Chapitre 1

Le hall de l'hôtel était rempli de gens, certains arrivaient, certains vérifiaient les environ, s'apprêtant à sortir et explorer la ville. Kurt Hummel balaya le hall et fronça les sourcils. Il ne pouvait voir aucun membre de New Directions. C'est pas comme si ils ne se distinguait pas, ils ne sont pas des gens de la ville exactement conventionnelle, mais ils étaient nulle part en vu. Kurt avait pris quelques minutes supplémentaires pour emballer son sac et s'assurer que personne n'avait rien laissé derrière et, par conséquent, avait été le dernier à quitter la salle. Aucune des filles l'avait attendu, mais habituellement, il ne donnait pas son avis dessus.

Maintenant, cependant, il n'y avait personne en vue. Les sourcils froncés, il roula sa valise à la réception et fut accueilli par une femme guillerette, assis derrière le bureau.

"Puis-je vous aider?" demanda t-elle, son sourire montrant les dents blanches brillantes qui, de toute évidence, était l'oeuvre d'un dentiste, pensa Kurt.

"Pourriez-vous vérifié les New Directions?" demanda Kurt, la voix calme, essayant de ne pas laisser la panique s'installée. Ils ne seraient pas parti sans moi, pensa t-il.

"Oui, vous avez tous été vérifié et le taxi qui a été commandé est déjà parti," lui dit la femme, son sourire jamais hésitant.

OK, alors peut-être qu'ils le feraient.

"Pouvez-vous s'il vous plaît me commander un taxi?" Demanda Kurt, serrant les dents. Le niveau d'intelligence que M. Schuester avait étonnait Kurt parfois. Comment avait-il réussi à devenir un enseignant était encore un mystère pour lui, comme ce fut ainsi pour la plupart des enseignants de McKinley.

"Bien sûr. Il sera ici dans quelques instants," dit-elle, rayonnante, décrochant le téléphone. Kurt hocha la tête poliment et parti. Il se dirigea rapidement vers la sortie, tirant sa valise derrière lui, poussant la porte et fit son chemin dehors pour attendre. Elle n'a pas eu tort quand elle dit qu'un taxi serait là bientôt parce qu'il n'a attendu que quelques minutes avant que l'un d'eux n'arrive. L'homme de taxi grogna quand il souleva la valise de Kurt dans le taxi et Kurt glissa sur le siège arrière. Il fronça le nez à l'odeur de vieux tabac et se fit une note mentale pour acheter des lingettes hygiéniques à l'aéroport avant son départ.

Il fut reconnaissant que M. Schuester lui avait remis son billet avant de partir, un de ses très peu mouvements intelligents, le taxi se déplaçait lentement à travers le trafic et Kurt sortit son téléphone pour regarder l'heure. Il se mordit la lèvre. Il composa rapidement le numéro de Mercedes, mais il est allé directement à la messagerie vocale. Il fronça les sourcils et composa le numéro de Finn, même chose. Il essaya tous les téléphones des New Directions, mais apparemment ils les avaient tous éteints. Il rebondi avec impatience sur son siège, maudissant silencieusement chaque voiture lente qui lui faisait arrivé plus en retard.

Sa semblait être des heures avant que l'aéroport ne sois finalement en vue. Kurt regarda son téléphone et son estomac chuta, le cœur battant douloureusement dans sa poitrine. Il était en retard. Son vol faisait déjà l'embarquement et il n'y avait aucune chance qu'il s'y rendrait a temps. Il retomba dans son siège et mélancoliquement pria pour M. Schuester remarqua son absence et qu'aucun d'entre eux ne monte dans l'avion.


Il est clair que M. Schuester est un idiot et qu'il ne mérite pas son titre de professeur, pensa Kurt avec colère. Ils avaient tous pris l'avion sans lui, le laissant à New York.

Je suppose qu'il y a des endroits bien pires ou être abandonnés, réfléchit Kurt, mais il était maintenant coincé avec un dilemme. Qu'était-il supposé faire maintenant? Il sortit son téléphone et tapa son numéro préféré un - Blaine. Heureusement, il ne sonna que trois fois avant qu'il ne répondit.

"Kurt! Tu ne devrait pas être dans l'avion?" Demanda Blaine et Kurt se sentit immédiatement rassuré par la voix de son petit ami.

"Ils sont partis sans moi," lui dit carrément Kurt.

"Quoi?"

"ils m'ont d'abord laissé à l'hôtel, donc j'ai du prendre un taxi vers l'aéroport par moi-même et puis ils ont pris l'avion sans sans moi," fulmina Kurt, sa colère remontant à la surface.

"Ils sont partis sans toi?" grogna Blaine et Kurt sourit. Il savait que Blaine serai de son côté et avoir quelqu'un de son côté était rassurant.

"Oui. Je suis toujours à New York alors qu'ils sont tous sur le chemin du retour," claqua Kurt, saisissant sa valise fermement. "Apparemment, M. Schuester ne sais pas compter ou il ne se soucie pas de nous, après tout il nous a laissé pour aller auditionné pour un spectacle de Broadway. Qu'est-ce que je vais faire maintenant, je n'ai pas beaucoup d'argent, Blaine."

"Ne t'inquiète pas," apaisa Blaine, essayant désespérément de contrôler sa colère. Il n'arrivait pas à le croire. "Je vais te donner le numéro de mon frère, Cooper, et tu vas l'appeler. Il te ramènera chez lui et tu pourras y rester jusqu'à ce que tu puisses avoir un autre vol."

"Je ne peux pas faire ça à ton frère -" commença Kurt, mais Blaine le coupa.

"Si, tu peux. Je ne vais pas te laisser resté bloqués à New York," lui dit fermement Blaine. "Je vais appeler ton père et lui faire savoir ce qui se passe pendant que tu appelles Coop et lui dit ce qui est arrivé."

Kurt accepta et griffonna le numéro que Blaine lui donna. Il soupira et Blaine attendit qu'il parle.

"Merci Blaine," murmura Kurt. "Tu me manques."

"Tu me manques aussi, bébé," lui assura Blaine. "Je te retrouverai à l'aéroport quand tu rentreras."

Kurt sourit à cela. "J'espère bien. Je vais appeler Coop."

"Et je vais appeler ton père. Bye, Kurt."

"Bye, Blaine." Kurt raccrocha rapidement et composa le numéro de Cooper, se mordant la lèvre nerveusement.

"Bonjour, ici Cooper Anderson," fit une voix sur l'autre ligne et Kurt prit une profonde inspiration.

"Cooper? C'est Kurt Hummel, le petit ami de Blaine," répondit Kurt.

"Kurt! Enfin, j'ai le plaisir de te parler. Blaine m'a tout dit à propos de toi," explosa Cooper à l'autre bout et Kurt sentit ses nerfs fondre.

"Que du bien, j'espère," plaisanta Kurt et Cooper rit.

"Que du bien, bien sûr. Que puis-je faire pour toi?" demanda t-il.

"Est-ce que Blaine vous a parlé de notre concours de chorale?" demanda curieusement Kurt.

"Oui, il m'a dit qu'il était fier de toi et comment tu allais t'amuser à New York. J'allais venir vous regarder, mais je n'ai pas pu quitter mon travail" déclara Cooper.

"Eh bien, j'ai été laissé à New York," lui dit Kurt. Il y avait un silence à l'autre bout et Kurt fronça les sourcils. "Cooper?"

"Tu as été laissé à New York?" fit écho Cooper.

"Oui."

"Où es-tu?" demanda Cooper.

"A l'aéroport. J'ai essayé de prendre un taxi, mais j'ai été coincé dans le trafic et j'ai raté le vol." expliqua Kurt.

"Reste là. Je viens te chercher," lui dit Cooper et Kurt pouvait entendre du bruit en arrière-plan. "Je serais là bientôt."

"Merci Cooper," le remercia sincèrement Kurt.

"Je t'en prie, Kurt. Je serai là bientôt. Va te chercher quelque chose à manger en attendant." chargea Cooper et il raccrocha. Kurt mis son téléphone dans sa poche et roula sa valise derrière lui, il regarda un 'coffee shop', bien que l'idée d'aller au café sans Blaine ne lui fit que plus manquer son petit ami.


"Kurt!"

Kurt leva brusquement les yeux et regarda autour. Il écarquilla les yeux en voyant Cooper marchant vers lui. Blaine lui avait montré des photos de Cooper et il savait qu'il était beau, bien qu'il pensait que Blaine était beaucoup plus beau, mais les images de lui lui ont peine fait justice. Il était grand, maigre et beau à tomber, mais il n'était toujours rien comparer à Blaine.

Kurt se leva et fut surpris quand Cooper le tira dans une étreinte. Donc, ce n'est pas simplement Blaine qui fait sa; sa doit être de famille, réfléchit Kurt.

"Est ce que tu vas bien?" demanda Cooper, regardant par-dessus Kurt pour tout signe de détresse et Kurt lui sourit timidement.

"Je vais bien. En colère mais je vais bien," assura t-il et Cooper rit.

"Je ne te le reproche pas. Je vais te ramener à la maison et te réserver le prochain vol possible," lui assura Cooper.

"Je suis désolé pour sa," dit Kurt quand Cooper saisit sa valise et commença à la tirer. Ils passèrent à travers les gens, ce rendant vers la sortie.

"Tu as rien à te reprocher," lui assura Cooper. "Ton professeur, d'autre part, aura beaucoup de comptes à rendre aussi."

Kurt frissonna. Son père allait être furieux et sa allait certainement mettre un stress sur son cœur. Soudain, le téléphone de Kurt commença à sonner et il le sorti de sa poche, pour voir le numéro de Burt clignoté sur l'écran.

"Salut, papa," salua Kurt, répondant à l'appel.

"Kurt! Blaine m'a appelé. Tu vas bien?" demanda Burt.

"Je vais bien, papa. Cooper vient de venir me chercher," expliqua doucement Kurt.

"Donne lui le téléphone," Burt instruit et Kurt remis à Cooper qui sourit, prenant le téléphone.

"Bonjour, M. Hummel," répondit poliment Cooper.

Kurt écouta Cooper parlé à son père avec facilité et ses yeux s'écarquillèrent avec étonnement quand Cooper rit. Il avait gagné Burt Hummel, tout comme Blaine. Il ne devrait s'attendre à rien de moins. Il n'a pas fallu longtemps avant que Cooper ne lui redonne le téléphone.

"Papa?"

"Je vais réglé tout sa, Kurt," promis Burt, beaucoup plus calme qu'il n'avait quand il avait répondu.

"Merci, papa," souri Kurt, se sentant.

"Très bien. Je t'aime, Kurt."

"Je t'aime, aussi, papa," sourit Kurt et il raccrocha, glissant son téléphone dans sa poche. Ils étaient à l'extérieur maintenant et Cooper le conduisit à sa voiture. Il mis la valise de Kurt dans le coffre et Kurt glissa dans le siège du passager et Cooper grimpa derrière le volant.


"Il vit a Central Park!" cria Kurt par téléphone à Blaine, qui rit en réponse. "Cet endroit est incroyable et sa doit être tellement cher."

"Il l'est," confirma Blaine. "Mais Cooper a un bon emploi bien rémunéré et il aime l'endroit."

"Bien sûr, j' en doute pas. Avez-vous vu cette vue?" pleura Kurt et Blaine rit à nouveau.

Kurt soupira et se laissa tomber sur le lit de rechange que Cooper avait mis en place pour lui. Kurt était seulement en mesure d'obtenir un vol demain matin, mais il était OK avec ça. Apprendre à rester dans cet incroyable appartement valait vraiment la peine.

"Je l'ai vu et il est incroyable," lui a dit Blaine. "Mais je voudrais être là pour voir ton expression."

Kurt rougit. "Tu es si ringard." Mais ils savaient tous les deux que Kurt aimait secrètement et Blaine aussi.

"Tu as parlé à ton père?" Demanda Blaine.

"Oui, je l'ai fait. Merci beaucoup pour ton aide," lui dit sincèrement Kurt.

"Tu n'es pas obligé de me remercier pour quoi que ce soit," lui assura Blaine. "Tu ne devrais pas être là en premier lieu. Je ne peux pas croire qu'ils ont quitté l'hôtel sans toi!"

"Ils doivent être à la maison maintenant," murmura Kurt et ne pu s'empêcher d'imaginer l'image de Burt allant chercher Finn et créer une scène à l'aéroport, criant à tous d'être si irresponsable et laissant un membre de l'équipe derrière. Kurt ne le blâme pas, cependant. Il était furieux lui-même. "Papa va pas y aller de mains mortes."

"Il n'a pas été heureux quand je lui ai dit," convenu Blaine. "Je n'ai pas été heureux non plus."

"Comment ont-ils pu m'oublier?" demanda amèrement Kurt. "Suis-je si insignifiant pour eux?"

"Oh, Kurt, ne pense pas comme ça," roucoula doucement Blaine. "Bien sûr que tu es important. Tu es la personne la plus importante pour ton père et moi." Kurt se tut. Il pensait qu'au moins Mercedes auraient son absence. 'Pour les autres ... Je ne sais même pas quoi dire'.

Kurt soupira et se laissa tomber sur le dos, les yeux fixés au plafond. "Je pensais que tout allait mieux," murmura Kurt et sentit des picotements derrière ses yeux. Il cligna des yeux, déterminé à ne pas pleurer, "Après toutes les rumeurs, puis le bal de promo. Je pensais que les choses allaient mieux entre nous tous, en tant que groupe."

Blaine ne savait pas ce qu'il devait répondre. Tout ce qu'il voulait faire était de prendre Kurt dans ses bras et le serrer. Il dit sa à Kurt et son petit ami gémit doucement.

"Je veux que tu me tiens dans tes bras," murmura Kurt.

"Bientôt bébé" promis Blaine.

"Je ne sais pas comment je vais parler à tout le monde quand je reviendrai," murmura Kurt, en essuyant une larme qui glissait sur sa joue.

"Nous verrons," lui assura Blaine.

On frappa à la porte et Kurt leva la tête pour voir Cooper debout timidement à la porte.

"Désolé de vous interrompre, mais je me demandais si tu voulais dîner?" demanda Cooper et Kurt sourit.

"Le dîner paraît bien."

"Très bien. Je vais juste prendre mon manteau et porte-monnaie. Bye, Blaine!" Cooper cria la dernière partie et Kurt sourit en entendant Blaine rire.

"Amuse-toi au dîner et dit à Coop que je lui dis au revoir," sourit Blaine.

"Ok. Bye, Blaine," sourit Kurt.

"Bye, Kurt." répéta Blaine et Kurt sourit en raccrochant. Il attrapa son manteau et alla au salon où Cooper haussait son long, élégant manteau noir. Il sourit à Kurt et enroula d'une écharpe autour de son cou.

"Je vais t'emmener à un super petit hôtel pour ta dernière nuit à New York," Cooper rayonnait et Kurt lui sourit timidement.

"Tu n'es pas obligé de le faire" commença à protester Kurt mais Cooper lui fit signe arrêter, enveloppant un bras autour de son épaule.

"Balivernes. Je vais éduquer tes papilles," Cooper sourit méchamment et les conduisit hors de l'appartement.


Blaine se tenait à côté de Burt, rebondissant sur ses orteils, en essayant d'attraper un aperçu de son petit ami. Il avait demandé à Burt s'il pouvait venir avec lui chercher Kurt et il avait accepté. Finn avait demandé s'il pouvait venir aussi, mais Burt lui avait donné un regard très sévère et lui a dit non.

Début Flashback

Burt s'était rendu à l'aéroport pour aller chercher Finn avec Carole et dès qu'il a vu William Schuester, il a vu rouge. Il n'a pas perdu de temps.

"Comment osez-vous oublier mon fils?" rugit Burt. Schuester regarda autour de lui dans la confusion, puis son visage se rempli d'horreur. "Vous ne l'avez même pas remarqué!"

"Burt, je suis désolé -" tenta de dire Will, mais Burt le coupa.

"Aucun d'entre vous ne l'a remarqué!" grogna Burt, il observa quand ils ont tous laissé tomber leurs têtes. Mercedes avait l'air horrifié avec elle-même et Finn avait pâli. Ils avaient au moins la décence d'avoir honte mais Burt secoua la tête. "Qu'est-ce qui s'est passé dans votre tête? Vous êtes leur enseignant pour bon sang!" cracha t-il. "Vous avez laissé mon enfant coincé à New York!"

"Burt -" essaya de nouveau William, mais Burt leva un doigt menaçant.

"Fermez là," grogna Burt. "Vous serez chanceux si vous travaillez de nouveau. Pour le reste d'entre vous, Kurt est votre ami et aucun de vous n'a remarqué qu'il n'était pas là! Vous êtes parti sans lui!" Ils bougea inconfortablement, en évitant le regard de Burt. Burt secoua la tête dans la déception. "Allons-y, Finn."

Burt et Carole se retournèrent et s'éloignèrent. Finn se précipita après eux, en sachant que il ne le faisait pas, Burt n'hésiterai pas à le laisser derrière.

Fin Flashback

"Il est là," glapit Blaine et Burt regarda pour voir où Blaine regardait. Kurt accourait, sa valise roulant derrière lui. Quand il est arrivé jusqu'à eux, il laissa tomber sa valise et jeta ses bras autour du cou de Blaine, enfouissant son visage dans son épaule. Blaine enveloppa ses bras ferme autour de sa taille et le tint fermement.

"Je suis tellement content que tu sois à la maison," Blaine chuchota à son oreille et Kurt le tint plus près. Blaine baissa la tête et déposa un baiser sur le cou de Kurt, le tenant serré. Burt leur permis d'avoir leur moment, foudroyant quiconque qui les regarda. Ils se séparèrent plus rapidement, mais Burt compris qu'ils étaient dans l'Ohio, après tout. New York peut accepter des gens comme eux, mais l'Ohio était un monde loin de la.

Kurt serra Burt, qui lui rendit son étreinte.

"Je suis tellement content que vous sois à la maison, Kurt," lui dit Burt et son fils lui sourit.

"Tu m'as manqué, papa," murmura Kurt et Burt tapota son dos. Burt se pencha et souleva la valise de Kurt par la poignée. Il chassa Kurt loin quand il essaya de la lui reprendre et ils se dirigèrent dehors.

"Le vol s'est bien passé?" demanda Burt et Kurt haussa les épaules.

"J'étais un peu nerveux de voyagé par moi-même," admis Kurt, "Étant donné que c'était ma deuxième fois dans un avion."

La mâchoire de Burt se serra et il vit le changement d'expression de Blaine. Plus rien a été dit quand ils ont fait leur chemin vers la voiture. Burt glissa derrière le volant tandis que Kurt et Blaine se glissa dans la banquette arrière. Une fois leur ceinture bouclé, Blaine prit immédiatement la main de son petit ami, reliant leurs doigts. Kurt lui sourit et frotta son pouce sur ses doigts.

"Je ne peux pas assez vous remerciez toi et ton frère pour tout ce que vous avez fait," murmura Kurt et Blaine sourit.

"Il n'y a aucun problème," lui assura Blaine. "Cooper a aimé t'avoir, il me l'a dit."

"J'ai eu un bon moment. J'ai aussi vu quelques photos très intéressantes," sourit Kurt et Blaine fronça les sourcils, confus. Il comprit finalement et écarquilla les yeux.

"Il t'a montré mes photos de bébé!" pleura Blaine et Kurt sourit en hochant la tête. Burt rit sur le siège avant et Blaine bouda. "Pas juste! Tu ne m'a pas laissé regarder les tiennes."

"Ils sont sur l'étagère dans le salon, Blaine," lui dit Burt et Blaine lui sourit.

"Papa," gémit Kurt et Burt continua juste de rire. En approchant de la maison Hummel-Hudson, le calme était revenu. Kurt serra la main de Blaine plus fermement quand la voiture s'est garé dans l'allée et Blaine serra sa main en retour, en essayant de le rassurer. Ils glissa hors de la voiture et Burt pris la valise de Kurt tandis que Blaine passa un bras autour de sa taille et le poussa vers la maison.

Carole l'accueillit chaleureusement, en le serrant fermement et embrassant sa joue. "Tu m'as tellement manqué," rayonna t-elle, reculant. "C'est si bon de t'avoir à la maison et je ne peux pas attendre pour que tu me racontes ton temps à New York."

Kurt lui sourit et hocha la tête. "Je vais aller déballer."

Il prit son sac à l'étage, Blaine sur ses talons. Il était sur le point d'entrer dans sa chambre quand Finn entra dans le couloir.

"Salut Kurt," salua timidement Finn. Kurt l'ignora et alla directement dans sa chambre. Il attendit que Blaine soit entré avant de claquer la porte. Blaine le prit dans ses bras et le serra fort. Kurt se blottit contre lui avant d'embrasser Blaine. Ils se sont embrassés langoureusement, Blaine se re-familiarisant le goût et le toucher de Kurt.

Blaine recula et regarda dans les yeux de Kurt, souriant. "Je t'aime."

Le souffle de Kurt s'attela et il tendit la main vers le visage de Blaine. "Je t'aime aussi."

Blaine sourit et toucha doucement les lèvres de Kurt à nouveau. "Je vais t'aider a déballer."


Les New Directions ne savaient pas comment ils allaient parler à Kurt. Il n'avait même pas dit deux mots à Finn, qui avait essayé de présenter des excuses, mais Kurt était têtu.

"Sa aurait pu arriver à tout le monde," raisonna Rachel mais tout le monde la fixa.

"Je ne peux pas croire nous avons laissé Kurt à l'hôtel," Mercedes secoua la tête et Sam frotta doucement son dos "Et que nous sommes monté dans l'avion sans lui, aussi."

"Je blâme Rachel et Finn," leur dit Santana et les deux Finn et Rachel la regarda. "S'il n'y avait pas eu ce baiser devant tout le monde qui nous a coûté les nationales américains alors nous ne serions pas si en colère et déçu et nous nous serions rappelé que Kurt était pas avec nous."

"Nous ne devrions pas avoir l'oublié," soupira Tina. "Nous sommes des gens terribles."

"Nous avons tous eu beaucoup dans nos esprits," essaya de nouveau Rachel, mais ils ont secoué leurs têtes.

"Nous ne devrions pas avoir l'oublié," dit Finn, d'accord avec Tina.

Will avait eu des problèmes aussi. Figgins l'avait convoqués et Sue lui a reprocher de ne pas payer plus d'attention à "sa douce porcelaine". Il a eu la chance d'avoir encore son emploi à la fin de cette entretient. Kurt n'était pas revenu au glee club et Will ne pouvait pas le lui reprocher.

"C'est difficile de lui parler quand Blaine est là tout le temps," gémit Finn. "La façon dont il me regarde."

Inutile de dire que Blaine n'était pas content de Finn. Comment avait-il pu oublier son propre frère?

Depuis ils s'étaient confessé leur amour mutuel, ils passaient plus de temps ensemble que d'habitude. L'été était sur le point de commencer et Kurt était content d'avoir un peu d'espace pour passer plus de temps avec son petit ami.

Ils avaient blessé Kurt et il avait besoin d'espace pour réévaluer sa relation avec eux. Pour l'instant, cependant, il voulait juste se concentrer sur Blaine et les belles sensations qu'il lui donnait quand celui-ci le cloua au lit et l'embrassa avec tant d'amour qu'il sentait tout le chemin jusqu'à ses orteils.