Disclaimer: Rien à moi sauf l'histoire )

Compréhension de lecture: Draco, qui est le narrateur dans le prologue, parle aussi à des enfants et à Harry qui sont avec lui, mais eux on ne les entends pas. Bref, je suis incompréhensible, mais vous comprendrez en lisant, j'imagine ahah!

Notee de l'auteur: Bonjour les gens! Et oui, vous ne rêvez pas... c'est bien Lovely A avec la suite du Lionceau de Poudlard, intitulé, Le Traducteur de Poudlard. J'ai aucune idée de quand date mon dernier postage, mais il s'est passé bien des trucs dans ma vie et j'ai tout simplement mis l'écriture de côté. C'est même surprenant que j'ai tapé ce prologue en deux jours, mais c'est bien parce que je sors d'une maladie qui m'a complètement mise à terre, et ma mère veut que je reste tranquille à la maison même si je boue d'enthousiasme. Alors j'ai décidé de m'y mettre.

C'est pas exactement ce que j'espérais pour le prologue... mais si je m'écoutais, vous n'auriez jamais les chapitres ahah! Je suis tellement perfectionniste quand il sagit de ce que j'écris... y'a jamais rien de bon, je vous le jure! Et puisque je considère que vous avez assez attendu, je n'aie pas fait corriger le prologue donc je n'aie pas le moindre petit avis sur ce torchon et ça m'inquiète. Vous me ferez plaisir avant de partir j'espère ).?

Ooh, et je vous avertis, je ne crois pas faire des chapitres aussi long que dans LP, et je ne sais pas quand je vais publiez. Finalement, ce n'est pas une bonne idée d'attendre d'avoir terminée la fic avant de poster... je ne la commence pas, ou bien j'efface tout ce que j'ai fais --'.

Dernière chose, je publis la suite de LP, avec un peu de réticence... je ne sais pas qu'est que ça va donner, et j'ai bien peur de vous décevoir. J'ai beaucoup changée depuis le premier chapitre de LP et mon style d'écriture aussi. Je ne crois pas être aussi drôle, le sarcasme a prit une grande place dans ma chère vie, et je suis hilarante quand je parle, spontanément... enfin, je vais faire la fic jusqu'au bout, peut-être que je n'aie tout simplement plus l'habitude. Qui sait, je vais reprendre de la graine en travaillant! C'est peut-être comme la bicyclette...

Enfin! Je vais vous laissez avant d'écrire plus long que le prologue ahah!

Bonne lecture D 33


Le traducteur de Poudlard

Prologue

Prologue

( pour faire original hihi! )


Quand je me suis levé ce matin-là, je m'attendais à vivre une journée normale. Enfin. Après avoir passé quelques mois en lionceau, je me disais que j'avais bien droit à ça. Mais, naturellement, on en avait décidé autrement!

En marchant vers la Grande Salle, et en voyant la tête perdu d'Harry, je me suis simplement dit avec un sourire suffisant qu'il devait se remémorer la nuit torride qu'on venait de passer. L'idée qu'il aurait pu être plus enthousiasme ne m'était pas venue à l'esprit. Après tout, il fallait bien lui laisser le temps de s'habituer au fait que je reviendrai plus en animal le lendemain matin.

En y repensant, c'est tout de même quelque chose qui a du le traumatisé. La nuit, un bel homme apparaît nu dans son salon et le lendemain matin, après avoir passé une nuit de baise avec lui, il retrouve entre ses couvertures un simple chat. Allo le traumatisme.

« De quoi tu parles! » s'exclama alors Harry, d'une voix si mélodieuse que j'en sursauta de surprise.

« Mais j'ai rien dis! » je répliqua en tenant mon cœur palpité d'une main.

« Bien sûr tu parles comme une pie depuis tantôt à propos d'une de tes tantes qui avaient perdus tant de pieds que c'était à se demander comment elle faisait encore pour marcher! » continua t-il en balayant l'air de ses bras.

« Ok, et c'est Ron qui est fou? » je secoua la tête avant de reprendre. « Chacune de mes tantes ont toujours eu deux pieds et n'en n'ont jamais perdu un seul, » concluais-je en tendant les deux mains devant moi.

Oui, je sais, je suis complètement nul pour raconter des histoires. Je vous avais prévenu, mais vous avez insistés pour que je vous raconte le début quand même. Tant pis pour vous. Mais ne vous en faites pas, demain, Harry ne va pas oubliez d'apporter la pensine, et l'action se déroulera dans sa tête, à l'époque où ça s'est produit. Je vous le promets, vous allez en rire un bon coup!

Bon, on en étions-nous? Ah oui!

« Alors si ce n'était pas toi, et que nous sommes seuls dans ce corridor… qui étais-ce? » me demanda Harry, en regardant partout autour de nous.

Je levai les yeux au ciel, avant de les reporter sur le sol pour les frotter avec mes doigts.

« Sûrement ce mille-pattes qui comptait sa vie à cet autre mille-pattes, » ais-je dis sarcastiquement. Pour la deuxième fois ce matin-là, Harry me fit terriblement peur.

« Ne plaisante pas, Draco! » fit-il en m'empoignant brusquement par les épaules – la source de ma frayeur -, avant de regarder les mille-pattes. « Maintenant que tu le dis… on dirait vraiment que la voix provient d'eux… » avait-il continué, les yeux agrandit par une quelconque affirmation sûrement très intelligente. Non, non, je ne suis pas sarcastique. Que veut dire ce mot?

Dans tout les cas, je décida que j'avais eu assez peur et que mon ventre avait assez patienté. Il était l'heure d'aller manger. Et j'avais – truc qui marche encore, cela dit – un truc infaillible pour attirer toute l'attention d'Harry Potter sur moi.

Je le poussai donc contre le mur. Ses yeux merveilleusement verts se posèrent naturellement sur moi, mes mains trouvèrent refuges dans ses cheveux alors que mes lèvres capturèrent les siennes pour un baiser passionnel. Je collai mon corps le plus proche possible du sien, tandis que ses mains glissai de mes bras jusqu'au creux de mes reins – et, pour l'une d'entres elles, sur une de mes fesses, héhé. J'entendis ce que j'aime toujours autant entendre, un gémissement étouffé par nos lèvres venant de mon Gryffindor préféré. Et une petite lumière dans ma tête fit tilt et je me reculai – à contrecoeur, naturellement.

« S'il te plaît, Harry, on va manger? » lui dis-je en lui mordillant doucement la lèvre inférieure. « On aura le reste de la journée pour s'amuser… »

« Hanhan… » acquiesça t-il simplement, avant de me voler un cours baiser et ma main, qu'il noua à la sienne.

Il en oublia son histoire de mille-pattes, et Harry abordait à présent un grand sourire, qui me fit sourire aussi. Je savais qu'il imaginait le reste de notre journée, je tentai donc de m'imaginer ce qu'il imaginait, ce qui me faisait aussi sourire. Enfin bref, aux yeux des gens que l'on croisai par la suite, nous étions tout simplement deux amoureux qui souriaient bêtement en se tenant la main.

Nous n'aurions toutefois pas souris du tout, si nous avions su le véritable programme de notre journée…


OoOoOo


Tout se déroulait très bien au début. Nous étions assis avec les potes, à la table des Slytherin, et nous écoutions Ron raconter une blague particulièrement drôle mais que j'ai oublié depuis le temps. Si on aurait eu la pensine… enfin. Reste que ce matin-là, tout le monde avait l'impression d'avoir retrouvé le bon vieux Ron. C'était beau de voir le sourire de Blaise!

Oui bon. Alors comme je disais, tout se déroulait bien au début. Harry avait complètement oublié ses mille-pattes, il avait repris des couleurs et il n'avait plus un air d'abruti de parano. Désolé, ce n'était pas trop méchant comme insulte? Vous verrez, il y aura bien pire dans les pensées d'Harry, demain.

Et puis, alors que tout le monde souriait, parlait, mangeait – on était un dimanche matin, on avait de quoi se la couler douce, pas d'études pour personne! -, les chouettes sont arrivées. Sur le coup, c'était pas si mal, puis Harry avait grimacé et ainsi attiré mon attention.

« Qu'est qu'il y a? » je lui demandai doucement en passant mon bras autour de ses épaules.

« Y'a beaucoup trop de gens qui parlent… ce n'est pas normal… » m'avait-il répondu, me faisant froncer les sourcils.

« Mais c'est normal que les gens parlent dans la Grande Salle. »

« Je sais, putain, y'en a juste trop tout d'un coup! »

« Pas la peine d'être chiant, hein… » j'avais répondu, avant d'ôter mon bras et de bouder.

Ouais, Harry n'avait vraiment aucune considération pour moi. Il était méchant, il me parlait avec froideur et il venait toujours me manipuler pour se faire pardonner. Vraiment il… quoi? Comment ça c'était mon comportement! J'ai toujours été un a-mou-re! Mais je sais qu'en plus ça ce ne c'est pas déroulé comme ça! Comment tu veux que je me souvienne de tout par cœur? Je mets ma sauce un peu, c'est tout… Ouais, ok, je vais garder ma sauce pour le dîner ce soir et je vais tacher de faire marcher ma mémoire!

Alors que je boudais pour une raison que l'on ne nommera pas, vu qu'elle est supposément fausse, Harry avait décidé qu'il en avait marre d'entendre autant de gens parlés. Et qu'est qu'on fait quand on veut que tout le monde se taise?

« FERMEEEEEEEEEEEEEZ-LÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀÀ!!!!!!!!!!! » On fait ça.

Quelques secondes plus tard, le silence régnait dans la Grande Salle et toute l'attention des gens de celles-ci était tournée vers le brun aux yeux verts que tout le monde admire. C'est vrai, alors ne nie pas, merci de te taire je raconte l'histoire aux enfants! Pff, vraiment…

« Tu es satisfait, maintenant? » je lui demandai en tournant la tête vers lui, une moue boudeuse toujours accrochée aux lèvres.

« NOooooNnnn! Dray, j'entends encore des voix… c'est pareil comme tout à l'heure… »

« Tu veux dire quand tu croyais que les mille-pattes se parlaient? » j'avais continué, en levant un sourcil interrogateur.

Quelques personnes avaient dans la Grande Salle, mais – héhé – j'avais un regard glacial qui les avait fait taire rapidement. Ils n'avaient pas le droit de rire de lui, bon.

« Je ne crois pas, j'en suis sûr, » Harry avait cette fois-ci répondu avec plus d'assurance, et il avait arrêté de se tenir la tête comme si elle avait l'intention d'exploser.

Mes sourcils se sont froncés alors que je m'étais tourné complètement vers mon petit ami.

« Harry… » mais je ne terminai pas ma phrase.

Non car, brusquement, Harry s'était retourné vers l'élève assis derrière lui, et l'avait empoigné par le col de son uniforme.

« Tu vas arrêté de te penser bon et tu vas nourrir ta foutue chouette, ok? »

Je vous le jure. Tellement qu'Harry avait été menaçant avec sa voix glaciale, ses yeux noirs et tout simplement en étant lui, le mec avait blanchit et avait prit quelque chose comme une dizaine de petits trucs qu'il avait ensuite tendu à sa chouette.

À cette minute, j'ai été terriblement fier d'être LE copain d'Harry Potter. Je sais que je ne te l'aie jamais dit, tu sais bien que j'étais bien trop orgueilleux! Justement pour éviter que tu me fasses ce petit sourire satisfait!

COMME JE DISAIS, c'était bien drôle de voir ce Slytherin aussi blanc que les Weasley sont roux. Si je me souviens bien, il en avait entendu parler longtemps de celle-là. Et non, je n'avais rien à voir là-dedans – héhé…

Bref! Naturellement, l'éclat d'Harry avait attiré l'attention des professeurs. Severus et Sirius sont rapidement arrivés près de nous.

« Ryry subit des effets secondaires? » avait presque roucoulé Sirius en passant sa main dans les cheveux dudit Ryry. Celui-ci le fixait et se demandait visiblement s'il devait le traiter de con ou bien lui demander de quoi il parlait.

« Mais qu'est qui te prend, Black? » avait alors demandé Severus, coupant Harry dans ses choix sans le savoir. Mon brun s'était contenté d'attendre la réponse.

À ce moment, Sirius avait eu l'air de prendre conscience de son geste. Lentement, il avait ôté sa main des cheveux d'Harry et s'était relevé, avant de croiser les bras sur la poitrine et levé les yeux au ciel et marmonné quelque chose d'inaudible.

« Quoi? » demandai Harry, qui s'était dit qu'il était peut-être le seul a rien avoir entendu à cause de ses voix imaginaires – mais qui ne l'étaient pas réellement, je n'oublie pas de spécifier!

« Mmh… je disais juste que je me pratiquais. Pour le bébé. Tu avais l'air… mmh… enfin bref. Sev'? »

« J'imagine que je peux en parler ici, cela nous évitera de refaire le message au dîner ce soir, » avait commencé à raconter Severus de sa voix habituellement froidement neutre. Je sais, c'est bizarrement dit, mais j'aime ça, bon. « Nous avons à faire, tout simplement, à un effet secondaire de la potion que vous avez pris pour communiquez à Draco lorsqu'il était lionceau. De ce fait, vous pouvez communiquez avec tous les animaux de cette planète. »

Vous vous souvenez du gars qui avait blanchit après que Harry lui ait parlé? Et bah, c'était vraiment rien comparé à la pâleur qu'avait prit le visage d'Harry à cette nouvelle.

« Jusqu'à temps qu'on trouve un remède, naturellement, » s'était pressé d'ajouter Sirius, en voyant le visage d'Harry, et son regard désespéré.

« Si tu veux, on ira à l'infirmerie pour te prendre des pilules contre le mal de tête Harry, je crois que tu vas en avoir de besoin, » avait ensuite ajouté Blaise avant de pouffer discrètement dans le cou de Ron.

Moi-même je me retenais drôlement pour ne rigoler. C'était le cas pour beaucoup de monde. Imaginer. Harry pourrait discuter avec tous les animaux que la Terre portait. Y'avait de quoi rire. Sauf pour Harry, qui se levai lentement, et marchai vers la sortie de la Grande Salle en posant les mains sur ses oreilles, en essai vain de cesser, j'imagine, le flot de paroles des étudiants et des chouettes qui étaient encore dans la Grande Salle.

J'avais souris, pis rigoler un peu, avant de reprendre du sérieux et de sortir en coursant léger pour rattraper Harry. Pour l'instant je ne me doutais tout simplement pas à quel point cette situation allait se retourner autant sur moi que sur Harry. Non, pour l'instant, je ne voyais rien d'autre qu'Harry qui était assis sous un arbre dans le parc, fixant l'eau mais je m'étais fais la remarque, je me souviens, que si elle n'avait pas été là, ça n'aurait fait aucune différence.

« Harry? » j'avais dit en me laissant tomber face à lui.

« Je vais vivre l'Enfer… » avait-il murmuré sans même me regarder.

Je levai les yeux au ciel, puis je m'installai à genou entre ses jambes avant de prendre son menton dans ma main, forçant ses prunelles à plonger dans les miennes.

« Ça ne peut pas être si terrible, tu vas sûrement t'y habituer et bientôt ça ne te fera ni chaud ni froid! »

« Est-ce que tu t'habituerais à ce qu'un poisson souhaite que tu aies assez chaud pour venir se baigner, pour ensuite te frôler subtilement pendant ta baignade? »

Je vais me contenter de dire que ce fut mon tour de blanchir, et que j'avais obstinément refusé de tourner la tête vers le lac pour le reste de la journée.

Naturellement, je coupe l'histoire ici. La suite, et bien, vous la verrez demain, dans la pensine. Ça va être beaucoup plus divertissement!


Voilà! J'espère que vous n'avez pas eu trop de mal avec le fait que Draco narrait à Harry et aux enfants parfois hihi!

Maintenant, il ne me reste plus qu'à vous demandez votre avis... je suis tendue et toute excitée en même temps!