Moi : Salutations, nobles lecteurs, chers personnages. Heroes est, à la base, une série de la NBC sur des gens ordinaires qui se découvrent des super-pouvoirs. Un scénario bien construit, des personnages sympathiques et intéressants...
Hiro : On nous fait des compliments ! Cool !
Nathan /dubitatif/ On en a déjà vu de mieux tournés.
Moi : He bien, cette fic est tout le contraire. Lesdits personnages seront cruellement envoyés jouer dans des détournements éhontés de contes de fées (plus ou moins) classiques, où on oubliera le scénario, la timeline, et toutes autres considérations qui m'empêchent de faire les couples qui me plaisent.
Nathan /bas/ Il y a peut-être des choses plus effrayantes que les explosions nucléaires.
Moi : Aussi, il est temps de désigner mes premières victimes !
Les personnages de Heroes /se dissimulent plus ou moins adroitement, usant de super-pouvoirs pour ceux qui peuvent et de rideaux pour les autres/
Moi : Le conte que je vais adapter s'appelle "La sorcière de l'île du Loc'h"...
Les personnages de Heroes : Jamais entendu parler...
Moi : C'est un conte breton qui sera modifié de façon tellement fondamentale que ça vaut peut-être mieux. Le rôle de la sorcière sera tenu par Sylar !
Sylar /regard méprisant/
Moi : Mais en fait, la sorcière est un de mes amours d'enfance, elle est belle, elle est classe, elle est méchante, et elle tue des gens, et elle les transforme en crapauds, éventuellement !
Hiro : Présenté comme ça, ça a presque l'air gentil.
Sylar /air blasé/ Je vois comment les choses marchent. Ce genre de flatteries ne marche pas sur moi.
Moi : Mais pour embêter les héros ?
Sylar : Quel en serait l'intérêt ?
Moi : Les jeunes amoureux seront joués par Mohinder et Eden !
Sylar /vite/ OK, je marche.
Eden /regard noir/ Ne crois pas que je me laisserai faire cette fois-là !
Mohinder : Euh, étant donné que nous sommes dans un conte de fées, et que je pense /regard appuyé à Sylar/ qu'on va abandonner ces histoires de cerveaux, est-ce que vous êtes forcés de vous entretuer, cette fois-ci ?
Eden, Sylar /fermement/ OUI.
Mohinder /air un peu perdu/
Moi : Et enfin, le donneur de conseils sera joué par Isaac.
Isaac /philosophe/ Pourquoi pas /à Sylar/ Les aider à te battre, ça ne sera pas mal, hein ?
Sylar /bas/ Je vous tuerai tous, infâmes, (sauf Mohinder) et je mangerai votre cerveau.
Moi : On a dit qu'on laissait tomber un peu les cerveaux !
Sylar /moue de frustration intense/ Bon, je me contenterai de les tuer tous.
Moi : Voilà, c'est le bon état d'esprit ! Et maintenant, nous pouvons commencer !
Moi : Il était une fois un jeune homme et une jeune fille qui voulaient se marier. Mais le jeune homme était orphelin et pauvre...
Mohinder : Je vais partir à l'aventure en quête de trésors cachés !
Eden : Il pourrait t'arriver malheur ! On ne sait jamais, tu pourrais tomber sur... un tueur psychopathe, par exemple !
Mohinder : Mais pourquoi ? Comment saurais-tu cela ?
Eden /lalala/
Mohinder /bas/ Cette conversation me rappelle quelque chose, mais je n'arrive pas à savoir quoi. /haut/ De toute façon, ma décision est prise !
Eden : He, je veux qu'on se marie aussi ! Mais si tu dois partir, prends au moins ce couteau. Il est magique, et te permettra de dissiper les illusions.
Mohinder : Où as-tu eu un objet aussi précieux ?
Eden /sifflote/ Je l'ai emprunté momentanément à mon patron. Il y a toute une collection là-bas dont personne ne se sert. On le replacera quand tu rentreras, je suis sûre qu'il ne s'apercevra de rien...
Moi : Le jeune homme partit, affronta les tempêtes et le calme plat, et finit par échouer sur une île qui semblait inhabitée, mais verdoyante et plantée d'arbres fruitiers. En son centre, il y avait un lac aux eaux calmes sur laquelle flottait une barque en forme de cygne. Notre héros choisit de l'utiliser plutôt que de traîner la sienne jusqu'au lac.
Mohinder /justifie son acte malhonnête/ On ne sait jamais, le frottement pourrait affecter sa forme /bas/ He, je suis généticien, pas pipo-scientifique généraliste.
Moi /bas/ Oui, il y a certaines choses qu'il faudrait expliquer aussi aux scénaristes de la série. /haut/ La barque se transforma alors en un immense cygne blanc. Notre héros n'eut que le temps de s'accrocher au cou de l'animal qui se mit à filer avec une surprenante célérité, vers le milieu du lac, puis plongeant sous l'eau...
Mohinder /gloups/ Voilà une mutation dont je n'avais jamais entendu parler /s'étrangle avec l'eau/ Malheureusement, je suis trop occupé en ce moment pour lui trouver un nom latin décent.
Moi : Mais sa surprise n'eut pas de borne quand il vit devant lui un palais de cristal.
Mohinder /bas/ Je suis surpris. C'est vrai. mais bon, sachant que je viens de voir un cygne mutant et que j'étais parti chercher des trésors cachés, il pourrait arriver des choses encore plus surprenantes, n'est-ce pas ?
Moi : Mais alors sortit du palais un homme grand et sombre.
Mohinder /bas/ Je suppose que si un trésor n'était pas bien protégé, il ne serait déjà plus là.
Moi : Mais il ne se montra pas si agressif que notre héros le craignait.
Sylar /air timide à la Zane Taylor/ Bonjour. Je suis heureux de vous rencontrer, je suis souvent seul ici.
Mohinder /sourire/ Bonjour.
Sylar : En plus, la plupart des gens qui viennent ici ne sont là que pour me prendre mes trésors. Mais vous c'est différent, j'espère ?
Mohinder /air embarrassé/
Sylar : Peut-être pas. Mais vous savez, je vous aime bien. Si vous vouliez bien rester ici avec moi pour toujours, ça ne me dérangerait pas de partager les trésors en question avec vous.
Mohinder /bas/ Ca, par contre, c'est déjà plus surprenant. /rougit/ Et le fait que je trouve l'invitation très tentante est déjà beaucoup plus proche de ce qu'on entend par une surprise qui n'a pas de borne.
Sylar : Alors ? C'est oui ?
Mohinder /sourire niais/ C'est un peu tôt pour décider, mais si ça ne vous dérange pas, j'aimerais bien rester un peu ici avec vous, monsieur...
Sylar : Sylar. C'est une bonne nouvelle ! Je vais aller vous faire préparer un repas.
Moi : Mohinder s'installa, ébloui par le bel inconnu ; il avait déjà plus qu'à moitié oublié sa fiancée.
Eden /bas, en coulisses/ Je vous déteste tous les deux.
Moi : Le sorcier - car pour vivre dans un palais de verre sous l'eau, c'était certainement un sorcier, l'esprit logique de notre héros n'était pas atteint au point qu'il ne puisse plus comprendre cela - revint bientôt, avec un plat de friture.
Mohinder /bas/ Je crains que la nourriture soit peu variée au fond de l'eau.
Sylar /toujours l'air gentil/ Alors, qu'en pensez-vous ?
Mohinder /poli/ Je suis sûr que ça sera très bon.
Moi : Le sorcier se retira, et il commença à manger, utilisant pour cela le couteau que sa fiancée lui avait offert. Mais à peine eut-il effleuré un poisson qu'il prit la forme d'un humain minuscule et se mit à parler.
Charlie /en victime/ Attention à toi ! Il faut fuir ! Ce sorcier est démoniaque, il fait échouer les bateaux, prend leur cargaison et transforme les rescapés en poissons pour en faire sa nourriture.
Sylar /en coulisses/ C'est plus pratique, on peut en manger plus à la fois. Ca me fait penser que dans les nouvelles saisons, je pourrais trouver quelqu'un qui transforme les gens en poissons, on ne sait jamais, ça peut toujours servir...
Mohinder /a du mal à y croire/ Mais il m'a accueilli gentiment, pourtant.
Charlie : Peut-être qu'il t'aime bien, mais qui sait combien de temps ça va durer ?
Moi : Mohinder effleura de son couteau les autres poissons, et chacun lui raconta le même histoire. Parmi les victimes, il y avait même son propre père, qu'il pensait mort en mer il y a bien longtemps.
Mohinder /se lève avec violence/ Quelle horreur ! Ce sorcier m'a trompé !
Moi : Mais il ne se rendait pas compte que le sorcier était derrière lui, et avait tout entendu. Il avait abandonné tout faux air de gentillesse, et, menaçant, semblait plus grand que jamais.
Sylar /moue inquiétante/ Trompé en quoi ?
Mohinder : Tu ne m'as pas dit que tu transformais les gens en poissons pour les dévorer !
Sylar /ricane/ Tu n'as pas demandé.
Moi : Notre héros se jeta sur lui, le couteau en avant. Mais il faut être bien irréfléchi pour affronter un sorcier avec un simple couteau, fut-il magique. D'un simple sort, le sorcier l'envoya voler contre le mur ; d'un autre, il l'emprisonna sous un filet de pêcheur qui se trouvait là.
Mohinder /bas/ Oops, je crois que je suis mort, là.
Sylar : Non, non, je vais te garder. Pas de la façon que j'aurais préféré, pourtant. C'est bien dommage que tu sois si fouineur.
Moi : Et le sorcier transforma notre héros en lézard qu'il enferma dans un aquarium.
Mohinder /bas/ Je crois que j'ai vraiment fait bêtise sur bêtise, là... Je ne reverrai plus ma fiancée, et /air inquiet/ même encore maintenant, qui sait ce qui peut m'arriver.
Moi : Pendant ce temps, la fiancée en question s'inquiétait. Selon les versions, elle utilisa une relique sacrée ou une plus sombre magie familiale afin de savoir ce qui était arrivé à son fiancé.
Eden /bas/ J'ai surtout demandé à Molly, en fait.
Moi : Et elle décidé de lui venir en aide. Puisque c'était une question de vie ou de mort, elle décida encore une fois de fouiller dans les affaires de son employeur...
Eden : Mais je le ramènerai ! (Et dans le pire des cas, si je n'en reviens pas, je n'aurais pas vraiment l'occasion d'entendre ses reproches...)
Hiro, Nathan /en choeur/ Il est hors de question que je joue le rôle du moyen de transport !
Moi : Pfff, vous n'êtes pas drôles ! Je vais être obligée d'en recourir à de bêtes moyens classiques genre bâton de téléportation enchanté ou cheval ailé ! Ou alors, de moyen plus fourbes, du genre ellipse, et on reprend quand elle est effectivement arrivée sur l'île du Loch...
Eden /observe l'île qui n'est qu'un empilement de rochers noirs/ Eh bien, c'est sinistre. /bas/ Tu ne disais pas tout à l'heure que c'était tout vert ?
Moi /air embarrassé/ Si, mais c'est comme ça dans le script, tu sais ?
Sylar /en coulisses, ricanant/ Ca dépend de si j'aime bien les gens ou pas, tu sais ?
Eden : Oh, ce n'est pas pour moi, je ne suis pas vraiment là pour faire du tourisme, je disais juste ça pour la qualité du script. /regarde derrière un rocher/ Oh, quelqu'un ?
Moi : C'était un homme aux cheveux en désordre qui se lamentait.
Eden : Qu'est-ce qui ne va pas ?
Isaac /se lamente/ Je suis un prisonnier de la sorcière... euh, du sorcier, pardon, de l'île du Loch. Il m'a condamné à couver ces oeufs de pierre jusqu'à ce qu'ils éclosent.
Eden /est horrifiée et essaie de ne pas rire à la fois/
Isaac : Ah, je sais que c'est passablement ridicule ! Mais bon, c'était ça ou être transformé en poisson. Frit. Ou en poisson pas frit et être frit ensuite, ce n'est pas clair, mais je préfère ne jamais savoir, en fait.
Eden : C'est ce qui arrive d'habitude aux jeunes hommes qui entrent ici ?
Isaac : Oui, et ils se font manger.
Eden : Par un, hum, heureux hasard, j'allais justement combattre le sorcier. Est-ce que je peux t'aider ?
Isaac : Je serai libéré si tu délivres tous les malheureux qu'il a enchantés.
Eden /sourit/ Ca tombe bien, c'était dans mes plans.
Isaac : Alors je vais t'aider aussi. J'ai gribouillé des dessins dans le sable, parce que je m'ennuyais férocement, et je crois qu'ils donnent des informations pour vaincre la sorcière, et bla, et bla, et bla.
Eden /hoche la tête/
Moi : Elle atteignit le lac sans encombre, et revêtit des habits de garçon, avant de monter sur le dos du cygne blanc.
Eden /s'accroche fort/ Le tour de manège est la partie facile...
Moi : Elle arrive devant la porte de cristal, et la sorcière ne fut pas longue à arriver. Elle lui fit mille grâces.
Sylar /froid/ Je ne crois pas, non.
Moi : C'est dans le script !
Sylar : Il n'y a aucun cas pour que je drague cette chose. Même habillée en garçon ; de toute façon je m'en fiche.
Eden : Tu crois que j'en ai envie, moi ? Mais c'est le scénario, alors tu le fais, un point c'est tout.
Sylar : ... OK.
Moi : Eden, je t'aime.
Sylar /bas/ Oh, comme je la déteste. On va dire que je fais juste semblant, parce que je n'ai pas mon filet sur moi.
Moi : La sorcière la mena jusqu'à la table du repas...
Sylar : Je vais faire amener de la nourriture. /bas/ En fait, ce n'est même pas la peine de rêver. Je vais chercher le filet direct. Ne crois pas que tu es comme lui.
Eden /bas/ Oh non, rien de tel. /sourire implacable/ Je crois juste que nous serons ensemble...
Moi : Pendant ce temps, elle fouillait la pièce du regard, et avait remarqué un petit lézard dans un aquarium.
Eden : C'est mon fiancé, j'en suis certaine. /petit sourire/ He, même comme ça il est mignon.
Moi : Elle se dissimula alors derrière la porte.
Sylar /rentre en brandissant son filet avec une joie non dissimulée/ A table !
Moi : Mais il fut bien surpris de ne plus voir nulle part la jeune personne qu'il avait invitée.
Sylar /bas/ Surpris, ça ne veut pas dire mécontent non plus...
Moi : Effectivement, il n'était pas très contrarié ; il le fut beaucoup plus quand la jeune fille surgit brusquement de sa cachette, lui arracha son filet des mains pour l'emprisonner avec.
Sylar /se débattant/ Ne me dites pas que je peux être emprisonné par mon propre filet !
Moi : Euh, il est vraiment très bien fait (et c'est dans le script).
Sylar : Et au cas où je me prendrais les pieds dedans, j'ai pas prévu quelque chose ?
Moi : Si, mais ça prend longtemps...
Eden : Et je ne te laisserai pas le temps, crois-moi.
Moi : Elle s'approcha de la cage, et remarqua que le lézard lui faisait des signes ; il indiquait la position de son couteau enchanté, qui était tombé à terre pendant la bataille. A peine en eut-elle touché le héros qu'il reprit sa forme humaine et se jeta dans ses bras.
Mohinder /bas/ Merci, merci infiniment d'être venu me chercher /bas, à l'auteur/ Même si je voudrais bien savoir pourquoi je suis le seul louzeur sans magie dans cette histoire... non, en fait, ne réponds pas, je crois que j'ai saisi le schéma.
Moi : Notre héroïne toucha de la pointe de son couteau chacun des poissons, et ils reprirent forme humaine.
Charlie, et quelques autres /petite danse de la victoire/ Nous sommes sauvés !
Sylar /hargneux/ Je suis le seul à ne pas être sauvé, donc /bas/ Et je recycle mes répliques de la série.
Eden : He oui !
Sylar : C'est ce que t'a raconté mon prisonnier là-haut ? J'aurais mieux fait de le tuer, tiens.
Eden : Non, ses prophéties n'allaient que jusqu'au moment où tu es dans le filet. C'est donc moi qui décide, maintenant. /sourit/ Ce qui n'est pas forcément une meilleure nouvelle pour toi, d'ailleurs.
Mohinder : Ceci dit, on pourrait peut-être ne pas le tuer et repartir ?
Eden /bas, à l'auteur/ Il n'est pas en train d'être OOC, là ?
Moi /bas/ Bah, je ne sais pas, vu que là on a ressuscité son père et tout le monde il pourrait peut-être faire un effort ? C'est censé être un gentil choupi, Mohinder.
Eden /bas/ Un effort pour quoi exactement ?
Moi : Euh, pour ne pas être sanguinaire /bas, et extrêmement embarrassée/ En fait, mes sponsors, représentés principalement et en fait exclusivement par ma petite soeur, refusent absolument que Sylar meure, alors...
Eden : On peut toujours essayer de le poignarder ; on verra ensuite. /joint le geste à la parole/
Moi /improvise/ Mais alors le couteau qui dissipe les illusions et le enchantements changea le sorcier au sourire démoniaque en un mec qui avait l'air tout à fait paumé (et des lunettes ridicules).
Mohinder /surpris/ Tiens, tu es un humain, en vrai ?
Sylar /en Gabriel/ Puis-je me permettre de me sentir vexé ?
Mohinder : Disons que ce n'est pas la première chose à laquelle on pense en te voyant...
Eden /soupire/ On dirait que les sponsors sont prêts à tous les trous scénaristiques pour assurer la fin qui les arrange.
Moi /bêtement fière, alors qu'elle devrait avoir honte/ Ouais /poursuit/ Et d'ailleurs, puisque j'en suis là, mes sponsors, représentés principalement et en fait exclusivement par ma petite soeur, voudraient que le conte finisse en ménage à trois, alors...
Sylar, Mohinder, Eden : QUOI ?
Sylar : Je proteste très énergiquement !
Moi : Ecoute, c'est mieux que rien, si on suit le conte d'origine, tu meurs /fouille ses notes/ Ah non, tu es transformé en champignon venimeux particulièrement répugnant.
Sylar /réfléchit/ Là je suis transformé en nerd, et... bon, OK, j'admets que ça pourrait être pire. /proteste quand même, pour la forme/
Eden : Ca serait le truc le plus OOC que j'aie jamais vu !
Moi /bas/ Euh, tu sais, toi c'est si on suit la vraie série que tu meurs ! Vous y gagnez tous les deux, au fond. /grand sourire hypocrite/
Mohinder /ton professoral/ Je ne peux pas sortir avec Sylar parce qu'il a tué mon père, et...
Chandra /en coulisses/ Je ne suis pas mort ! (Enfin, plus)
Mohinder : Ah tiens, c'est vrai. Alors je marche.
Eden /soupir désespéré/
Moi : Toutes les victimes rentrèrent chez elles, dans sept bateaux poussés par sept vents qui avaient éclos des oeufs de pierre, dont le gardien fut ainsi libéré. Les deux fiancés aussi rentrèrent chez eux, et le sorcier qui n'en était plus un les suivit ; et je laisse à l'imagination de chacun comment se finit l'histoire, mais c'est un conte de fées, alors on peut espérer (contre tout réalisme) que tout le monde vécut très heureux.
Eden /ironique/ Pour les sponsors.
Moi /se dissimule sous la première plaque d'égoût venue/
FIN
