Bonjour à tous ! C'est le premier chapitre, le prologue, que je viens de rééditer. Question qu'il soit plus lisible et intéressant pour vous. Merci de suivre l'histoire.
Baddack le survivant
Prologue
Baddack était un guerrier saiyan de troisième classe, qui avec puissance et ambition était devenu l'un des saiyans les plus puissants, derrière le Roi. Malgré tout ce qu'il a accompli en temps que guerrier, il a échoué en tant que père, que ce soit avec Raditz ou Kakarot. C'était son amer constat, sa dernière pensée avant de mourir, non pas de vouloir venger son peuple.
Enfin, si, il voulait tuer le tyran pour lui, pour sa femme, et ses enfants. Mais il ne pourra jamais y parvenir, tout cela à cause de sa faiblesse, qu'importe la puissance de Freezer. Il fut trop faible pour gagner, Ce putain de tyran n'avait rien. Rien, rien, rien.
Ce mot résonnait en boucle alors que Baddack voyait sa technique être absorbée par ce qui ressemblait a une boule terrible, qui avançait rapidement vers lui et sa planète. Tout d'un coup, Baddack réalisa qu'il allait mourir ici, et il fonça vivement vers sa planète, sous les rires des soldats de Freezer, et de ce dernier.
Ils l'insultaient de lâche, de faible. Baddack se demandait a quel point pouvait être stupide le tyran de le laisser fuir, enfin, le saiyan fuyait, laissant son honneur de côté, malgré tout ce qu'il lui en coûtait. Il devait lui restait quelques minutes avant que la boule de la mort touche la planète Végéta. Une poignée de minutes.
Seulement ça, ça suffirait pour choper sa femme et partir… du moins le guerrier l'espérait.
Pendant que Baddack atteignait la capitale et son domicile, la boule avançait irrémédiablement vers lui, toujours plus vite, sans moindre signe d'arrêt.
Même d'aussi loin il aurait juré entendre les rires sadiques de Freezer et de ses hommes. Il devait accélérer le rythme, poussant dans ses dernière forces.
Brusquement et avec force, sans laisser le temps à sa femme de le questionner, il ouvrit la porte dans le but de l'attraper rapidement et de partir.
''Baddack qu'est ce que…'' fut tout ce qu'elle pût dire avant de se retrouver dans les bras de son homme. Celui-ci fonça le plus vite possible vers des pods, à quelques dizaines de mètres de la maison.
Il avait toujours trouvé agréable d'avoir le spatiaux port un peu derrière lui.
Désormais, la boule ne se trouvait qu'à un ou deux kilomètres de la surface, il ne devait rester qu'une minute, voire moins.
Aujourd'hui c'était la fête sur planète Végéta, une énorme soirée annuelle, pour célébrer la victoire contre les anciens occupants de la planète. Les saiyans buvaient, blaguaient, et s'amusaient à raconter leur victoire au plus jeune.
Soudainement, lorsqu'ils sentirent la boule arriver vers eux, ils paniquèrent, essayant de fuir vers le vaisseau personnel, pour les plus riches. Le reste fonça le plus vite possible vers le spatiaux port ou se trouvaient Baddack et sa femme.
Le peu de calme qu'avait Baddack le quitta, pendant que sa femme gesticulait sans jamais ne vouloir s'arrêter. Petit à petit, ce fut l'adrénaline qui prit le dessus.
Il balança sa femme dans un pod en lui criant de mettre des coordonnées quelconques. Sous la surprise, elle fit exactement ce qu'il lui a dit. Pendant qu'elle exécutait ses ordres, Baddack était rentré dans son pod, et il mit les codes pour aller vers un espace non contrôlé par Freezer. Tout en espérant que Gine, sa femme fasse de même.
Quelques autres saiyans arrivaient vers eux, cherchant des vaisseaux à prendre. Le temps qu'ils le trouvent, bien sûr en état de marche, Baddack marquait les coordonnées qu'il avait donné a Gine.
L'œuvre du tyran intergalactique ne se trouvait plus qu'à quelques centaines de mètres d'eux.
Lorsque l'œuvre de Freezer ne se trouvait plus qu'à cent ou deux cents mètres de la surface, les saiyans qui n'avait pu trouver de vaisseau, regardaient ce qui signerait leur mort. Ils s'étaient tous figés lorsqu'ils avaient compris qui leur avait lancé la boule.
Les pods de quelque saiyans sortirent de l'atmosphère de la planète. Quelques dizaines de secondes avant son explosion. Quand bien même le son ne pouvait s'entendre dans l'espace, l'explosion a rendu les saiyans survivants sourd de colère.
Puis soudain des rayons rouges sang traversèrent quelques vaisseaux, parmi la petite centaines qui s'étaient échappés, plus qu'une dizaine étaient encore en jeu pour la fuite. Ses derniers partirent dans des directions opposées, sauf Baddack et Gine qui partait vers la galaxie du Nord, encore inoccupée par les troupes de Freezer.
Finalement, une fois tous les pods disparu, il ne restait que quelques morceaux de terre saiyannes qui flottaient dans un espace froid et vide.
Voilà comment meurt toute une espèce, toute une civilisation, certes, basée sur la guerre et le sang, mais c'était tout de même une espèce.
Les deux pods fonçaient a toute vitesse dans l'espace.
Derrière eux, toute leur vie, leur maison, leur camarades, plus rien ne serait comme avant, Baddack et Gine le savaient, l'une pleurait sous le choc, l'autre nourrissait une rage encore plus grande envers Freezer.
Leurs sentiments les accompagnait durant tout leur route. Un an de douleur.
D'un coup, la fatigue gagna le saiyan, et au bout de quelques minute il s'endormit.
Son esprit se mit à divaguer à voyager, et il se trouva seul sur une planète qu'il ne connaissait pas du tout.
Au alentours de lui, des explosions avait lieu. Deux sources de Ki se distinguaient dans le ciel d'un planète inconnu.
Entre une espèce d'alien étrange, qui pourtant semblait familière à Baddack. Freezer ! À quel point il était fort?il était terriblement plus fort qu'il n'aurait pu l'imaginer. Mais pourtant, à la plus grande surprise du saiyan, cette source n'était pas la plus puissante, oh non, elle était bien plus faible qu'une autre.
Alors son regard se dirigea instinctivement vers la source en question. Un homme, grand, fort, et… une aura dorée l'entourait, ses cheveux de la même couleur que son aura. Tout fit « tilt » pour Baddack, l'homme qu'il avait devant lui était le guerrier de la légende. Mais qui était-il ? Le saiyan scruta les traits de l'homme, et il réalisa. Kakarot.
Puis soudainement tout disparut, et son rêve ou sa vision, il ne savait dire, partit. Et le saiyan se remit a rêver d'autre chose.
Un ans plus tard.
Sur Terre.
Un vieil homme qui se baladait tranquillement fut surprit par le bruit d'un choc, ou plutôt d'un atterrissage violent. Le vieux Gohan n'avait pourtant pas vu d'avion ou d'hélicoptère, qu'importe, il irait voir si il pouvait aider un ou des possibles survivants.
Il marcha une bonne centaine de mètres et tomba nez à nez avec un pod spatial, ignorant ce que ce pouvait être, il réfléchit et se questionna d'où ce truc pouvait venir. Puis son regard capta un bébé au cheveux ébouriffés et en désordre. Surprit par sa découverte, le grand-père alla vers l'enfant et le prit avec lui, il se sentait bien seul depuis des années, peut-être que le destin lui avait envoyé cette enfant pour qu'il l'élève ? Alors il partit avec lui pour aller au mont Paozu.
L'enfant était violent et étrangement fort, autant qu'un adulte en pleine forme, d'abord surprit et décontenancé par cela, il fini par s'y habituer, et il a prit pour habitude de faire de longue balade dans la montagne avec lui. L'enfant qu'il a appelé SonGôku, aimait bien ses promenades, ça le calmait, au moins un peu.
Un jour, à son habitude Gohan prit le bambin avec lui et alla se balader avec ce dernier. Alors qu'il passait près d'un gouffre, SonGôku tomba du dos du grand-père.
La terreur s'installa en Gohan, et il pria Kami que l'enfant n'avait rien. Il descendit le plus vite possible le gouffre sans se blesser gravement, et, il découvrit un enfant bien vivant mais blessé.
Un miracle. Gohan le prit avec lui et se jura qu'une situation pareille ne se reproduise jamais, au grand jamais.
Dans les semaines qui ont suivi, l'enfant récupéra très vite de sa blessure, pour le plus grand bonheur de son grand-père adoptif. Et une autre bonne nouvelle découla de cette incident, SonGôku était bien plus gentil, toujours aussi énergique, mais il n'essayait plus de le blesser ou de détruire des objets comme avant. Non, désormais l'enfant était profondément bon et agréable a vivre.
Des semaines, passèrent comme cela. Gohan aurait parié sur trois ou quatre mois de paix
Mais, le calme ne s'installa pas durablement pour eux. Un jour, un vaisseau comme celui de son petit-fils a atterri à une dizaine de mètres de leur domicile. Et tout doucement la porte du pod s'ouvrit…
A suivre
