Cette fic a été écrite avec la collaboration de ma couz, Rachel. J't'aime Rachou !

RACHOU : Moi aussi j't'aime Ély !

Comprenons que cette fic a été écrite par nul autre que notre cher elfe Legolas et donc avec un certain excès de poésie.

DISCLAIMER : Legolas est pas à nous pis vous pouvez le garder.

FEEDBACK : Toujours appréciés !

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Les joies d'une journée Par Legolas

Comment décrire une journée ? Bien sur, dans des mots ! Mais il ne faudrait surtout pas oublier le bonheur de se lever le matin, le soleil reflétant dans notre visage toute la joie des prochaines 24 heures. Nous faisons un saut vers ce qui nous sert de salle à manger pour déguster notre habituel rôtie rehaussé de marmelade à la fraise avec, bien sur, pour se rafraîchir le palais, un grand verre de jus d'orange pressé de la main de ma tendre mère, dont je vous ferez part un peu plus tard.

Près d'un arbre, la jambe levée délicatement du sol comme un chien, je fais un long et langoureux pipi du matin qui m'emplie de satisfaction (oh ! vous ne pouvez vous imaginer !). Sentir la chaleur de ce qui émane de votre propre corps et qui a mijoté pendant une nuit presque entière est une joie absolue, qui ne se compare à rien au monde. On se coiffe, on s'habille avec une certaine brutalité qui parfois, me fais pleuré à chaudes larmes. On sent bon comme une fleur dorée par le soleil levant parmi les autres fleurs d'un champ rasé par le vent et la bouse délicate des vaches.

Nous voici fin prêt pour les péripéties de la journée. Oh ! Chère amie, vous n'avez aucunes idées comme il est bon de se sentir en vie et aimé par ses proches, lesquels nous pouvons joyeusement côtoyer toute la journée durant. On sent les feuilles des arbres et elles nous caressent le visage avec tendresse et émotions. Pendant tout cela, on dîne avec ses gens en qui nous avons porté respect depuis le début des aventures tumultueuses que nous vivons ensemble. Je parle, bien sur, d'Aragorn, rôdeur du Nord. Lui et ses vermisseaux dans sa barbe sont complètement naturel et frais. Gimli, le valeureux nain, d'une gracieuseté qui s'empare de son corps depuis le pied jusqu'au casque, sans oublier sa longue barbe rousse, scintillante au soleil, a des yeux de labrador mouillé. Comme ils sont beaux, mes valeureux compagnons, dans leurs beaux atours !

Bien sûr, lorsque nous avons tué quelques orques, la sueur perlant sur mon front dégarni, il faut que je soupe. Je rentre dans ma cavité buccale une côtelette de porc badigeonné de douce sauce aux vermisseaux, courageusement tombée de la barbe de mon cher Aragornidou. C'est ma maman, toujours cachée derrière un arbre depuis notre départ de Foncombre, qui me l'a préparée.

Puis vient l'heure de l'histoire que ma maman me raconte perchée dans son arbre pendant que je suce délicatement mon pouce. Je m'endors pour ne me réveiller que le lendemain. Alors, je sors ma main de mon pantalon, rêvant à mon premier pipi du matin.