Coucou ! Alors me voici avec ma première fiction.

C'est donc un Tiva, et je ne sais pas trop combien il y aura de chapitre.

Je vous épargne le blabla du 'cette série ne m'appartient etc...' !

Et sur ce, bonne lecture ! :)

Un soir dans un bar

PDV Ziva

Seule. J'étais seule dans ce bar où chacun était accompagné. Quand je me déciderais à rentrer chez moi, je serais tout aussi seule dans ce manoir hérité de ma mère. Ma défunte mère. J'aurais pu le revendre mais il était le seul – encore ce stupide mot ! – souvenir matériel que j'avais d'elle.

Ziva: Une autre Margarita, s'il vous plait.

Alors que je fixais mon verre de nouveau rempli, un homme entra et s'assit à côté de moi. Je ne pris pas même le temps de le regarder. Á quoi bon ? Je n'avais plus aucune confiance en les hommes. Du moins je pense que c'est le pourquoi du comment de ma solitude.

?: Mettez ses verres sur ma note.

Barman: Du moment que l'on me paye le total.

Ziva: Merci.

Je n'avais pas envie de réfléchir du en quel honneur de ces gentillesses et je m'en foutais royalement. Point positif, j'économisais une liste infinie de verres.

?: Je m'appelle Anthony DiNozzo, mais juste Tony !

Ziva: Piètre façon de draguer ! Ziva David.

Tony: Des origines israéliennes ?

Ziva: Des origines italiennes ? Et bim, dans les dents !

Il rit d'un rire franc… et levant les yeux, je me mis inconsciemment à sourire. Ses yeux émeraude ! Lui aussi me regardait. Soudain il prit un air sérieux.

Tony: Si j'étais vous, je le laisserais tomber. Vous faire attendre ainsi, il ne vous mérite pas !

Ziva: Je vous demande pardon ?!

Tony: Vous avez eu le temps de prendre 7 verres et il est que 23 heures. C'est bien un homme que vous attendez ?

Ziva: Et si c'était une femme ?... Non sérieusement, je n'attends personne.

Il sourit à ma première remarque. Et ce sourire ! Ne bave pas Ziva, ne bave pas !

Tony : Ahh, je vois que vous avez beaucoup d'humour ! On devrait bien s'entendre nous deux.

Ziva: Vous êtes bien présomptueux. Qui vous dit qu'en cet instant je n'ai pas envie de vous en coller une ?

Tony: Le simple fait que vous ne soyez pas encore partie.

Nous parlâmes encore un bon moment. Anthony DiNozzo en quelques mots : cinéphile H24, coureur de jupons, et un humour… spécial !

Il ne fallait pas que je m'attache, pas avec le statut d'Officier que j'avais. Mais dès que j'aurais donné ma démission, peut être…

Ziva: Il se fait tard, je vais y aller.

Tony: Déjà ?!

Ziva: Les meilleures choses ont une fin.

Tony: Donc tu as apprécié la soirée en ma compagnie ?

En ce moment, il avait l'air d'un enfant offrant un cadeau à sa mère, ne sachant si elle allait aimer. Quelle comparaison étrange !

Ziva : Ça mon cher, tu ne le sauras pas !

Tony : Pour être honnête, j'aimerais te revoir.

Ziva : Pour être claire avec toi, je prendrais ton numéro et… on verra ensuite.

Tony : Pourquoi je ne pourrais pas prendre TON numéro ?

Ziva : Parce que je suis sure que tu vas finir par saturer ma messagerie.

Il me tendit un bout de papier avec son numéro. Je le prit et le remercia d'un léger baiser sur la joue Hé oui coco ! Tu t'attendais à ce que je me jette direct dans tes bras ? et partit sans me retourner.

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