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style="text-align: justify;"Mon nom c'est Pansy,
Pansy Parkinson et je suis une salope ! Au diable les bonnes manières, je n'ai qu'un désir et c'est d'avoir du plaisir.
Je veux qu'on me désire. Je veux sentir leurs yeux, je veux qu'ils me déshabillent du regard. Je veux qu'ils se touchent en pensant à moi, qu'ils espèrent que j'aie un regard pour eux. Je veux que l'espace d'une nuit ils se sentent comme les hommes les plus chanceux de pouvoir me faire crier, et que le lendemain ils se réveillent seuls sur le canapé. Je me fous du monde entier, jamais personne ne pourra me blesser. Je suis intouchable, une pute sans morale. Remords, quel est ce mot, comment peut-on ressentir de telles choses ? Je sais bien que les autres filles me traitent de catin, je m'en fous, elles sont seulement jalouses de ne pas avoir de baise.
Tous les serpentard y sont passés, sauf Draco. Il ne veut pas, il est comme moi et veux que je me languisse de lui. Il a bien réussi,
je le veux, plus que je n'ai jamais voulu l'admettre. Il est si beau, musclé, il est parfait. Bref, si mon orgueil ne me retenait pas, je le croquerais. En attendant, je me contente de proies de serdaigle et poufsouffle, mais aucun sang-de-bourbe. Je suis peut-être une salope, mais j'ai quand même un honneur à garder.
Ma famille a honte de ma conduite, mais c'est mon corps, ils n'ont pas le droit de décider pour moi. J'aime baiser, j'aime sentir un homme me pénétrer. J'aime cette sensation de brulure au creux de mon ventre qui me donne l'impression d'exister, de ne pas être qu'une autre sang pure dont la destinée est toute tracée. J'ai le contrôle de cet élément de ma vie, je décide qui passe dans mon lit. Peut-être que j'ai une chlamydia, le VIH ou je ne sais quoi. Je ne sais pas, je n'ai pas envie de vérifier. Madame Pomfresh me jugerait et j'en ai assez de tous ces adultes qui ne font que me regarder avec dégout. Je sais que je ne suis pas enceinte, c'est au moins ça. Une salope avec un enfant dans les bras, ce ne serait pas très beau. Et puis si je l'annonçais à une de mes conquêtes, il penserait que je le mène en bateau.
Après tout, jouer avec les gens, c'est ma spécialité. J'aime les voir me désirer, m'avoir l'espace d'une nuit puis les voir se briser à l'idée de n'être qu'un de plus dans la longue lignée des garçons avec qui j'ai couché. Et c'est vrai, je suis sale, mais je m'en fous, à croire que je n'ai aucune émotion. C'est triste, mais vrai. Tout m'indiffère et même si je refuse de l'admettre en publique, je le sais.. Je me déteste d'être ce bloc de glace que rien ne peut déranger. Je crois vraiment que j'ai un problème. Je crois même que si mes parents mourraient, cela ne me ferait rien … Qu'ai-je fait pour être ce déchet dont la seule joie est de baiser ? Ai-je un défaut de fabrication, une cellule défectueuse ? Ma mère aurait surement mieux fait de faire une fausse couche, l'usine aurait due m'envoyer à la poubelle. J'ai trois amies, Millicent, Daphnée et Tricia, mais même elles ne me comprennent pas. Nous ne faisons que jouer notre rôle de petites pestes ensemble, elles ne me connaissent pas. Elles savent seulement que je suis accro au sexe et voilà. /p
style="text-align: justify;"Mon nom c'est Pansy,
Pansy Parkinson et je suis une salope ! Au diable les bonnes manières, je n'ai qu'un désir et c'est d'avoir du plaisir.
Je veux qu'on me désire. Je veux sentir leurs yeux, je veux qu'ils me déshabillent du regard. Je veux qu'ils se touchent en pensant à moi, qu'ils espèrent que j'aie un regard pour eux. Je veux que l'espace d'une nuit ils se sentent comme les hommes les plus chanceux de pouvoir me faire crier, et que le lendemain ils se réveillent seuls sur le canapé. Je me fous du monde entier, jamais personne ne pourra me blesser. Je suis intouchable, une pute sans morale. Remords, quel est ce mot, comment peut-on ressentir de telles choses ? Je sais bien que les autres filles me traitent de catin, je m'en fous, elles sont seulement jalouses de ne pas avoir de baise.
Tous les serpentard y sont passés, sauf Draco. Il ne veut pas, il est comme moi et veux que je me languisse de lui. Il a bien réussi,
je le veux, plus que je n'ai jamais voulu l'admettre. Il est si beau, musclé, il est parfait. Bref, si mon orgueil ne me retenait pas, je le croquerais. En attendant, je me contente de proies de serdaigle et poufsouffle, mais aucun sang-de-bourbe. Je suis peut-être une salope, mais j'ai quand même un honneur à garder.
Ma famille a honte de ma conduite, mais c'est mon corps, ils n'ont pas le droit de décider pour moi. J'aime baiser, j'aime sentir un homme me pénétrer. J'aime cette sensation de brulure au creux de mon ventre qui me donne l'impression d'exister, de ne pas être qu'une autre sang pure dont la destinée est toute tracée. J'ai le contrôle de cet élément de ma vie, je décide qui passe dans mon lit. Peut-être que j'ai une chlamydia, le VIH ou je ne sais quoi. Je ne sais pas, je n'ai pas envie de vérifier. Madame Pomfresh me jugerait et j'en ai assez de tous ces adultes qui ne font que me regarder avec dégout. Je sais que je ne suis pas enceinte, c'est au moins ça. Une salope avec un enfant dans les bras, ce ne serait pas très beau. Et puis si je l'annonçais à une de mes conquêtes, il penserait que je le mène en bateau.
Après tout, jouer avec les gens, c'est ma spécialité. J'aime les voir me désirer, m'avoir l'espace d'une nuit puis les voir se briser à l'idée de n'être qu'un de plus dans la longue lignée des garçons avec qui j'ai couché. Et c'est vrai, je suis sale, mais je m'en fous, à croire que je n'ai aucune émotion. C'est triste, mais vrai. Tout m'indiffère et même si je refuse de l'admettre en publique, je le sais.. Je me déteste d'être ce bloc de glace que rien ne peut déranger. Je crois vraiment que j'ai un problème. Je crois même que si mes parents mourraient, cela ne me ferait rien … Qu'ai-je fait pour être ce déchet dont la seule joie est de baiser ? Ai-je un défaut de fabrication, une cellule défectueuse ? Ma mère aurait surement mieux fait de faire une fausse couche, l'usine aurait due m'envoyer à la poubelle. J'ai trois amies, Millicent, Daphnée et Tricia, mais même elles ne me comprennent pas. Nous ne faisons que jouer notre rôle de petites pestes ensemble, elles ne me connaissent pas. Elles savent seulement que je suis accro au sexe et voilà. /p
