Trust :

Et voilà je suis de retour avec une nouvelle histoire un peu particulière, en tout cas j'espère qu'elle vous plaira !

\!/ ATENTION \!/

Cette histoire est à l'origine une fiction écrite en anglais par LucyNyy et je ne fais que la traduire pour ceux qui ne comprennent pas l'anglais !
Je suis très honorée qu'elle ait d'ailleurs accepté que je le fasse alors j'espère que cette histoire vous plaira autant qu'à moi :D et surtout si vous lisez en anglais n'hésitez pas aller lire son histoire en VO ) !

Le rated est aussi monté à M pour de très bonne raison car cette fic contient : des scènes de viol, de torture (physique et mentale), du yaoi, de l'asservissement, de l'inceste et des scènes de sexe explicites. DONC SI VOUS N'AIMEZ PAS NE LISEZ PAS !

\!/ ATENTION \!/

Paring : il pourrait éventuellement avoir un petit ZoSan et pour ça, rappelez-vous bien que vous pouvez encourager l'auteure sur son propre profil :) !
Rating : M JUSTIFIÉ
Disclamer : Cette histoire appartient EXCLUSIVEMENT à LucyNyy quand à One Piece c'est toujours à Oda-sama ! Quant à moi je ne fais que traduire cette superbe fic :).


Chapitre 1 :

« _ Je suis désolé, je suis désolé, je ne voulais pas être en retard, mais un des professeurs a voulu me parler à propos de certain point que je pourrais gagner pour l'école1, je suis désolé, juste, s'il te plaît… ! »

C'était la troisième fois cette semaine qu'il était rentré en retard à cause de certains de ses professeurs qui voulait lui parler à propos d'un travail supplémentaires ou de devoir qui lui permettraient d'obtenir plus de points. À chaque fois, il avait tout fait pour essayer d'être là à l'heure, mais il n'y était finalement pas parvenu et était une fois de plus arrivé en retard.
Vu de l'extérieur, n'importe qui l'aurait vu comme un simple garçon de terminal au lycée d'Alabasta, apprécié de ses pairs et de ses professeurs. Il semblait avoir été pensé et créé pour mener une vie parfaite. Il était beau, svelte et grand, qui plus est un excellent élève. Les filles l'aimaient et les garçons l'enviaient. À peu près tout ce à quoi un garçon de son âge pouvait aspirer en vérité.
Seulement pour lui, tout ça n'était qu'une couverture, sa vie quotidienne était loin d'être aussi parfaite. Il ne pourrait jamais l'avouer à qui ce soit mais jour après jour, son quotidien n'était qu'un immense enfer dans lequel il s'enlisait depuis déjà 17ans. Aujourd'hui ne ferait pas exception.

Il était arrivé 10min en retard à cause de son professeur de "home-economy"2 qui souhaitait lui parler de points supplémentaires qu'il pourrait obtenir grâce à sa matière pour entrer dans l'école de cuisine qu'il visait l'année prochaine. Bien sûr, le compromis était intéressant et il savait qu'il devait saisir cette chance… Il avait simplement espéré que ça ne lui prendrait pas beaucoup de temps. Ça n'avait pas été le cas.

Son père était furieux. Arriver à l'heure à la maison était une de ces choses qui l'obsédait. Il disait que savoir être à l'heure était une des vertus les plus nécessaires et importantes pour un homme et en soit, il n'avait pas tort. Simplement, sa façon d'éduquer son fils incluait de le rabaisser à chaque fois que celui-ci enfreignait les règles. À ses yeux, il était normal de savoir quand punir et quand récompenser, même si le lycéen ne se souvenait plus à quand remontait sa dernière « récompense ».

Il croyait que son fils avait besoin d'être puni, puni pour tout ce qui pouvait arriver et le concerner de près ou de loin.

Si sa femme était encore en vie, il n'aurait pas besoin de prendre des mesures si excessives mais après tout, c'était la faute de son fils si elle était morte. Donc, il avait besoin d'être puni. Puni pour tout ce qu'il avait fait à leur famille.

« _ Combien de fois t'ai-je déjà dit de rentrer à la maison à l'heure !? Cria son père en lui balançant un coup de poing qui le fit voler au travers de la pièce. Tu n'es qu'un putain de gosse de merde ! J'aurai du te donner à un orphelinat dès ta naissance ! Maintenant va dans ma chambre et déshabille-toi, tu auras la punition que tu mérites ! »

Il se releva doucement en s'appuyant sur le mur, sa tête le lançait et brulait là où son père l'avait frappé. Lentement, chancelant, il tituba jusqu'à la chambre de son géniteur, sans dire un mot. Il avait depuis longtemps apprit à se taire. Il était battu depuis tellement d'années maintenant qu'il ne pouvait s'en souvenir mais il n'avait essayé de se dresser contre son père qu'une seule et unique fois. Il n'avait pu imaginer à quel point le retour du bâton serait terrible. Maintenant, c'était devenu une habitude quotidienne, il savait garder la bouche fermée. Il supportait la punition sans protester, il se taisait, même lorsque son père ne le frappait que pour son plaisir…

Il se rendit donc dans la chambre de son père et se déshabilla comme il le lui avait demandé, s'agenouillant sur le lit. Offert…
Il entendit son père détacher sa ceinture et s'avancer derrière lui.

« _Tu es arrivé avec 10min de retard, ça donc fera 10 coups et tu vas les compter à haute voix.

_ Oui père. »

Il ne pouvait pas s'opposer à lui, se résigner était la seule chose qu'il était en mesure de faire et il se détestait pour être devenu si faible.

Le premier coup était toujours le pire. Dès qu'il entendit le bruit du cuir claquer sur la peau nue, il se mordit le bas du bras pour s'empêcher d'hurler alors qu'une douleur fulgurante lui traversait le dos.

« _ Un. » Souffla-t-il entre ses dents.

Le second suivi toute suite après et il dut se concentrer pour continuer de compter sans que sa voix ne se transforme en cris. Au bout du 5ème coup, l'engourdissement de son corps ne lui permettait même plus de distinguer les nouvelles zébrures rouges qui lui lacéraient le dos, des précédentes. Mais il savait d'expérience que la douleur reviendrait après.

Il entendait son père commencer à s'essouffler et il savait qu'il prenait un immense plaisir à voir son fils si faible.

Lorsque le 10ème coup de fouet claqua dans son dos, il se laissa complètement tomber sur le lit, enfouissant sa tête dans les draps pour cacher les larmes qui avaient commencé à couler sur ses joues. Fait chier...
Son père finit d'enlever son pantalon et il le sentit se pencher sur son dos.

« _ Si tu étais rentré à l'heure je n'aurais pas besoin d'aller plus loin que les préliminaires, mais comme tu sembles ne pas vouloir apprendre, je dois continuer de te punir encore et plus durement à chaque fois. Pas que ça m'importe, mais tu veux pouvoir marcher demain, non ? »

Oui, il aurait aimé pouvoir marcher le lendemain, mais argumenter avec son père n'était pas quelque chose qu'il pouvait faire pour l'instant. Il se contenta donc, d'hocher la tête en espérant que son père s'arrêterait là pour aujourd'hui. Il ne voulait surtout pas laisser cet homme entende sa voix craquer car il savait que ce serait dû aux larmes qu'il n'aurait pu retenir.

« _ Bien, maintenant tu sais que je devrais être encore plus violent si tu arrives une nouvelle fois en retard cette semaine n'est-ce pas ? »

La voix de son père se faisait rauque à présent, et il acquiesça de nouveau, n'osant pas parler. Il savait ce qui allait arriver ensuite et il s'y était préparé…

Forçant le bas de son corps à ce relaxer, il attendit, immobile, que son père mette à exécution sa menace. Sans préparation, ni de lubrifiant... Il espérait juste qu'il serait assez doux pour lui éviter les points de suture cette fois. Lorsqu'il sentit deux mains saisir ses hanches et les pouces de son père écarter ses fesses, il tenta de se relaxer une fois de plus et se retira au plus profond de son esprit, comme il le faisait habituellement. Mais lorsque son père s'enfonça brutalement en lui, il ne put plus penser à rien d'autre qu'au sentiment de se faire déchirer de l'intérieur et à la douleur atroce qui avait éclaté dans le bas de son dos. Il n'eut pas le temps de s'y habitué que son père se retira et le pénétra une second fois encore plus violement, s'enfonçant encore plus en lui et frappant sa prostate de plein fouet. L'espace d'une seconde sa vision se troubla et le plaisir qui était venu avec ce second coup se perdit dans l'écrasante douleur qui lui tailladait le corps.
Fait chier, fait chier, fait chier, je suis en train de devenir dur à cause de ça, merde.
Il détestait ce que son père lui faisait et soit capable de le faire bander de la sorte. Maudissant son corps traître pour vibrer à cette torture, il mordit de nouveau son bras et se concentra sur la souffrance que les coups de rein de son père lui infligeaient, étouffant les hurlements de douleur qui lui montaient dans la gorge.
Il ne voulait pas donner à son père le plaisir de l'entendre crier.

Puis, alors qu'il était sûr que son géniteur avait remarqué que son corps n'était pas resté indifférent, il le sentit accélérer le rythme, y mettant plus de force à chaque poussée et appliquant ses coup au hasard à tel point qu'il lui était de plus en plus difficile de retenir ses cris. La douleur était juste trop insupportable à présent, les larmes ruisselaient sur ses joues sans qu'il ne puisse plus les réprimer et il aurait voulu crier à son père d'arrêter, mais il ne pouvait pas et ne voulait pas lui montrer à quel point ça faisait mal. Il ne le laisserait jamais gagner cette bataille.

À travers la douleur il commençait à sentir l'orgasme arriver. Il aurait aimé que son corps cesse de le trahir et ne pas montrer à son père à quel point il aimait être utilisé comme un sex-toy même si son esprit aurait voulu crier pour que tout ça s'arrête. Son père était sur le point de venir maintenant, il pouvait le sentir, la cadence de ses coups de rein avait légèrement ralenti mais la force qu'il y mettait était toujours aussi forte, si ce n'était plus. Il pouvait sentir le souffle de son père sur la peau de son bas-dos, lui déclenchant des frissons aussi humiliant qu'incontrôlables. Quand soudain il senti son père passer sa main sous son ventre et commencer à caresser son membre en rythme avec ses mouvements. Putain, pourquoi avait-il besoin de faire ça !? Fait chier, je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps…

« _ Je… Père… Vais venir… ». Il avait essayé de maintenir sa voix ferme jusqu'au bout de sa phrase mais elle s'était brisée sur le dernier mot et il était sûr que son père l'avait entendu.

« _ Ben viens, sale gosse de merde. »

Il était devenu dur depuis un moment déjà et il jouit dans la main de son père au milieu des draps. Celui-ci vint à son tour après quelques nouveaux coups de butoir et atteint l'orgasme avant de s'effondrer sur le dos de son fils.
Quand son père finit par se retirer pour s'enfermer dans la salle de bain et prendre une douche, il aurait juste voulu se recroqueviller sur le lit et sombrer dans ses cauchemars, mais il ne pouvait plus bouger, ça faisait trop mal, d'abord les coups de fouet puis le sexe…
Je déteste ça, merde ! Je le déteste lui et je déteste ce putain corps trop faible !
Il aurait voulu crier et hurler à son père à quel point il le détestait pour ce qu'il lui faisait, combien il lui faisait mal jour après jour, mais il n'avait pas la force, ou le courage de le faire. Il se sentait tellement faible et vulnérable, et il détestait tellement ça !

Tandis qu'il attendait que la douleur lancinante qui lui traversait le corps s'apaise, il entendit son père entrer dans la cabine de douche de la salle de bain située de l'autre côté du couloir. Il pensait bien avoir besoin d'une douche lui aussi, la semence de son géniteur ainsi que son propre sang s'écoulaient le long de ses cuisses et son propre sperme maculait son ventre d'une substance collante.
Répugnant.
Et comme si cette image mentale ne suffisait pas, la seule chose qu'il pouvait sentir autour de lui c'était ce mélange de sexe et de sueur ainsi que les effluves d'alcool de l'haleine de son père. N'importe qui d'autre aurait sûrement tourné de l'œil, mais il était tellement habitué maintenant qu'il n'étant en réalité dégoûté que par sa propre faiblesse et son incapacité à tenir tête à son père.

Remarquant qu'il était de nouveau capable de bouger un peu, il se traina jusqu'à un coin du lit et s'y recroquevilla de façon à éviter de trop souffrir. Les années à avoir été battu et violé lui avait donné beaucoup de temps pour apprendre à vivre avec la douleur et trouver les positions dans lesquels il avait le moins mal. C'était devenu une partie de sa vie quotidienne maintenant. Au début son père ne faisait que le frapper et n'utilisait qu'occasionnellement sa ceinture pour le fouetter. Puis, pour son dixième anniversaire, son père l'avait attaché au lit en lui disant qu'il s'agissait d'un cadeau. Ensuite il l'avait déshabillé, et il l'avait violé, une première fois. À partir de ce jour les coups avait été de plus en plus violents, les marques plus profondes et son père avait été forcé de le soigner lorsqu'il n'était plus capable de le faire lui-même. Le viol n'avait été utilisé comme punition que plus tard lorsqu'il avait imprudemment osé donner son opinion sur la torture qu'il recevait. Son père l'avait alors ligoté contre un mur et l'avait pris si violement et si longtemps, qu'il n'avait plus été capable de rester debout ou assis durant deux jours. Il venait tout juste d'avoir onze ans…

Dieu que je déteste ça ! Merde j'ai vraiment besoin d'une cigarette là.
Levant les mains, il fouilla dans les poches de son sweat qu'il avait heureusement laissé à sa gauche près de lui et en sortit son paquet de cigarette. Il savait que son père détestait quand il fumait dans sa chambre, mais il ne s'en préoccupa pas, son géniteur ne voudrait sans doute pas le prendre une fois de plus ce soir, et, qu'était-ce que quelques coups, encore ? Il aurait mal de toute façon.

Allumant un des bâtons de nicotine, il en aspira une première bouffée et laissa la fumée emplir ses poumons. Cela le calma un peu et il sentit son corps se détendre légèrement. Son père était encore sous la douche, sûrement en train de se branler. Il avait toujours été capable d'enchaîner plusieurs 'rounds', même après l'avoir violé une première fois. Au moins il avait eu la décence de le faire tout d'un coup cette fois et de ne pas lui arracher plus qu'il n'avait déjà donné. Sa cigarette finie, il sentit enfin une fatigue réparatrice s'emparer de lui et, après avoir écrasé le mégot dans le cendrier de la table de nuit, il plongea dans un de ses cauchemars qui remplissaient son sommeil au quotidien.


/Debout face à lui, se trouvait ce vieux miroir il regardait son corps battu. Il saignait, il pouvait le voir et il savait pourquoi. Le rasoir dans sa main lui prouvait qu'il était celui qui était à l'origine des coupures sur ses avant-bras. En levant les yeux, il aperçut son visage. Sa lèvre était fendue là où son père l'avait frappé et sa mâchoire enflée. « Tu es faible ». Son reflet tout entier le lui criait et il savait que c'était la vérité. Il était faible. « Aller, vas-y, prends la lame et mets donc fin à ta vie si pathétique ! » Non, il ne voulait pas mourir, mais son corps ne l'écoutait pas. Il vit comment sa propre main souleva la lame avant de la placer sur son poignet et comment il infligea lui-même cette balafre verticale sur toute la longueur de la chair tendre. De haut en bas. Il aurait voulu arrêter, il ne voulait pas ça, il aurait souhaité crier à son corps de ne pas continuer, mais aucun son ne sortait de sa bouche. Il regarda son sang déborder de sa blessure, et il sut que c'était trop tard à présent. Il avait commis l'indicible. Alors que le fleuve de sang continuait de s'écouler de son bras et de tomber lourdement sur le sol, il sentait l'obscurité se faire autour de lui. Les ténèbres l'engloutissaient./


Lorsqu'il se réveilla, il était couvert de sueur et tout son corps tremblait.
Juste un autre rêve...
Regardant autour de lui il remarqua qu'il était dans sa propre chambre, il portait de nouveau son sweat et son père avait eu la décence de lui remettre son caleçon.
Et bien, merci beaucoup pour cette putain d'attention ! Maintenant lui aussi va être couvert de sperme et de sang !
Retenant sa respiration, il se redressa lentement, essayant de minimiser la douleur qui se propageait tout du long de sa colonne vertébrale. Sur la table de nuit, son père avait laissé une boîte d'antidouleurs et un verre d'eau, comme à son habitude. Il prit les pilules et les avala d'une traite. Sa montre affichait 5h15 du matin, soit encore 3h avant le début des cours. Bien, ça lui laisserait le temps de se préparer et de cacher tout ça avant de devoir partir pour l'école. Peut-être aurait-il même le temps de terminer ses devoirs qu'il n'avait pas pu faire la veille...

Quand les antidouleurs commencèrent à faire effet, il posa doucement ses pieds sur le sol et se leva. Marchant lentement, il se dirigea vers la salle de bain et remarqua que la porte de la chambre de son père était ouverte. Il y jeta rapidement un coup d'œil pour être sûr de ne pas l'avoir réveillé et soupira de soulagement lorsque les bruits de ses ronflements lui parvinrent aux oreilles. Il ferma alors doucement la porte et, revenant sur ses pas, retourna dans la salle bain où il s'enferma à clef.

Il y avait une autre chose importante qu'il avait apprise grâce à ces traitements brutaux... Se déshabillant entièrement, il contempla son corps meurtri dans le miroir qui faisait face à la porte. Les blessures qui couvraient son corps étaient moins graves que ce qu'il n'aurait pensé : sa lèvre n'était fendue que sur la partie inférieure et sa joue juste un peu enflée. Ses côtes en revanche lui faisaient bien plus mal. On pouvait encore voir les bleus là où son père l'avait frappé quelques jours plus tôt. Ses avant-bras gardaient encore les signes de ses récentes coupures, bien qu'elles ne soient plus aussi profondes qu'avant. Se tournant dos au miroir, il contempla les marques rouges laissées par la ceinture de son père sur sa peau pâle. Des traces sperme et du sang séchés maculaient encore ses cuisses et il ne préférait pas penser au moment où il devrait aller aux toilettes.
Qu'il soit maudit si j'ai encore besoin de points de suture ! Fait chier, je n'ai vraiment pas envie de lui demander d'appeler cette femme encore…

Il détestait être obligé de se rendre chez cette connaissance de son père lorsqu'il avait besoin de points de sutures. Il y avait déjà été 6 fois cette année, et 4 d'entre elles ses deux derniers mois…
Quant à elle, elle était payée pour se taire à chaque fois qu'ils allaient la voir elle ne se faisait pas prier. Elle ne lui avait jamais demandé comment il avait pu se faire ça, ou si son père y était pour quelque chose, mais il était sûr qu'elle avait compris, et qu'elle se taisait volontairement. Néanmoins, pour lui cela restait terriblement humiliant de devoir demander à quelqu'un de le rafistoler à cet endroit lorsque son père se montrait trop violent. Avant il se montrait assez ''gentil'' pour utiliser du lubrifiant ou le préparer, mais c'était il y a déjà un bon moment, lorsqu'il était plus jeune. À présent, il se contentait de le prendre violemment, sans avertissement et ne ressortait pas avant d'être venu. Sans s'inquiéter de la douleur qu'il pouvait causer à son fils pour au minimum les deux jours suivant. Quoi que, il lui restait pourtant assez de gentillesse pour lui laisser des antidouleurs chaque matin, afin d'annihiler la douleur et lui permettre de marcher. Il lui restait peut-être un semblant d'humanité finalement…

Terminant l'inspection de son corps meurtri, il rentra dans la cabine de douche et ouvrit l'eau chaude jusqu'à ce qu'elle fasse disparaître tout l'évidence de ce qu'il s'était passé hier. Laisser l'eau couler sur son dos l'aidait à détendre ses épaules et faisait s'envoler la tension de ses muscles. Il laissa alors son esprit vagabonder sur la taille fine de Vivi, l'énorme poitrine de Nami et les lèvres si attirantes de Kaya qui lui donnait incroyablement envie de l'embrasser.
Merde qu'est-ce que je ferais si ces filles étaient célibataires ? C'était trop injuste, Vivi était avec Khoza, Nami avec Luffy et Kaya avec Usopp… Comment pouvaient-ils avoir de si magnifiques créatures et lui non ?
Il commença doucement à serrer son membre en imaginant trois des plus belles filles du lycée autour de lui et ne mit pas longtemps à venir. Haletant, il se nettoya une nouvelle fois et sortit de la douche.

Il s'habilla comme à son habitude avec un jean noir, une ceinture à clous, une chemise orange ajustée et une veste noire par-dessus. Il fixa ses cheveux de telle sorte qu'il couvre son œil gauche et utilisa du maquillage pour cacher sa joue enflée, là où ses cheveux ne pouvaient le faire. Il avait mis du temps pour apprendre à faire ça, mais au final c'était toujours mieux que de se faire harceler de question sur 'comment il c'était fait cette ecchymose' en premier lieu. Il avait pris l'habitude de répondre qu'il s'était battu sur le chemin du retour, entre son travail et chez lui. Cependant depuis que son père avait fait de le battre une activité quotidienne, il lui avait été de plus en plus difficile de trouver des histoires acceptables alors il avait renoncé et était parti acheter du maquillage.
Regardant son reflet dans le miroir, il trouva son image acceptable. Sa chemise couvrait ses bras raisonnablement et cacherait ses coupures. De plus, elle était assez large pour ne pas irriter ses côtes et son dos. Quant à son jean, il était juste suffisamment ample pour ne pas frotter contre ses cuisses sans que ça ne paresse étrange.
Il mit donc sa montre à gousset Victorienne dans la poche de son jean et accrocha la chaîne à la boucle de sa ceinture. Elle affichait 6h10 à présent, signifiant qu'il lui restait encore une heure et demie avant qu'il n'ait besoin de partir pour l'école. Sachant que son père comptait sur lui pour lui préparer son petit déjeuné, il sortit de la salle d'eau et prit le chemin de la cuisine.


Quand il eut terminé de préparer le petit déjeuné de son père, il l'emballa dans du film plastique et le laissa dans le frigo, en espérant qu'il ne se réveillerait pas avant qu'il ne soit partit. Jetant un nouveau coup d'œil à sa montre, il vit qu'il lui restait encore une heure, alors il sortit ses cahiers en pensant pouvoir terminer certains travaux qu'il avait à rendre pour la semaine prochaine. Ce n'était pas comme s'il avait vraiment besoin de le faire, mais les points supplémentaires qu'il y gagnerait pourraient toujours lui être utiles plus tard. Plusieurs fois pourtant, il ne put s'empêcher de tendre l'oreille et de guetter si son père ne se réveillait pas. Seulement à chaque fois il ne l'entendait que ronfler et ne pouvait retenir un soupir de soulagement. Il lui était impossible de se concentrer sur son travail ainsi, alors posant son crayon il renonça. Puis rangeant ses affaires il décida de partir à l'école plus tôt… Il pourrait toujours aller au CDI et étudier là-bas.

Père,

Je suis parti à l'école un peu plus tôt, ton petit déjeuné est dans le frigo, enlève juste le film plastique et mets le micro-onde pendant 2 minutes, ça devrait aller. Je travaille ce soir après les cours, donc je serai à la maison pour 22h.

Sanji.

Laissant la note sur le comptoir de la cuisine où il savait que son père la trouverait, il mit sa veste noire et quitta la maison.


1 étant écrite en anglais je suppose que le lycée dans lequel va Sanji est en Angleterre et suit donc un cursus « anglais » ainsi là-bas il est possible d'accumuler des « points » pour la suite de ses études, un peu comme les points d'avance au bac mais pour des études supérieur (enfin c'est ce que j'ai compris).
Il risque donc d'y avoir certaines incohérences avec notre propre système scolaire mais comme je tiens à garder cette fic exactement comme son originale j'expliquerai ces différents points au fur et à mesure plutôt que de faire des modifs ^^.

2 Les cours de « home-economy » n'existent pas en France mais sont en vigueur dans beaucoup d'endroit du monde, comme la Grande Bretagne, les États Unis, le Canada ou l'Allemagne principalement. Pour faire court, ce sont des cours où l'on apprend aux élèves à gérer leur future maison… Ouais, avouez que dit comme ça, ça parait vraiment très con nan ? Mais le sujet est plus vaste que ça et long à expliquer c'est pourquoi je vous incite fortement à copier/coller ce lien dans votre barre Google : « en. wikipedia wiki/ Home_economics » (enlever les espaces bien sûr, et si la traduction ne se fait pas toute seule, appuyez sur le bouton en haut à droite, à côté des petits bonhommes MSN.)
Bon et puis si le lien ne marche pas (et connaissant y aurait rien d'improbable là-dedans…), taper simplement : « home-ec » dans la barre google cliquer sur lien wikipédia en anglais et demander la traduction française (pour une fois qu'elle est bien faite)…

Bon voilà, je sais, c'n'est pas jolie, jolie et il faut accrocher au style… plus de viol pour le moment c'est promis ^^'
Le second chapitre est vu du côté de Zoro et est aussi assez violent dans un sens différent. Il vous faudra attendre le 3ème chapitre pour que nos deux héros interagissent entre eux :) ! Bref dites-moi ce que vous en pensez, si ça se voit que c'est une traduction ou si vous avez trouvé que j'ai plutôt bien transcrit le truc, tous vos conseils pourront m'aider pour les prochains chapitres ^^ !

Et surtout n'oubliez pas que cette histoire appartient exclusivement à LucyNyy !
Alors n'hésitez pas à lui laisser des commentaires aussi si vous aimez lire en anglais :) ça ne pourra que l'encourager à publier plus vite et je pourrais à mon tour effectuer les traductions !