Les personnages appartiennent à la grande Stephenie Meyer.
L'histoire et son évolution sont de simple transcription de mon esprit.
Cette fic se fait à quatre mains, avec la participation d'Izinie :
qui m'aide car j'ai le syndrome de la page blanche
qui me pousse un peu, qui a de superbes idées
et qui se lance pour la première fois dans l'écriture.
Merci à elle de me prêter ses deux mains, oui oui les deux. Je suis gourmande, que voulez vous.
Nous vous proposons une nouvelle aventure et nous espérons qu'elle vous fera voyager.
Coco des iles. Celui là est pour toi. Tu comprendras.
Chapitre : L'ange du ciel.
L'hôtesse me présente mon siège. J'ouvre le compartiment et je range ma veste et mon sac dedans. Je jette un rapide coup d'œil au tour de moi. Les gens s'installent. Il y en a pour tous les gouts, des familles, des gens seuls, les déprimés, les apeurés, les excités. Bref encore un vol comme un autre.
Je m'assois et attache ma ceinture. Je branche ma musique et je ferme mes yeux tout en posant ma tête contre le hublot.
J'entends les gens autour de moi. Puis je sens une présence. Je jette un œil, homme, la trentaine, attaché case, bien bâti. Je remonte jusqu'à son visage. Il est rassuré, fait ses gestes par habitude et ne regarde pas autour. C'est un habitué des vols. Il me regarde. OMG. IL a un visage à faire pipi dans sa culotte. Restez Zen, bouddha j'en appelle à toi.
- Excusez-moi, je ne voulais pas vous déranger.
Sa voix est pleine de charme, légèrement rocailleuse.
-Ne vous excusez pas pour cela. C'est un plaisir.
Il me sourit , s'assoit et installe son pc sur la tablette.
Il l'ouvre et commence à fouiller dans ses dossiers. Je me replonge dans ma musique. Je respire lentement, son odeur envahie mes sens. Elle est épicée, charnelle mais sans en être écœurée. Un délice.
Je pense à ma mission. J'ai bien réussie mon coup. Et un de plus pour Charly. Je me repasse la scène pour le compte rendu. Oh, putain ! Encore de la paperasse. Je n'aime pas cela. Une oreille sur ma musique, l'autre pour l'environnement. Ne jamais se laisser distraire. Un coup d'œil de temps en temps pour l'entourage. Oh mais quel entourage ? Comment ne pas se laisser distraire avec un apollon a ses cotés ? Apres tout Bella, tu as bien mérité un moment de bonheur. Mais oui, regarde-le. Il est sexy, charmeur sans le vouloir. Tu sais comment faire ! Franc direct pas de promesse. Je remonte légèrement ma jupe. Il ne regarde pas. Ok plan B.
Je sais que l'hôtesse nous fait son discours sur les règles de conduites et la sécurité dans l'avion. Je le connais par cœur. Elles bougent leurs bras en mesure durant le discours tout en ayant un air stupidement ensoleillé d'un sourire pour nous vendre la manière de nous conduire à bord. Elles savent très bien quand cas de danger, ces paroles seront oubliées et que les gens crieront et courront partout. Mais elles doivent faire la danse de l'accueil avec une banane au visage. Les hommes les relookent pendant ce moment, Pathétique on se croirait devant un reemak de YMCA. Mon voisin ne daigne même pas les regarder. Ce n'est pas courant. L'avion commence son décollage. Il roule sur la piste et on sent l'avion prendre en puissance pour monter dans les nuages.
-Je peux savoir ce que vous faites ?
Je regarde le type. J'ai ma main sur sa cuisse.
-Je dois me changer les idées. J'ai une trouille bleue.
-Heureux de vous changer les idées. Me dit-il avec un sourire en coin.
Je m'approche de lui. Il me regarde intensément. Je lui prends le cou et l'approche des quelques centimètres qui nous séparent. Je l'embrasse. Après un moment d'hésitation, ses mains se font urgentes sur mon corps. J'en frissonne d'avance. Il coupe le baiser et me regarde. Je lui sourie et lui montre un préservatif.
-Viens ! Me dit-il. Je sautille d'avance.
Il se lève et se rend aux toilettes. Je le suis quelques instants après.
A peine la porte ouverte, il me plaque contre le lavabo. Il me contemple de la tête au pied. Il faut dire que ma jupe et mon corsage sont des plus tentants. Il passe sa main sur ma cuisse et remonte le long de ma jupe pour finir par effleurer mon Tonga. Je suis prête pour lui. Il grogne. Il m'embrasse avec douceur.
- Tourne-toi !
Je m'exécute. Il remonte ma jupe et me descend mon sous vêtement. Il se positionne et me pénètre doucement. Je mets ma main sur ma bouche et doucement il commence son va et vient. Il me remplit pleinement. Je vibre sous ses caresses et ses coups de bassins. Il sent que je vais venir. Il se retire. Je grogne. Il me retourne et dégrafe mon corsage et mon soutien gorge. Il prend mes seins entre ses dents et me les lèche. Il place ses doigts en moi et caresse mon clito tout en découvrant mon corps avec sa bouche et sa langue, il pompe en moi doucement et vient chatouiller mon point G. Je lui ouvre sa chemise et le caresse, passe mes ongles sur sa peau, son dos. Je descends ma main pour finir par attraper son sexe. Je le caresse. Il grogne. Il remonte ma jambe et me pénètre d'un coup tout en passant sa main sur mon cou. Ses mouvements sont forts, plus durs, plus profonds. Je me contracte autour de lui en mordant ma main pour atténuer le bruit. Il jouit en moi et m'embrasse tout en me caressant.
Une fois fini, il me regarde. Me sourit. Il enlève le préservatif et le jette dans la poubelle. Je vais pour descendre.
-Ne bouge pas.
Je le dévisage.
Une fois son pantalon en place. Il se rapproche de moi et il commence à me nettoyer. Puis il me repositionne mon Tonga, ma jupette. Il replace mon soutient gorge tout en me disant qu'il aime la lingerie fine et il ferme mon corsage, le plus doucement possible en n'oubliant pas de m'embrasser au passage. Je suis sur le cul. Il baise comme un dieu et en plus il a de l'éducation. Il ferme sa chemise et après un dernier regard dans le miroir, il m'embrasse une dernière fois avant de sortir des toilettes. Il me tient par la main et me reconduit à ma place.
-Merci pour ce merveilleux moment. Me chuchote t il lorsque je passe devant lui.
-Tout le plaisir est pour moi.
Il se rassoit alors que l'hôtesse nous dévisage. Je lui fais un clin d'œil. Elle s'empourpre.
Il reprend son pc et continue son travail.
Mon téléphone sonne. Je l'ouvre.
-Oui papa je suis bien dans l'avion. Pas de soucis. Oui ma valise est pleine de souvenirs. D'accord, ne t'énerve pas. Je sortirais dans les premières je me dépêche. Bisous papa.
Je raccroche et regarde par le hublot. Je sens son regard sur moi.
-Votre père a l'air pressé de vous revoir.
-La famille est une chose de sacré.
-Oui ,chez nous aussi.
Je le regarde.
-Quel est votre nom ?
-Edward.
-Enchanté Edward. Je m'appelle Bella.
Il m'embrasse la joue.
-Joli prénom pour un ange.
Je lui sourie.
Nous parlons durant tout le vol mais rien d'intime ou de personnel. Il est sympa en plus. Nous avons pas mal de points communs. Il me fait même rire.
L'avion amorce sa descente. Je prépare mes affaires. En partant il m'embrasse la joue, le cou, l'épaule en me disant que c'est le meilleur vol qui n'a jamais fait. Je crois même qu'il me respire.
-C'est la compagnie qui vaut cela. C'est la meilleure qui soit.
Il sourit et me laisse partir rejoindre mon papa.
Une fois mes affaires récupérées. Je suis dans le hall d'accueil.
-Bella !
Je me retourne et voit Ben me faire de grands gestes. Je m'approche de lui. Il me serre dans ses bras.
-Un homme te regarde à 11H .
-Châtain, yeux verts, la trentaine, en pantalon noir et chemise blanche ?
-Oui
-Mon voisin d'avion.
Ben me regarde et rigole.
-Tu lui as fait le coup de la pauvre petite femme en manque d'amour.
-Et il a comblé mes manques avec brio.
Il rigole encore plus fort.
Nous partons main dans la main. Je me retourne et vois mon apollon embrasser une magnifique femme et une petite fille. J'ai un pincement dans le ventre. Mais pourquoi ? Je m'attendais à quoi. Il est beau, et un boulot avec responsabilité. Normal qu'il est la vie qui va avec ! Je me concentre sur Ben.
Nous chargeons les valises dans la voiture en Direction du QG. Ben me raconte les derniers potins. Sam a encore détruit une voiture dans une course poursuite. Le chef est furieux.
-Il la lui a ramenée. Le chef lui a dit : Sam elle était neuve ! Il la regardé et lui a dit : bah elle est toujours neuve, et décapotable elle vaut bien plus. Et il l'a laissé planté. Jacob a dit que papa hurlait dans le garage.
J'imagine bien Charly poussant la chansonnette dans le garage. Et Sam partir tous fière de lui. A mon avis, il ne va pas rire longtemps Si j'ai appris quelque chose sur le chef c'est de ne pas le mettre au pied du mur ou vous allez pleurer.
-Bella, ton téléphone.
-Quoi mon téléphone ?
-Il sonne.
J'écoute et prends mon sac. Je fouille dedans.
-Merde.
-Quoi ?
Je lui montre mon index. Et je décroche.
-Oui
-Edward, non vous n'êtes pas Edward. Vous voulez bien me le passer et qui êtes vous de toute façon ? Ou est Edward ?
Je regarde Ben qui me fait de grands yeux. Il l'entend hurler dans le téléphone.
-Bien jouer Suny. Vive la discrétion.
Je lui fais un doigt. Je raccroche.
Je regarde le téléphone.
- Il n'est pas à moi.
Il re sonne. Je décroche.
-Non mais vous n'êtes pas bien de me raccrocher au nez. Je vous demande de me passer Edward, et maintenant espèce de catin.
Je raccroche.
Ben me dévisage et se met à rire.
-Et bien il y a de la tigresse dans l'air. J'hausse les épaules.
-Pourquoi ne lui réponds tu pas.
-Je vais lui dire quoi, en plus elle gueule tout le temps. Elle ne me laisse pas en placer une. J'attends un peu . Elle sera calmée.
Le téléphone nous harcelle de sa sonnerie. J'ai envie de le balancer mais je ne sais pas pourquoi je le garde contre moi.
Nous arrivons au QG. Ben se place a coté de la voiture neuve de Sam. Je regarde tout cela
-Il n'y est pas allé de mains mortes.
-Non il a voulu passer sous un semi comme dans fast and furious. Ça n'a pas marché.
Je rigole de sa connerie. La voiture est non seulement décapotable mais un peu tassée aussi.
-Ne rigole pas Bella, tu fais équipe avec Sam la semaine prochaine. Me dit Jacob.
-Et merde.
Les gars se mettent à rire.
Je monte dans mon bureau. Je pose mes affaires. Le téléphone sonne à nouveau. Je le regarde. Je décroche.
-Oui
- Excusez-moi de mettre emporter mais serait-il possible d'avoir Edward, s'il vous plait.
-C'est qu'il n'est pas ici.
- Non mais ce n'est pas vrai, elle est conne en plus. Elle ne voit pas combien c'est important. Passer moi Edward et maintenant.
Je raccroche. Je fixe ce téléphone. Incroyable cette nana. Elle est branchée sur pile ou quoi.
Je mets le téléphone dans mon sac et le ferme dans mon bureau. Nous verrons après.
Je me rends au bureau du chef.
-Hey salut Charly.
-Bella. Comment c'est passé ta mission ?
Je lui pose le dossier et la toile sous les yeux.
Il épluche le dossier et Angéla vient récupérer la toile pour l'emmener au labo.
-Bien je classe et envois tout cela au dessus. Comme d'habitude super boulot. Tiens le prochain, tu bosses avec Sam. Tu commences lundi.
J'ouvre le dossier. Je le lit. Je vois Charly se passer la main dans les cheveux.
-Tu te fous de ma gueule ou quoi ?
-Tu es la seule à pouvoir le faire.
-Et Angéla, Jessika ou encore Laureen. Oui Laureen cela lui irait tres bien.
-Pas disponible. Allez Bella, c'est juste pour un jour ou deux.
-Et merde.
-En plus je suis sur que tu vas t'éclater.
Je lui tire la langue.
-Oh ma chérie, si tu savais combien j'en rêve.
-Rêve, et salut ta main droite pour moi. Elle au moins elle bosse.
Je sors du bureau sous le charme de Charly. Voilà bosser avec des gars et vous devenez comme eux.
(...)
Je m'écroule dans le canapé. Une petite tête blonde vient à ma rencontre. Elle s'assoie a mes cotés.
-Bonjour douceur.
-Bonjour Bella.
-Comment c'est passée ta journée ?
-Oh bien. Avec Maman nous sommes allées au parc après l'école. Et bah tu sais le gars. J'ai fais comme tu m'as dis. Je lui ai mis un grand coup de poing dans le pif.
-Et alors ?
-Bella, en cuisine.
Je relève la tête. Rosalie est dans l'embrasure de la porte avec des flingues à la place des yeux. Elle a les bras croisés sur le torse. Elle tape du pied sur le sol.
-Ok princesse je suis fière de toi. Ne t'inquiète de rien, je m'occupe du dragon. Lui dis en l'embrassant.
Je me lève et vais rejoindre Rosalie en cuisine.
Elle me laisse passer et ferme la porte.
-Non mais n'est tu pas bien ou quoi ? Pourquoi lui avoir montré comment casser un nez. Elle a sept ans, Bella.
-Il ne l'embêtera plus.
-Oh pour cela non il a pleuré sa mère. As-tu la moindre idée de qui est sa mère ? J'ai du les conduire a l'hôpital. Elle lui a cassé le nez. J'ai du présenté mes excuses.
-Quoi ? Non mais t'es pas bien. C'est lui qui la cherche depuis un bout de temps. Et tu présentes tes excuses.
-Tu crois vraiment que tout résoudre par la violence est bon pour elle. Ne vois tu pas l'exemple que tu lui donnes.
-Oh et tu penses que se baisser pour se faire… Alors qu'elle l'a prévenue c'est mieux peut être.
On se fusille du regard. Nous respirons chacune de notre coté.
-Bella, elle lui a explosé le nez. Il devra porter un plâtre pour trois semaines.
-Oh et bien au moins elle tient de moi cette petite.
-n'en sois pas fière.
-Et pourquoi pas ?
-Ne me pousse pas à bout Bee. Tu as merdé, alors tu assumes. Tu vas réparer tes conneries et maintenant.
-Alors là tu peux rêver Rose. Elle a bien fait. J'ouvre la porte. Je regarde ma douceur. –Je suis fière de toi ma puce.
-Bella !
-Non Rose, elle doit savoir se défendre. Ce n'est pas avec des courbettes et des sourires que sa marche.
-Elle ne sera pas comme toi !
-Et pourquoi pas. Je ne suis pas si mal que cela. Regarde, ce joli corps, ce joli petit cul cette poitrine. Elle sera comme moi.
Rose me regarde alors que je lui fais une danse pour lui démontrer mes atouts.
Elle rigole.
Je m'approche d'elle et la serre dans mes bras.
-Je suis désolée que tu ai eu peur pour elle. Elle ne s'est pas fait mal au moins.
-Non elle était heureuse et elle dit au doc, qu'elle avait mis le pouce dehors pour taper de toutes ces forces comme sa tata lui a appris.
-Je la reconnais bien là. Allez habillez vous, on fête cela dehors.
-Bella ! Ne la récompense pas de cela.
Je regarde Amy qui sourie. –Oh alors disons que c'est pour éviter tes superbes plats.
Amy me regarde et rigole.
-Oh pas de dessert pour toi Bella.
-Non Rose, allez soit pas méchante. Je serais super gentille. Tiens j'ai une idée, tu commandes et je paye.
Rose me regarde et me sourie.
-Vas te laver, Bee. On a l'impression que tu viens de faire trois heures dans un avion fumeur.
Je lui souri. Et fonce me laver.
Une fois dans la voiture, nous chantons à tue tête le nouveau clip phare d'Amy. Vamos à la playa. Génial. La chanteuse a une voix de merde et la chanson était déjà un calvaire il y a quinze ans alors maintenant ce n'est pas mieux. Mais bon Amy est ravie. Faisons les cons !
Nous nous garons devant la pizzéria préférée d'Amy, Le Bellissima. Elle fait un sourie à Rose.
-Ton portable Bella Me dit Rose avec un air de déception.
-Je ne bosse que demain. Je réponds et je vous rejoins.
Elles descendent de la voiture et hochent la tête.
Je regarde. C'est encore cette folle. Ok Plan B.
Je décroche.
-Si c'est encore pour m'engueuler, je raccroche tout de suite.
-Non excusez moi. Mais il semblerait que vous ayez le téléphone de mon cousin.
- Il semblerait. Comment je fais pour lui rendre ?
-Oh et bien Lundi.
-Je bosse tard lundi et mardi aussi.
-Oh mais non sa va être trop long. Vous faites quoi en ce moment ?
-Pas possible, je suis en famille. Ecoutez passez lundi au boulot. Je suis au Bounty à partir de 9h00 Jusqu'à 23
-Au Bounty. Dans quelle rue ?
-La cinquième.
-Bien.
-A lundi alors. Oh je m'appelle Bella.
-Bien je m'en souviendrais.
-Au revoir.
Elle raccroche. Je me tourne et vois ma sœur et sa fille me regarder. Je leur fais un sourire et lève mes pouces en l'air. Aussitôt elles ont un sourire énorme. Que je les aime. Je donnerais ma vie pour elle.
Nous sommes dans un petit coin. Je m'installe et nous commandons des énormes pizzas. Bien trop grosses pour nous mais on s'en fous. Avec les bags, on finira demain. On parle de tout et nous partons à rire comme des fêlées. Amy nous raconte sa bagarre et je mime avec elle le coup de poing. Je suis rétamée au sol. Les clients nous regardent mais on s'en fou. Billy nous connait depuis que nous sommes gosses. C'est chez nous ici. Alors c'est les plus gêner qui s'en vont, Na !
Billy nous apporte une énorme glace dans une coupe qui ressemble plus à un saladier qu'autre chose. Nous aimons ce moment. Chacune avec notre cuillère, nous piochons dans le saladier. Que du bonheur.
-Tu fais quoi Lundi ?
-Oh rien que ces deux merveilleuses petites oreilles ne devraient entendre.
-A ce point, tu rentres le soir ?
-Oui mais je fini à 23H, alors vous serez coucher.
-Bien.
Amy s'endors dans mes bras. Avec Rose nous la regardons. Elle est sereine, calme, en sécurité. C'est beau un enfant qui dort.
-C'est quoi ça ?
Je regarde en direction de son doigt. J'ai un suçon. Génial, il m' a fait un suçon, il m'a marqué. Je passe mon doigt dessus. Je rougie au souvenir de ce super moment.
-Oh mais il semblerait que tu ais fait une rencontre.
-Ouaip. Et il était des plus sexys et très attentionné en plus.
-Il s'appelle ?
-Euh
-Bella !
-Quoi, j'avais besoin de me changer les idées.
-Bella, père ne serait pas fière de toi.
-Rose, ne commence pas.
-Un jour tu trouveras et je lui ferais passer un test digne de ce nom à celui là.
-Ah oui et quoi par exemple ?
-Oh et bien disons, les questions de père.
-Quoi non mais tu n'es pas bien. C'est l'inquisition espagnole.
-Mais non, il t'aimera tellement qu'il répondra avec un immense sourire.
-Mais oui, qui aimerait une fille comme moi.
-Quoi avec ce joli petit cul.
Nous nous regardons et partons à rire.
-Allons déposer Mademoiselle dans son lit.
Une fois dans mon lit. Je prends le téléphone. J'ai envie de regarder dedans mais c'est privé. Je le pose contre moi et je m'endors.
XOXOXOXOX
Alors première impression ?
Je dois avouer que nous avons besoin d'encouragements pour finir la fic. On a plusieurs chapitres et on s'est éclaté de les écrire. Mais le tome deux, est en statut quo. On a des idées mais pas beaucoup de façon de les écrire. On rame.
Je sais que lors de mes précedents ecrits, vos encouragements m'aidaient beaucoup pour écrire d'autres fics. Alors un coup de main, ne serait pas de refus.
J'adore cette fic, elle est fraiche et ...bon ok j'arrête de vous bassinez, vous avez piger. Le bouton vert comme on dit, bein qu'il ne soit pas vert mais bon...pesonne ne peut etre parfait;
A bientot de vous lire et encore un énorme merci a Izinie de s'etre embarquée la dedans avec moi.
FC
