QUOIIIIII? Encore une fic Bellarke?

Et ouiiiiiii...

Suis je vraiment obsédée par ce couple?

Si peu...humm...

Je n'arrivais pas à me sortir cette histoire de la tête donc...

Bref, j'espère que ça vous plaira. C'est un univers alternatif, mais qui se passe dans les conditions de la série donc, je commence par un petit prologue pour vous situer les choses, pour que ce ne soit pas trop compliqué à vos yeux.


Prologue

La navette de l'Arche a atterrit sur terre 15 ans auparavent, avec à son bord, Abby et Jake Griffin, et la petite Clarke, âgée alors de 3 ans, donc elle n'a quasiment aucun souvenir de sa vie sur l'Arche.

La vie du clan s'est organisée peu à peu sur terre, et après 15 ans, une paix relative s'est instaurée.

Bellamy Blake est devenu roi d'un clan de Grounders, où vivent Octavia, Lincoln, Marcus Kane et Murphy. Ils n'ont aucun liens avec l'Arche et ne se sont jamais rencontré.

Bellamy a 23 ans Clarke 18 ans, Octavia aussi.


"Après avoir cherché sans trouver, il arrive que l'on trouve sans chercher"

Jerome K. Jerome

Eblouie par la clarté de ce début de journée, Clarke fronça les sourcils afin de déterminer le chemin à emprunter.

« J'ai un doute » murmura-t-elle, perplexe.

Elle ne se rappelait pas vraiment de la route à suivre pour la cueillette des plantes dont elle avait besoin pour le camp. Sa mère et elle s'étaient constituées une petite herboristerie qui leur servait à guérir la plupart des bobos du quotidien.

Durant leur dernière ballade, elle avait entraperçu une petite prairie avec essentiellement de la bourrache et de la prêle. Ils n'en avaient pas récolté depuis des lustres, et les stocks étaient complètement vides. Or, la prêle était le remède le plus utilisé au camp, puisqu'elle traitait les blessures infectées. Quant à la bourrache, elle permettait de baisser la fièvre, et en ces temps compliqués, ce n'était pas du luxe d'en avoir en réserve !

« On devrait rentrer » lui dit Finn en l'enlaçant doucement.

Elle se laissa aller contre son torse et y déposa un léger baiser.

« Je suis sûre qu'on n'est pas loin » insista-t-elle en regardant vers l'horizon.

« Clarke. On est en dehors de notre territoire. Ce n'est pas raisonnable. » lui dit-il posément.

Mais Clarke l'avait enfin repéré. Elle sautilla sur place en attrapant son sac. « C'est là bas ! » hurla-t-elle toute excitée.

Finn lui sourit d'un air attendrit, avant de la suivre docilement. Il l'attrapa violemment par le bras lorsqu'il entendit des éclats de voix. Clarke se retourna vers lui, lorsqu'un homme assomma Finn devant ses yeux.

Clarke ouvrit la bouche pour hurler, mais elle sentit une main la couvrir violemment en la tirant en arrière - en la soulevant en arrière serait plus juste. Elle se débattit comme un diable alors que l'homme en question s'accroupie derrière un buisson, sa main toujours collée contre sa bouche.

Il l'intima au silence avec un simple « Chhuuuuutttt » et par la force des choses elle lui obéit, son cœur battant à pleine puissance au creux de sa poitrine. Elle ferma les yeux sous la subite sensation de suffocation, et s'efforça de respirer aussi profondément qu'elle le put, sentant les pulsations battre dans ses tempes, aussi rapidement que celles de son compagnon derrière elle.

Son instinct de guérisseuse refaisant surface, elle se focalisa sur le filet de sang qui lui coulait sur le bras, venant sans le moindre doute, de l'homme derrière elle. Elle se demanda alors s'il était suffisamment faible pour qu'elle tente quelque chose, avant d'entendre résonner des sabots de cheval.

Elle sentit son geôlier se crisper et s'arrêta un moment de respirer. Il y avait 3 guerriers sur 3 chevaux différents. Des brutes épaisses, sans nul doute des Grounders d'une tribu qu'elle connaissait de réputation : ils arboraient les couleurs du peuple de glace. Tout vêtus de bleu et blanc, ils étaient bâtis comme des tueurs… Clarke avait déjà été mis en présence de leur chef, Gustus, et elle préférait sortir cette image de sa mémoire…

Elle frissonna, et sentit l'homme la serrer plus intimement contre elle, comme pour être sûre qu'elle n'effectue pas le moindre mouvement. Mais bizarrement, ça la rassura.

Alors les guerriers repartirent aussi rapidement qu'ils étaient apparut. Clarke relâcha doucement les poings qu'elle n'avait pas eu conscience de serrer, tandis que la personne qui l'avait tenu captive relâcha peu à peu son étreinte.

Elle se releva alors sans faire de mouvements brusques, comme si ça avait un quelconque intérêt dans sa situation et se retourna vers lui, plus avec curiosité qu'avec crainte, après tout, de ce qu'elle avait pu en juger, il venait de lui sauver la vie.

L'homme en question, ou plutôt le jeune homme, devait avoir à peine quelques années de plus qu'elle, peut être 22 ou 23 ans. Il la regarda un instant de ses yeux sombres, avant de chanceler, doucement mais surement, vers le sol sans qu'elle n'ait la chance de le rattraper.

Ses compagnons, cachés derrière les buissons alentours, se précipitèrent vers lui en lui parlant dans un dialecte qu'elle ne connaissait pas. En même temps, elle ne côtoyait pas beaucoup de Grounders, le camp Jaha vivant plus ou moins en autarcie, dans une paix relativement neutre, cloisonnés entre les murs du clan où Clarke se sentait emprisonnée. Leurs vagues escapades servaient juste d'excuse aux plus privilégiés d'entre eux pour aller chasser ou, comme elle, récolter des plantes qui contribuaient à leur survie.

Le jeune brun toujours par terre, semblait avoir reprit ses esprits et leur répondait d'une voix ferme et catégorique, et les autres hommes semblaient l'écouter religieusement. Clarke se permit alors de l'observer un peu plus attentivement. C'était le seul des hommes présent à ne porter aucune peinture de guerre sur le visage, et sa voix posée et assurée contrastait avec la jeunesse de ses traits.

Elle les observait sans oser faire le moindre geste. L'attention du jeune homme se porta alors vers elle, tandis qu'il parlait toujours aux autres dans une langue qu'elle ne comprenait pas. Elle se détourna alors d'eux en entendant un gémissement sur la droite.

Finn…

Il venait de se réveiller. Elle s'extirpa de sa torpeur et se releva abruptement pour se diriger vers lui tandis qu'un des hommes lui barra la route, alors qu'un autre posa la pointe d'un couteau sur la gorge de Finn. Clarke étouffa un petit cri puis se tourna vers l'homme blessé, le regard plein de colère.

« Je veux juste voir s'il va bien » lui dit-elle fermement.

Il hésita un instant, hocha la tête en direction de ses hommes et l'étreinte sur son bras disparu soudainement. Elle se précipita vers Finn et s'agenouilla à ses côtés.

« Est-ce que tout va bien ? » lui demanda-t-elle un peu affolée.

« J'ai la tête dure Clarke » lui dit-il en plaisantant.

Elle soupira de soulagement, avant de retourner vers le brun ténébreux toujours par terre.

« Qu'est ce qu'il a ? » demanda-t-elle à ceux qui l'entouraient.

Mais elle n'obtint aucune réponse. Elle soupira, cette fois d'énervement. « Vous comprenez notre langue ? » demanda-t-elle sans que personne ne semble remarquer son intervention.

« Nous la comprenons parfaitement » déclara le blessé d'une voix faible.

Clarke se pencha vers lui. Elle ne pouvait s'empêcher d'analyser la situation avec son détachement de guérisseuse.

« Laisse moi regarder. Je suis guérisseuse » lui dit-elle en voyant qu'il s'était crispé.

Un de ses compagnons lui dit quelquechose qu'elle ne comprit pas, et alors, il se laissa faire en soupirant douloureusement.

Son t-shirt côté flanc droit était maculé de sang. Clarke tira légèrement dessus pour le remonter mais ça lui arracha une grimace de douleur.

« Il faut l'enlever » indiqua-t-elle sans oser le faire.

Les deux hommes les plus proches de lui le lui enlevèrent avec délicatesse.

Une plaie d'au moins 15 cms de long lui entaillait le torse jusqu'au dessous de son bras. D'après ce que Clarke pouvait distinguer, la plaie n'avait pas l'air très profonde mais risquait de rapidement s'infecter. Il sursauta lorsqu'il sentit ses doigts se poser sur sa peau nue, et pour la première fois de la journée elle croisa ses yeux sombres.

« Il faut nettoyer la plaie, sinon ça va s'infecter » lui dit-elle consciencieusement.

« De quoi as-tu besoin ? »

Elle se doutait bien qu'ils n'avaient pas de désinfectant à proximité.

« De l'alcool. Tu as de l'alcool ? »

« Linc ? » dit-il en s'adressant à l'homme le plus colossal qui les accompagnait.

L'homme en question sortit une bouteille pas franchement reluisante d'un des sacs qu'ils transportaient et la lui tendit.

Clarke débouchonna la bouteille et la mit sous son nez, avant de l'éloigner en grimaçant, faisant naitre un léger sourire sur le visage tiré du jeune homme.

« Ok » lui dit-elle. « Comment tu t'appelles ? »

Il hésita un instant avant de lui répondre « Bellamy »

« Ok Bellamy. Ça va faire mal » le prévînt-elle en inspirant profondément, comme si c'était elle qui allait souffrir.

« Aucun soucis » lui répondit-il avec une fierté qui dépassait l'entendement. Clarke se retint de rouler des yeux devant tant de suffisance et appliqua l'alcool à même la plaie. Bellamy serra les dents mais aucun cri ne sortit de sa bouche.

« J'ai besoin de quelquechose pour faire un pansement » lui dit-elle en cherchant désespérément un linge qui pourrait faire l'affaire. « Et il me faut de la prêle, ça évitera l'infection » leur dit-elle sans qu'aucun ne bouge. Elle finissait vraiment par se demander si quelqu'un d'autre que Bellamy la comprenait.

Elle perdit vite patience. « Finn, va me chercher de la prêle là bas, et prend aussi un peu de Bourrache. Au cas où. »

« On a pas le temps de faire de la cueillette Princesse » la taquina le blessé.

« Bien. Si tu penses que ta vie n'en vaut pas la peine, c'est ton problème, pas le mien » lui dit-elle en croisant les bras.

« Lincoln, va avec lui. » finit-il par concéder après quelques longues secondes.

« Comment tu t'es fais ça ? » demanda-t-elle en attendant ses plantes.

Un sourire narquois s'afficha sur son visage. « A ton avis ça a l'air de quoi ? Coup de couteau » finit-il par lâcher.

Clarke se demanda, au vu de sa pâleur morbide, comment il pouvait trouver la force de plaisanter dans un moment pareil.

« Le peuple de glace ? » lui demanda-t-elle.

Il acquiesça doucement, les yeux perdus dans le vague. « Juste avant votre arrivée. Je ne l'ai pas vu venir…mais c'est moi qui suis en vie… »

Les 2 hommes revinrent rapidement avec les plantes, et Clarke les prit des mains de Finn, qui ne comprenait clairement pas pourquoi Clarke les aidait.

« Est-ce que quelqu'un aurait un t shirt propre ? » hasarda-t-elle sans conviction.

Bellamy s'adressa à un des hommes, qui retira son t shirt et le tendit à Clarke.

« J'ai dit propre » maugréa-t-elle en le saisissant malgré tout, bien consciente qu'elle n'avait rien de mieux à portée de main. Elle malaxa la prêle avec un peu d'alcool, en se disant que ça ferait bien l'affaire pour ce soir, et rangea le reste des plantes dans son sac.

Son pouls s'accéléra légèrement quand elle se rendit compte de la proximité qu'elle partageait avec un parfait étranger, tandis qu'elle lui passait le pseudo bandage autour de la poitrine.

Elle s'éclaircit la voix puis se recula sans le regarder. « Ça devrait aller » leur dit-elle, assez satisfaite.

« D'accord. Alors on s'en va ! » clama Bellamy en essayant de se relever.

« Tu plaisantes ? » lui dit-elle en posant une main sur sa poitrine, le faisant légèrement flancher par la même occasion. « Tu ne peux pas remonter à cheval, tu ne tiendras jamais le coup, tu es bien trop faible » lui dit-elle comme si elle avait un enfant de 5 ans devant les yeux.

« Conneries ! Ça ira très bien comme ça » lui dit-il fermement en se relevant. Mais il chancela à nouveau et se rattrapa à Clarke, dont le regard en disait long.

« Clarke… » murmura Finn avec colère. « Ce n'est pas notre problème. Laisse les et rentrons chez nous. »

Les Grounders se mirent à parler tout bas, semblant ne pas réussir à se mettre d'accord.

« Assez ! » dit Bellamy en imposant son autorité. « Tu viens avec nous ! » déclara-t-il en s'adressant à Clarke. « Il semblerait que j'ai encore besoin d'une guérisseuse. »

Quoi ? Clarke paniqua instantanément. Ce n'était pas vraiment ce qu'elle entendait par là.

« On peut peut être rester ici jusqu'à demain, je changerais ton pansement et vous pourrez reprendre la route » tenta-telle désespéremment.

« Je te l'ai dit, on ne peut pas rester, c'est trop dangereux. Il faut qu'on reprenne la route maintenant ! » déclara-t-il d'un ton qui n'indiquait aucune faiblesse.

Clarke chercha Finn des yeux et y trouva autant de désarroi que dans son cœur.

Bellamy suivit son regard. « Il peut rentrer » lui lança-t-il froidement.

« Hors de question que je rentre sans elle ! » lui dit Finn d'un air mauvais.

« Ce n'était pas une question » lui répondit Bellamy. « Et pas un choix pour toi. »

Clarke se mit à frissonner. « Ça veut dire que je suis prisonnière ? » demanda-t-elle d'une voix rauque.

« Disons que…tu es mon invitée » rectifia-t-il en un sourire.

Mais sourire était la dernière chose que Clarke pouvait imaginer. Elle ferma les yeux, se refusant de se montrer faible, et se demanda si elle pouvait s'enfuir. La réponse était définitivement non.

« Vas t'en Finn » lui dit-elle à contre cœur. Aucune raison d'être 2 à risquer sa vie se dit-elle en le regardant, les larmes aux yeux.

« Je ne peux pas » chuchota-t-il avec une réelle douleur au fond des yeux. Elle l'embrassa alors furtivement sur les lèvres. « Je serais bientôt de retour. Je te le promets. »

« Je m'en assurerais Princesse. Tu seras bientôt libre » leur dit Bellamy avec une assurance pourtant masquée par la faiblesse de sa voix.

L'homme qu'il avait appelé Linc l'aida à monter sur son cheval. « Tu monteras avec Lincoln » lui dit-Bellamy sans lui laisser le choix.

Clarke ricana nerveusement. « Tu n'iras pas bien loin, seul sur un cheval » lui prédit-elle d'une voix neutre.

Et de ce fait, ça ne prit pas longtemps avant de voir ses dires se réaliser. Tandis qu'elle chevauchait sur son cheval à l'arrière du groupe avec Lincoln, elle vit Bellamy tanguer dangereusement sur un côté.

« Il est en train de perdre connaissance ! » hurla-t-elle alors qu'il tombait de son cheval.

« Ne bouge pas bougre d'imbécile ! » hurla-t-elle à Bellamy tandis qu'elle refaisait le pansement. « Si seulement tu m'avais écouté ! On n'en serait pas là ! Tu n'en serais pas là, à te vider de ton sang ! » continua-t-elle en épongeant son front de sa main.

Malgré la douleur qu'il devait ressentir à cet instant précis, le jeune homme semblait beaucoup s'amuser de la situation.

« C'est fini ? » demanda-t-il alors qu'elle enlevait les mains de sa poitrine. Elle hésita un instant sur le sens de sa question. « Oui » finit-elle par lui dire, à bout de patience après ce début de journée mouvementé. Il devait être à peine 15h, mais elle avait l'impression que cette journée avait duré plus de 10h.

« Alors on repart ! »

Elle le regarda un instant, stupéfaite, avant de se ressaisir.

« Ecoutes moi bien espèce de guerrier sans cervelle » lui dit-elle en posant un genou sur son torse, le faisant grimacer de douleur. « Soit on s'arrête jusqu'à demain, soit je t'achève maintenant » le défia-t-elle en faisant pression sur son genou. « Hors de question que je recommence le bandage dans 1h ! » hurla-t-elle à bout de nerf.

Elle sentit des bras la tirer sans ménagement vers l'arrière, mais n'hésita pas à se débattre sans vergogne.

« Ok Princesse » soupira Bellamy, à bout de force mais sans pouvoir contenir un léger sourire « On fait une pause de 2h. Ni plus ni moins. On ne peut pas se permettre plus, pour notre sécurité, et la tienne. Ce n'est pas un jeu. » ajouta-t-il au cas où elle ne l'aurait pas pris au sérieux.

Elle serra les dents. « D'accord. Dors ! » lui ordonna-t-elle sans s'en apercevoir. Il tiqua, mais n'eut pas la force de s'opposer à elle une fois de plus. Il sombra rapidement dans le sommeil, et elle se sentit désespérément seule parmi tous ces étrangers, la force de sa pseudo rébellion l'ayant quitté, elle se sentait plus vulnérable que jamais.

Ils reprirent la route après les 2h imposées par Bellamy.

« Tu es trop faible pour monter à cheval seul » constata-t-elle d'un ton qui se voulait neutre.

Il soupira. « Tu sais conduire un cheval ? » lui demanda-t-il en faisant taire 2 hommes qui avaient pris la parole dans leur langue.

Elle hocha la tête en montant sur le cheval, Bellamy derrière elle.

« Je suis peut être faible, mais je sais toujours parfaitement manier le couteau » la menaça-t-il sans préambule.

Clarke se mordilla la lèvre. Elle n'était pas stupide, elle savait qu'elle n'avait aucune chance si elle tentait quelquechose maintenant.

« Tu rentreras chez toi » lui dit-il soudainement. « Tu as ma parole. »

Ça valait ce que ça valait, mais Clarke en fut étrangement soulagée. Elle continua son chemin en essayant de supprimer momentanément de sa mémoire les images de sa mère, de Finn, de sa vie au camp. Mieux valait se concentrer sur le chemin à parcourir. Et si Bellamy n'était pas un homme de parole, alors elle trouverait le moyen de fuir. Elle échafauderait un plan dès son arrivée…


J'ai hâte de savoir ce que vous en pensez!

J'ai lu il y a peu, une fic où Clarke était enlevée par Bellamy, et bien qu'elle était géniale, je visualisais ça bien autrement donc c'est ma version :p

Pas d'inquiétudes pour les autres fics, je peaufine le dernier chapitre de "La passé nous rattrape toujours" et je vous le poste cette semaine.

Bisous bisous!