Bonjour bonjour ! :]
Ma toute première fic sur ce site.
J'espère qu'elle va vous plaire :D
Je suis un peu long sur le début xD
Cette fanfiction prend en compte les 7 Tomes de J.K.R hormis la mort de Severus (Harry n'a donc pas les souvenirs) et l'attirance de Harry pour Ginny (Sans parler de l'épilogue x3, mais cela va de soit non ?).
Attention attention; il y a des scènes homosexuelles dans cette fic, aussi, je conseille à toute personne susceptible d'être choquée par de telles scènes de bien vouloir cliquer sur la petite flèche en haut à gauche ;].
Disclaimer: Les droits sont évidement à J.K. Rowling et je ne touche pas le moindre sous-sous en jouant avec les personnages. J'espère juste qu'elle pardonnera la façon dont je m'en sers u_u".
Bref bonne lecture ;]
Tout le monde veut sa part du Sevy
Chapitre 1:Le bar
La fuite était désormais le quotidien de Snape, rester caché, terré comme un rat, comme Pettigrow. Cette pensée révulsa Snape, se comparer à cette... chose lâche, lui, la personne qui devait sûrement être la moins lâche dans ce foutu monde. Il avait tué son mentor, la seule personne à lui avoir tendu la main alors qu'il sombrait petit à petit dans le chaos, les ténèbres et tout ça uniquement parce qu'il lui avait demandé, supplié. Tuer Dumbledore pour protéger l'innocence de Malfoy... Cela lui avait semblé si ridicule, enfin, ce qui l'avait surtout dérangé c'était que Dumbledore ne prenait pas en compte son âme à lui, son plus fidèle homme. Pourquoi protéger uniquement l'âme de Draco ? Et la sienne alors ? Elle était déjà déchirée, mais tout de même, il avait tant fait, il s'était tant corrompu, il ne méritait pas un peu de reconnaissance et d'attention ? Le vieux fou ne s'était même pas intéressé à son âme ou tout simplement à son avis sur la question. L'avis et l'âme d'un ancien Mangemort, le bâtard graisseux, le traitre. Comme toujours, il avait été têtu et comme toujours, il avait obtenu ce qu'il voulait. Finalement, même la personne qui avait confiance en lui ne s'occupait pas de lui. Commettre un meurtre et pas n'importe lequel. Cela lui avait fait mal de tuer le vieux, moins mal que de savoir Lily condamnée, mais il avait quand même eu mal. Forcé de jouer l'éternel traitre, l'éternel Mangemort sans âme soit disant repentit assassinant de sang-froid l'un des plus grand sorcier du monde magique, un Dumbledore désarmé l'implorant, le suppliant de l'épargner. Enfin, l'épargner, il voulait que Severus le tue, il le suppliait de le tuer, torturant l'âme du pauvre sorcier comme jamais auparavant. Il avait dû tuer son seul ami devant témoins, des Mangemorts excités, un Draco terrifié et un Potter sous sa cape d'invisibilité pétrifié par Dumbledore lui-même. Décidément, Albus aura tout dirigé jusqu'à la fin et même après, arrivant à donner des ordres à Severus depuis son portrait, l'homme avait continué de lui être fidèle malgré tout, malgré ce qu'il lui avait forcé à faire. Et maintenant, maintenant il était là, assis à ce comptoir miteux, attendant comme chaque soir le jour où Potter le trouva car il le trouvera, oh oui il le trouvera. L'ex-espion laissait des pistes au Survivant qui devait avoir une folle envie de tuer le bâtard graisseux qu'il était, Severus en était sûr et cela le soulageait, il allait enfin payer pour ses crimes, il allait enfin pouvoir se reposer, être délivré de toute cette culpabilité qui le rongeait déjà depuis bien trop longtemps, il voulait mourir, la mort, la délivrance, sa liberté...
Snape poussa un soupir. Inaudible certes, mais un soupir quand même. Rien ne transparaissait de son état. Cependant, son masque d'impassibilité, de froideur et de haine était toujours aussi stoïque, inébranlable, vide d'expression, vide de vie. Il porta son regard noir et froid sur le verre de whisky pur malt face à lui, le verre à demi plein ou à demi-vide, tout comme sa misérable existence. Sa vie qui était remplie à moitié par la culpabilité de ses actes; Lily... Et s'en était trop, trop compliqué, trop douloureux, trop difficile de vivre avec de tels sentiments, mais il le devait, c'était sa rédemption, vivre en ne connaissant pas le bonheur. L'autre moitié de sa vie, il était facile de dire qu'elle était vide, le néant. Le bonheur, il n'y avait jamais eu droit et il n'y aura jamais droit, il devait se racheter, ou du moins essayer, il ne méritait pas le pardon, personne ne voulait lui accorder, pas même lui. Se pardonner un jour ? Non, il ne pourra pas, il ne devra pas, il n'avait aucun droit de « renouer » avec le bonheur, aucun.
Nouveau soupir et cette fois, l'ex-espion se saisit du verre, laissant ses longs doigts fins, souples et blafards jouer avec le verre, les laissant glisser contre la surface lisse et froide contenant le liquide âpre... On pouvait presque le comparer à sa vie, presque, son existence froide et âpre, désagréable, irritante pour la plus part des personnes qui l'avaient côtoyé. Contrairement à ce merveilleux breuvage, personne ne le convoitait, il ne réchauffait pas le corps de ses semblables et encore moins leur cœur, personne ne le voulait et il ne voulait personne. Il était habitué de toute manière, ne pas être aimé et ne pas aimé, provoquer la peur, être terrifiant et imposer le respect par un simple regard, par sa seule présence. Il en avait l'habitude et cela lui plut finalement, sa petite tranquillité de mal aimé.
Une fois encore, Snape soupira, mais cette fois-ci, l'on pu voir le désespoir sur son visage et sentir son malheur, sa détresse. Cet infime instant qui lui paru durer une éternité, mais tout de même, pour lui l'homme placide, c'était impensable, impossible, inimaginable, déshonorant même et de surcroit dans un lieu public... Que lui arrivait-il ? Il avait toujours été maître de lui-même, il était, il avait été la terreur des cachots, encore plus redouté que le Lord Noir, le Seigneur des Ténèbres, son Seigneur... L'homme ne pu réfréner un sourire narquois, il était mort, vaincu, Potter le survivant, le si beau et fort Potter l'avait vaincu, écœurant.
Snape renifla avec dédain avant d'avaler d'une traite le whisky moldu qui trônait fièrement sur le comptoir depuis plus d'une heure. Un bar moldu, un nouveau bar moldu toutes les semaines. Il attendait son heure, il ne fuyait pas, non. L'homme n'avait pas peur d'Azkaban, il avait connu bien pire et puis, Albus n'avait sûrement pas gardé son meurtre organisé secret, il avait du le dire, à Minerva, à Potter et peut être même au ministère. Il ne risquait rien alors, sauf peut être, un ou deux sorts de la part de Potter, peut être même un endoloris ou un Avada Kedavra, il l'espérait, vraiment. En réalité s'il se cachait de la sorte depuis cinq ans c'était uniquement par peur. Snape fit une mimique dégoutée à cette idée, la peur... La peur de voir les regards changer à son égard, de se voir aimer. La peur de n'être plus redouté autant par ses élèves que par ses collègues ou même tout simplement, n'importe qu'elle personne du monde sorcier. Il avait toujours voulu de cette reconnaissance certes, mais pas aussi vite, pas comme ça, il voulait qu'on sache qu'il n'était pas un bâtard fini, mais il avait peur du changement, il avait toujours vécu dans la haine et le mépris de tous, leur rendant parfaitement bien. Toute cette reconnaissance qu'il allait sûrement recevoir quand tout le monde saura ce qu'il a fait pour Dumbledore, pour protéger Potter, le fils de Lily, Lily Evans, pas Lily Potter, non, Evans. Jamais il ne pourra avouer un jour qu'elle ne lui avait jamais appartenu, jamais. Pourtant, malgré cette soif de reconnaissance, il ne voulait pas voir sa vie changer, même si depuis ces cinq dernières années il était indéniable de dire que sa vie aussi misérable soit elle avait changé. Il écumait les bars jours après jours, nuits après nuits, pathétique. Une épave, il n'était rien d'autre qu'une épave, lui, le bâtard graisseux n'était maintenant plus qu'un bâtard graisseux alcoolique, pitoyable.
Snape leva la main pour que le barman lui apporte un autre verre de ce fameux whisky moldu ou lui remplisse le sien, peu importe. Severus s'en moquait de ce qu'on pouvait penser de lui, il voulait juste boire. Boire jusqu'à point d'heure, boire jusqu'à en oublier son nom, boire jusqu'au coma et avec un peu de chance, en oublier tous ses tourments. Alors, il pourrait à nouveau sentir cette douce chaleur dans sa bouche, dans son œsophage, dans ses entrailles et dans son cœur, cette chaleur qui lui avait toujours manquée, la chaleur de l'amour. Nouveau rictus du maître des potions. Depuis quand avait-il se genre de sentiments ridicules dignes d'une petite Poufsouffle de première année ? L'alcool était la seule chose en ce bas monde qui pouvait lui faire ressentir cela, personne ne l'avait aimé et personne ne l'aimera, c'était sans équivoque, c'était le béa-ba de sa vie, être mal aimé, tout simplement rejeté. Lily Evans, le petit rayon de soleil dans ses ténèbres, avec elle à ses côtés, il arrivait à être moins acerbe et presque poli, presque. Mais maintenant Lily n'était plus, il était de nouveau dans le noir. Vingt-deux ans, vingt-deux longues années s'étaient écoulées et pourtant, il avait l'impression d'avoir plus de cent ans, le poids de sa culpabilité et de sa peine sûrement, il semblait vieux, miteux, comme ce bar. Vingt-deux ans qu'il l'avait perdue. Snape rigola intérieurement, c'était un rire froid, il n'était pas joyeux, il était désespéré. Quand Lily lui avait-il appartenu une journée ? L'avait-il au moins possédé un jour ? Ou même quelques minutes ? Quelques infimes secondes ? Non, en définitive, elle avait toujours appartenu à Potter, à cet infâme Potter, ce Griffondor vaniteux, méprisable et surtout aimé. Severus l'avait haï comme jamais personne n'avait haï auparavant et même après la mort de ce petit prétentieux, il avait continué de le haïr car c'était son rôle de protéger Lily et ce petit Griffon ne l'avait pas fait. Elle était morte.
Severus leva les yeux qu'il avait baissés sans s'en rendre compte et constata que son verre était plein. L'ancien maître des potions fut déstabilisé un instant de ne pas avoir remarqué le barman remplir son verre, mais après une courte réflexion, il décida de n'y prêter aucune intention, il allait juste se rendre soûl. A nouveau, Snape vida son verre d'une traite. Etait-il si évident qu'il avait l'intention de quitter les lieux en ne sachant ni où il habite et encore moins qu'elle est son nom ? En tout cas, le barman semblait avoir compris et semblait être tout disposé à l'aider dans ce travail fastidieux. Le barman était si dévoué que Snape voyait son verre entièrement vide uniquement pendant la période où le verre n'était pas encore posé sur le comptoir.
Alors que Snape était profondément occupé à contempler une goutte de whisky sur le comptoir, une fine silhouette fit son apparition dans le bar, dévisageant chaque personne. Lorsqu'il ne lui resta à examiner que l'ancien maître des potions -qui s'était auto-exilé pendant cinq ans- lui tournant le dos. La silhouette se rapprocha lentement comme si elle s'approchait d'un dangereux hippogriffe mal luné. Le jeune homme s'assit à la droite de Snape sans pour autant que ce dernier ne se rende compte de quoi que ce soit. Il était définitivement trop soûl pour remarquer la présence du jeune homme à ses côtés qui semblait pourtant être venu pour lui.
Le jeune homme fut tout d'abord étonné voire même choqué de l'état de son ancien professeur de potions tant redouté dans cet état d'ivresse fortement avancé. L'homme qui avait été le plus grand cauchemar de ses sept années d'études à Poudlard, celui qui retirait des points sans raison valable à toutes les maisons sauf à la sienne, Serpentard. Et surtout, celui qui martyrisait les Griffondors et en particulier un, Harry, Harry Potter, le survivant, lui. Retirant des points au jeune homme pour des raisons plus farfelues, plus invraisemblables, plus rocambolesques, les unes que les autres. Cet homme que tout le monde pensait vide de sentiments humains regardait fixement une pauvre petit goutte de whisky comme si cette simple action allait lui enlever un poids, le délivrer de ses souffrances . Potter le savait, Snape souffrait et aussi étonnant que cela puisse paraître, sa tristesse et son désespoir se lisaient très clairement sur son visage, son visage enfin humain et déformé par d'horribles sentiments. Potter était choqué, atterré. Comment l'homme qui se trouvait à côté de lui pouvait-il être le même qu'il avait toujours connu ? C'était tout simplement impensable. Ce n'était pas Severus Snape, cela ne pouvait pas être lui, ça ne pouvait pas... Comment cet homme qui était affalé sur le comptoir d'une manière si pitoyable pouvait être son ancien professeur ? La personne qui l'avait protégé pendant toutes ces années avec certes, une façon particulière de veiller sur lui, mais tout de même. Comment avait-il pu en arriver là, lui, l'homme qui était passé par un chemin bien plus sombre que le commun des mortels. Un chemin si noir que personne ne pouvait lui faire confiance, personne sauf Albus Dumbeldore évidement, lui, ce grand homme avait eu une confiance aveugle en Snape de son vivant et même après sa mort. Dumbledore qui s'était porté garant de la bonne volonté de l'ex-Mangemort soit disant repenti lors du procès au Magenmagot, personne ne lui avait fait confiance hormis Lily et Albus. Aussi, quand Severus du tuer Dumbledore, même s'il n'en a jamais rien laissé paraître, cela l'avait déchiré, si déchiré qu'il en avait pleuré comme jamais il n'avait pleuré, d'abord Lily et ensuite Albus, s'en était trop. Et le résultat de cette overdose de douleur se tenait devant lui, étendu lamentablement sur la moitié du comptoir, livide, détruit: Severus Snape, le traitre qui n'en avait jamais été un. Car maintenant, Harry savait, Dumbledore lui avait tout raconté, tout, de A à Z enfin, seulement le passage du meurtre prémédité, mais s'en était déjà assez pour innocenté l'exilé, il pourrait revenir sans rien craindre en retour, il pouvait revenir à Poudlard terrifier les élèves et faire trembler ses collègues. Potter était bien décidé à le ramener, il lui devait bien ça et même s'ils ne s'aimaient pas, leur haine cordiale était leur quotidien, un passe-temps comme un autre, un passe-temps qui manquait à Potter.
Harry continua d'examiner Snape sans bruit pendant un moment, toujours plongé dans la contemplation de ce qui n'était plus rien d'autre qu'une ombre de l'homme qu'il avait connu, qu'il avait tant détesté et tant méprisé. Cependant, maintenant qu'il savait une partie, une infime partie de son histoire, il ne pouvait s'empêcher de penser que l'infâme directeur des Serpentards -car il allait le redevenir, il ferrait tout pour- était en fait bien plus courageux que les trois quarts des Griffondors, bien plus courageux que lui, le survivant, le sauveur du monde sorcier et moldu. En réalité il était l'homme le plus courageux qu'il n'avait jamais rencontré et sûrement le plus courageux de tous. Harry voulait lui dire et voulait s'excuser, mais l'ancien Griffondor savait pertinemment que Snape ne voudrait pas entendre de tels mots sortir de sa bouche, il aurait sans doute un sourire narquois et reniflera dédaigneusement, comme il le faisait avant. Harry soupira intérieurement, il lui était bizarre de se dire que son professeur lui avait manqué, mais il fallait se rendre à l'évidence, il lui avait manqué.
Harry hésita, devait-il le sortir de ses pensées maintenant ou devait-il attendre que le maître des potions soit plus enclin à le suivre ? La deuxième solution le fit sourire. Jamais Snape ne sera enclin à le suivre et même si c'était pour une question de vie ou de mort. Aussi, Harry pencha pour la troisième option: attendre que Snape soit tout simplement trop ivre pour tenir sur le tabouret et le comptoir pour pouvoir le kidnapper. Bien, il n'avait plus qu'à attendre patiemment. Il l'avait poursuivit pendant cinq ans, il pouvait bien attendre encore quelques minutes. Harry sourit de nouveau, le barman venait de resservir une nouvelle fois le maître des potions et ce dernier n'arrivait pas à trouver l'entrée de sa bouche pour y verser le liquide. La bouteille était bientôt vide, il restait juste quelques larmes de whisky au fond, encore un tout petit peu et il sera parfaitement apte à être transporté.
Harry leva la main, demandant ainsi au barman de lui apporter un verre de whisky. Il avait bien le droit à un petit remontant non ? Il ne pourrait pas transplaner devant ces moldus. Ce moldu en fait, le bar était vide. Quand son verre fut rempli, le survivant s'accorda une petit gorgée et ne pu dissimuler une grimace lorsque le liquide coula en lui. C'était fort... Le breuvage lui brûla l'œsophage et le reste de son système digestif d'une manière fort agréable, lui réchauffant aussi le corps et le cœur délicatement. Cette sensation était si agréable que l'ancien Griffondor du se retenir pour ne pas vider son verre d'une traite. Harry se lança alors dans un rapide repérage des lieux pour ne plus penser à l'alcool qui lui tendait les bras. Et puis, n'avait pas encore porté trop d'importance au décor qui l'entourait tellement il avait été heureux d'avoir retrouvé Snape. Le bar n'était pas accueillant, il était crasseux et miteux il n'y avait aucun client hormis Snape et lui. Le barman nettoyait tranquillement sa vaisselle sans se rende compte que chaque coup de chiffon salissait encore plus les verres dans un état déjà bien déplorable.
Le boom caractéristique d'un corps tombant sur le sol suivit d'un grognement le fit sortirent de ses pensées. Snape venait de s'écrouler lourdement sur le sol. Harry eut un sourire triomphant, il pouvait passer à l'acte. Le jeune homme attrapa son verre, le vida cul-sec, grimaça une nouvelle fois en sentant les effets de l'alcool sur son organisme et fit claquer le verre sur le comptoir. Puis, dans un mouvement souple et assuré, il se leva et se dirigea vers un Snape inerte voulant apparemment passer la nuit ici. Il fouilla dans sa poche de pantalon, en sortit assez d'argent pour payer les deux consommations et même de permettre au propriétaire de racheter une nouvelle vaisselle. Harry jeta négligemment l'argent sur le comptoir et se pencha pour soulever le corps de Snape. Le barman compris immédiatement les intentions du jeune homme quand il le vit se pencher sur le corps, mais les petites pièces et les billets sur la tables lui firent étrangement lever les yeux dans une autre direction. Harry pouvait donc opérer tranquillement, ordonnant à Snape de s'appuyer sur son épaule pour marcher. Dumbledore allait faire une drôle de tête quand le jeune homme allait lui annoncer qu'il avait réussi à mettre la main sur Snape. Harry rigola intérieurement et poussa la porte du bar: Kidnapping réussi.
Et voilà la fin du premier chapitre.
Pourquoi ne pas mettre quelques petites reviews pour que je puisse voir si je commence bien (ou mal) ? :]
Je posterai le chapitre II dans une semaine ou deux, de quoi vous faire languir (ou pas d'ailleurs) xD
