C'est ridicule, c'est court et ça va faire baisser mon quota de mots, mais je ne pouvais juste pas m'en empêcher. Vous n'imaginez pas comme c'est dur. Essayez, juste pour le fun, décrire cent mots sans e. C'est à s'en arracher les cheveux. Mais cent mots, sans e, avec un minimum de cohérence scénaristique, c'est du suicide. Alors oui, c'est court, ridicule à en avoir honte et incohérent au possible, mais j'ai réussi.
Défi pour Loufoca-Granger, déesse qui me fit découvrir le Dramione.
Jamais plus, promis. Il dormira dans sa maison, non sans un goujat dans son jardin. Tony avait soif, l'union dans un lit l'y aidant. Un vassal, voilà son statut. Il avait mal, murmurant son choix à la nuit. Son doux amant avait choisi un compagnon inconnu. Pas lui. Un mauvais choix. Alors jamais plus.
Son ourson dans son giron, Tony cria à la mort, la mort fut sans voix. Un wagon passa, il rata son train. Hourra aux comparaisons. Tout sonnait faux dans l'amour qu'il lui avait promis. L'amour qu'il avait trahit. Un rival avait pris son amant, mais jamais plus, promis.
Un bois avait jadis vu l'amour au bas d'un tronc. Un bois qu'on consumma par la trahison d'un Loki qui rit à l'amour d'un Tony maudit. Doigt à doigt, main à main, on croit toujours à l'amour, jusqu'à la trahison. Mais jamais plus, promis.
Il vivra, sourira, crira, souffrira. Mais jamais plus la trahison, jamais plus l'amour. Promis.
