Bonjour, bonjour, bonjour. Me v'la avec une seconde fanfiction. Oui je sais l'autre n'est pas fini , mais mon cerveau à décidé de mélanger deux histoires dans ma tête ( mouais, au total y'en à quatre mais chut )
Je vais continuer l'autre bien sur, même si pour l'instant celle là me pourri mon pauvre cerveau et veux en sortir.
C'est un peu le même genre que l'autre, mais pas la même histoire pour les deux OC.
A savoir aussi que je sais pas écrire des histoires pas triste ( au grand damne de mon éditeur ) , mais je vais essayer pour une fois, c'est un challenge pour moi. Ou pour être plus précise je vais essayer de la finir bien.
Par contre je sais pas comment je vais avancer, mouais, plein de truc à faire.
Bien sûr, One piece et tout les persos ( sauf Léna) ne m'appartiennent pas. (Sniff)
"Un homme, ça peut être détruit, mais pas vaincu." Hemingway
Chapitre 1
«Lena »
« L'appel de la mer … Me voilà assise au bord de cette falaise, à me demander ce que je fait encore ici. Plus rien ne me retiens, et pourtant, je n'ai pas encore le courage de partir. J'attends qu'ils viennent à moi, même si je sais que je n'arriverais pas à me battre seule. Le soleil est au plus bas. Le ciel est parsemé de petites étoiles, alors que la nuit n'est pas encore totalement tombée. Je lève la tête et observe les magnifiques couleurs créer par le coucher de soleil. Du rouge au bleu foncer, en passant par le orange. C'est tellement beau. L'odeur de l'eau salé monte jusqu 'à moi grâce à une petite brise fraîche. Je regarde en bas, et me sens soudainement tombée... »
Bip, Bip, Bip , Bip …. Un bruit strident me sort de mes songes. Depuis combien de temps s'immisce t'il dans mon esprit ? Un mal de tête commence à ce faire connaître, qui je le sans va vite dégénéré en migraine. J'essaie de bouger mes bras, mais impossible, ceux ci sont transpercé par quelques choses. Des aiguilles ? On dirais en tout cas. J'ai également beaucoup de mal à respirer. J'ai l'impression d'avoir un tuyau dans le nez, et également un dans la gorge. En effet, je ne peux pas bouger la mâchoire. Mais où suis-je à la fin ? Et pour couronner le tout, je n'arrive pas à ouvrir les yeux. Je ne vois rien d'autre que le noir. C'est une sensation atroce que de se retrouver sans rien voir et à éprouver quand même tout ce qui ce passe autour de soit.
J'essaie de me désarticuler le bras afin de m'enlever le caté-taire que j'ai dans le creux de mon bras, mais une main froide se pose sur la mienne.
-Pas touche ! Me dit alors une voix dénuer de toute inflexion. Je vais t'enlever le tuyau que tu à dans la gorges et celui que tu as dans le nez. Ça va faire mal.
Comme si je n'étais pas au courant … Mais je préfère avoir mal deux seconde que de devoir supporter sa plus longtemps. Je m'immobilise moi même sur le lit, et une fois la désagréable sensation disparue, je prend une grande inspiration. La personne qui m'a enlever les tuyau me met un objet cylindrique dans la main et me dit de boire. Ce que je fait, mais la personne me dit de boire moins vite. L'est jamais content lui...
-M... merci. Dis-je d'une voix rauque.
-Comment t'appelles tu ?
-Lena.
-J'aimerais bien que tu me regardes quand tu me parles miss, me dit mon interlocuteur d'une voix dur.
Pourquoi me dit il sa ? Ayant une chose sur les yeux, je ne peux rien voir. Je lui fait part de ma réflexion.
-Tu n'a rien sur les yeux, ceux ci son ouvert.
-Pourquoi je voix rien alors ?
Je n'attends pas de réponses particulière. Si mes yeux sont ouvert et que je ne voix rien, cela ne peux signifier qu'une seul chose.
-Je suis devenue aveugle …. dis-je dans un murmure, plus pour moi que pour l'autre, une larme commençant à couler le long de ma joue. .
-Reste ici et ne bouge pas pour l'instant, je viendrais te chercher . Et tu descendras à la prochaine île .
-Bien m'sieur.
-Ne m'appelle pas comme sa.
Je ne répond rien, et quelques minutes plus tard, j'entends la porte ce refermer. Je me concentre donc sur les sens qu'il me reste pour découvrir où je suis. D'abord l'odorat. Un mélange de désinfectant et de médicament. Ensuite l'ouï. Le Bip Bip de tout à l'heure continue sa torture. Sans doute un électro cardiogramme. Des bruits de goûtes qui tombes dans du liquide. Je fait vite le rapprochement avec ma perf. Sans doute des nutriments, ou bien un anti douleur. Comment savoir ?
Un hôpital ? Non, l'inconnu ma dit que je descendrais à la prochaine île, donc un bateau. Je suis sûr un bateau, et par déduction ce n'est pas un de la marine, ceux ci ne m'aurais jamais aidée. J'en déduit donc que je suis soit sur un bateau marchand, soit sur un bateau pirates. Je pense plus pour la seconde option. Mais pourquoi des pirates m' aurais aidée ?
Je me laisse dévier dans mes pensée, de toute façon je n'ai que sa à faire … Voilà que j'ai perdue la vue, comment vais-je faire pour m'en sortir maintenant ? Comment cela à pus arriver ? La dernière chose dont je me souviens, c'est que j'étais assise au bord de cette falaise, à regarder le ciel, perdue dans mon monde à moi. Cela faisais deux ans que j'étais sur cette île, inconnu de tous, seule mais libre. Que vais-je faire maintenant ? Et puis-je encore utilisé mes capacité ? Je ne sais pas, je ne sais plus rien. Je suis totalement perdue, à la merci de personnes que je ne connais pas.
Une main froide posé sur mon front me sort de mon sommeil. Mes yeux s'ouvrent automatiquement, mais je ne vois toujours rien. Ce n'étais donc pas un cauchemars. Dommage.
-Tu es réveillée ?
La même voix que toute à l'heure. Par réflexe, j'essaie de bouger mes bras et y arrive enfin. Je m'assoie avec quelques difficultés, tenant le drap autour de moi, car j'ai la désagréable impression d'être nue.
-Attends deux secondes.
Je ne bouge plus, et je sans que la personne essaie de me mettre un pull.
-Encore merci m'sieur.
-Je t'ai dit d'arrêter de m'appeler comme sa.
-Très bien inconnu.
- Trafalgar Law.
Je met quelques secondes à comprendre ce qu'il me dit. C'est donc le chirurgien de la mort. Voilà donc pourquoi il ma sauvé. Quoi que, d'après les rumeurs, il ne fait rien par bonté de cœur. Vu dans l'état dans lequel je me retrouve, j'aurais préféré qu'il n'écoute pas sa conscience de toubib.
-Pourquoi m'avoir sauvée ?
-C'est l'équipage du marchand de paille qui t'as trouvé et me l'on demander, je leurs dois bien sa.
Je me lève avec difficulté, mais ma tête tourne. Putain de vertige. Je me stabilise seule, et attends de ne plus tournée pour faire quelques pas. Mes articulations craquent, tirent et me font mal, mais sa fait du bien de pouvoir bouger.
-Je vais t'emmener à la cuisine pour que tu mange un peu, et après on aura une petite discutions.
J'entends à l'inflexion de sa voix qu'il ne me réserve rien de bien drôle.
-Bon tu viens ! Dit il avec une voix moqueuse, plusieurs pas devant moi.
Je m'aide donc de mes autres sens pour le suivre, et une fois sortie de l'infirmerie, m'appuie contre le mur et suis le bruit de ces pas. Il est sympas lui, de me laisser de me débrouillé seule …
-Laww-
Je me retourne et vois qu'elle me suis sans difficultés. Ces grands yeux vert foncer sont ouvert, et je pourrais presque croire qu'elle me regarde. Ces long cheveux violet bouclés descende le long de son dos, et sa frange lui cache une partie de ces yeux. Mon sweat lui descend jusqu'à mi cuisse. Elle est plus petite que ce que je pensais. Elle n'est pas mince, mais pas ronde non plus, elle est normalement constituer si je peux dire. Elle shoot dans je ne sais trop quoi, et alors que je m'apprête à la retenir, elle se rattrape d'elle même sur le mur. Je m'attendais à ce qu'elle me demande de l'aide pour avancer, mais rien. A croire qu'elle à toujours été aveugle. Mais je chasse aussi vite qu'elle n'est venue cette idée de ma tête, car quand elle sans est aperçu, une larme à couler le long de sa joue. Elle à l'air de s'adapter rapidement à sa nouvelle vie.
Arriver à la cuisine, j'interpelle mes subordonnées présents :
-Bepo, Shachie, Pinguin, Ban, Noé, je vous présente Léna, elle sera là jusqu'à la prochaine île. Ban, sert lui à manger s'il te plaît.
Je vois mes hommes lui sauté dessus, comme s'il n'avais jamais vu de femme de leurs vie. Alors que chacun se présente et veulent la ramener à eux, Bepo s'interpose.
-Laisser là tranquille. Désolé.
-C'est bien la première fois qu'une personne ne s'enfuie pas en courant en voyant un ours qui parle, fait remarquer Pinguin.
La malade répond alors d'une petite vois :
-Je suis aveugle.
Ils la regardes tous interloqué, et Noé dit d'une vois emplie d'amertume.
-Pourquoi avoir sauvé une handicapé capitaine ? Elle ne sert à rien.
-Noé c'est sa ? L'interpelle alors la miss. Je t'emmerde, ajoute elle avant de s'approcher de la table, tirer une chaise et s'asseoir.
-Comment oses tu femme ?
Elle ne répond rien, mais je vois que ces points se referme sur eux même, et que du sang coule de sa paume.
J'ordonne au chauve de sortir de la tout de suite, attrape la main de la demoiselle et observe les dégâts qu'elle à fait.
-C'est rien, me dit elle alors que le sang s'arrête déjà de couler. Sachie l'emmene derriere l'évier afin que ce lave la main, et lui demande des étoiles pleins les yeux.
-Comment tu as su que c'était Noé ?
-J'ai reconnu sa voix...
Ban lui apporte alors un repas, et celle ci le mange sans problème. Je ne comprends pas, comment fait elle pour donner cette impression de voir. Pourtant j'en suis sûr, elle est bien atteinte de cécité. Il faudra que je lui demande. Je l'observe manger, et une fois son assiette vide, elle demande d'une petite vois si il lui ai possible d'avoir un café . Je lui en apporte un sans un mot, et après un faible merci, elle plonge ces lèvres dans la tasse. Un sourire de bien être prend place sur son visage, une fois la première gorger avaler. Moi qui pensais que j'étais le seul à aimé le café à ce point. Sa tasse vide, je m'apprête à lui dire de venir avec moi, mais celle-ci me coupe, et murmure :
-Je vais être chiante, mais quelqu'un aurait il une cigarette, je commence à être en manque …
En effet, ces mains commencent à trembler, et je fait signe à Ban de lui en donnée une, étant le seul membre de l'équipage qui fume.
-On peux y aller maintenant ? Lui dis-je d'une voix irrité par l'impatience.
Elle se lève alors et me suis, sans mot dire.
