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Chapitre 1: Le testament d'un fou furieux
Il était très tard, le soleil avait depuis longtemps disparu derrière les tours du château. Hagrid arrivait le plus discrètement possible...en gros en réveillant la moitié des résidents. Chargé d'un gros paquet (semblant avoir deux bras et deux jambes...bizarre), il s'avançait vers la co-directrice Mc Gonagall (eh oui après lecture du testament de Dumbledore, il s'est avéré qu'il avait nommé, sûrement après une grosse cuite ou juste pour rire, Rogue et Mc Gonagall co-directeurs).
« Ah! Hagrid...il s'est endormi? » dit-elle en regardant le petit garçon qui avait bien grandi depuis la dernière fois qu'elle l'avait vu.
« Non, Professeur, je l'ai assommé.
Vous plaisantez j'espère?
Euh...non, il était vraiment insupportable.
Bon passons...Vous avez vu sa mère?
Oui, elle tient à ce que malgré la mort de Dumbledore, tout se passe comme prévu, le temps de ses recherches de médicomage à travers l'Afrique.
Dumbledore l'avait sûrement prévu, étant au courant de sa propre mort, il a laissé un mot à ce propos dans son testament.» Elle prit une grande inspiration et se décida à faire appliquer ce qu'elle trouvait un des plus gros délire de Dumbledore et pourtant, ça frôlait le sport professionnel chez lui. « Allez me chercher Potter et Malfoy. »
Hagrid s'exécuta parce que de toute façon, il ne pouvait pas faire autrement. Il s'assit à côté de Harry et le réveilla le plus délicatement possible. Donc Harry Potter faillit faire une crise cardiaque. Puis, dès qu'il fut remis, ils allèrent tous deux aux cachots des Serpentards (heureusement que Harry avait la tête dans le brouillard sinon il n'aurait jamais mis les pieds dans ce coin du château, et surtout pas près du lit de Draco Malfoy).
Celui-ci (beaucoup plus mignon endormi selon Harry) semblait dans un profond sommeil car malgré les efforts d'Hagrid, il ne cillait pas. Harry, qui en eut vite marre, se pencha vers son ennemi et lui glissa à l'oreille:
« Malfoy...tu es enceinte... »
Celui-ci se réveilla brusquement, cognant au passage la tête d'Harry, et cria: « Non, je ne fais pas une collection de timbres! »
… Ils restèrent tous les trois figés: Harry la tête ahurie, Draco un peu gêné faisant celui qui n'était pas là et Hagrid...la bouche grande ouverte. Un ange passa voire toute une colonie avant que leurs neurones se remettent de cette...déclaration. Jusqu'à ce que Draco dise « Que puis-je faire pour vous? », essayant de noyer le poisson avec un sourire angélique et un naturel désarçonnant.
Lorsqu' Hagrid les conduisit jusqu'au bureau des co-directeurs, Harry percuta enfin la phrase de Malfoy et rit comme un fou. Draco, connaissant son ennemi par cœur, devinait sans peine les pensées de son ennemi, normal, quand on est meilleurs ennemis depuis 6ans ça créé des liens. Il décida de penser aux meilleurs moyens de lui faire payer, et la seule idée qui s'imposa à lui à cette heure tardive fut de le bouder royalement. Dès qu'ils arrivèrent Mc Gonagall commença, coupant la parole à Rogue qui semblait totalement indifférent mais qui en fait dormait debout (sans les ronflements).
« Bon, Potter, Malfoy nous sommes réunis ici en ce jour... » Elle n'eut pas le temps de finir qu'une image horrible s'immisça dans l'esprit de Draco et Harry en même temps, peut-être même de Rogue, Hagrid, Fumseck et le lecteur. Avant même que leur imagination ne fasse démarrer la marche nuptiale dans leur tête, d'un réflexe et d'une synchronisation assez peu commune voire carrément flippant, Harry et Draco dirent ensemble: « Je m'y oppose! ». Un long silence s'installa. D'un côté, il est tard on peut donc comprendre que les neurones de Draco, Harry et l'auteur soient un peu nazes.
« Bon, passons. Le professeur Dumbledore vous a adressé une partie de son testament. Je lis: [dans une imitation assez réussie de Dumbledore]
Si vous lisez ça c'est que je suis mort. Mais pas de panique, j'avais tout prévu. Sauf peut-être un petit détail. Ma cousine germaine au deuxième degré du côté de mon père qui..enfin bref, est la mère de mon filleul. Depuis deux ans, elle a décidé de m'envoyer son fils en sorte de stage de formation...pendant 8 mois. Si je pense bien, et je pense bien parce que je suis Dumbledore, alors elle voudra l'envoyer même si je suis mort. J'ai eu alors une idée géniale et délirante (forcément c'est la mienne), je vais la confier mon filleul à des élèves. Mr Potter parce qu'il est l'Elu et qu'il a pas le choix et Mr Malfoy parce que ça le fera grandir un peu. Voir les détails avec les co-directeurs (XD). Bisous, Dumbledore.
-KOUA?
Sans plus d'explication, parce que les co-directeurs étaient fatigués, Harry et Draco furent renvoyés en état de choc dans leur dortoir, sans vraiment avoir compris qu'ils allaient devoir s'occuper d'un petit garçon pendant 8 mois et pire, ENSEMBLE.
Chapitre 2: un cauchemar qui ne fait que commencer
Le lendemain, après une nuit bien agitée pour les deux stars de Poudlard dont les rêves étaient peuplés d'enfants, de paternité et de leur ennemi favori. Le petit-déjeuner était calme jusqu'à ce que Rogue et Mc Gonagall se lèvent pour parler, faisant le concours du regard le plus noir pour voir qui aurait droit à aller derrière le pupitre. Rogue, depuis longtemps expert en la matière, gagna et dit:
« A tous les élèves, un nouvel arrivant va passer à la répartition du Choixpeau. Ça ne vous concerne aucunement mais vu que vous êtes de commères assoiffées de nouvelles...Monsieur Oscar Grant. ». Un petit blondinet aux allures de nounours à la Vanille, aux yeux d'un bleu clair innocent, s'avança, faisant au passage craquer toutes les filles en manque de maternité ( Katie, Luna, Hermione, Ginny, Goyle, Cho ou même Pansy...).
Il s'assit sur le tabouret avec plein de dignité (même si ses pieds ne touchaient pas par terre). Harry et Draco étaient tendus à l'extrême et priaient tous les saints-et leur beauté surnaturelle pour l'un d'eux-que leur fardeau, pardon PROTÉGÉ soit dans leur maison. Ils s'étaient décidé sans se concerter à faire une compétition de leur tâche d'éducateur. Draco imaginait déjà son mini-moi dans les couloirs lui portant ses affaires et buvant littéralement son enseignement de beau gosse. Et à quelques tables de là, Harry s'imaginait amis prêchant l'amour, le courage, l'amitié, le Bien et et les muffins à la cerise. Sauf que...
« Poufsouffle!»
Le silence se fit et tout le monde se désintéressa du nouveau. Trois Poufsouffle se levèrent pour applaudir. Harry et Draco se levèrent à l'appel de leur nom et Rogue prît un malin plaisir à dire:
« Bien, Grant. Essayez de prendre exemple sur eux..enfin surtout Monsieur Malfoy parce que Potter fait collection des retenues. Essayez de ne pas être aussi stupide et insignifiant que votre maison (les trois Poufsouffle se rassirent). Potter et Malfoy seront comme vos mamans. Alors...bonne chance et plein de bonheur au nouveau couple ». Draco et Harry en étaient sûrs, Rogue s'était levé du mauvais pieds et arrivait largement au niveau d'Ombrage là, tout de suite.
Harry et Draco se jetèrent un regard dégouté et dirent « je te le laisse! » à l'unisson (ils tenaient bien trop à leur réputation pour trainer avec un Poufsouffle). Rien que l'idée d'une quelconque connexion de pensée (qui donnait ces très jolis duo) ils se maudirent et ne captèrent pas grand chose quand le petit Oscar leur prit la main tout sourire. Ils ne virent pas la Grande Salle en entier partagée entre dégoût et attendrissement: les deux élèves les plus beaux du lycée tenant la main d'un enfant tout mignon comme dans les films où le couple se tient la main et court au ralenti dans un champs de coquelicots. A la réflexion, ce petit était tellement mignon que ça allait être du gâteau! Enfin s'ils avaient vu le regard machiavélique, limite Rogue du petit ange, ils n'auraient pas pensé ça...
Chapitre 3: le début d'une grande histoire d'amour...ou presque
Harry et Draco avaient joué au yoyo depuis près de 2 semaines. Dès que le petit Oscar approchait, Draco/Harry l'envoyait bouler magnifiquement en disant: « Va voir l'autre cruche/ débile/ serpent/ balafré... ». Ni le Gryffondor le plus populaire ni le Serpentard adoré de ces dames ne voulait côtoyer un Poufsouffle (cette maison est vraiment maudite et à vrai dire personne ne sait vraiment à quand remonte cette nullité de la maison fourre-tout). Sauf qu'après tant de négligence vient le moment de rendre des comptes. Rogue et Mc Gonagall, toujours en train de se disputer le rôle de directeur (ce qui faisait surement beaucoup rire quelqu'un là-haut), arrivèrent en trombe dans le cours de relations moldues de Mme Paquette, une frêle enseignante tout juste débarquée. Celle-ci essaya de protester quand Potter et Malfoy furent demander mais force est de constater que personne n'en avait rien à foutre...Surtout Rogue qui grommela en partant un « Depuis quand ceci est un cours? ». Harry et Draco se tenaient calmement face aux deux directeurs jusqu'à ce qu'une simple question leur rappelle un tout petit minuscule et blond détail: Oscar. Oups. Ils ne l'avaient pas vu depuis, facilement, 3 jours. Inutile de décrire la colère de Magyar à pointes dans laquelle se mit Mc Gonagall et le regard glacial de Mister Freeze que leur lança Rogue...Bref, après maintes « mais...je..c'est que.. » balbutiés par les deux plus beaux et stylés mecs de l'école (qui avaient l'air actuellement de Neville Longdubat ou pire de Quirell - paix à son âme), ils se mirent en route à la recherche d'Oscar.
Ils commencèrent à penser à des scénarios plus horribles et stupides les uns que les autres...Oscar enlevé, Oscar marié à Mimi Geignarde, Oscar mangé par Hagrid, Oscar en animagus papillon...Jusqu'à ce que les deux compagnons d'infortune entendent du bruit dans le couloir Est. Et là le pauvre petit Oscar, sûrement selon Malfoy suicidé de désespoir de ne pas pouvoir ressembler à son idole (Malfoy), était là avec des quatrièmes années portant ses affaires, Cho Chang le tenant par la main et lui offrant une sucette et Colin Crivey prenant des milliers de photos.
« Eh! T'étais passé où? On s'est inquiét...s'est demandé où tu pouvais être...
- Rien, je visitais le château, en quoi ça t'intéresse?
Ba, je croyais qu'on devait rester avec toi, t'apprendre des trucs...
...te montrer comment être comme moi! » dit Malfoy, dans un moment d'humilité
« Oh...eh bien merci mais je vais me débrouiller seul sinon je vois que vous êtes très occupés à...vous baladez, seuls, tous les deux, d'une façon très masculine et pas du tout ambiguë... » répondit Oscar avec un sourire complètement à l'opposé de son discours, et ses «serviteurs» qui riaient comme des fous, qui suivaient en même temps leur nouvelle idole sécher royalement le cours.
«Ok, on est mal, Potter », lâcha Malfoy, toujours suffoqué de ce qu'avait osé dire ce petit morveux.
«Pourquoi tu dis ça?
Wahou, je savais que l'intellect c'était pas ton truc, d'ailleurs va falloir un jour que tu me dise ce que c'est ton truc, mais là ça vole au-delà du vif d'or...Oscar vient d'insinuer que toi et moi...enfin que...bref! Et il va falloir moins de deux secondes pour que ta copine Cho raconte à toute l'école que toi et moi on vole pas sur le même balai que les autres...
Tu veux dire qu'on est gay? Mais c'est pas gentil...
Redescend de ton nuage Pottiron, ce petit est encore pire qu'un Serpentard...
Oh le petit fumier, le salaud, le sale épouvantard de mes deux, va voir comment j'ai dit au revoir à Voldy et va y avoir des cicatrices et pas en forme de bisounours c'est moi qui te le dit, je vais le...
Ok, on se calme Potter! On va juste prendre «soin» de lui maintenant.
Chapitre 4: Même le Basilic avait l'air plus cool...
La torture durait depuis près de 3 mois. Harry et Draco avaient TOUT tenté...enfin, séparemment chacun de leur côté pour éviter que d'anciennes rumeurs lancées par le chérubin...Ils avaient dû nier, se battre, marcher très éloignés dans les couloirs, ne jamais au grand jamais se croiser seuls dans les couloirs...Bref, après cette rumeur très très gênante (mais qui avait donné lieu à des « oooh c'est trop mignon » ou « c'est le couple de l'année » ou «je m'en doutais... »), les deux septième année avaient déclaré l'état de guerre: ils ne lâchaient plus Oscar d'une semelle. Celui-ci leur rendait la vie infernale.
« Oscar, arrête d'embêter Hermione s'il te plaît... »
Ce n'est quand même pas ma faute si j'essaye d'être gentil en la prévenant que si elle s'obstine à garder ce rat crevé sur sa tête, elle n'aura jamais un seul petit ami...
Ce sont mes cheveux misérable petit...!
C'est bien ce que je disais...
C'est Malfoy qui t'a appris ça? Parce que s'il le prend comme ça, il faut que tu saches que Malfoy essaye de compenser le fait qu'il ai un très petit...
Où est-il? Où est-il? », on reconnaît de loin la voix de Drago Malfoy, le prince des Serpentards qui a depuis longtemps perdu son sang-froid avec l'arrivée d'Oscar.
« Qu'est-ce qui se passe Malfoy.
Ne t'en mêle pas! TU..VAS..PLEURER..TA..MÈRE! C'est toi qui a changé tous mes vêtements en rose et a écrit « Rogue, je veux la même coupe de cheveux! »? Qui a rasé la tête de Pansy pour «le salut de l'humanité »? Toi qui a dit a Théo de pas m'approcher parce que j'avais la syphilis?
Ah oui là d'accord...Sa vie est fichue...Je me demande comment il fait pour sortir..» chuchotèrent les Gryffondors et on voyait Draco Malfoy devenir plus rouge avec les commentaires.
Draco, revenu à quatre ans d'âge mental, se mit à courir en hurlant contre le petit Oscar, complétement tordu de rire. Harry ayant peur des représailles du sang-pur et puis ayant adoré le coup des vêtements en rose, se mît à les suivre pour vérifier que Draco ne tuait pas réellement Oscar. Le petit garnement s'étant enfui, les deux garçons restèrent adossé à un mur, Draco reprenant son souffle. Depuis quelques temps, ils n'arrivaient plus à haïr la présence de l'autre. Depuis l'arrivée d'Oscar, ils avaient fini par compatir l'un pour l'autre, par essayer de s'entendre, ils plaisantaient sur leur malheur, les rumeurs sur eux, ils se provoquaient mais plus sympathiquement.
« Il va me tuer ou je vais le tuer, je sais pas...T'en dirais quoi de retrouver ta liberté? » proposa Draco de son regard malicieux typique du Serpentard
« C'est sûr que ça me ferait plaisir! Ce gamin c'est un basilic croisé avec les jumeaux Weasley...Un enfer. Mais ce serait bizarre, on devrait redevoir se haïr... J'aime bien comme ça. En fait, puisqu'on est dans le moment émotion, je pense que je te haïssait parce que c'était une sorte d'accord commun, on a décidé d'être ennemis, ça amusait les autres, mais bon j'avais rien de spécial contre toi..Je te connait pas!» dit Harry, qui avait l'air d'y avoir pensé depuis un bout de temps.
Draco pensa que ça devait être la chose la plus intelligente et perspicace que Harry, enfin euh Potter avait dite. Ils décidèrent sans vraiment le dire (il faut conserver une certaine dignité masculine...) d'arrêter ce jeux du chat et de la souris (après une réflexion perverse de Draco sur cette expression, qui selon lui, invitait à la débauche, et une royale ignorance d'Harry sur cette remarque qui le fit tout de même détourner les yeux). L'ambiance devenait on ne peut plus agréable quand (bien sûr c'est toujours à CE moment là) un énorme fracas retentit.
Les deux garçons se relevèrent difficilement pour aller voir ce qui avait pu déclencher ce bord.. bazar qui semblait venir de la Grande Salle. Devant eux, le mur de la salle était une gigantesque peinture des profs de Poudlard mais comment dire, assez parodique. Mc Gonagall tenant une bouteille de vodka et dansant comme une folle, le visage de Rogue qui prenait bien la moitié du mur le regard brûlant du professeur de potion et une rose rouge sensuellement dans sa bouche. Sans parler des autres professeurs ridiculisés avec cette peinture, bien entendu, indélébile. Les frères Weasley, arrivaient peu après, parurent très étonnés, même si ce genre de farce était tout à fait leur genre. Harry et Draco se retinrent de rire difficilement et, comme la moitié des élèves attroupés autour du mur en moins de 5 secondes, le silence s'installa à la vue des larmes des jumeaux Weasley:
« Georges?
Oui, Fred?
Tu pense à ce que je pense? » On entendit un soupir las: bien sûr qu'ils savaient à quoi pensait l'autre, ils avaient toujours les mêmes idées stupides et diaboliques...
Tout le monde pensait que les deux pleuraient de voir l'état du mur (peu probable), de voir Mc Gonagall aussi...bref, mais surtout que quelqu'un se soit permis de prendre leur rôle d'animateurs et de trouble-fête dans le château. Mais la réaction des jumeaux fût beaucoup plus surprenante et surpris tout le monde.
« Je vais...l'embrasser! Ce type est un géni...C'est vraiment du grand art!
Je dirais même plus un chef-d'oeuvre! »
Draco eu un rictus de mise à mort que personne, jamais, n'aurait voulu croiser. Il laissa échapper entre ses dents serrées un «Oscar» plus que haissant. Harry le regarda étonné et, dans son monde de bisounours, se dit qu'Oscar ne serait jamais capable d'une telle chose.
Mais plus le temps passait, environ 4 mois, 2 semaines, 12 jours et 15 heures d'après les bâtons dessinés sur le mur de la chambre de Draco, et plus le gentil petit Poufsouffle s'avérait être une vraie punaise. Sans vouloir énumérer, Oscar avait déjà conquis le coeur de presque toutes les filles de Poudlard, asservit tous les garçons, brisé toutes les règles de Dumbledore avec en punition juste un petit «rooo». Harry et Draco étaient dégoutés...mais pas à en faire des cauchemars. Enfin, pas encore... jusqu'à ce qu'en cherchant (encore) Oscar, ils le trouvèrent penché sur le bureau de Mme Paquette d'une façon assez (non, vraiment) aguicheuse... Mais celle-ci semblait penser que la proximité instaurée par le jeune blondinet n'était pas encore assez grande, car elle était avachie sur son bureau.
« Non, vraiment...ça me semble un peu trop demander..Je ne voudrais pas que vous croyez que je ne suis là qu'à propos de cette note...
Noooon! Voyons qu'allez vous croire là Oscar? Jamais je ne vous penserez intéressé. Vous etes l'élève le plus adooorable que je connaisse...Et je suis sûr que cette note Troll en potion n'est qu'un malentendu et, entre vous et moi..(Moment propice d'un clin d'œil et d'un horrible battement de cils à s'en décrocher les yeux)..Le professeur Rogue est une sorte d'hypogriffe mal léché...
Oh, merci de ce que vous faites pour moi professeur...
Appelez moi Miranda!
Excusez-nous «Miranda», mais nous devons vous enlevez votre prince charmant... Viens ici sale cloporte tu paies rien pour attendre! » dit Harry que Draco n'avait jamais vu dans cet état aussi...Serpentard et il sourit à la pensée d'avoir déteint sur lui.
