Une idée qui m'était venue et que j'ai commençais à écrire.


Une journée normale débutait sur le Moby Dick. Les commandants étaient réunis dans la cuisine pour manger leur petit déjeuné. Marco se tenait à la droite de Barbe-Blanche et discutait tranquillement avec lui. Mais cette tranquillité n'allait pas durer longtemps. Alors que son père lui parlait, Marco avait de plus en plus de mal à rester concentré sur ce qu'il lui disait. En effet un mal de tête lancinant ne voulait pas le lâcher depuis plusieurs minutes. Il se leva de table.

«Père je vais devoir vous laisser.»

«Qu'y-a-t-il mon fils?»

«Rien de spécial, j'ai juste oublié quelque chose dans ma chambre, mentit le phénix avant de partir.»

Aussitôt entré dans sa chambre il verrouilla la porte. Il s'avança vers son lit quand soudain un mal plus fort que les autres le fit tomber à genoux en gémissant de douleur. Bientôt les vagues de douleur se succédaient sans répit le faisant hurler en se tenant la tête. Il espérait qu'aucun de ses frères ne passerait dans le couloir car il ne voulait pas que quelqu'un entende ses cris. Alors qu'il était au bord de l'inconscience il entendit pourtant sa porte voler et des bras le soulever pour le porter.

POV Ace

C'est bizarre, d'habitude Marco ne met pas autant de temps pour aller chercher quelque chose dans sa chambre. Bon et si j'allais voir, simplement en passant pas hasard bien entendu. En sortant de la cuisine je constate que cette pièce est vraiment bien insonorisé. D'habitude je sors le dernier donc je ne m'en rend pas compte mais là je le vois bien. Marchant tranquillement vers les chambres j'entends soudain un hurlement de douleur suivit par d'autres. Ils viennent de la chambre de Marco! Je cours jusqu'à se porte et je tente de l'ouvrir : fermée à clef! Derrière la porte j'entends encore les cris de douleur de Marco bien qu'ils se fassent de plus en plus faible. Sans plus hésiter je balance une boule de feu contre la porte qui vole et j'entre en courant. Marco est là à genoux sur le sol, se tenant la tête à deux mains. Il leva des yeux vitreux vers moi. Je le soulevais et l'emmené en courant vers l'infirmerie. Donnant un coup de pied dans la porte j'entrais en coup de vent dedans. Une infirmière se tourna vers moi :

«Ace! On t'a déjà dit de ne pas entrer comme ça!»

«Désolé, pas le temps, Marco a besoin de soin immédiatement!»

Je posais Marco sur le lit le plus proche et les infirmières se précipitèrent pour l'ausculter.

«Depuis quand est-il comme cela, demanda une des infirmière?»

«Je ne sais pas mais moins d'une demi-heure.»

«Va chercher Barbe-Blanche et dit lui que nous l'attendons avec Marco dans la salle du fond. Vite!»

Sans comprendre réellement ce qui ce passait je couru jusqu'à la cuisine où j'entrais en coup de vent. Une fois arrivé à côté de Père je lui transmit le message des infirmières. Je le vis pâlir et se lever d'un coup pour partir rapidement en direction de l'infirmerie. Je le suivis jusqu'à la porte de la salle du fond où il me demanda de rester dehors. Je crois que personne ne sais ce qu'il y a dans cette salle.

FIN POV Ace

POV Barbe-Blanche

Marco était attaché sur une table en pierre avec des chaînes. Les infirmières tournaient autour de lui pour vérifier les attaches alors qu'il bougeait dans tout les sens en hurlant de douleurs. Une des infirmière s'avança vers moi.

«Alors, demandais-je?»

«Ça recommence et cela a l'air plus violent que les autres fois. Je ne sais pas si nous pourrons le calmer cette fois et même si nous arrivons à la calmer c'est trop dangereux. La prochaine crise nous ne pourrons rien faire du tout. Déjà que cette fois si Ace n'était intervenu cela aurai dérapé.»

«Alors il va falloir que je l'appelle, murmurais-je.»

«Vous en êtes sur?»

«Oui malheureusement.»

Je sortis de la pièce sans prêter attention à Ace qui attendais et me dirigeais directement dans ma cabine. Une fois dedans je sorti un escargophone noir et composé l'unique numéro qu'il connaissait. Immédiatement une femme répondit à l'autre bout.

«Oui?»

«Ici Barbe-Blanche, je voudrais parler à Eva.»

«Je vais vous la chercher.»

Peux de temps après une autre voix de femme parla :

«Eva, que puis-je faire pour vous Barbe-Blanche?»

«Ce que nous craignons va arriver.»

«Je vais envoyer quelqu'un sur votre bateau pour qu'il détermine la situation et les mesures qu'il faut prendre. Dite moi où vous êtes.»

«Près des Sabaody.»

«Elle arrivera demain à l'aube alors. Au revoir.»

La femme raccrocha le combiné me laissant plongé dans mes pensées.