Comme je suis en train de lire les Percy Jackson, et que je les adores, tout comme j'adore les films, je me suis dit que cela faisait longtemps…

Après la belle nuit passé ensemble, je regardais mon belle amant dormir à mes côtés, il paraissait si calme, si heureux, du bon côté, tout ce qu'il a pu faire lui semblait bien loin... Je me redressais puis me dirigea vers la salle de bain. Je me préparais à une nouvelle journée sans le voir, le peu de fois qu'on pouvait être ensemble, le temps semblait s'arrêter.

Je sentis deux bras s'enrouler autour de ma taille, je soupirais puis me tournais vers le beau blond qui se tenait devant moi.

_ Bien dormi ? Demandais-je en l'embrassant.

_ Pas assez malheureusement, je me demande pourquoi d'ailleurs...

_ C'était la seule nuit que l'on pouvait passer ensemble, Luke, tu croyais honnêtement que l'on aurait fait que parler.

_ Je sais, et j'en suis désolé ! Murmura celui-ci.

_ Tu devrais, après tout c'est de ta faute... sifflais-je.

_ Ne commence pas, Percy. Je ne peux pas changer tout ce qui s'est passé.

Je détournais le regard, puis alla dans la cuisine faire quelques pancakes.

_ Écoute, tu sais très bien que je fais de mon mieux pour arranger les choses, lança Luke en me jetant son regard de chien perdu.

_ Ça commence à me tuer... Je n'en peux plus ! Je t'aime et tu le sais...

_ Hey mon cœur, mon petit poisson, je n'aime pas te voir pleurer. Je te montre tout les jours à quel point je t'aime car c'est ma façon de faire, tout comme vivre séparément, pour le moment c'est notre façon de faire. On a pas le choix.

_ Je le sais bien... et le poisson t'emmerde.

_ Aller viens là ! Me lança l'homme de ma vie jusqu'au lit du motel.

Il commença à m'embrasser, à me déshabiller, il a raison, c'était notre seule façon de se montrer à quel point on s'aime. Plus on continua à s'embrasser, plus nos vêtements tombaient un à un. J'étais, comme toujours excité, chaque touché, chaque baiser, chaque caresse, me faisait gémir. Luke appréciait me sentir comme ça, enfin libre, que nos identités étaient laissés de côtés. À chaque gémissement, je sentais moins le demi-dieu et plus l'Homme ressortir grâce à ce beau blond que j'aimais depuis la toute première fois que je l'ai vu.

Une fois notre séance de câlins fini, j'étais dans les bras du fils d' Hermès.

_ Tu vois, Percy, ici, dans les bras de l'un et de l'autre, nous ne sommes plus que des hommes, et non des gosses de dieux. Merci à Hades de nous avoir forcer à dévoiler nos sentiments l'un pour l'autre.

_ Les dieux ont étaient utiles pour une fois, soupirais-je en baillant.

Puis je m'endormis dans ses bras, heureux...