Bonjour tout le monde ! Me voilà de retour avec un nouveau défi du Poney Fringant mais un peu particulier cette fois-ci.
Cet OS est donc le fruit d'un travail à quatre mains dont je n'ai écrit que la fin (à vous de trouver où s'est faite la transmission!), en espérant que mon co-auteur (dont je dévoilerai l'identité quand je la connaîtrai!) en sera satisfait! :)
Bonne lecture!
Pendant ce temps en Comté
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Gondor, Quatrième Âge.
Lors d'une fête organisée par le Roi Elessar en l'honneur des Periannath Peregrin Touque et Meriadoc Brandbouc, il fût demandé à Pippin de raconter une de ses aventures en Comté. Il se leva, et, commença à chanter :
Quand la guerre fût finit
Avec Gandalf, nous rentrâmes
En Comté, trouver nos smials.
Nous rentrions au pays.
L'auberge du Poney Fringant
Est tenue par des amis
Nous y passâmes donc la nuit
Ces gens sont si accueillants !
Nous partîmes en matinée
Chevauchant tous en chantant
La gloire des cœurs vaillants
Nous allions vers notre Comté.
Nous eûmes une mauvaise surprise
De voir notre cher pays,
Par Saroumane, gouverné
Détruite, brulée et soumise.
Nous décidâmes de tenter
Sans tarder une rébellion
Luttant contre l'usurpation
Que Saroumane a monté
Je partis chercher de l'aide
Auprès des Touques, ma famille
Qui me suivit vers la ville
Où se préparait le raid
Des mercenaires nous hélèrent
Satisfaits de leurs méfaits
Pour Saroumane, ils œuvraient
À cinquante, ils étaient fiers
Plus grand en nombre et en taille
Ils étaient sûr de gagner
Nous étions désespérés
Nous allions perdre la bataille
Nous étions en rang serrés
Mais les Hommes étant plus grands
Ils avaient déjà gagnés
Pauvre nous ! Pauvre Comté !
Pour Diamond, je me battrai
Je sortis donc mon épée
Et cria : « Pour la Comté !
Battons-nous tous pour la paix ! »
Apeurés, déterminés,
Nous nous lançâmes au combat
Quand survint on ne sait quoi
Et soudain tout fut changé.
Quel miracle nous sauvât ?
Comment survint la victoire ?
Un mystère vint en ce soir,
La forêt se réveilla.
Quoi ? Vous ne me croyez pas ?
Ce fait vous semble impossible ?
Mais les arbres sont sensibles
Et se déplacent parfois.
Tant de mois de vilenies
En notre chère Comté
Les ont fait se révolter
Et occire les bandits.
Les mercenaires, surpris,
Ne pensèrent à se défendre
Mais se laissèrent surprendre.
Ainsi tomba l'ennemi.
Pareil fait nous stupéfia,
Nous pensions avoir rêvé.
Déjà s'étaient retirés
Ceux-ci dans leur sombre bois.
Sans plus nous interroger
Nous nous portâmes au secours
Là-bas, à Hobbitebourg,
De nos camarades armés.
S'arrêtant dans son récit, Pippin s'inclina devant l'assemblée qui acclama son chant mais ne manqua cependant pas de l'assaillir de questions quant à cette mystérieuse résolution. Sûrement, il s'agissait là de quelqu'une de ses inventions ! Mais aucune réponse ne leur fut offerte et ils durent se contenter de leurs propres interrogations.