Et encore une histoire pour ce soir c'est la dernière. Cette journée a été très prolifique en matière d'Hetalia.
Un soleil sauveur.
Allemagne regardait Italie qui courrait après un chat qu'il trouvait kawai. Il y a peu il lui aurait crié de s'entraîner au lieux de flemmarder. Depuis quand ses sentiments avaient-ils changé?
Quand il avait vu Italie pour la première fois caché dans cette boite de tomate il n'avait pu croire que ce garçons tremblant était réellement le petit-fils de l'Empire Romain. Il sentait que ce gamin tremblant n'allais que lui attirer des ennuis et il avait raison. En effet il ne savait pas se battre, fuyait dès que quelqu'un ou quelque chose de potentiellement dangereux selon lui l'approchait, se faisait capturer à la moindre occasion , tombait dans des pièges grossiers, et appelait Allemagne à tout les coup que se soit pour le sortir du pétrin ou pour attacher ses lacets.
A la fin de la première guerre mondiale il avait cru être débarrassé de lui mais lorsque WWII était arrivé Italie était revenu traînant derrière lui tout ses catastrophes. Dégoupiller une grenade avec les dents, ok, mais la garder entre les dents au lieu de la jeter ça personne ne pouvait le faire (il n'avait pas encore rencontré son frère Romano), tomber dans un piège fait de feuilles et de branche, se mettre devant un tank ennemis et attendre tranquillement...qui pouvais faire tout cela et être toujours en vie. Cela l'étonnait vraiment.
Mais au fils des jours il avait compris que la grande force d'Italie était ailleurs. Il était capable de faire des pâtes au milieu du désert, de toujours voir le bon côté des choses, de sourire en permanence et de réchauffer le cœur de tous ceux à qui il parlait. Surtout il arrivait à faire ressortir les meilleurs côtés d'Allemagne et ceux en n'importe quelle circonstance. Maintenant quand il le regardait un petit sourire naissait sur ses lèvres et une lumière s'allumait dans ses yeux.
«Doïtsu, Doïtsu! Regarde ce petit chat tout kawaï! Vee~ Pourquoi tu souris?»
«Pour rien Italie, pour rien. Mais n'était tu pas censé t'entraîner et non pas jouer avec des chats?»
«Mais il fait si beau. C'est un jour excellent pour faire des pâtes avec quelqu'un qu'on aime, sourit le petit italien.»
Disant cela il couru vers la maison d'Allemagne en le tirant par le bras. Celui-ci sourit de nouveau. Oui définitivement sa plus grande force était son insouciance et sa joie de vivre. Et il l'avait sauvé avec cette joie de vivre. Il l'avait sorti de l'ombre et l'avait ramené vers la lumière du soleil. Si Italie avait pris les armes alors peut-être ne seraient-ils pas devenu amis et rien de tout cela ne serait arrivé.
