Disclaimer : Pas à moi, snif....juste pour mon plaisir (et le vôtre ?)
Aprés avoir lu des tonnes de fics sur ces deux ptits gars (toutes celles de ce site d'ailleurs je crois....et sa en fait un paquet je peux vous le dire !) , j'me suis lancée moi aussi...Certes je n'ai pas le temps de cerains des grands nom du site, mais je fais ce que je peux, hé !
Sinon ben j'aime particuliérement celles qui traite des problémes de la DADT, malheureusement trop rares... J'aime les tortures amoureuses en fait !!! xD Bref c'était la petite explication qui ne serre peut ête pas à grand chose mais bon...
SongFic inspirée par la chanson de Phil Collins "You'll Be In My Heart"
Chapitre I
« Ne pleure plus, je suis là… »
Je chuchote ces mots à son oreille, comme un leitmotiv, espérant calmer ses sanglots incontrôlables, le serrant jusqu'à la limite de l'étouffement. Je ne sais ni pourquoi, ni comment, mais la sensation étrange d'être là où j'aurais toujours dût être m'envahit, et répand une douce chaleur en moi. Une fois encore, la mort nous à effleurer des ses longs doigts glacés, pour finalement renoncé. Mais cette fois ci fût celle de trop.
Alors que je venais prendre de ses nouvelles, je le trouvais crispé, les jointures blanches à force de serrer dans ses longues mains la rambarde de ce balcon isolé de la cité, comme s'il lui transmettait tout ce trop pleins d'émotion, emmagasiné depuis trop longtemps. Je m'approchais alors doucement, murmurant son prénom, comme pour le rassurer. Au moment où je touchais sa main, se fût le déclic, les barrages qui retenaient ses larmes finirent pas cédés, succombant aux nombreuses fissures les zébrant un peu plus chaque jour. Il s'accrochât alors à moi comme si sa vie en dépendait…et c'était le cas. Ou plutôt, il me semblât que c'était sa raison que je sauvais en l'entourant à mon tour de mes bras, comme si ce geste m'était inné.
Doucement, les minutes s'égrènent, et bientôt les sanglots se font plus rares, les tremblements moins intense. Je relève alors son visage doucement vers moi, et pose mon front contre le sien. Nous fermons les yeux, savourant ce pur moment de complicité. Combien de temps s'écoule avant que j'ouvre à nouveau les yeux ? Peu importe… Seul compte ce que me hurle ce regard ancré au mien. Et, mût par une force invisible, je me penche et capture les lèvres, comme si c'était le but ultime de ma vie. A nouveau nos regards s'effacent, pour donner le relais à nos lèvres. Un léger goût salé accompagne notre échange, vague souvenir des larmes versées.
Lorsqu'à bout de souffle nos visages se séparent à contrecœur, cette fameuse sensation étrange que je ressentais il y à quelques temps encore me dévoile enfin son nom… LUI.
« Parce que c'était lui, parce que c'était moi » (1)
Jamais philosophe n'aura si bien définis la nouvelle signification que pris le mot nous dans mon esprit.
J'entrelaçait alors nos mains, et à nouveau nos yeux se noyèrent l'un dans l'autre, l'azur et l'émeraude, réunit pour n'être qu'un.
« Plus personne ne te fera de mal, car maintenant, je suis là… »
Come stop your crying, it will be all right
Just take my hand, hold it tight
I will protect you from all around you
I will be here don't you cry…
(1) Montaigne me semble-t-il ?
