Hello la Famille!Mes personnalités et moi même sommes ravi de vous partager cette nouvelle Fan fiction!J'espère qu'elle vous plairas autant que Je t'aime Connard .Je vous préviens Elle sera beaucoup moins lemonesque (si,si ça se dit). Bonne Lecture!

Beaucoup savent de qui je parle quand je dis la fille. Vous pensez au travesti de Salut les geeks pas vrai ? He bien vous avez à moitié raison. La fille fait bien partit de ''salut les geeks'' mais ce n'est pas un travesti. Mathieu incarne son personnage. Et Mathieu est un homme (t'as trouvé ça toute seule ? SBAF !). Mais hors de salut les geeks existe une fille, une vrai. Mathieu ne pouvait pas la laisser incarner son propre personnage car, contrairement aux autre, elle avait un corps différent de celui de Mathieu. Les spectateurs auraient vu la différence et leurs existences auraient été révélés. On les aurait certainement emmenés loin de Mathieu et on aurait faits des expériences sur eux. Ce n'était pas envisageable pour Mathieu. Ils les aimaient comme ses frères et sœur.

Un cri sur aigu se fit entendre dans la maison nantaise. Les réactions furent diverses et varié ça allait du Geek qui se cachait sous sa couette à Mathieu qui sursautas violemment, du Hippie qui s'écria ''Rhubarbe !'' au Patron qui se précipita vers l'origine du cri. L'homme en noir se dirigeas immédiatement vers la chambre de la fille mais celle-ci sortit en trombe juste avant qu'il ne toque manquant de peu de lui casser le nez à grand coup de porte. Usant de sa rapidité il la retint par le bras. Elle tenta de se dégager sans un regard pour lui.

-Gamine ?! Tu m'explique pourquoi tu réveil toute la baraque ?!

-Lâche-moi.

Sa voix était froide et…apeuré ?

-Gamine ?

Son ton s'était fait moins menaçant.

-Lâche-moi !

Il y'avait tellement de désespoir dans sa voix que le patron doucement relâchas la pression que ses doigts exerçaient sur le fin poignet de la demoiselle. La blonde se retournas un bref instant avant de s'enfuir sans demander son reste. Un bref instant, certes, mais…

Assez long pour qu'un bref instant il aperçoive son visage,

assez long pour que leurs regards se croisent,

assez long pour qu'il lise dans le siens toute la peur et toutes les questions qu'elle se posais,

assez long pour qu'il comprenne qu'il ne pouvait qu'être impliqué,

assez long pour qu'il décide de ne pas la retenir,

assez long pour qu'il s'en veuille sans même savoir ce qu'il avait fait ni même s'il avait seulement fait quelque chose.

La féministe croisa dans sa course Mathieu qui était venu aux nouvelles.

-Eh ! La fille ?! Ce serais trop te demander d'être moins bruyante ?!

Sans lui prêter la moindre attention elle le contourna et sortit en trombe de la maison avant qu'un autre ne l'aborde. Mathieu se retourna interrogateur vers l'homme aux lunettes de soleil.

-Il s'est passé quoi ?

Effaçant aussi vite qu'elle était apparue cette expression coupable de son visage le criminel feint sa nonchalance habituelle.

-Qu'est-ce que tu veux que j'en sache ?

Voyant que l'homme en noir ne comptait pas s'attarder sur le sujet le vidéaste décidas de retourner dormir (et je devrais faire pareil parce qu'au moment où j'écris ça il est 3h17 du matin). Le pervers quant à lui s'alluma une clope pour se calmer, prit sa veste et quitta la maison lui aussi pour rejoindre un de ses bordèles. Certes il était 6 heure du matin mais impossible de dormir après avoir ''subit'' un regard d'un tel intensité. Plus tard il était revenu et était resté assis sur son lit la tête entre les mains. Sans réfléchir ni même penser. Juste être là. Il sorti de sa transe lorsque la porte d'entrée claqua violemment. Il était 8 heure du matin. Des pas précipité dans l'escalier, un nouveau claquement de porte. Elle est dans la salle de bain. Que fait-elle ? Il ne faut pas qu'il aille voir, il le sait, il le sent. Il faut qu'elle soit seule. Elle finit par sortir à l'heure de manger. Il était là lui aussi et pas un seul instant leur regards ne se croisèrent. La tension était plus qu'évidente. Jamais plus qu'en cet instant elle n'avait voulu qu'il la prenne dans ses bras, qu'il lui dise que tout ira bien. Mais le Patron ne s'approchera pas d'elle. Pas tant qu'il sentira cette peur ? Haine ? à son égard.

Pourquoi me déteste-tu ?

Parce que j'ai peurs.

De moi ?

De nous.

Le suspense est à son comble!(bah non le résumé dit tout!-Chuuuuuuuuuuuuuuuuuuut!).Review?