BONJOUR. Lancez-moi des pierres, allez-y, je n'esquiverais même pas. Je sais, plus d'un mois que vous attendez le chapitre de ALCDJ VI et voilà que je me pointe de nouveau avec autre chose. Je vous fais le coup à chaque fois hein ? Pour avoir le chapitre 6, j'ai débord écrire Undercover. Et bah voilà, pour le 7, j'écris Home Sweet Home. Et comme je ne sais absolument pas faire d'OS, voici de nouveau une petite fiction.
Et en plus, comme j'ai envie d'avoir plein de reviews parce que je jalouse trop Eowin - qui ne mérite pas ses reviews parce que les UA doivent être sur FictionPress ! :D - , je la poste en plusieurs parties - bon le fait que j'ai pas terminé mais qu'après conciliabule on m'ait demandé de poster à beaucoup joué sur le fait qu'il soit en plusieurs partie, dont voici la première partie ! - donc j'ignore le nombre xD Quatre ? Cinq chapitres ? No lo se ! Tout ce que je peux vous dire, ou plutôt demander, c'est qu'il n'y ait pas de bonus parce que sinon je suis finie xD
Un merci énorme à Kitsune Aquatik qui me bêtatise encore :coeur sur ta faaaceeeuh: ainsi qu'à LittleRedRidingGraphic pour son avis et sa superbe cover :coeur:, et à Damonia Sicilia pour son avis aussi que je solicite H24, ainsi - encore- qu'au Club des Citrons Verts pour m'avoir décidé à poster :D
N'oubliez pas de passer sur mon profil pour vous tenir au courant des news et pour me suivre sur Facebook où je me plains tout le temps mais où je fais aussi des sondages auprès de mes lecteurs pour vous laissez le choix de lire ce que vous préférez :D De plus, je ne rechigne jamais à piailler sur tout et n'importe quoi, j'aime bavarder ;D
Titre : Home Sweet Home - comment traduire ? hum, bienvenue chez soi ? nan, De retour au bercail ? Peut-être, je sais pas en fait xD
Disclamer : Rien ne m'appartient, évidemment, sauf l'intrigue de dingue.
Pairing : Non, sérieux, vous savez pas ?
Rating : Non, sérieux, là non plus vous savez pas ? Allez, c'est moi quoi ! M ! Pour ce chapitre en revanche un p'tit T voire K :p
Genre : Horreur - Romantique - Humour - Mystère. Il parait d'après mes bêtas testeuses que c'est angoissant (pas dans la première partie, j'ai commencé soft xD) donc si vous êtes craintifs ne lisez pas le soir ou ne lisez pas du tout :D
Univers Alternatif : Comment ça, c'est du foutage de gueule par rapport à ce que j'ai dit plus haut ? Mais non. Bref. Talia et papa Hale sont vivants, tout comme Cora, Derek et Laura ne se sont jamais quittés, oncle Peter n'est pas non plus mort ni brûlé ni rien quoi. Les membres famille Hale ne sont pas des loups-garous. Claudia est vivante mais a divorcé de John - oui je continuerais de l'appeler John - et Stiles est parti vivre avec sa mère pendant la majeure partie de sa vie. Voilà ! Maintenant, je vous laisse lire ! :D
Ah, non, attendez ! Je dédis cet écrit à Arm des McD pour lui remonter le moral parce que je la n'aime fort :coeur:
Et aussi à LittleRedRidingGraphic parce qu'elle a rien à lire le dimanche xD
Voilà, vous pouvez lire maintenant :')
Home Sweet Home
Derek Hale, jeune businessman de vingt-huit ans, embarquait enfin dans l'avion que le ramenait dans sa ville natale pour quelques petits jours de vacances. Les hôtesses n'avaient pas été très pressées de les faire monter dans l'appareil, et il avait poireauté pendant vingt bonnes minutes avant de pouvoir grimper dans l'oiseau métallique. Quand il trouva sa place, il s'installa avec un soupir de lassitude et de fatigue. Il menait une véritable vie de dingue et ces quelques jours de vacances dans sa famille lui feraient le plus grand bien (ça ne le reposerait pas, pour sûr, avec ses deux sœurs, son oncle, et le reste de sa famille, se reposer n'était certainement pas au programme, mais ça lui ferait du bien quand même).
Les autres passagers grimpèrent un à un dans l'appareil, guidés gentiment par les hôtesses, et rejoignirent sagement leur place après avoir rangé leurs bagages à main. L'avion n'était pas très grand, seulement deux rangées de deux places. Il n'avait pas besoin d'un jet pour aller dans sa ville natale, et franchement il avait hésité à prendre une place en éco, mais s'était finalement dit que, trois heures de vol, c'était long tout de même, mieux valait les passer correctement.
L'avion était presque entièrement empli à présent et ne restait que quelques places de-ci de-là rapidement comblées. Il se demanda fugitivement s'il allait avoir le loisir d'avoir deux places pour lui, mais finalement le dernier passager monta à bord, dut se rattraper à un pan de l'avion pour ne pas tomber avant d'être dirigé vers la fin de l'appareil pour prendre place. Juste à temps. Il remonta l'allée, encore et encore, et Derek sut que l'énergumène qui venait encore de se rattraper de justesse avant de s'étaler par terre, serait son voisin pour ce vol. « Génial », pensa-t-il. Il ne lui manquait plus que ça pour terminer sa journée en beauté : un mec pas capable d'avancer sans tomber et à l'air plus gauche qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine dansant la polka. Et malheureusement, le businessman avait raison. Le jeune homme, plus jeune que lui mais sûrement de deux ou trois ans seulement, s'arrêta devant sa rangée. Et, évidemment, le siège du cadet était celui près du hublot. Autrement dit, Derek allait devoir se déplacer. Ce qu'il commença à faire – bon ça ne le dérangeait pas plus que ça non plus, bien entendu, mais il était fatigué et voulait juste rester assis.
« Vous dérangez pas m'sieur » lui lança alors le plus jeune.
Derek cligna un instant des yeux fixant le maladroit qui allait réellement essayer de passer en force sans lui laisser le temps de se lever pour faciliter l'atteinte de son but. Il était châtain foncé, les cheveux court mais pas trop, un visage souriant d'une blancheur de porcelaine parsemée de grains de beauté, dont un près de son œil droit, et un autre près de ses lèvres rosées. Ses pommettes étaient légèrement rougie par le froid qu'il faisait dehors, n'ayant pas eu le temps encore de se réchauffer. Il était toute en longueur, un corps longiligne fin qui cachait sans doute une musculature discrète.
Le brun fut arraché à sa contemplation – quoi ? non, plutôt… observation critique, oui, voilà – lorsqu'effectivement, le jeune passa, lui marchant sur les pieds, ayant failli lui tomber dessus deux fois et lui ayant écraser les doigts sur l'accoudoir. Vraiment, Derek sentait que le vol allait être long. Très long. Surtout si l'énergumène comptait aller aux toilettes pendant le vol. Alors là, ça serait le pompon du bouquet de la Garonne ! Le jeune s'excusa cinq ou six fois d'affilées dans un seul souffle avant de finalement se détendre dans son siège. Derek tourna la tête du côté de l'allée et regarda les hôtesses s'affairer avant de se positionner correctement pendant le discours du pilote. Elles montrèrent les gestes de sécurité, en parfaite synchronisation, et finalement, l'avion commença doucement à rouler en direction de la piste.
« Je trouve leurs gestes stupides » commenta le jeune près de lui en soupirant. « Dans la panique, personne ne respectera jamais les consignes. Qui va se souvenir de tout ça ? Et les parents, ils s'occuperont d'abord de leurs enfants avant de s'occuper d'eux-mêmes, pur instinct de protection paternel et maternelle. »
Derek tourna la tête vers son voisin, haussant un vague sourcil surpris. Il était la première personne que le brun rencontrait à penser comme ça. Quoiqu'il n'ait pas vraiment d'avis sur la question, il répondit un simple « Probablement », histoire d'être poli (oui, sa maman l'avait bien élevé, que croyez-vous !). Le silence se fit – silence relatif dans un avion où des gens parlent et des marmots braillent m'enfin – entre eux et Derek se perdit dans ses pensées quelques instants, jusqu'à ce que l'avion soit haut dans les airs et que le « ding » caractéristique de ce genre d'appareil retentisse, signalant qu'ils pouvaient retirer leur ceinture s'ils le souhaitaient.
« Vous allez à Los Angeles ? » demanda brusquement le jeune, le tirant de ses réflexions. « Enfin, sans indiscrétion bien sûr… »
Derek retint le rictus qui menaçait de tordre ses lèvres. Bien sûr. Néanmoins, comme ça ne lui coûtait rien de répondre et qu'il mettait un point d'honneur à respecter les valeurs que sa mère lui avait inculquées, il se tourna vers lui.
« Cet avion va-t-il autre part qu'à Los Angeles ? » fit-il sans véritablement répondre.
« Euh… Non » répliqua le jeune en se grattant la tête. « Enfin, je ne crois pas. »
Le brun haussa les sourcils d'une manière entendue.
« Dans ce cas, vous avez votre réponse » lui lança-t-il avec un léger – très léger – sourire amusé – peut-être moqueur.
Son voisin laissa simplement échapper un « Oh ! » compréhensif avant d'avoir l'air un peu vexé. Hum, susceptible avec ça ? Et bah…
« Non mais, j'voulais dire : vous allez visiter la ville ? Parce que, sincèrement, en Californie, y'a autre chose à visiter que L.A. » persista tout de même le cadet ses yeux noisettes posés sur le brun.
« Non, je suis Californien, je connais déjà la région… » répondit aimablement – si, si… avec un peu de sarcasme peut-être, mais c'était aimable – Derek.
« Ah ! Vous me rassurez alors. Je suis Californien de naissance, aussi, et je trouve vraiment dommage que les touristes ne se contentent que de visiter Los Angeles sans visiter les villes autour. Personnellement, la ville d'où je viens est adorable, vraiment ! Bon, les gens y sont un peu bizarre des fois mais sinon, elle a beaucoup de beaux bâtiments aux architectures complexes. C'est à voir ! » s'enthousiasma le jeune.
« Je veux bien vous croire » assura le brun avec un sourire poli.
Sa ville natale n'était pas digne d'intérêt, selon lui, quoiqu'elle ait deux-trois monuments sympathiques. De là à en faire le principal revenu grâce au tourisme… quand même pas. Pourtant, il ne dénigrait pas sa ville, bien au contraire, il la trouvait très bien, très belle. Simplement, il savait pertinemment qu'elle était loin des critères nécessaires pour y établir un tourisme durable et pour en faire une ville mondiale…
« Je suis impatient de retourner dans ma ville ! Je suis sûr que mon père a profité de mon départ pour recommencer à manger n'importe comment sans faire attention à son cholestérol. Ah ! les parents ! » se désespéra le cadet.
Derek ne retint pas le sourire qui étira ses lèvres, un sourire plus sincère. Finalement, son voisin était tout de même sympathique. Et ce n'était pas si désagréable que ça de discuter tranquillement, même s'il avait espéré avoir la paix pour trois heures avant de devoir affronter le capharnaüm dans lequel vivait sa famille.
Ils papotèrent donc durant le vol, parlant respectivement de leur famille – l'oncle bizarre, la grand-mère gâteuse, les sœurs démoniaques… -, de leur travail – « Sans rire, vous êtes PDG ? » « Non, pas vraiment, j'ai monté une société avec mon meilleur ami il y a quatre ans » -, et de leur loisir – bien sûr qu'être supporteur des Metz était un passe-temps super !
Finalement, l'avion finit par atterrir à Los Angeles, et Derek regrettait presque – presque, hein – de devoir descendre de l'appareil. Il était plutôt bien dans cet avion. Il dit au revoir à son voisin, et ils furent séparés par la petite foule qui se précipitait pour sortir de l'engin. Il l'aperçut une ou deux fois après pour récupérer les bagages et à la sortie de l'aéroport et ce fut tout. Sa sœur Laura se gara au dépose minutes et il grimpa dans la voiture sous les babillages enthousiastes de sa grande sœur.
« Der' ! Ça fait tellement plaisir de te voir ! Désolée, p'tit frère, mais on va pas au Manoir, Maman et Papa m'ont dit de te conduire directement chez John. Il nous a tous invité à une petite fête surprise pour son fils qui revient en ville pendant ses vacances. Je pense pas que toi et Cora vous vous en souveniez, du gamin. La dernière fois qu'on l'a vu, tu devais avoir sept ans et lui, p'tit bout, dans les quatre ans. Tu te souviens de Claudia ? L'ex-femme de John ? Elle est partie vivre ailleurs avec Stiles, le vieux Stilinski n'avait son fils que pour les vacances, quand nous on partait voir grand-mère au lac… M'enfin, depuis qu'il est majeur, le p'tiot vient le plus souvent possible à Beacon Hills pour voir son vieux père. Il est adorable. Épuisant, mais adorable, et d'une intelligence redoutablement machiavélique. »
Et sa sœur continua tout le long du trajet ainsi, ne lui laissant jamais assez de temps pour prendre la parole. En gros, elle faisait un genre de monologue, déballant ce qu'elle avait à dire sans se soucier de savoir s'il l'écoutait vraiment ou non. Laura lui avait manqué, oui, mais il saturait déjà.
La voiture de sa sœur se gara devant une maison bleue pâle où étaient déjà garées plusieurs autres voitures dont celle du Shérif.
Je sais, c'est court, mais hey, c'est une mise en bouche :D (oui j'ai aussi remarqué que la longueur de la présentation fait presque la moitié de ce post x) chuuut)
La suite, je ne sais pas pour quand elle est, peut-être dimanche prochain ? Allez savoir !
En attendant, j'attends vos commentaires avec impatience ! :D
Je vous love d'amour véritable yep yep !
Amour, Gloire et Beauté mes amours :coeur:
EK.
