Titre : Je crois qu'on a un problème...
Pairing : aucuns pour l'instant, peut être plus tard ^^
Disclaimer : Bleach ne m'appartenant pas, pas conséquent, Ichigo, Grimmjow, Ulquiorra, Renji et les autres joyeux lurons de ce mangas cités dans cette fic non plus. Dommage!
Genre : tentative d'humour... je dis bien tentative, parce qu'il se peut que je parte dans mon élan et écrive un truc un peu plus sérieux, de plus,l'humour n'est pas forcément au goût de tout le monde ^^"
Résumé : Grimmjow, Ulquiorra, Ichigo et Renji sont tous les quatre en mission sur là, tout va bien... Mais quand tu ce beau monde se retrouve bloqué sur terre, sans pouvoirs,obligés de loger chez des humains, que va t-il se passer?
Note : Ceci est ma première fic, alors ne soyez pas trop durs dans les critiques si vous avez à en faire ^^
Chapitre I :
« - Hey, Ulquiorra? Demanda le schtroumpf le plus sexy de la planète.
- ... ? répondit le beau et inexpressif quatro.
- Est-ce qu'un arrancar peut avoir des hallucinations?
- Non. Ce ne sont que les humains, avec leurs esprits sous-développés qui en ont.
- Ah, donc, j'ai bien vu la fraise et l'ananas nous suivre ''discrètement'' depuis tout à l'heure...» Marmonna pensivement le numéro six. Ulquiorra eut pour toute réaction un demi haussement de sourcil, puis il se retourna, aperçut le surnommé ''la fraise'', mieux connu sous le nom de Ichigo pousser son camarade aux cheveux rouges dans le buisson le plus proche, voyant qu'il étaient repérés.
Ichigo, méconnaissable -ou presque- dans son beau déguisement d'arbre ambulant tirait Renji par une branche de son déguisement de buisson dès que les deux arrancars eurent le dos tourné. Il ne savait pas pourquoi Yamamoto l'avait choisi lui, pour accomplir cette mission on ne peut plus dangereuse : c'est vrai quoi, tenter de suivre le schtroumpf nerveux et le glaçon ambulant, c'est périlleux... Surtout si ils se ont repérer, et que les arrancars se décident à les torturer... Glups! Enfin, si, Ichigo savait pourquoi fil avait été choisi : car lui et son coéquipier devaient suivre leurs ennemis dans le monde réel, et notre cher ami fraise ayant été né et élevé sur Terre était mieux placé que quiconque pour accomplir cette mission. Seulement, le capitaine en chef avait oublié un léger détail : il avait été élevé au Japon. Et ils se retrouvaient dans un bled paumé dans le sud de la France, le dernier endroit où Ichigo pensait mettre le pied un jour. Donc bon, il était bien gentil le vieux Yamamoto, mais comment voulait-il que les shinigamis accomplissent correctement leur mission si ils devaient l'exécuter dans un endroit plus qu'inconnu?
Il fut interrompu dans ses pensées par son collègue ananas qui lui demanda d'une voix suave et délicate, avec son habituel langage on ne peut plus fleuri :
« -PUTAIN ICHIGO, C'EST QUOI ENCORE CE BLEEEEED?! DEPUIS TOUT A L'HEURE ON ARRÊTE PAS DE FAIRE TOUS LES TROUS PAUMES DE FRANCE, J'EN AI MA CLAAAAAAQUE!!
- Bon sang Renji, ne hurle pas! Tu tiens vraiment à te faire repérer par Grimmjow? Lança t-il d'un air de reproche. A l'annonce du nom de l'arrancar aux cheveux bleus, Renji déglutit péniblement en voyant défiler dans son esprit les images de tortures que le fou turquoise pourrait bien lui infliger. Satisfait, Ichigo lança : et puis, je connais pas plus ce coin perdu que toi... Alors contente toi de fermer ta gueule et d'être prêt à intervenir ! »
Il lança des regards à droite et gauche pour vérifier si les arrancars ne les avaient pas repérés, quand il vu une mamie qui le regardait bizarrement, son petit caniche dans les bras avait une expression toute aussi incrédule. Il poussa un juron -que la censure m'empêche de mettre ici, après tout, il y a très certainement de jeunes âmes innocentes qui passent par ici, ça les choquerait trop- en se rappelant qu'il était dans son corps d'humain et que le shinigami qui l'accompagnait ainsi que les deux arrancars étaient dans des gigais, et que de plus, il était passablement ridicule déguisé en platane ambulant.
Les deux arrancars s'arrêtèrent à l'entrée d'un village, plein de platanes et de buissons, une aubaine pour nos deux shinigamis déguisés en végétaux. Le panneau devant eux portait la mention ''La Fare les Oliviers''.
« Youpi, marmonna le bleu, visiblement mécontent de devoir traverser encore un autre minuscule village où toutes les humaines dans les rues les dévisageaient comme si elles les considéraient comme des repas très appétissants. Bon, Ulquiorra, j'en ai ma marre, pitié, laisse nous faire un sonido pour qu'on arrête d'écumer les bleds complètement paumés du Sud de la Transe... non, de la Panse... A moins que se soit l'Anse? Réfléchit-il, cherchant à se rappeler du nom de ce pays du monde réel.
- Pas besoin. On est arrivé.
- Et bien Ulqui, on est d'humeur bavarde aujourd'hui! Tu as dit trois phrases complètes en moins d'une demie heure! Mais que t'arrive t-il? Lança Grimmjow, sarcastique. »
Notre glaçon préféré ne répondit à cette attaque que par un de ses «...» dénué d'émotions, comme il les maîtrisaient si bien.
Il était temps pour les deux hommes venus du Hueco Mondo d'accomplir la mission confiée par leur maître, Aizen-Sama : le quatro pointa un doigt devant lui, prêt à lancer un cero sur puissant pour rayer ce village de la carte à la demande de Aizen-Sama. Aizen-Sama... En pensant à lui, Ulquiorra poussa un soupir de frustration. Cette mission sur Terre s'éternisait, et cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus eu l'occasion de cirer les pompes du maître du Hueco Mondo.
Quelle ne fut pas la surprise -très habilement contenue, évidemment. Comme si notre Ulquichou international était capable d'extérioriser ses sentiments!- quand aucun cero ne vint illuminer le bout de son index. Surpris, il essaya avec le majeur, puis l'annulaire et tous les doigts de la main droite, mais rien ne se produisit. Alors, une idée lui traversa l'esprit : comme il était gaucher (c'est très probablement faux, mais j'avais envie qu'il soit gaucher, alors bon, on va faire comme si c'était vrai xD), il allait essayer avec sa main gauche. Mais rien ne se produisit, alors qu'il avait essayer avec tous ses doigts, et même ses orteils.
C'est alors qu'une idée de génie traversa l'esprit du schtroumpf : « Peut être que tes pouvoirs sont bloqués dans ce gigai de merde? Suggéra t-il. Et oui, Grimmjow était capable de dire autre chose que des menaces et des insultes (quoi, que...) et sans hurler. C'était probablement le calme plat qui régnait aux alentours qui avait déteint sur lui. Laisse moi essayer!»
Déçu, le quatro regarda sa main, l'ai aussi inexpressif qu'à l'accoutumée, en lui lançant un «...» menaçant, lourd de reproches.
Le Sexta tenta à son tour de produire un cero et détruire ce village. Quand il constata qu'il était, tout comme son collègue, rigoureusement incapable de produire le moindre cero, le calme qui l'habitait disparu comme il était venu.
« PUTAIN DE BORDEL DE MEEEEEERDE! Il se tourna vers l'endroit où nos deux shinigamis étaient pourtant bien planqués -ou pas!- et lança, menaçant : FRAISY! ANANAS MAN! MAGNEZ VOUS DE RAMENER VOT' CUL ICI, ET TENTER D'UTILISER VOTRE TRUC DE TAPETTE LA, LE KIDO! »
Effrayés par les capacités vocales non négligeables de l'arrancar numéro six,nos deux courageux compères s'approchèrent sur la pointe des pieds, mais restèrent à une respectable distance de Grimmjow. Courageux, mais pas suicidaires! Ichigo fut le premier à tenter un kido, sur Renji (il été tenté de l'utiliser sur le bleuté, mais pas fou, ce dernier lui avait conseillé de s'en prendre au rouge, à moins qu'il veuille perdre la vie prématurément.). L'orangé échoua, mais personne ne s'en étonna plus que ça, son incapacité au kido étant connue jusqu'au Hueco Mondo. Puis ce fut le tour de Renji. Lorsqu'il constata qu'il n'arrivait pas à utiliser un simple et banal kido d'immobilisation sur Ichigo, il fut dérouté. Soudain, une pensée traversa l'esprit du beau et ténébreux arrancar numéro quatre : Et si ils avaient tous perdus leur pouvoirs? A voir la tête déconfite de Renji, l'air contrarié de Ichigo, et en entendant Grimmjow vociférer des choses comme : «PUTAIN DE MONDE REEL DE MEEEEEERDE!!!!», Ulquiorra sut que les autres en étaient arrivés aux mêmes conclusions.