La chaleur derrière la fenêtre
Bla bla bla : Vous voyez que nous sommes sur un titre de qualité n'est ce pas ... ENFIN BREF PASSONS ! Bienvenue à tous mes petits artichauts sur cette nouvelle fanfiction dans l'univers d'HP ! Bienvenue à ceux qui ne me connaissent pas encore, rebienvenue à ceux qui me suivent depuis un bail ( car oui ça fait un bail que je ne n'ai pas posté, dans HP ou ailleurs ) et si vous avez cliqué ici par hasard, je suis ravis de vous revoir. Soyons clairs, j'ai commencé Jane The Virgin donc cet air enjoué quand je parle ici, ça vient de là. Bref passez ces mises en bouches, soyez attentifs.
Informations : Premièrement. Cette fanfiction peut servir de suite à une autre que j'ai écrite il y a environ deux ans ( et qui figure sur mon profil ) à savoir "Les choses claires". ( Franchement allez la lire elle est vachement bien ) ELLE PEUT. Ce n'est pas une obligation. Vous pouvez lire celle ci sans avoir lu la précédente. On fera un point.
Deuxièmement : Cette fiction se déroule de façon chronologique. Vous pourrez voir au début de chaque chapitre ou chaque fois que cela nécessaire une indication de temps, cad de jour, d'année et même d'heures si tout se passe comme prévu.
Troisièmement : Vous verrez que je vais parler de beaucoup, beaucoup de personnages. J'en compte déjà onze principaux ce qui est chaud. Je mettrai également en chaque début de chapitre lesquels sont présents. (enfin pour les plus importants.)
Quatrièmement : ( essayez de poser ce mot au scrabble ) Vous pouvez me contacter sur mon profil par message privé ou dans les commentaires si vous avez la moindre question, remarque, annonce, bisous, dédicace à faire passer. Je les lis tous et même je réponds alors n'hésitez point. Et puis en règle générale, laissez donc des commentaires, ça fait un bien fou à mon égo.
Disclamer : Plusieurs choses. D'abord bien sur l'univers ne m'appartient pas et les personnages non plus, je ne fais que me les approprier pour un temps. Mes sources d'inspirations sont variées, mais je ne puise pas dans les écrits d'autres pour mes chapitres. Je fais ce que je veux, en bien ou en mal et je ne garantis pas les happy endings. Mais si vous avez lu jusqu'ici, restez. On va s'marrer.
Le plus important : Amusez vous autant que moi. Sachez apprécier les personnages secondaires. Profitez. Lisez. Commentez. Posez des questions. Dormez. Recommencez. Bisous.
Prologue : 6 mai 1999
(Dernier HS et on y va : Ce chapitre se passe donc un an après la fin de la guerre comment je fais ça bien. Pour ceux qui viennent des "Choses Claires", allez donc retrouver la date vous aller comprendre. Allez on y va.)
Personnages présents : Marcus Flint, Oliver Wood.
Présence d'OC : Lou, coéquipière dans l'équipe où joue Marcus.
Prologue : 6 mai 1999
A coté de lui, Lou fixait les deux batteurs se poursuivre et elle rit en enlevant son foulard.
"Les Canons vont perdre ...
- C'est bien possible, répondit Marcus en fixant Oliver. Ca dure depuis combien de temps maintenant ?
- Trois heures dix et tu le sauras si tu regardais l'entièreté de l'équipe.
- Y a qu'un joueur qui m'intéresse.
- Et c'est reparti, revoilà la sérénade à Wood ..." râla la jeune fille.
Il y eut des exclamations dans tout le stade et dans la tribune des invités de luxe où ils étaient. Les deux attrapeurs étaient montés en flèche, chassant le Vif d'Or. Rapidement, le joueur de Flaquemare prit le dessus alors qu'Oliver bloquait un nouveau tir. Marcus applaudit.
"Tu m'énerves à te transformer en gros fanboy dès qu'il joue.
- La ferme Lou.
- Vous êtes ensemble depuis combien de temps ?
- Ca fait cinq ans aujourd'hui.
- Ah ouais ... Et toujours l'un contre l'autre ?
- On a jamais fais parti de la même équipe. Même pour l'international il joue pour l'Ecosse."
Il avait un sourire au coin des lèvres qui fit lever les yeux au ciel à son ami.
"J'comprends pourquoi ça suscite les foules ...
- C'est surtout chiant, nos cheminées sont pleines de lettres et y a des journalistes devant l'immeuble en permanence.
- Mon pauvre chéri."
Mais ses ralliements passèrent inaperçus car l'attrapeur du club de Flaquemare hurlait sa joie. Marcus se leva pour applaudir et observa les joueurs atterrir et s'applaudir les uns les autres. Dans la tribune, les invités commençaient à partir, mais Lou le retient par la manche, avec à son tour un sourire au coin des lèvres.
"Quoi ? Laisse moi passer, je dois ...
- Attends. Reste là. Deux minutes."
Agacé, il ne remarqua pas de suite qu'Oliver avait redecollé et s'était mis debout sur son balai, au milieu du stade. Il tourna la tête quand il l'entendit parler.
"Bonsoir tout le monde ! Je suis Oliver Flint, capitaine du club de Flaquemare et je vous remercie d'avoir suivi ce match !
- Qu'est ce qu'il fait ? murmura Marcus à sa coéquipière.
- Je m'excuse de vous retenir encore après ce long match. Bravo aux Canons qui se sont bien battus. Mais je dois vous dire ... en plus de notre victoire, c'est un jour assez particulier pour moi."
Lou agita sa baguette et la tribune VIP fut éclairée, portant l'attention du Marcus au premier rang. Il cessa de respirer.
"Aujourd'hui, cela fait cinq ans que je suis officiellement avec l'homme que j'aime. Et je voulais vous parler un peu de lui, même s'il est dans une équipe qui nous massacré en début de saison."
Il y eut des rires. Marcus devait se tenir à la rambarde pour ne pas fléchir. Oliver se tourna vers lui. Les écrans montraient son visage, son sourire délicieusement idiot, les rougeurs sur ses joues, ses yeux.
"Je voulais vous dire à quel point Marcus Flint est incroyablement franc, aimant et puissant. Ensemble, on en a traversé des moments difficiles. D'abord, on s'est détesté, fort, on se frappait dans les couloirs. Et après, on s'est trouvé et ... et simplement il m'a supporté. Parce que je ne suis pas facile vous savez, je suis borné, chiant, je m'énerve vite. Maris lui, il a été capable de supporter ça, de me supporter moi. Il est resté. Il est toujours là."
Lou se recula et poussa les autres présents dans la tribune à faire de même. La voix d'Oliver tremblait et Marcus se mordit la lèvre pour ne pas pleurer.
"Il m'a toujours soutenu. Honnêtement, ni moi ni lui ne serions là sans sa volonté, son ambition et il ne sait pas à quel point je l'admire pour ça. Il sait toujours ce qu'il veut et il se bat pour l'obtenir, moi y compris. Il est ... juste. Et fort. Vous savez pendant la guerre, il a juste tourné le dos à sa famille, parce qu'il a fait ce qui était bon, pour lui. Et pour moi. Pour nous deux."
Comme dans un film au ralenti, Marcus vit Oliver plonger la main dans sa poche, en sortir un écrin noir, l'ouvrir et les caméras zoomèrent pour montrer une bague brillante.
"Oh par Merlin et Salazar ... souffla-t-il.
"Alors ... toutes ces paroles pour ce résumé ... Je t'aime Marcus. Tu me rends heureux et je sais que mon avenir sera forcément avec lui. Alors ... même si tu m'en veux pour le restant des mes jours de te demander ça devant des milliers de personnes et d'écrans de télévisions ... Est ce que tu veux bien contribuer encore un peu à mon bonheur et m'épouser ?"
Marcus entendit les hurlements, les sifflets, les applaudissements, les flashs des appareils photos. Il se vit même lui même sur les écrans, car les caméras avaient ensuite zoomé sur son visage. Il se vit faire oui de la tête, plusieurs fois. Après Lou lança des éclairs de sa baguette et les applaudissements se multiplièrent. Il appris après que sa coéquipière était au courant de ce qu'allait faire Oliver et qu'elle avait été chargé de le garder dans la tribune.
Et puis après, il courait dans les escaliers et dans les couloirs. Il écartait les journalistes, les coachs, se faufilait un chemin pour accéder aux vestiaires du club de Flaquemare. Il aperçut enfin Oliver et dans un éclat de rire, se jeta sur lui pour l'embrasser. De nouveau autour d'eux, il y eut des cris. Ses mains tremblaient, l'autre souriait contre lui et ils continuaient de rire et de s'embrasser.
"T'es qu'un connard Oliver Wood ... T'es vraiment le plus gros connard de l'univers et t'as vraiment de la chance que j't'aime ...
- Je sais, je sais et je t'aime aussi. Fais voir ta main."
Marcus n'eut pas le temps de protester que l'autre avait saisit ses doigts pour y passer la bague. Il crut distinguer un diamant au centre de l'anneau d'argent. Il l'observa un instant puis releva les yeux vers Oliver, lui aussi au bord des larmes.
"Je ... je sais que je t'ai demandé de m'épouser devant un stade entier et je ne sais pas combien de gens le savent maintenant ... Mais t'as le droit de me dire non ... C'était pas un piège, une manière de te forcer ou quoi ou qu'est ce ...
- Oliver ...
- Je voulais un moment grandiose pour te rendre hommage ...
- Oliver, dit-il plus fort en serrant ses mains. Je veux me marier avec toi, je veux même qu'on porte le même nom, je veux qu'on soit ensemble toute notre vie, espèce de taré ... comment t'as cru que je pourrai dire non ?"
Son fiancé haussa les épaules avant de reprendre tendrement ses lèvres. Il lui murmura de nouveau qu'il l'aimait et Marcus caressa ses cheveux, profitant encore de ce bref moment d'accalmie avant l'immense tempête médiatique qui déjà les menaçait derrière Oliver.
Bla bla fin : Ouais si vous vous attendiez à de la gentillesse, vous êtes mal barrés. C'était le moment le plus guimauve parce qu'il fallait bien un départ. Voilà voilà voilà. Donc c'est un an après la guerre, ils sont fiancés et célèbres. Protegez vous. On démarre très vite pour la suite et le vrai début des emmerdes.
