Disclaimer : Harry Potter ne m'appartient malheureusement pas, il faut que j'aille voir JKR pour la convaincre de me le vendre. Cependant il peut y avoir de nombreuses références à certains livres, BD, manga, films…. Seuls les personnages n'existant pas m'appartiennent et encore ils appartiennent plus à ma folie que moi, la vilaine elle ne veut pas me les offrir complètement 8D
\\! ATTENTION GROS DELIRE !/
Cette fiction aura deux nouveaux chapitres par moi car elle n'est pas ma priorité, je ne l'ai créé que pour m'amuser, je préfère m'avancer sur mon cross-over. Sinon j'ai de nombreuses fautes, je m'en excuse sincèrement. Si vous voulez me corriger ça me gêne point.
Titre : Tu peux m'appeler Dieu si tu veux.
Résumé : Georgina Wright, descendante de l'inventeur du Vif d'or. Génie méconnue d'après elle, elle entre pour sa 6ème année à Poudlard, année qui s'annonce plein de belles promesses entre les maraudeurs, Rogue, Dumby et ses nouvelles lubies.
Prologue:
Plop !
Une bulle explose de nouveau sous mes yeux, on doit s'approcher de la soixantaine maintenant. Je me penche un plus pour observer la potion. Pas que je sois aveugle ! Hein ! En fait si je suis myope comme une taupe mais j'ai mes supers lunettes pour compenser !
Sauf qu'elles sont cassées.
Les pauvres.
Vous vous dites surement, mais elle est une sorcière pourquoi elle ne les répare pas ? Eh bien j'ai une très bonne raison ! Non ce n'est pas parce que je suis nulle en magie. Je suis un génie moi, monsieur ! UN GENIE !
C'est juste que je suis maladroite. Très maladroite. Peut-être un peu trop. Ou alors j'ai été maudite pendant l'enfance pour que personne ne soit jaloux de la perfection que je suis. A vrai dire je penche vraiment pour cette théorie. Donc je disais que j'étais maladroite et donc je ne pouvais réparer mes lunettes ? Eh bien oui c'est la bonne raison car je ne vais pas réparer mes lunettes pour les recasser juste après c'est stupide.
Plop !
Les bulles redemandent mon attention, que voulez-vous je suis très populaire, tout le monde veut que je pose mon superbe regard sur lui, mêmes les bulles !
Je me penche un peu plus, plissant les yeux. La potion est verte ? Je relève la tête et tente de fixer celle de l'élève à côté de moi, pourquoi en a-t-il une bordeaux l'imbécile ? Je le fixe à la recherche d'une réponse, me grattant le menton par la même occasion pour me donner un genre. Je me demande comment les gens me voient de l'extérieur.
…
Ils sont sûrement éblouis.
Plop !
De plus en plus de bulles tirant la couleur « morve de troll adulte des montagnes » tentent de se frayer un chemin hors du chaudron. Je peux comprendre qu'elles veulent déserter, moi aussi je ferai tout pour sortir d'un liquide bouillonnant. Sauf si c'est un bain bouillonnant, est ce qu'est la salle de bain des préfets en a un ? Ça serait injuste pour les autres élèves. Quoi que vu le goût de Dumby il doit sentir la rose.
J'ai horreur des roses.
C'est joli de loin, c'est même romantique ! Mais hop dès que t'en prend une en main, elles te piquent ! En plus les roses sentent trop fortes, ça me donne une migraine pas possible ! Si elles symbolisent l'amour je peux comprendre qu'un couple sur deux finit par divorcer. De toute façon le mariage c'est nul. Les hommes deviennent macho parce que nous sommes désormais leurs femmes nous devons obéir sans discuter et rester les jambes ouvertes pour les accueillir en nous occupant de leurs marmots braillards pendant qu'ils iront copuler comme des lapins avec des jeunes minettes ne pensant qu'au fric.
Oui je suis très romantique et oui je crois en l'amour.
Au début, de très loin et avant que les personnes ne se l'avouent. L'amour c'est ce qui nous donne envie d'être avec quelqu'un. De le posséder et enfin quand on a tout de lui, on ne pense plus qu'à une chose : comment s'en débarrasser et on passe à autre chose.
Plop.
Les bulles semblent s'accumuler pour démarrer une révolution. Je devrai peut être m'éloigner, ça siffle étrangement et une fumée nauséabonde commence à sortir. Slughorn arrive en claudiquant. C'est un bon professeur, je suis sûre qu'il sera se débrouillé si un être étrange et fou sort de mon chaudron. Chaudron qui devient de plus en plus suspect, il commence à tressauter sur le feu. Je fixe d'un œil morne, réfléchissant aux différentes solutions qui s'offrent à moi :
-fuir en hurlant que ça va exploser. Simple, banal et terriblement ennuyeux, un truc de première année.
-Crier comme une folle et renverser mon chaudron au visage du premier venu… Ça me tente bien de le faire. Je pourrai peut-être viser le petit Rogue et ça le rendra beau, aussi magnifique qu'un prince charmant et grâce à moi il deviendrait populaire auprès des femmes et il me vénérait pour l'éternité pour lui avoir rendu ce service ! Mais malheureusement Rogue n'est pas là. Il a fait une malheureuse rencontre avec les maraudeurs. Je le plains. Ils peuvent être très taquins.
-Me cacher sous la table en attendant l'explosion finale et avec un peu de chance j'assisterai à un super spectacle ! Je regarde le sol. Lui aussi est suspect. En plus il fume là où les gouttes de ma potion sont tombées. C'est donc un mauvais choix, manquerait que mon voisin renverse la potion en fuyant !
-Attendre et voir ce qui se passe. Stupide, qui voudrait recevoir une potion en pleine tête sans rien gagner en retour ? Pas que ma potion allait forcément exploser, croyez pas que je sois nulle. Je voulais juste expérimenter quelques petites choses.
-Se cacher derrière notre bon Slugy, c'est qu'il a un bon embonpoint ça devrait être facile de rien recevoir en restant derrière lui. Je reste à méditer ce dernier choix alors que le dit Slugy atteint enfin mon œuvre. Il est assez pâle, de la sueur semble couler le long de son visage. Il n'est pas malade quand même ! Pensais-je en fronçant les sourcils. Manquerait plus qu'il me claque entre les doigts !
Alors que j'allais opter pour la dernière solution, le sifflement se fait plus fort et mon chaudron commence à trembler dangereusement. Enfin plus qu'il y a un cinq minutes ! Dans un ultime réflexe de survie croisé à un acte d'héroïsme je me jette sur le directeur de la maison serpentard, le serrant contre mon cœur.
Qu'on ne dise pas que Georgina Wright n'est pas généreuse !
