Diclaimer : Les personnages sont à Oda-sama, honte à moi de les pervertir de la sorte.

Pairing : Ils se tapent sans cesse dessus, s'insultent de noms fleuris à longueur de journée, mais ils s'aiment. Vivent les idées tordues des fujoshi telles que vous et moi, et vive le Zoro/Sanji !

Ma première fanfic sur le fandom de One Piece ! J'en ai ma petite larme à l'oeil T^T ça fait un bout de temps que je ne pas écrit, je dois être toute rouillée maintenant … Alors j'ai décidé de me mettre au ZoSan, en plus personne ne me connaît sur ce fandom donc personne ne peut me dire que j'ai fait du mauvais par rapport à d'habitude mwéhéhé (mais si l'envie vous prend d'aller voir ce que je fais d'habitude, je vous en prie ! Laissez des reviews par la même occasion!). J'ai commencé à écrire ce petit OS en cours d'éco (pour vous dire combien on se fait chi** …) où on parlait de « l'actif le plus liquide » (Voilà comment mon esprit horriblement mal tourné m'aide à survivre en cours …). Enfin bref, voilà un petit ZoSan tout chaud qui sort du four !

En espérant vous retrouver vivantes à la fin, bonne lecture ! ~

Bêta : Mama-senpai ! Ma lumière qui me guide dans la nuit noire ! Milles merci pour tes conseils précieux vraiment, que deviendrasi-je sans toi ? TwT

XxX

Un autre jour se levait sur Grand Line ce matin-là, et, de fait, sur le Thousand Sunny, fier navire de ce fier équipage que formaient les mugiwara. Tout ce beau groupe de dangereux brigands était réuni dans la cuisine, où régnait le plus grand désordre. Alors que Sanji s'agitait aux fourneaux, Robin lisait un bouquin dans un coin pendant que Francky faisait des réserves de cola et que Chopper et Usopp s'amusaient à mettre des pailles dans leur nez. Ce fut dans ce bruyant tapage que la porte s'ouvrit avec fracas et que la voix mélodieuse du très matinal capitaine de ce digne navire se fit entendre :

- SAAAAAAANJIIIIII ! J'AI FAAAAIIIIM !

L'information fut accueillie par un grognement. Le cuistot n'aimait pas qu'on le dérange quand il cuisinait.

- La ferme, ventre à pattes, c'est bientôt prêt.

- Mais j'ai faaaaaaaaaaaaaiiiiiii-euh ! répliqua très pertinemment Luffy.

- C'est pas une raison pour piquer dans les assiettes des autres, 'spece de goinfre !

Dixit Nami, la navigatrice, modèle de gracieuseté et de douceur.

Un grand fracas retentit alors, sans doute le bruit de la tête de Luffy touchant le sol, assommé par un coup de Nami.

- Merci Nami-swan ! Assieds-toi, je vais te préparer un plat avec amour !

- Dis, dis, Sanji, c'est qui Amour ? Il sait bien cuisiner ? demanda soudainement Luffy, la bouche pleine, qui fut renvoyé au tapis bien vite par la jolie rousse, exaspérée de l'inculture de son capitaine.

L'échange n'avait pas plus secoué les autres membres que ça. Dans l'indifférence la plus totale, Chopper, toujours aux prises avec ses pailles, en proposa une à Brook qui soupira :

- Ahla … J'aimerais tellement faire pareil, mes chers camarades... mais je n'ai plus de narines ! Ohohoh Skeleton Joke~ !

Les jeunes mugiwara se mirent à rire aux éclats.

- Vraiment, ils ne s'en lassent jamais, de ses blagues ?

- Je n'en sais rien, Nami-swan. C'est de leur âge, je suppose... C'est émouvant ! C'est comme si on était leur papa et leur maman n'est-ce pas ma Nami ché-AIE !

La frappe forte -enfin non, la douce caresse- de sa Nami chérie coupa court à ses fantasmes et il lui servit ses toasts au bacon en silence.

- Tiens, au fait, il ne manque pas quelqu'un ? demanda soudain la rousse d'une voix assez forte pour couvrir le tintamarre des autres zouaves. Où est Zoro ?

- Où veux-tu que ce stupide marimo soit ? Encore en train de pioncer, à pas en foutre une ramée, grogna Sanji.

Il se retourna pour faire face à son plan de travail. Il détestait ce putain d'épéiste. Sa présence, ses gestes, tout en lui l'énervait au possible, mais ce qui l'énervait encore plus était de s'énerver à cause de lui ! Sanji attrapa violemment un œuf et le frappa si fort contre la poêle qu'il se brisa en deux, répandant son contenu sur la table. Le cuisinier se stoppa. Depuis quand penser à cet épéiste le mettait dans un tel émoi ? Et de toute façon, depuis quand pensait-il à lui ? Il fallait qu'il se reprenne, nom d'un cuistot !

- Robin, tu peux te charger de le réveiller ? fit la voix de Nami, interrompant les pérégrinations mentales du blond. Tape-lui un coup sur la tête ce serait trop bête qu'il dorme toute la journée et qu'il perde une occasion de me rembourser sa dette …

Robin leva les yeux de son livre et acquiesça. Un instant après, elle fermait les yeux, croisait les bras, et un grand cri aigu se fit entendre plus loin sur le bateau.

- Oups, je crois que j'ai mal visé, commenta Robin sans changer d'expression.

Sanji eut un sourire narquois et retourna à ses fourneaux. Puis, une dizaine de minutes plus tard, on entendit dans le bazar ambiant un grand fracas. À ce qu'il semblait, Luffy avait ressuscité et tentait de piquer un bout d'omelette dans l'assiette d'Usopp, malheureusement la manœuvre ne se déroula pas comme prévue : les propriétés élastiques du capitaine, qui était un peu comateux le matin, avaient fréquemment des ratés et, dans un virage mal négocié par le bras de Luffy, le verre de grenadine du petit renne médecin tomba fortuitement de la table. Nami s'empressa de renvoyer son capitaine dans son cercueil et Robin se mit à consoler Chopper en le serrant très fort contre sa poitrine.

Ce fut ce moment là que Zoro choisit pour pénétrer dans la cuisine, d'excellente humeur, sûrement après avoir enchaîné quelques milliers de pompes pour se réveiller en douceur. Il chantonnait un air de dessin animé dont les paroles semblaient très inspirées : « un jour je serai le meilleur bretteur … ». L'épéiste, ne prêtant pas la moindre attention aux pitreries de son capitaine, se dirigea droit vers l'armoire à alcool d'un pas conquérant, dont il avait l'air, avec ses cheveux semblables au gazon fraîchement tondu et la sueur causée par son entrainement matinal qui perlait encore à l'ouverture de sa chemise. Il émanait de lui une telle aura de classe que le soleil lui-même aurait été éblouit face à cette vision. Mais c'était à croire que le sens de l'orientation inexistant de Zoro était vraiment détraqué puisque, de sa démarche sûre et virile, il alla droit là où il ne le fallait pas … A cet endroit, où, comme dans un film au ralenti, l'on vit l'épéiste glisser sur un bout de verre brisé et se casser la gueule sur le plancher de la cuisine.

S'ensuivit alors un joyeux bordel dans lequel tous tiraient profit de la situation à leur manière. Par exemple, Luffy profita du fou rire incontrôlable de Sanji pour subtiliser pas très subtilement un plat de viande initialement prévu pour le midi. La météorologue, plus vive que l'éclair, lui asséna alors un coup tellement puissant qu'il trancha la table en deux et les débris se coincèrent entre les côtes de Brook. Robin, toujours impeccable, s'était servie de son pouvoir pour se protéger et n'avait pas levé les yeux de son livre qui s'intitulait « L'Amour au masculin : rites d'initiation à la sexualité de l'Antiquité à nos jours » Francky lui, sortait déjà des planches pour réparer la pauvre table qui ne méritait pas tant de violence. Mais dans toute cette cacophonie, tous semblaient avoir oublié le principal intéressé, étalé par terre, qui se tenait la cheville tout en essayant de conserver un air viril malgré la douleur.

- Qu'est-ce que tu as, Zoro ? demanda Chopper en s'approchant de lui, tandis que Sanji continuait de se tenir au plan de travail pour ne pas tomber tellement il riait.

- Grm, je n'sais pas, grogna le bretteur. Un craquement bizarre je crois. Et puis j'arrive pas à me relever. ARRÊTE DE RIGOLER BAKA-COOK !

Chopper se pencha sur la cheville de Zoro et se mit à la palper malgré ses sabots, la mine soucieuse.

- Hum, c'est une entorse. Il te faut juste du repos et une attelle, tu ne vas pas pouvoir marcher pendant quelques temps.

- AHAHAHAHAHAHA ! explosa de rire Sanji. Le grand Roi des marimo immobilisé par un petit verre cassé ! Ton amour-propre de bretteur à la noix n'en prend pas un coup, par hasard, tête d'algue ?

Zoro ne releva pas tout de suite, trop occupé qu'il était à essayer de contenir sa contrariété. Sanji et lui s'insultaient déjà copieusement à longueur de journée et cette chute avait donné au blond une raison de plus pour se moquer de lui. Il avait beau lui répondre dans leurs joutes verbales, Zoro se maudissait de paraître aussi faible aux yeux de cet homme qu'il aimait malgré tout. Maintes fois, il avait essayé de l'oublier, de toute façon, c'était une cause perdue, mais l'image du blond lui revenait sans cesse. A cet instant, il ne pouvait s'empêcher de souffrir en voyant ce visage tant chéri se moquer ouvertement de lui.

- Fais gaffe, kuso-baka-cook, je peux toujours me servir de mes bras pour te trancher la gorge avec mon katana ! finit par répliquer Zoro avec une fausse haine qui dissimulait ses véritables sentiments.

- Essaie donc, je t'en prie ! répliqua le blond d'un air de défi.

Zoro tentait de se relever pour apprendre les bonnes manières au cuistot quand Namie les interrompit :

- Ah non, vous deux, ne commencez pas ! Zoro, tu devras rester à l'infirmerie le temps que ta cheville guérisse.

- Quoi ? C'est hors-de question ! Je vais pas rester alité comme un malade en phase terminale juste pour une foulure de rien du tout ! Je vais très bien, de toute façon ! la coupa l'épéiste qui essaya de se relever pour illustrer ses propos.

Sa tentative se solda malheureusement par un échec qui fit redoubler le rire de Sanji. Nami soupira.

- Bien, je suppose que nous n'avons pas le choix. Une personne sera obligée de t'aider pour te déplacer. Un volontaire ?

Il y eut un silence de mort dans la salle. Luffy, qui n'écoutait pas un traître mot de ce qui se disait, ne se proposa pas. Francky avait disparu : des mains suspectes lui avaient subtilisé ses bouteilles de cola et il les poursuivait quelque part dans les cales du bateau. Voyant l'absence de réaction des membres, la météorologue se tourna vers un des rares pirates qui l'écoutait encore :

- Bon, Usopp, tu pourras t'en charger ?

- Heinmoimaiseuhvoyonscommentje … balbutia le canonnier devant l'air sévère de la navigatrice, mais il reprit consistance. Je … Je ne peux pas c'est une euh … une charge certes digne du valeureux capitaine Usopp mais … Qui … qui se chargera alors de protéger le navire contre les affreux monstres marins ? Je suis courageux et … oh ! mais qu'entends-je ? Serais-ce le cri de malheureux villageois en détresse ? Ils … ils appellent le Capitaine Usopp ! Je me dois d'aller les secourir !

Et le valeureux Capitaine Usopp s'enfuit alors de la cuisine. Il ne restait plus que Luffy qui ronflait dans un coin, Brook qui lui jouait une berceuse au violon et Sanji, toujours résolument tourné vers les fourneaux. Nami soupira de plus belle.

- Bon ! dit-elle d'une voix forte, Sanji, c'est toi qui t'en chargeras ! Tu resteras avec Zoro pour l'aider à marcher et je ne veux pas d'objections !

Sanji cessa soudainement de cuisiner. Un grand silence assourdissant saisit le Thousand Sunny et ses occupants ; les mouettes même s'étaient arrêtées de crier. Sanji ayant enfin assimilé l'information, s'écria :

- Quoi ? Mais il est hors de question que je suive cet attardé du cervelet partout où il va ! Je suis pas un toutou pour handicapé moi !

- Ah ouais ? Bizarre, tu sais très bien faire le chien-chien avec Nami et Robin, sourcil en vrille ! répondit hargneusement Zoro.

Robin eut un sourire attendri : aah, la jalousie …

- Toi, commence pas à m'échauffer sinon tu vas voir ce qu'il te dit, le chien-chien !

Les deux mugiwara se regardaient en chien de faïence, Robin avait enfin relevé la tête de son livre, l'air intéressé. Quant à Luffy, il ronfla de plus belle tandis que Brook reprenait en rythme une interprétation d'un concerto endiablé, augmentant sensiblement le niveau sonore déjà bien élevé de la pièce. La joute verbale continua dans un si grand désordre que les insultes se perdaient dans les notes du violon et les manifestations ronflantes du capitaine. Il régnait sur le navire une cacophonie indescriptible qui eut vite raison des nerfs de Nami déjà mis à rude épreuve quotidiennement. Elle eut rapidement assez du comportement puéril des deux hommes, et coupa court au débat d'une voix assez forte pour couvrir le tintamarre. Brook, en bon gentleman, cessa de jouer pour la laisser hurler à son aise :

- Sanji ! Tu aideras Zoro jusqu'à ce qu'il puisse marcher, point. Je ne veux pas t'entendre te plaindre et plus vite il sera rétabli, mieux ce sera pour tout le monde. Si jamais vous vous battez … Je ne préférerais pas être à votre place.

Le cuistot grogna, mais, n'osant pas contredire sa Nami chérie par peur des répercutions, se retourna et recommença à couper ses carottes, l'humeur sombre. Zoro, lui, souriait comme un dément, et petit à petit, le déjeuner reprit son cours normal.

La journée fut très pénible pour le cuisinier. Redoutant le courroux de la rousse, Sanji s'efforçait de ne pas répondre aux provocations nombreuses de Zoro qui cherchait juste à le faire sortir de ses gonds.

- Oï, baka-cook ! J'ai envie de m'aérer un peu, aide-moi à sortir ! avait lancé Zoro après le déjeuner, une fois que tous les autres membres furent partis vaquer à leurs diverses occupations.

- Deux secondes, marimo, je fais la vaisselle là, répondit Sanji, les mains dans l'eau. M'enfin ça ne doit pas te dire grand chose, « faire la vaisselle », vu que tu fous rien sur ce foutu bateau !

- Puis-je te rappeler que je l'ai fait une fois, la vaisselle, sourcil en vrille ! C'est toi qui m'as interdit d'essayer d'aider en cuisine de quelque façon que ce soit après.

- Évidemment, tête d'algue ! Tu t'es mis à prendre les piles d'assiettes pour des haltères et t'as tout foutu par terre !

- Ben voilà, rétorqua l'épéiste, avec un sourire narquois. Vas pas me faire la morale après, j'aide plus en ne faisant rien qu'en essayant d'aider. Tout le monde est content.

Sanji ne répondit pas et empoigna d'un geste rageur la dernière casserole, furieux de s'être laissé mener par l'épéiste. Après un instant de silence, Zoro bailla longuement.

- Elle est si longue que ça, ta vaisselle ? Il me semble que ça fait un moment que t'essuies le même verre, baka-cook, fit-il remarquer d'un ton railleur.

Sanji posa violemment le torchon sur son plan de travail et se retourna, adressant un regard meurtrier au sourire goguenard de son vis-à-vis.

- T'as raison, je crois que je vais t'emmener dehors et te laisser là-bas, j'entendrai plus ta voix horriblement agaçante, au moins.

Zoro eut un grand sourire alors que Sanji se dirigeait vers sa chaise. Le blond prit son bras et le passa autour de ses épaules. L'épéiste en profita pour plonger « accidentellement » son nez dans le cou du cuisinier. Il n'avait jamais été aussi proche de lui qu'en cet instant - si on exceptait ses rêves qui, malheureusement, n'étaient que des rêves- et il comptait bien en profiter. L'odeur de Sanji n'avait rien de comparable : un mélange de tabac, d'odeur de bonne cuisine et de quelque chose d'indescriptible qui n'appartenait qu'à lui. Mais, très vite, il dut détourner son visage de ce cou si tentant pour que le côté suspect du geste ne prenne pas trop d'importance.

Le cuistot, qui avait un peu rougi quand la tête de son nakama avait glissée le long de sa nuque, passa son bras autour de la taille de Zoro, sentant les muscles de son dos se délier sous sa main. Il faillit laisser échapper un gémissement de désir involontaire : Zoro, bien que d'une paresse et d'une stupidité affligeante, avait au moins pour lui son corps – et il était tout aussi affligé de l'admettre – particulièrement désirable. Et même s'il était un homme, Sanji ne pouvait s'empêcher d'apprécier la sensation de cette musculature si parfaite contre son corps, c'était plus fort que lui. Ce fut péniblement que les deux hommes atteignirent la porte qui donnait sur le pont et parvinrent à la douce lumière du soleil automnal.

- Bon, où est-ce que tu veux aller, tête d'algue ?

Zoro fit mine de réfléchir un instant. En vérité, il savait bien où il voulait se poser, mais il voulait encore profiter de la proximité du corps chaud de Sanji contre son flanc il voulait encore agripper sa hanche délicate, sentir ses cheveux lisses lui frôler l'oreille, entendre son souffle court lorsqu'il l'aidait à marcher.

- Emmène-moi sous les mandariniers.

L'allusion, toute romantique qu'elle fut, sembla échapper à Sanji pourtant spécialiste en la matière.

- Rah t'es pas exigeant toi, c'est à perpette j'te signale, marimo !

- Ferme-la et porte, Baka-cook. T'es plus mignon quand tu parles pas.

Sanji, pris de court par cette réplique à laquelle il ne s'attendait pas, se tut et grimpa sans parler -mais non sans difficulté- les marches qui les menaient au jardin de Nami. Arrivés en haut, il l'aida à s'asseoir à l'ombre d'un des arbres fruitiers et Zoro en profita pour lui mettre une main aux fesses en toute indiscrétion. Rouge de gêne, le cuistot se releva d'un coup et se cogna la tête sur une branche, ce qui fit redoubler la rougeur de ses joues. Zoro éclata de rire, ce qui lui valut un coup de pied de Sanji, qu'il para aisément.

- Ta gueule, tête d'algue ! Reste ici, ne fais rien, dors comme tu sais si bien le faire, ça devrait pas être trop difficile pour toi hein ?

- Quand est-ce que tu viendras me rechercher ? demanda l'épéiste avec un sourire moqueur.

- Jamais ! T'as qu'à crever ici de toute façon ce sera pas une grande perte ! lui répondit l'autre avec véhémence avant de se retourner furieusement.

Zoro éclata de rire alors que le cuistot s'éloignait, et, profitant amplement de la vue du fessier de ce dernier, se dit que finalement, cette entorse avait peut-être du bon après tout.


A PROPOS ... Du titre. Quel titre pourri, me diriez-vous. Mais que voulez-vous, quand on a aucune idée et bien ... On prend la péripétie principale (le marchage sur un verre brisé, dans notre cas) et on le met en anglais pour faire genre. Et ça passe tout seul ! M'enfin bref, j'espère que malgré le titre, vous avez aimé, ou vous avez détestez, pourquoi pas hein, en tout cas laissez-moi un review pour me dire vos impressions ! :)

See Ya ~