A la fin de ma fic "Pretty boy", j'ai proposé plusieurs histoires et vous avez pratiquement toutes portées votre choix sur "L'homme est une femme comme les autres". Seulement voilà, cette histoire n'est pas finie et comme je détesterais vous laisser en plan si jamais je n'arrivais plus à écrire donc je vous propose cette "chose" en attendant.

Je vous la présente, même si je me demande si elle vaut le coup...

Son titre ? Vendredi 13

Son genre ? Humour (ouais, enfin, j'ai essayé, je sais pas si ça a marché^^)

Son rating ? "K"

Son résumé ? Alors là, je crois bien que c'est la seconde fois où je ne sais pas quoi mettre comme résumé. Peut-être parce que c'est tout bonnement impossible d'en faire un avec "ça" ?

Disclaimer ? Les personnages de cette histoire ne m'appartiennent pas et je pense que si ça avait été le cas, ils m'en auraient voulu à mort de les avoir impliqués là-dedans.

Note de l'auteur : (qu'à pas envie de se faire fusiller^^) Ne cherchez pas un rapport quelconque avec le film du même nom parce que mise à part le titre justement, il n'y a absolument rien en commun !
Ah si y'en a un ! "Vendredi 13" est un film d'horreur, ma fic est une horreur !

Sur ce, je vous laisse savourer...
Si si, j'ai bien dit ça. J'me demande bien pourquoi d'ailleurs...

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Chapitre 1

Ils étaient tous à la cantine, prenant un bon moment de détente après une journée relativement calme, malgré tout. Un verre à la main, ils discutaient de choses et autres, quand Elisabeth les rejoignit.

C'était assez rare de la voir s'installer à leur table, même si ils s'entendaient tous très bien avec elle. Elle avait beau être leur amie, elle n'en était pas moins la dirigeante de la cité et gardait un peu ses distances avec eux.

Mais personne ne lui en voulait pour ça.

-Bonsoir ! Je peux ?

John posa le verre qu'il avait porté à sa bouche et retira ses pieds des barreaux de la chaise d'à côté.

-Mais oui, allez-y !

C'était bête, mais du coup, plus personne ne parlait. Pourtant ce n'était pas la première fois qu'elle venait à leur table, mais ce soir, on aurait pu croire qu'il y avait quelque chose de différent.

-J'aurais quelque chose à vous demander... Commença t-elle alors.

-On vous écoute... Dit doucement Sheppard.

-Et bien, il y a une planète d'enregistrée dans la base des anciens et j'aurai aimé que vous y alliez.

-Y'à quoi là bas ? Demanda Rodney.

Elisabeth le regarda avec un sourire. Elle était sûre qu'il allait poser la question.

-Et si je vous disais qu'il y a un E2PZ... ?

Rodney, qui était entrain d'avaler tranquillement un petit gâteau, faillit s'étouffer et Teyla lui tapota doucement le dos.

-Ça va ?

Après avoir émit un rot sonore qu'il n'avait pu retenir, il répondit, rouge de honte.

-Oui, ça va...

-Et bien, en tout cas, si ça ne se voit pas, ça s'est entendu ! S'esclaffa John.

Rodney était embarrassé. Non, pas embarrassé, TRES embarrassé. Et il remarqua qu'Elisabeth l'était aussi.

-Pourquoi j'ai l'impression que vous nous cachez une information ? Lui demanda t-il alors.

-Parce que... en fait... il n'y a pas d'E2PZ sur cette planète...

Toutes les personnes présentes autour de la table ne dirent plus rien, étonnées. Elisabeth qui leur faisait une blague ? Ouh la ! Ça promettait !

-Mais alors pourquoi vous avez dit ça ?

-Je ne sais pas, j'avais envie de détendre l'atmosphère, mais je me rends compte que je ne suis pas très douée pour ça...

-Ça, c'est le moins qu'on puisse dire ! S'exclama Rodney, bon, à part un E2PZ inexistant, qu'est-ce qu'il y a sur cette planète ?

-Je pense que vous pourriez voir si on peut en faire notre site alpha, au cas où. C'est pour ça que je vous demande d'y faire un tour...

Puis, après avoir remarqué qu'ils avaient tous l'air un peu moins loquace qu'avant son arrivé, elle se leva.

-Et bien je retourne au bureau, un truc à finir… bonsoir tout le monde !

-Bonsoir ! Répondirent-ils tous.

Une fois Elisabeth sortie de la cantine, ils se regardèrent sans rien dire.

-Super ! On a tous la pêche, ça fait plaisir à voir ! S'exclama Rodney ironiquement.

-Mais travailler dans un labo n'est pas ce qu'on peut appeler quelque chose de fatiguant... Rétorqua John.

-Et alors ?

-Rester assit le derrière sur une chaise, c'est pas très physique…

-Et alors ? Insista le scientifique.

-Nous on s'entraîne, on fait du sport, c'est peut-être pour ça qu'on n'a pas la pêche comme vous dites… Dit alors John en posant ses coudes sur la table.

-Ah d'accord ! Pourtant vous êtes plutôt content de me trouver quand il y a un problème, parce que c'est qui qu'on appelle dans ces cas là, hein ?

Il regarda la tablée, les bras croisés, attendant une réponse.

-C'est vrai que vous êtes assez doué dans votre domaine…

-Merci, c'est gentil à vous de le reconnaître... Ironisa McKay.

-Mais de rien ! Bon, on se donne rendez-vous demain, disons… à 9h00 dans la salle d'embarquement ?

-D'accord ! Dirent ensemble Teyla et Ronon.

-Ouais, ça ira… Marmonna Rodney.

-Une bonne nuit de sommeil un peu plus longue, ça ne sera pas du luxe pour une fois. Je vous laisse, je vais me coucher... Annonça John en se levant.

-Je vous suis... Grogna Ronon.

-Moi aussi ! Souffla Teyla, je suis un peu fatiguée en ce moment.

-Bon, bah j'y vais aussi…

-Rodney, vous n'êtes pas obligé d'y aller si vous ne voulez pas !

-Ouais, mais rester seul ici, ça me branche pas trop... Marmonna celui-ci en faisant la grimace.

Les lumières finirent par s'éteindre et le calme retomba. La cité s'endormit tranquillement...

oOoOo

-Bon, et bien comme d'habitude, on attend encore McKay... Soupira John.

Des bruits de pas de course, deux marches montées quatre à quatre (et oui, même quand il n'y en a que deux...) et puis...

-Je suis lààààààààà ! S'écria Rodney en s'étalant lamentablement sur le sol de la salle d'embarquement.

Mais sa glissade avait eu le mérite de lui avoir fait gagner deux mètres...

-Vous auriez peut-être dû éviter de courir... Remarqua Ronon en souriant.

-Vous pourriez m'aider au lieu de vous moquer de moi !

John s'avança et lui tendit la main.

-Merci !

-De rien... bon et bien on peut y aller maintenant, non ?

-Oui... Approuva Rodney en se massant les genoux.

-On est au complet, on y va ? Annonça Sheppard en regardant les autres.

Ils hochèrent tous la tête et grimpèrent au hangar.

-Elle s'appelle comment cette planète ? Demanda Teyla.

-P3S211. Elisabeth a raison, j'aimerai y jeter un œil pour en faire une éventuelle base de repli... Répondit John en ouvrant la porte du jumper. Allez, on y va ! Rajouta t-il après que tout le monde se soit installé.

Il posa ses mains sur les poignées de commandes et manœuvra habilement jusqu'à la salle d'embarquement.

-Tout le monde a mis sa ceinture ? Demanda t-il en se tournant vers Teyla et Ronon.

Puis il fixa Rodney.

-Vous entrez les coordonnées ?

-Oui... Répondit Rodney un brin agacé, je sais ce que je dois faire !

Les chevrons s'enclenchèrent et le vortex s'ouvrit et le jumper fila...

oOoOo

Ils passèrent sans encombre de l'autre côté et Sheppard survola un instant la planète.

-Alors ? Que vous est-il arrivé ?

-A qui ? Demanda Rodney.

-Je vous regarde, alors je m'adresse à vous ! Répondit John.

-Rien ! Pourquoi vous me demandez ça ?

-Pour le retard ! On avait dit à 9h00 et vous êtes arrivé en retard !

-Oh, à peine quelques minutes ! Vous n'allez pas m'en vouloir pour si peu !

-Non, pas du tout ! C'est juste que si vous vous étiez préparé un peu plus tôt, vous ne seriez peut-être pas tombé... Rajouta John, un brin moqueur.

-Ha ha ha !

Rodney le regarda en faisant une grimace qui voulait dire : vous, à part votre barda habituel, vous n'avez pas grand chose à préparer !

Et il tourna son fauteuil brusquement vers l'avant.

-Wouaiiiiiiie !

-Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda John en soufflant.

Il s'était déjà étalé en arrivant, qu'est-ce qu'il pouvait bien s'être fait maintenant ?

-Rien, je me suis juste mis le genou dans la barre... aiiiiie, ça fait mal !

-La barre ? Quelle barre ?

-Celle qui...

Il descendit de son siège et regarda sous la console.

-Mais qu'est-ce que ça fout là ce truc ? S'exclama t-il.

-Quel truc ?

-Il y a une espèce de barre de... de... je ne sais pas quoi qui est placée là !

-Et... ?

-Et quoi ?

-A quoi ça sert ?

-Mais j'en sais rien ! J'avais jamais remarqué avant !

Il se redressa et se rassit.

-Faudra que je regarde ça de plus près en rentrant...

-Oui, parce que là, on n'est pas vraiment venu ici pour ça...

-Je sais, n'en rajoutez pas !

Teyla et Ronon, assit derrière, se regardèrent en souriant. Pauvre McKay, la journée ne commençait pas très bien pour lui...

Le jumper fila doucement dans les airs pendant quelques minutes quand Teyla s'exclama.

-Vous avez vu ça ?

-Vous savez ce que c'est ? Demanda Ronon.

-On dirait des menhirs ! S'étonna Rodney en regardant Sheppard.

-Des quoi ?

-Des menhirs. En Europe, ils sont considérés comme les vestiges d'une civilisation très ancienne !

-Et ça sert à quoi ?

Rodney se tourna vers Ronon.

-Là, je dois dire que je n'en sais strictement rien ! Répondit-il en faisant la grimace.

Il n'aimait pas du tout ne pas avoir de réponse à une question qui lui était posée.

-On va se poser là. Il y a une petite colline pas loin, ça pourrait être utile si il y a de quoi s'abriter.

Il manœuvra l'appareil avec dextérité et se posa non loin des pierres.

-Allez, on descend ! Et Rodney, faites attention à vous, j'ai comme l'impression que ce n'est pas votre journée aujourd'hui...

-Oh, ça va aller, je vais rester à côté de vous !

-D'accord, mais n'en faites pas trop ! Répondit Sheppard en descendant doucement la rampe.

-Ça veut dire quoi cette réflexioooooooooooooonn !

John se tourna vite fait et ne put s'empêcher de sourire.

-Vous allez bien ?

-NON ! J'vais pas bien ! Si j'allais bien, je serrais debout ! Pas à quatre pattes !

-Rodney ! Vous vous êtes fait mal ? Lui demanda gentiment Teyla en s'accroupissant près de lui.

-Non, j'ai juste les genoux en morceaux. A part ça, ça va !

-Mais comment vous avez fait ? Demanda Ronon.

-J'en sais rien ! Si je l'avais su, j'l'aurais pas fait !

Il se releva péniblement en se massant les deux genoux et redressa le buste en soupirant.

-Je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui, mais je la sens mal cette journée...

-Si vous voulez rester dans le jumper, je n'y vois aucun inconvénient ! Lui dit John, compatissant.

-Vu la façon dont ça commence, je ne préfère pas rester seul...

-Ok, dans ce cas... allez, on va jeter un œil sur ces ruines !

-Pas des ruines, des menhirs !

-Ça, c'est vous qui le dites, vous n'en êtes pas sûr !

-Non, c'est vrai, mais comme ça y ressemble...

-Bon... Soupira Sheppard en regardant Teyla et Ronon, puisqu'il est blessé, on va lui donner raison, se sont des menhirs !

-C'est vrai, je n'en suis pas sûr, mais...

-Pas d'problème McKay. Vous voulez que ces trucs soient des menhirs et bien ce sont des menhirs. On avance ?

-On avance !

Et le scientifique marcha très, mais alors très lentement, en regardant bien où il mettait les pieds. Arrivé près des pierres, il posa son sac par terre et s'assit sur une petite pierre plate tout près.

-Vous voulez que je reste avec vous ? Proposa Teyla.

Rodney leva la tête vers la jeune femme et allait lui demander de ne pas se moquer de lui, quand il remarqua qu'elle avait vraiment l'air inquiet, alors il répondit gentiment.

-Merci, mais je crois que ça ira. Allez avec les autres, je vous retrouve dans deux secondes !

-Vous êtes sûr ?

-Oui. Allez, ça ira je vous dis !

-Bon, mais si jamais vous avez besoin...

-Je vous appelle ! Coupa t-il, je sais...

Elle s'éloigna alors, rejoignant Sheppard et Ronon qui s'était approché des fameux menhirs.

-C'est vraiment énorme ! S'exclama t-elle.

-Oui, on a étudié ça au collège et je me suis toujours demandé comment ils avaient réussi à les mettre debout avec juste la force de leurs bras... Rétorqua John en posant la main sur la surface rugueuse.

-Pourquoi, ils ne connaissaient pas les machines ? Demanda Ronon étonné.

Il s'était pourtant imaginé que le peuple de la planète Terre, d'où venait le militaire, avait toujours connu une technologie avancée. Il n'y avait qu'à regarder la cité d'Atlantis, c'était bien ses ancêtres qui l'avaient bâtie n'est-ce pas ?

-Non pas à cette époque. Il n'y avait pas de machine, pas d'électricité, pas d'outils... enfin si, mais pas comme ceux qu'on a maintenant... ouais, ça m'épate vraiment ce qu'ils étaient capables de faire...

-Je dois dire que moi aussi... Rajouta Rodney derrière eux.

-Ça va aller ? Demanda John en l'observant.

-Oui, j'ai un peu mal, mais je ne vais pas me plaindre toute la journée...

Si seulement ça pouvait être vrai ! Pensa John.

-Content de l'entendre ! On marche un peu ? Se contenta t-il de répondre.

Ils s'éloignèrent un peu et prirent la direction de la petite colline située non loin.

-Arrêtez ! Stoooop !

John et Ronon regardèrent derrière eux. Le militaire mit prestement sa main devant sa bouche, cachant mal un fou rire. Ronon, lui, se contenta de croiser les bras. Quant à Teyla, la pauvre, elle essayait de soutenir comme elle pouvait le scientifique.

-Mais qu'est-ce qu'il vous arrive encore ! S'exclama enfin John.

Il avait vraiment du mal à garder son sérieux.

-Un caillou !

-Oui, et alors ! Y'en a plein des cailloux ici !

-Oui, mais j'en ai un dans ma chaussure !

-Mais comment ça pourrait rentrer dedans ? Ce sont des chaussures montantes ! S'énerva John.

Rodney, sur un pied, essayait tant bien que mal de lever l'autre pour enlever la dite chaussure dans laquelle avait glissé un petit quelque chose qui lui faisait mal.

-Je sais pas ! Couina Rodney, tout ce que je sais, c'est que ça m'est rentré dans le talon !

-Et bien retirez-le !

-Et j'essaye de faire quoi, d'après vous ?

-Vous apprenez une nouvelle danse ?

-Si c'est ça, elle n'est pas terrible... Marmonna Ronon.

-Entièrement d'accord... Rajouta Sheppard.

-Vous ne pouvez pas m'aider ? Gémit Rodney. J'ai mal aux genoux et maintenant, j'ai mal aussi au pied !

-Et après, ça s'ra quoi... Marmonna John en s'avançant vers lui.

Il lui prit le bras, libérant ainsi Teyla.

-Asseyez-vous, ce sera plus facile pour l'enlever...

-Mais où ça ?

-Par terre ! Vous avez vu une chaise ici, vous ?

Rodney le regarda de travers et finit par se baisser pour finalement, se retrouver les fesses dans l'herbe.

-C'est pas vrai ! Chouina t-il après s'être appuyé par terre.

-Quoi encore... Soupira Sheppard.

Le scientifique ne répondit pas et fit une grimace en regardant sa main mouillée.

-Ne me dites pas que...

-Non, je ne vous le dis pas, alors taisez-vous... Ronchonna t-il.

Dépité, il détacha les lacets, retira la chaussure et la retourna. Mais rien n'en sortit.

-Vous êtes sûr qu'il y av...

-Oui ! Coupa Rodney, je n'ai pas inventé ça pour vous embêter !

-Mais je n'ai pas dit ça ! Rétorqua John.

Passant la main à l'intérieur, il entreprit de remettre la semelle avant de renfiler sa rangers. Puis il se leva en tirant un peu sur le tissu de son pantalon, à la hauteur des fesses.

-Ça va le pied ?

-Oui, le pied ça va !

-Et le... reste ?

-Aussi !

Et il avança en ronchonnant, laissant ses compagnons voir son postérieur qu'une superbe tache d'humidité ornait sur toute la surface de ses fesses...

-Vous ne risquerez pas d'attraper froid, il fait plutôt doux... Dit alors Teyla.

Mais il ne répondit pas, trop mortifié d'avoir à se promener avec le derrière mouillé. Comme si il avait fait dans son pantalon. Non, décidément, ce n'était pas sa journée...

Ils continuèrent de marcher, mais pas longtemps. En fait, la colline qu'ils avaient aperçue n'était pas accessible à pied. Un cours d'eau bouillonnant et assez profond leur coupait la route.

-Bon et bien tant pis... on rentre ? Demanda Rodney plein d'espoir.

-On va essayer un peu plus loin, voir si il y a un passage à guet ! Répondit John.

-Oh... bon, puisque que vous le dites...

Ils longèrent la rivière pendant un bon moment avant d'abandonner.

-Non, il n'y a pas de passage. On retourne au jumper. De toute façon, si on doit venir ici, on amènera ce qu'il faut, abri ou pas, alors... Rodney, ça va ?

-Pour l'instant, oui...

Effectivement, considérant la façon dont avait commencé la journée pour lui, ça faisait bien une heure qui ne lui était rien arrivé. Comme quoi les miracles, ça existaient quand même...

Ils retournèrent assez vite près du jumper et grimpèrent tous dedans.

-Rodney attention !

Trop tard...

-Aaaaahhh ! Nom de...*"&+$£#~¤!¡§!`

-Vous avez...

-Oui ! Encore ! S'écria Rodney.

Puis il se leva afin de détendre sa jambe et posa malencontreusement la main sur une poignée de commande qui cassa net. L'extérieur d'un jumper, très costaud, mais l'intérieur, c'était à revoir...

-Aaaaaaaaahhh !

Le scientifique secoua sa main en râlant.

-Bon sang ! Mais ça fait mal !

Il baissa les yeux et blêmit d'un coup.

-Ça va ? Demanda Sheppard.

-Je me suis coupée la main… Murmura Rodney en regardant le sang couler doucement.

-Venez là… Soupira John, je vais nettoyer ça…

John se dirigea vers l'arrière de l'appareil, sortit une trousse de premier secours et entreprit de nettoyer la plaie.

-Aiiiiiiiee ! Mais vous pouvez pas faire attention ? Couina le blessé.

-Je vous ai à peine touché !

-Peut-être, mais ça pique !

-Ça peut pas piquer, ce n'est pas de l'alcool !

-Mais ça fait mal quand même !

Le militaire inspira un grand coup pour se calmer et continua de nettoyer, puis découpa un pansement.

-Voilà, vous êtes réparé ! On peut y aller maintenant ? Demanda t-il ironiquement.

Puis il regarda la poignée cassée.

-J'espère qu'on va quand même pouvoir rentrer... Marmonna t-il.

-Les commandes sont en double, ça devrait pas poser de problème ! Grogna Rodney.

-Je vais devant, prenez ma place ! Proposa Teyla.

-Merci ! En fait, ça m'arrange un peu... Lui répondit Rodney en s'asseyant derrière.

-Tu m'étonnes ! Murmura John.

Puis, avec un sourire, il s'adressa à Teyla.

-Faites attention, un blessé, ça me suffit !

-Oui, colonel, je ferais attention, c'est promit.

-Bon, vous êtes bien installé Rodney ?

-Oui, ça va !

-Et bien on peut y aller !

Le jumper prit doucement de l'altitude et vola en direction de la porte. Teyla rentra les coordonnées, pendant que McKay poussait des petits gémissements en secouant sa main blessée.

Ils passèrent la porte et remontèrent au hangar...

oOoOo

A suivre...

oOoOo

Coucou !

Ce "truc" est un défi qui a été lancé pour 2 personnes, Rieval et moi, et on avait des mots à mettre dans une fic qui devait être écrite en 1 semaine maximum. Les mots étaient : ORDINATEUR – PLACARD – CLEF – VERRE D'EAU – CHAUSSURES.

Elle a été commencée le 1 septembre 2008 et finie le 8 septembre de la même année.

Ce n'est sûrement pas avec cette histoire que je risquerais de gagner un prix mais comme je ne voudrais pas vous laisser tomber en cours de route avec une fic qui n'est pas entièrement écrite, vous avez droit à cette "chose" en attendant "L'homme est une femme comme les autres".
Et si ça peut vous rassurer, ma fic a bien avancée et je reprends un peu le goût de l'écriture.

Maintenant, si ça vous chante, vous pouvez laisser une review. Rassurez-vous, je ne m'attends absolument pas à recevoir des commentaires élogieux. C'est pas possible avec un texte comme celui-là...

Je vous souhaite tout de même un bon lundi et passez tous une bonne semaine, moi, j'vais aller faire un gâteau au fromage blanc !

Bisous à toutes et au plaisir !

Et merci de me lire...

PS : Rassurez-vous (encore), vous n'aurez plus qu'1 chapitre à lire avant de voir le mot "fin"...