frémir les délinquants et même Marinette. Jamais elle ne l'avait vu si sérieux, surtout que ça changeait à son attitude frimeuse de plus tôt. Jamais, il n'avait pris ce ton, jamais, il n'avait été si grave, qu'à ce moment-là. Même lorsqu'ils combattaient ensemble un akumatisé. Marinette en fut la première surprise. Mais en même temps, elle sentit une sensation de protection intense, qu'il lui fit du bien. Elle ne pouvait pas le dire pourquoi, elle se sentait comme ça, mais elle aimait bien. Même si elle assurait qu'elle n'avait pas besoin d'être protégée, car elle était aussi Ladybug. Mais pour une fois, le fait de se sentir protégée par quelqu'un d'autre, lui faisait du bien. Et le fait de savoir que c'était Chat noir, qui lui faisait ressentir cette sensation de protection, augmenta son bien-être et réchauffa son cœur. Elle sourit dans son dos, comme pour le remercier, sans vraiment qu'il ne s'en rendit compte.
A côté de Marinette, ses agresseurs, eux, frémirent plutôt de peur, tout en reculant d'un pas, en voyant le regard perçant des yeux félins du superhéros. Malgré tout, ne voulant pas montrer leur peur, ils continuèrent à essayer de se montrer supérieurs. Mais leurs voix les trahirent, ce que remarqua aussitôt les deux adolescents.
- Qu'est-ce… Qu'est-ce que tu veux dire … On t'a dit de …
- Sérieux les gars ? Vous croyez vraiment que je vais vous laisser maltraiter une fille sans défense ? Vous me prenez pour qui !
Les 4 hommes reculèrent encore d'un pas, effrayés par le ton colérique qu'avait pris Chat noir. Pour autant, il semblait qu'ils n'avaient pas encore tout à fait compris la leçon, car ils poursuivirent.
- Ce … Ce ne sont pas tes affaires ! cria un des hommes, très peu sûr de lui.
- Oh que si ! hurla Chat Noir, en haussant encore plus la voix, tout en grognant presque.
Marinette, tout comme ses agresseurs, furent surpris du ton employé par Chat Noir. Mais la jeune fille était encore plus surprise par les paroles. Il les avait prononcés avec une telle passion, qu'elle se demandait, si elle ne connaissait pas Chat noir sans le masque. Ses paroles étaient troublantes. Chat noir avait dit ça, comme s'ils se connaissaient, alors qu'en tant que Marinette, ils ne s'étaient croisés que quelques fois. Ou alors il savait … ? Non cela était impossible. Il lui aurait fait comprendre d'une manière ou d'une autre. Non c'était autre chose ou … Chat Noir était tout simplement surprotecteur. Cela était fort troublant. Elle ne savait plus quoi en penser. Il n'y avait plus de taquinerie, plus d'arrogance dans sa voix. Juste de la colère. Marinette était troublée. Chat Noir n'avait jamais réagi comme ça. Même face à de puissants akumatisés. Et sans qu'elle ne pût réellement le contrôler, elle se mit à rougir légèrement. Elle ne savait pas ce qui lui prenait, mais les paroles et la passion, ainsi que le ton de Chat Noir l'avaient chamboulé, plus ce qu'elle ne l'avait imaginé.
Mais elle n'avait pas le temps de réfléchir plus longtemps à ça, que son partenaire reprit la parole, avec toujours autant de colère et de dureté.
- Vous vous attaquez comme des lâches à plus petit que vous et en plus à une fille et je dois rester à l'écart ? Un conseil les misérables : déguerpissez avant que je me fâche réellement. Et que je ne vous revois plus trainer autour de cette fille. Car je le jure que vous allez regretter de vous être lever le matin. Maintenant dégagez de là !
Les malfrats frémirent de peur et reculèrent tant que le ton menaçant était effrayant. Mais malgré tout, malgré la peur, le chef de la bande serra les dents, avec une expression de haine. Il se jurait que Chat noir n'allait pas s'en sortir comme ça, même si c'était un superhéros.
Ses complices essayaient de l'éloigner du félin, mais rien n'y faisait. Il voulait le remettre à sa place. Ces ruelles étaient son territoire et il allait leur apprendre. Il avait complètement perdu la raison, tant qu'il voulait faire payer à cette fille en premier de l'avoir humilié, puis à Chat noir de l'avoir rabaissé. Ses yeux devinrent fous et même ses complices ne pouvaient plus l'arrêter. Il n'y avait pas de doute qu'il avait complètement perdu l'esprit.
Pendant le laps de temps de la perte de raison du délinquant, Chat noir, ayant retrouvé un regard plus doux, s'était retourné vers Marinette, avec toujours ce sourire charmeur.
- Alors Princesse ? Que fais-tu ici ? C'est dangereux dans le coin. Heureusement que ton superhéros adoré était là pour veiller sur toi.
Marinette le regarda d'un air surpris, en clignant les yeux plusieurs fois. Il était passé de la colère à la drague, en un temps record. Elle était abasourdie, c'était peu dire. Puis, en voyant le retour du visage frimeur de son coéquipier, elle soupira et le regarda blasée, mais néanmoins, elle fut reconnaissante envers son partenaire. Alors, elle lui sourit.
- Je sens que je vais le regretter et que je vais gonfler ton égo, Chat, mais … Oui heureusement que tu étais là.
Chat Noir ricana gentiment, toujours avec cet air charmeur et arrogant, ce qui fit sourire Marinette, malgré elle.
Sauf que pendant que Chat Noir avait le dos tourné, le Chef de la bande des malfrats s'approcha en traitre, sous l'air paniqué de ses complices. Il arma son poing prêt à frapper le superhéros.
Chat Noir et Marinette n'avaient rien remarqué de cette action en traitre, c'était pourquoi, ils continuaient à discuter.
- C'est le devoir de tout superhéros, Princesse.
- Oui oui merci Chat mais …
Marinette ne termina pas sa phrase, car elle finit par voir le malfrat s'apprêtant à frapper son coéquipier. Elle écarquilla les yeux d'horreur, prête à le prévenir et à intervenir s'il le fallait.
- Tellement prévisible, murmura Chat noir, qui avait fermé les yeux.
Et avant que Marinette ne pût réagir, le chef frappa d'un coup de poing la tête de Chat noir. Mais celui-ci encore plus rapide, l'arrêta avec sa main, toujours dos à lui. Puis, il tourna la tête doucement, avec un regard féroce et dangereux. Le malfrat déglutit, regrettant son action irréfléchie.
- Vraiment ?
Il donne un coup de pied sur le ventre du malfrat le faisant reculer de plusieurs mètres. Celui-ci gémit de douleur, non sans le regarder avec fureur, prêt à en découdre.
- Vraiment les gars ? Vous voulez vous confronter à Chat noir, dit-il en craquant ses doigts, avec un sourire carnassier.
- Tu n'es qu'un humain ! rétorqua le Chef de la bande de malfrats.
- Ah vraiment ? Vous croyez ? Vous êtes sûrs ? Vous êtes prêts à le parier sur vos vies ?
Les 4 délinquants, surtout le chef, déglutirent, très peu sûrs d'eux. Ce geste fit sourire Chat noir, qui sentait que leur peur était assez grande, maintenant, pour qu'ils apprenaient la leçon.
- Très bien les minables. Je pense que quelqu'un a besoin qu'on vous remette à vos places. Et je vais en profiter pour vous faire payer ce que vous avez fait. Vous allez le regretter d'avoir osé poser les mains sur elle.
- Chat …
- Marinette, reste en arrière, lui dit-il d'un air grave.
Encore une fois, il avait utilisé son prénom, au lieu du surnom qu'il lui donnait d'habitude. Cela perturbait Marinette, qui ne bougeait plus, mais le regardait, bouche bée.
Sentant, qu'elle ne réagissait pas, il se retourna, doucement, avec un sourire tendre.
- Je ne voudrais pas que tu sois blessée.
Marinette le regarda en rougissant. Décidément ce soir, Chat était pleines de surprise. Il n'avait jamais réagi comme ça.
- Reste ici. J'en ai pour deux minutes maximum. Et ferme les yeux. Ce ne sont pas des choses à voir pour une Princesse, continua-t-il avec plus arrogance, en lui faisant un clin d'œil, accompagné de son sourire typique de Chat Noir.
Marinette soupira en roulant les yeux. Comment elle avait pu croire qu'il avait changé ?
Chat sourit à sa réaction avant de s'avancer vers les malfrats, d'un air beaucoup plus grave et sérieux.
Voyant qu'il s'était éloigné, Marinette le regarda d'un air inquiet et avança d'un pas, avant de se rétracter. Elle soupira, sentant qu'elle ne pourra rien n'y changer maintenant.
- Euh Chat noir … Vas-y doucement quand même ! Ce ne sont que des …
Mais elle n'avait pas fini sa phrase que la bagarre avait commencé, largement en faveur de Chat noir. En voyant les coups que prenaient les malfrats, elle ferma un œil, avant de le rouvrir, puis, elle ferma les deux, avant de les rouvrir. Elle fit ça plusieurs fois, jusqu'à ce qu'elle n'entendît plus rien. Elle rouvrit les yeux, pour y trouver les 4 malfrats complètement sonnés dans les vapes. Elle espérait de plus profond de son être que son partenaire était allé doucement, surtout lorsqu'elle le vit se frotter les mains, ravi du travail.
Celui-ci finit par revenir vers elle, fier de lui. Elle soupira, mais le regarda avec reconnaissance. Sur le chemin, Chat noir s'arrêta en voyant au sol, le carnet de Marinette, qui était plus loin de là où elle se trouvait, près d'une benne à ordure. Il se pencha pour le ramasser, et essaya de le nettoyer un peu, malgré qu'il fût déjà totalement trempé. En revenant vers Marinette, il lui tendit son carnet d'un regard désolé. Elle lui prit des mains, avant de regarder le superhéros avec reconnaissance, bien que celui-ci était désolé pour elle.
- Désolé, il est tout trempé. Qu'est-ce que c'est ? Il est précieux, non ? Je t'ai vu essayer de le récupérer avec ardeur.
- Mon carnet à dessin.
- Ton carnet à dessin ?
- Oui. J'aime bien créer des choses, des vêtements, tu vois. Et je dessine tout le design là-dedans. Tous les croquis.
- Oh. Je suis désolé Princesse, il est trempé. J'espère que tu n'as pas perdu ce que tu as fait…
Il était vraiment désolé pour elle, que cela lui fit chaud au cœur. Elle lui prit la main pour le rassurer, avec un sourire tendre.
- Ne t'inquiète pas. Je peux essayer de le sécher. C'est déjà gentil de l'avoir récupéré et rendu.
Marinette agrandit son sourire, ce qui fit légèrement rougir Chat noir, qui ne savait pas pourquoi son cœur s'emballait de la sorte, en présence de son amie. Il secoua la tête pour essayer de retrouver ses esprits. Mais le sourire de Marinette le fit chavirer, alors assez maladroitement, il lui sourit, ce qui fit doucement rire la jeune fille. Le son de son rire fit sourire le superhéros, et il la regarda avec tendresse.
Mais lorsque celle-ci se mit à frissonner de froid sans doute – il pleuvait toujours autant – il se réveilla d'un coup, prêt à l'aider de nouveau.
- Tu as froid, Princesse. Et tu es déjà trempée. Je te ramène chez toi.
- Ça va aller. Je peux me débrouiller.
- Ouais j'ai vu ça., la taquina-t-il, en croisant les bras d'un air provocateur.
- Très drôle. Pour ma défense je me suis perdue.
- Raison de plus pour te ramener.
- Mais …
- Qui serais-je si je ne ramenais pas une Princesse en détresse dans son palace, alors qu'il pleut des cordes, et qu'il fait nuit noire ? dit-il en faisant une révérence, en gardant son air charmeur.
- Chat...
- Et puis, il se fait tard, tes parents vont s'inquiéter, rétorqua-t-il avec plus de sérieux.
Marinette soupira résignée, sachant qu'il avait parfaitement raison.
- Ok compris. C'est d'accord.
Chat noir sourit victorieux, avant de la surprendre et de la prendre dans ses bras, telle une princesse – c'était le cas de le dire. Elle poussa un cri de surprise, en s'agrippant à son cou, non sans colère.
- Qu'est-ce que tu fais, idiot de chat ?
- Ça ira plus vite comme ça. T'es déjà assez trempée.
- Toi aussi !
- Mais Princesse …
- Chat je peux marcher !
Chat Noir la regarda curieusement, avant de sourire machiavéliquement, ce qui n'annonçait rien de bon pour Marinette, qui le regarda inquiète.
- D'accord Princesse. Comme tu veux. Je te lâche.
C'est alors, la surprenant, une fois encore, avec un sourire de farceur, Chat noir fit semblant de la lâcher. Marinette poussa un cri croyant réellement qu'il allait le faire et s'agrippa de toutes ses forces au cou de Chat noir. Puis, elle le regarda avec férocité, devant l'hilarité du félin.
- Tu refais ça, je te tue.
- Compris, Princesse.
Sachant qu'il avait gagné cette manche, il la serra plus près avec un grand sourire sur ses lèvres et s'apprêta à bondir.
- Cette fois, tu es prête ?
Marinette ne répondit pas, mais à la place, elle grommela, montrant qu'elle faisait la moue. Chat noir trouvait cette réaction adorable, mais il se reconcentra aussitôt, voulant ramener sa princesse à l'abri et au sec au plus vite.
- Très bien. Accroche-toi, on décolle.
A SUIVRE.
Voili voilou j'espère que ce premier chapitre mise en bouche vous a plu :)
La prochaine fic publiée sera surement "Entre sentiments et devoirs". J'y travaille encore sur la suite.
Sachant que j'ai beaucoup de travail et d'examens, je risque de disparaitre plusieurs semaines. Soyez patients :)
A bientôt !
R.S.59
