Finalement, je craque ! Je voulais attendre un peu avant de vous mettre le début de cette fic, mais je ne pouvais pas attendre. J'espère qu'elle vous plaira.

Tout ce que vous avez à savoir sur cette fic, c'est que Barry n'est plus dans le coma, Slade est toujours en vie, et Oliver ignore ça présence à Starling.

Arrow et son univers ne m'appartient pas.

Cette fic est déjà écrite dans sa totalité et comporte 9 chapitre, je ne sais pas si je vais poster tous les jours ou pas. A vous de me le dire !

Voilà, je vous souhaite une bonne lecture !

Point de vue d'Oliver :

Une journée habituelle à Starling City. J'arrivai et vis Félicity déjà travail. Elle m'accueillit avec un grand sourire, que je lui en rendis en retour.

Bonjours, M. QUEEN

Bonjours, Mme. SMOAK, répondis-je en entrant dans mon bureau.

Ces futilités banales me paraissaient absurdes. Mais nous devions bien les maintenir, personne ne devait se douter de nos activités nocturnes et deviner notre complicité. Oui, malgré les apparences et bien que Félicity soit ma secrétaire, je suis plus complice avec elle qu'avec ma propre sœur, Théa. Assis à mon bureau en train de vaquer à mes occupations quotidiennes, tout en l'observant taper frénétiquement sur son clavier. Il y a une certaine rythmique quand elle tape un texte. C'est comme si elle instaurait sa propre musique. Enfin, bon, il fallait que je tape une lettre de réponse à Isobel pour confirmer la réunion qu'elle avait prévu la semaine prochaine pour gagner des investisseurs. Une fois tapé, je partis demander à Félicity de la transmettre à Isobel pour qu'elle l'ait dans la journée. Félicity partie sur-le-champ pour l'envoyer et je ne pu m'empêcher de jeter un coup d'œil sur son déhanché. Puis, je repartis tranquillement afin de continuer mon travail. Arrivé vers midi, je me levai et me dirigeai Félicity :

-Ais-je un rendez-vous ce midi ?

Après consultation sur son ordinateur.

-Non, aucun rendez-vous aujourd'hui, le prochain est pour cet après-midi à 14h.

-D'accord, bien Mme. SMOAK, il est l'heure de déjeuner.

Elle releva vivement la tête et me dis :

-Pardon ? Mais c'est qu'il y a comme un léger problème, voyez-vous, je ne suis pas, comme qui dirais, une sorte de milliardaire possédant une grande entreprise ou encore une prestigieuse avocate, et…

-Félicity, la coupais-je, je sais tout ça mais aujourd'hui je voudrais profiter de n'avoir aucun déjeuné d'affaire pour manger avec mon amie.

-Mais… Je suis une personne que vous avez fait passer d'informaticienne à secrétaire de PDG alors qu'elle n'a aucune formation en secrétariat. Vous ne pensez pas que ça va faire polémique dans tout Queen Consolidat et toutes les personnes qui nous verront dans tout Starling !

Je posais mes mains sur son bureau me penchais vers elle. Ma tête n'était qu'à quelques centimètres de la sienne. Je lui dis lentement :

-Une grande partie du personnel de QC pense déjà que nous formions un couple. Je peux vous dire que je m'en contre fiche de la pensée des autres. J'ai juste envie de passer un bon moment avec mon amie, c'est-à-dire toi.

Elle voulu rajouter quelque chose mais je lui coupe la parole juste avant.

-Considère cela comme un ordre de votre supérieur.

Suite à ces paroles elle hocha la tête. Je reculai et la regardai préparer ces affaires, un sourire de satisfaction sur mes lèvres. Lorsqu'elle se leva, nous partîmes ensemble. Diggle nous attendez à la sortie près à partir, il voulut ouvrir la portière, mais je l'arrêta d'un geste de la main :

-Inutile Diggle. Aujourd'hui, nous allons marcher. Dis-je

Félicity tourna la tête et fronça les sourcils d'un air interrogateur. Diggle fit la même tête, mais partit en m'informant qu'il serait devant QC à 19h. J'acquiesçai et me tournai vers Félicity.

-Le restaurant est juste de l'autre côté de la rue.

Félicity tourna la tête vers le restaurant et écarquilla les yeux. Devant elle, se trouvait le « King and Queen », à mon sens, c'est la plus prestigieux restaurant de tout Starling city.

-Je n'aurais jamais les moyens de vous payer ma part, fit-elle

-Il ne manquerai plus que je te demande de payer ta part, alors que je t'invite, fis-je en la regardant et souriant, je passai mon bras sous le sien et continua, détend-toi Félicity et dorénavant hors du travail, se sera « Oliver » et tu me tutoieras. Bien maintenant, allons manger.

Je vis Félicity rougir légèrement et se tortilla une fois dans le restaurant. Une fois dedans il n'y avait plus de place.

-C'est dommage, s'empressa-t-elle de dire, on va devoir partir.

Elle commença à partir. Je la retins par le bras et la tira vers moi. Elle se retrouva contre moi, son visage à quelques centimètres du mien je la regardai droit dans les yeux et ne su quoi faire sur le moment. J'avais juste à fixer ces yeux d'un bleu océan splendide. Je fus plongé dans ces yeux et elle dans les miens pendant de longues minutes. Puis, je m'éloignai d'elle, mais je l'entraina vers le comptoir et dis :

-Oliver Queen, j'ai réservé une table pour aujourd'hui.

Point de vue de Félicity :

La journée avait si bien commencée. Je me réveille, je me prépare, je vais au travail. Je m'installe, je commence à faire ce pourquoi on me paie. Quand Oliver arriva, je jouai la bonne secrétaire en saluant respectueusement mon patron. Je fais mon travail, j'envoie une lettre demandé par Oliver, à Isobel. Ah cette garce, qui n'a qu'une idée en tête prendre le contrôle de QC et de renvoyer la famille Queen dormir chez eux. Mais j'en fais le serment, que tant que je serai là, QC appartiendra à Oliver, je veux dire . Enfin, je m'égare. « Concentre-toi Félicity ». Je disais, je fais mon travail, normal me diriez vous. Mais quand votre patron se penche vers vous aussi près qu'il le pouvait, c'est-à-dire son visage limite collé au mien. Et qui me dis « Vous venez déjeuner avec moi ». Déjà, un homme comme Oliver Queen, au charme irrésistible, s'approche de vous jusqu'à la limite la plus extrême de l'intimité, avec qui vous passez vos nuits, difficile de refuser. Passez vos nuit, ne veut pas dire les passer dans son lit, ne vous méprenez pas, jamais il n'acceptera. Je ne veux pas dire que j'aimerai. Je passe mes nuits avec lui pour sauver la ville. Vous voyez le genre ? Lui le héros costumé dans sa tenu en cuir irrésistible… Et moi l'informaticienne qui l'aide. Enfin bon, je ne pouvais refuser son offre, je dû lutter avec une envie féroce de courir à toutes jambes. Je préparais mes affaires. Devinez où il m'emmène ? Au « King and Queen », le restaurant le plus beau, où l'on mange un repas divin, mais surtout le plus romantique et chère. Comment vous auriez réagit ? Je n'ai rien trouvée de plus stupide à dire que « Je n'aurais jamais les moyens de payer ma part. ». Dire ça à Oliver Queen, le gentleman en puissance. Il me prend par le bras, déjà je devins rouge et après lorsque je vois le manque de place, je voulu partir, mais lui, il m'a attiré vers lui. Et à ce moment précis, mon corps fut collé au sien fait de muscles. Ces yeux plongeaient dans les miens. Ces yeux, ils me regardaient d'une manière que je ne serais décrire. Ce n'était pas son regard habituel, il ressemblait plus au regard qu'il lançait à Laurel. Cependant il y avait comme une légère différence. Je ne serais vous expliquer, il y avait comme une espèce de passion en plus. J'avais l'impression que ces yeux s'éclaircissaient, au fur et à mesure qu'il regardait les miens. Ces yeux étaient déjà très clairs au naturel, un gris métallique, réveillant son caractère de fer, mais dévoilant la solitude qu'il pouvait ressentir. Dans ces yeux, je vis toutes ces années qu'il a passé sur cette île. La torture qu'il a subit, les faibles moments où il été en « compagnie ». Je vis également toutes ces souffrances et toute la peine qu'il a éprouvé. Je m'y suis perdu, noyer dans cet océan sans limite. J'aurais pu les admirer des heures durant. Mais il rompit le charme, en m'entrainant vers le comptoir et disant qu'il avait réservé une table pour ce midi. Je priais pour que ce soit faux, qu'il y ait une erreur ou je ne sais quoi d'autre. N'importe quoi du moment que je ne mange pas avec Oliver. Surtout ici. Mais évidement, l'homme au comptoir confirma. Oliver m'entraina vers une table réservée exprès pour lui et…moi. Nous étions dans un coin reclus de la salle. On ne pouvait entendre ce que nous disions. J'observai les menus et ne sut quoi choisir. Je me cachai derrière la carte, pour éviter le regard d'Oliver. Si je le voyais à nouveau, je ne sais pas comment je réagirais.

Félicity ?

Je baissais ma carte pour apercevoir Oliver qui regardait, un serveur à côté de lui qui attendais ma commande

Le plat du jour. Dis-je à une vitesse impressionnante et posa fortement la carte des menu sur la table.

Le serveur partit. Oliver et moi, attendions lui sans doute très à l'aise vue sa façon de se tenir et moi qui essayais de paraître décontractée mais qui était tendu à l'extrême.

Je ne t'ais pas demandé de te détendre ? fit-il le sourire aux lèvres en se penchant vers moi.

Si, mais au cas où tu l'ais oublié, nous sommes au « King and Queen ». Un restaurant où vont toutes les personnes riches de la ville ou les personnes qui veulent demander leur copine en mariage. Autrement dis, je n'ai pas ma place ici, sur cette chaise. Alors excuse-moi de paraître tendue. Mais vois tu ce que je ressens à ce moment précis, c'est exactement la même peur que le jour où je t'es trouvé évanouis avec deux seringues dans la jambe. Quoique non, ce n'était pas la même, car rien n'est comparable à cette peur et…

Je me stoppai net. Me rendant compte de ce que je venais de dire. Oliver avait levé un sourcil, son visage exprimé plus de surprise que l'amusement de me voir débiter des phrases, tel que je venais de le faire. C'est-à-dire où je parle plus vite que je ne pense. Je me sentis affreusement honteuse sur le moment. Je fermis les yeux pour réfléchir à la façon dont je pourrais répondre. Je les rouvris au bout de quelques secondes, prête à sortir une explication, mais lorsque je le vis tout souriant, prêt à entendre mon excuse. Je perdis tout courage, je voulu parler mais ma voix se perdit avant même qu'elle ne pu sortir. Je le regardai m'observer. Il avait l'air impatient de m'entendre. Il allait être déçu car rien ne voulait sortir de ma bouche.

C'est assez surprenant d'entendre ce que tu viens de dire et je voudrai te dire …, commença-t-il, Laurel ?

Je tournis la tête et regarda dans la même direction qu'Oliver. Et je vis Laurel arrivé dans une splendide robe d'émeraude. Et se dirigea seul vers nous.