Salut !!!!! Bon, je sais, ça fait des lustres que j'ai fait cette fic et c'est pour ça qu'en raison des vacances et de ma grande capacité à rester plantée devant un ordi de 6 heures à 2 heures du mat' je vais re-poster les chapitres, relookés, c'est-à-dire plus longs, mieux écrit et surtout… Pas rien d'autres, j'suis pas une machine non-plus !!!! lol.
Roulement de tambour : TATATATATATATATATATATATATATATATATATA…
Je dédie ce chapitre et tous les autres… bah déjà à ceux qui avaient reviewer la dernière fois mais surtout… à Vif d'or qui ne l'a pas oublié même si moi si .
Voici le premier chap.
Bonne lecture !
Chapitre 1 : A quoi je sers ?
Mais mon dieu, de quoi j'ai l'air ?
Je sers à rien du tout !
Et qui peut dire dans cet enfer ce qu'on attend de nous ?
J'avoue ne plus savoir à quoi je sers,
Sans doute à rien du tout !
A présent, je peux me taire, si tout devient dégoût !
Assis au bord d'une immense fenêtre, l'air frais lui fouettant le visage, le rougissant quelque peu, Harry regardait d'un œil vague le soleil qui se levait progressivement, commençant à éclairer d'une douce lueur orangée le dortoir endormi. Une chouette passa devant lui et s'en alla, sûrement vers le destinataire d'une quelconque lettre.
Il poussa un long soupir en tournant sa tête vers les cinq lits qui se profilaient derrière lui, dont un était fait à la perfection montrant que son propriétaire ne s'y était pas couché cette nuit. Le calme régnait et n'était troublé que par les sempiternels ronflements de Ron et de Neville.
L'astre roi se profilait déjà à l'horizon quand il décida à quitter la fenêtre qu'il n'avait pas abandonnée de la nuit. Il frissonna. Il y avait un contraste étonnant avec le froid qui régnait dehors quand la nuit commençait à peine à se lever pour faire place au soleil et la douce chaleur du dortoir qu'il partageait avec les mêmes personnes depuis 7 ans déjà.
« 7 ans, soupira t-il. »
Il eut un pincement au cœur et regarda une dernière fois les rideaux tirés du baldaquin de Ron d'où s'échappaient quelques petits ronflements, ceux de Seamus qui bougeait à cause de sa respiration haletante due à son récent rhume des foins, l'affiche d'une équipe de foot moldue que Dean appréciait tout particulièrement et enfin, le Rapeltout cassé de Neville qui lui avait permis d'entrer dans l'équipe de Quidditch alors qu'il n'avait que 11 ans.
Toute cette nostalgie lui donna mal au cœur. Une vague nausée l'envahi et il se précipita hors du dortoir. La nostalgie le submergeait complètement et lui faisait mal au cœur. Un horrible pincement provoquait en lui une douleur suraiguë qu'il n'arrivait pas à chasser.
Il se retrouva dans la salle commune vide et s'arrêta devant le trou qui menait au couloir et qui permettait de sortir de cette salle.
Un jour.
Un jour seulement et il quitterait Poudlard à tout jamais. Il ne reverrait plus jamais ces murs recouverts de tapisseries aux couleurs de sa maison, il n'aurait plus l'occasion de se prélasser dans les fauteuils rouges si moelleux, devant l'âtre de la cheminée brûlante, en discutant tranquillement avec Ron et Hermione. Plus jamais il ne pourra refaire les innombrables parties d'échecs auxquelles il perdait tout le temps avec Ron, plus jamais il ne pourra sentir l'adrénaline monter en terminant dix minutes avant le cours, plus souvent celui de Potions, ses devoirs, toujours avec Ron, sous les « Je vous avais dit de faire vos devoirs au lieu vous gaver de bonbons en parlant Quidditch » d'Hermione.
Il sortit et se retrouva dans le couloir vide. Il marcha sans regarder devant lui, dans le vague. Son esprit était brouillé. Plus rien n'avait de sens pour lui. Plus rien ne signifiait à ses yeux. De toute manière, plus rien ne serait comme avant car d'énormes changements avaient eu lieu et des bouleversements avaient changé tout le monde. Plus personne ne se comportait comme avant.
Le monde paraissait étranger à ses yeux.
Ou peut-être était-ce lui qui était étranger au monde ?
Il n'en savait rien.
Depuis deux ans, sa vie déjà bien remplie en événements tragiques et dramatiques avait empiré. Son sentiment de ne pas appartenir à ce monde s'était amplifié depuis la mort de Sirius. Sa mort avait ouvert en lui un fossé qui avait pu être refermé quand il avait appris qu'il avait un parrain, une personne qui le rattachait à ses parents, une personne qui comptait vraiment pour lui et qui savait l'aimer comme il pensait le mériter. Sirius avait toujours été là pour lui et maintenant… Il n'était plus.
Bien sûr, il avait appris à vivre avec. La blessure commençait à se refermer, douloureusement, lentement, mais sûrement. En pensant à Sirius, ses yeux le piquèrent mais il se retenu de pleurer.
Il descendit les escaliers toujours dans le vague. Il ne sentirait plus les odeurs si familières des couloirs, les escaliers ne lui joueraient plus de tours en se déplaçant sans prévenir. Il arriva dans un autre couloir, celui qui menait à la Grande Salle. Son pincement se fit plus violent et une boule se forma dans son estomac. Il fut prit d'une indescriptible nausée qui ne s'arrêta que quand il ouvrit la porte de la Grande Salle.
Seuls quelques élèves s'y trouvaient. Harry marcha lentement, sans s'apercevoir que les visages se tournaient à son passage en murmurant. Certains espéraient qu'il tournerait la tête et leur ferait un petit sourire, même leur dirait bonjour, mais il ne fit rien et tourna la tête vers la grande table qui surplombait la salle.
C'était la table des professeurs.
Un vieil homme s'y trouvait. Il était grand et une longue barbe scintillante le faisait paraître au moins cent fois plus vieux qu'il ne l'était déjà. Il lui sourit. C'était Albus Dumbledore, le directeur de Poudlard. Il lui fit signe de s'approcher, un grand sourire apparut sur ses lèvres minces et blanches. Harry s'exécuta et avança d'un pas lent.
Il ne voulait pas parler, il ne pouvait pas parler. Le moindre mot lui procurerait un immense sentiment de vide. Il se sentait vide et dénué de sens. Il avança vers le directeur et celui-ci lui fit un sourire des plus chaleureux qui ne réussit qu'à accentuer le sentiment de nostalgie du « Survivant »
« Bonjour Harry, dit le vieil homme. Tu as bien dormi ? »
Harry se contenta de hocher la tête pour acquiescer et reporta son attention sur ses chaussures. Dumbledore lui dit doucement, les yeux pétillants :
« Tu vas bien Harry ? Tu sembles lointain… distant, tu veux en parler ? »
Celui-Qui-Avait-Survécu hocha une fois de plus la tête mais en signe de négation et renifla. Dumbledore vit qu'il ne pourrait pas obtenir plus de sa part que des hochements de tête ou des grognements, lui dit qu'il pouvait retourner à son petit déjeuner. En partant, il lui lança un regard plein de compassion. Harry ne le remarqua pas et s'en alla en traînant des pieds. Il arriva devant son bol de porridge et déglutit difficilement en tournant sa cuillère dedans. Il eut un haut-le-cœur et se leva prestement de table.
La salle commença à se remplir quand Harry partit. Tous les élèves lui adressaient des sourires, tous plus chaleureux les uns que les autres, lui proposait de venir boire un verre avec eux. Il essaya de sourire, mais ses muscles ne répondaient pas, alors il se contentait de leur faire un bref signe de la tête ou de la main.
Depuis un mois, il était considéré comme un héros, comme celui qui avait sauvé de la destruction le monde entier. Il avait réduit à néant le mage le plus puissant de la terre, sauvé pleins de gens par la même occasion. Il n'en était pas peu fier mais regrettait. Il regrettait le combat, l'adrénaline, sentir sa baguette frémir sous ses doigts quand la haine montait en lui comme une traînée de poudre. Bien sûr, il se devait d'agir pour le bien de l'humanité… Mais il aimait le combat, il aimait le danger. A présent, il se sentait vide, extrêmement plat, sans vie. Toute son existence, il avait un but : éradiquer Voldemort de la planète. Il avait réussi et maintenant… Plus rien ! Sa vie ne lui plaisait plus ! Elle n'avait plus aucun sens. Elle était morne, monotone et grise même si les autres ne voyaient en lui que strass et paillettes. En sortant de la grande salle, Harry croisa un regard argenté.
Malefoy.
Il tenait sans cesse son bras recouvert de bandages très épais et attachés par une attelle. En voyant ça, les entrailles d'Harry s'agitèrent dangereusement. Il ferma les yeux et les rouvrit presque instantanément en soufflant. Il adressa un regard incertain à son ancien ennemi. Celui-ci s'excusa auprès de ses interlocuteurs et se dirigea vers Harry. Une étrange expression se dessinant sur son visage. Il arriva à sa hauteur et lui dit d'une voix extrêmement rauque et enrouée :
« Bonjour Harry, tu… tu vas bien ? »
Les yeux du Survivant se posèrent sur le bandage de Drago et il posa une main délicate dessus. Le blond tressaillit durement mais n'en fit rien paraître. Les yeux d'Harry se mouillèrent de larmes mais il ne pleura pas pour autant.
« Ca va ? Demanda-t-il, sa voix tremblant étrangement.
- Oui, merci, répondit Drago d'une voix anormalement douce et basse. Je… J'y vais Harry… A plus tard… Ou à tout à l'heure, peut-être, ajouta-t-il en voyant l'air blessé d'Harry.
- Ok ! »
Il s'en alla et Harry le suivit des yeux jusqu'à ce qu'il soit entré dans la Grande Salle. Ses yeux se posèrent une fois de plus sur le bras de Drago et il ne put retenir une larme. Le poids dans son ventre pesa plus lourd que jamais et il se dépêcha de monter au dortoir pour se retrouver un peu seul.
La vue de Drago lui ranima son sentiment de vide, d'impuissance.
La raison de la blessure du jeune Serpentard n'était pas anodine. Son père l'avait obligé à devenir un Mangemort. Bien sûr, il ne voulait pas s'abaisser à de tels actes mais il fut forcé car la guerre prenait de plus en plus d'ampleur. La marque aussi. N'en pouvant plus, il avait voulu ôter de sa vue cette horrible marque et s'était mutilé le bras avec autant de haine et de dégoût qu'il avait pour l'instituteur de ce sceau et tout ce qu'elle représentait. Cela faisait des mois qu'il se l'était fait, mais la Marque des Ténèbres était une source de magie tellement puissante et inconnue, que la blessure n'était même pas à la moitié de sa guérison. Elle était très douloureuse mais il avait préféré sa liberté aux institutions de son père.
Harry trouvait cet acte très courageux et plein d'espoir au moment où il a été fait mais à présent, il trouvait cela déprimant et douloureux. Il avait appris à connaître Drago et il s'était rendu compte à quel point c'était un garçon gentil et attachant quand il n'était pas avec les autres Serpentard. Maintenant, on savait qu'ils s'entendaient bien mais sans plus, alors que c'était bien plus que de la cordialité entre eux.
Tout le monde semblait être ravi de la chute de Voldemort. Tout le monde sauf lui. Ses entrailles le trahissaient de plus en plus. Il ne se sentait pas bien. Il n'était pas joyeux, il ne pouvait l'être.
Il passa devant l'infirmerie où la liste des élèves envoyés à Sainte Mangouste et leurs dates éventuelles de retour étaient affichées. Et là, se fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase. Il éclata en sanglots. Tous ces résultats n'étaient que les conséquences de ses actes. Tout ça était de sa faute ! S'il n'avait pas voulu épargner Pettigrow au cours de sa troisième année, Voldemort ne serait jamais revenu et il n'y aurait pas eu toutes ces victimes. Il n'y aurait pas eu toutes ces familles décomposées, tous ces orphelins.
Sa vue se brouilla à cause des larmes et il eut du mal à avancer correctement. Il se retrouva devant la grosse dame et prononça le mot de passe avec difficult :
« Ha… Harry Potter ! »
Elle se poussa pour le laisser passer et il s'engouffra dans la salle commune. Il maudissait chaque jour celui qui avait choisi ce mot de passe. Il percuta une grande masse informe. Une douce voix retentit à ses oreilles :
« Harry ? Qu'est-ce que tu as ? Harry… ? »
Le concerné ne répondit pas et s'effondra dans les bras de son ami en pleurs, la respiration saccadée. Ron lui tapota maladroitement la tête. Il était habitué aux sautes d'humeurs de son ami mais ne lui avait jamais demandé de lui dire la cause de ces malheurs. Il se contentait de le prendre dans ses bras et de le réconforter comme il pouvait. Harry l'en remerciait beaucoup. Il pleurait dans ses bras, sans dire un mot sur la raison de ces pleurs, juste pour qu'on le réconforte. Au bout de dix minutes, ses pleurs cessèrent et il remercia pour la 100e fois son ami pour lui avoir consacré de son temps.
« Ce n'est rien, répondit ce dernier en s'en allant. Tu veux venir, je vais rejoindre 'Mione dans la Grande Salle.
- Non, merci, répondit Harry en montant dans les dortoirs à grandes enjambées. »
Il s'enferma dans cette pièce d'habitude si mal rangée, si mal entretenue. Cette pièce qu'il n'allait plus revoir. Dire qu'il ne pourrait plus dormir dans ce lit, si douillet, et qu'il ne pourrait plus partager de franches rigolades avec ses camarades de chambre. Il s'assit sur son lit et prit un coussin entre ses mains en regardant par la fenêtre qu'il avait quittée moins d'une heure auparavant, qui laissait à présent passer un immense soleil. Il jeta un bref coup d'œil au grand parc puis à la Forêt Interdite. Même elle allait lui manquer. Il avait vécu tellement d'aventure dans cette forêt qu'il avait presque de la peine de ne plus pouvoir y remettre les pieds.
Tout allait lui manquer.
Ses yeux se voilèrent. C'était le signe chez lui qu'il pensait à quelque chose de triste, de très triste. Ses yeux verts d'habitude si pétillants, se ternissaient d'un coup. Et justement, une pensée des plus désagréables traversa son esprit.
Qu'allait-il faire après Poudlard ? Allait-il revoir Ron et Hermione ? Il s'imaginait déjà, vivant seul dans un studio miteux, pensant à toutes ces choses insupportables auxquelles il pensait depuis ce mois, loin de tous ceux qui comptaient pour lui, oubliant l'existence du petit mais néanmoins célèbre Harry Potter.
Chaque jour qui passait, il se demandait ce qu'il allait faire après Poudlard et aucune réponse ne survenait, même pas l'ombre d'un éclaircissement. Soudain, il se remit à pleurer.
Seul.
Il enfouit sa tête dans l'oreiller et qu'il tenait fermement dans ses mains comme si c'était la chose la plus précieuse qu'il possédait en ce moment, comme si ce simple oreiller allait calmer ses peurs rien qu'en le serrant contre lui. S'il avait été en vie, Sirius aurait fait la même chose, il l'aurait consolé, pris dans ses bras puissants et chaleureux. Harry aurait retrouvé le sourire car il souriait toujours en sa présence. Les yeux bleus de son parrain auraient brillé de joie en le voyant sourire et ils auraient ri, pour tout et n'importe quoi, comme d'habitude.
Mais Sirius ne n'était plus là pour calmer ses pleurs.
Il fallait qu'il s'y fasse une raison.
Une fois ses pleurs calmés, il se leva et se rendit dans la salle commune, vide car tout le monde était parti déjeuner. Il se laissa mollement tomber sur un fauteuil, un goût âpre dans la bouche. C'était le goût de la nostalgie qui le submergeait de l'intérieur et le rongeait peu à peu.
Une grande fille rousse et une brune arrivèrent du dortoir des filles. Ginny lui dit avec un grand sourire :
« Tu nous rejoins ? On va dans la Grande Salle ! »
Harry hocha la tête et Ginny vit qu'il n'allait pas bien. Elle essaya de lui remonter le moral en lui disant qu'il avait battu Voldemort mais cela ne fit qu'empirer son état. Elle fit les éloges de son courage et de sa bravoure. Il affichait un sourire gêné mais au fond de lui, chaque mot qu'elle prononçait lui faisait mal. Quand elle eut fini, il lui assura qu'il allait bien. Elle et son amie sortirent donc de la salle commune. Au moment où le portrait se referma, les larmes qu'il avait essayées de refouler sortirent d'un coup et il enfouit sa tête dans le premier coussin à sa disposition.
Il était mal.
Il en avait marre !
Marre de tout !
Marre d'être lui et pas un autre.
Avant il était célèbre pour avoir survécu, maintenant il l'était pour avoir combattu. On lui accordait de grands privilèges, on le protégeait. Mais pourquoi ? Parce qu'il avait tué Voldemort. S'il n'avait pas cette cicatrice, personne ne saurait qui il était. A cause de cette cicatrice… Cette foutue cicatrice ! Qui serait-il s'il n'avait pas eu cette horrible marque sur le front ? Personne ! Qui se soucierait autant de lui s'il n'avait pas été défiguré par Voldemort étant béb ? Qui lui ferait autant confiance, mettrait sur ses épaules un destin aussi fragile, parsemé de grandes aventures et de combats, s'il n'avait pas été un balafr ? Car c'est ce que tout le monde croyait. Ils croyaient tous qu'il allait avoir un grand avenir, devenir Ministre de la Magie un jour ou l'autre, un auror réputé partout dans le monde. Mais ils se trompaient. Tous ! Il n'était rien en fait ! Rien qu'une cicatrice derrière laquelle il se cachait pour accomplir de grandes choses.
Mais ce n'était pas lui ! Pas vraiment du moins ! Et ça, personne ne le comprenait. Personne à part une. Une qui le connaissait mieux que lui-même ne se serait jamais connu. Qui aurait pu croire que ces deux personnes pourraient autant se compléter ? Personne ! Même pas eux ! Surtout pas eux ! Mais pourtant, il avait besoin de la voir pour se sentir bien.
C'était cette personne qui avait pu lui remonter le moral durant cette triste période qu'était la guerre, la seule qui avait pu le voir tel qu'il était et non tel que les autres aimaient le voir. Il retrouva d'un coup le maigre sourire qu'il réussissait à faire apparaître de temps en temps rien qu'en pensant à cette personne. Tout comme Sirius, Ron et Hermione, elle comptait énormément pour lui. Il ne savait pas comment il avait réussi à l'approcher pour la première fois, mais le contact était tout de suite passé.
Il se souvenait parfaitement bien du jour où il avait révélé à Ron et Hermione qu'il fréquentait cette personne. Le rouquin avait faillit faire un malaise mais Hermione l'avait rattrapé avant qu'il ne touche le sol, évitant toute collision dangereuse mais l'impact de la révélation était tout aussi forte.
Il se leva et poussa du peu d'énergie qu'il lui restait le portrait de la Grosse Dame. Il marcha aussi vite qu'il pu dans les immenses couloirs. En passant devant une fenêtre, il vit du coin de l'œil le terrain de Quidditch. C'était là qu'ils s'étaient vraiment parlé pour la première fois, il s'en souvenait. Tous les bons souvenirs passés en sa compagnie lui revirent en mémoire.
C'est pour ça qu'il pressa le pas et se dirigea en direction des cachots, à la recherche de Malefoy.
A suivre…
Oui, je sais, c'est pas très relooké comme ça mais ce chapitre ne nécessitait pas de retouches particulières.
On se revoit peut-être demain ou après-demain pour le chapitre suivant, promis ! (sauf cas d'extrême urgence )
Un 'tite review pour dire ce que vous en pensez ?
Merci !
