Ma nouvelle fic qui marque ma période déprime u_u
Ce n'est qu'un essaie, si elle ne vous plait pas, je ne la continuerais pas. A vous de juger.
Histoire : Shizuru et Natsuki se connaissent depuis leur plus jeune âge. Elles sont trés attachées l'une à l'autre et se promettent de rester ensemble quoiqu'il puisse arriver. Un jour, Shizuru part pour l'Europe avec ses parents, laissant Natsuki seule. 10 ans s'écoulent et Shizuru n'as pas oublier sa promesse, elle n'as pas oublier Natsuki et l'affection qu'elle avait à son égard. Leur retrouvaille est un succés, Shizuru est émerveillé par la beauter de son amie mais reste perplexe quand celle-ci ne la reconnait pas. Mais Shizuru ne sais pas que Natsuki à oublier, Natsuki à tout oublier ... et leur relation ne sera jamais plus la même. Shizuru arriverat-elle à surmonter cette dure réaliter et à aider son amie ?
Review please ? XD
Le titre n'est pas définitif hein, je cherche encore.
~ Les secrets de la mémoire ~
Chapitre 1 : Les bribes d'une enfance brisée
"Okaa-san ..."
Tout commence par un premier regard, un premier coup d'œil, juste quelques secondes. Quelques secondes qui paraissent pourtant être une éternité. Le temps s'arrête un instant et rien ne compte, rien sauf cette déesse qui, en un millième de seconde, à balayer ton cœur comme une tornade. Tu te sens fondre comme un vulgaire chocolat sous son regard innocent mais qui en dit long sur ses intentions. La malice à un visage d'ange, la pureté cache bien des secrets.
Figée par un simple regard, tu es en proie à cette belle jeune femme qui réduit en miettes tes défenses.
Plus rien ne bouge, tout est devenu insignifiant. Seule avec cette demoiselle, réveille l'instinct basique et animal de possession. Tu es soumise à tes propres besoin, trop longtemps mit de cotés.
La frustration de ne rien contrôler t'agace et ne fait qu'augmenter la pression. Ses courbes provoquent une étrange sensation, comme si des milliers de papillons volaient dans ton ventre. Un détail t'échappe peut être, mais tu la dévore des yeux et elle, s'en réjouit atrocement.
La température augmente peu à peu en toi, ton calme plat s'évapore laissant place à l'agitation. Tes pensée deviennent incohérentes et se bousculent, le désir se fait pressant. Ton rythme cardiaque accélère quand celle-ci s'approche, tu panique et pourtant tu ne bouge pas.
Son regard croise le tien, un frisson te parcours le corps et te fait frémir. Son souffle taquine tes lèvres, un dégluti retenti à tes oreilles, eh oui c'est toi qui fait tout ce bruit.
Un sourire arpente ses lèvres, que tu donnerais tout pour pouvoir les effleurer.
Elle te pousse contre le sofa de ce petit apart' dans lequel tu à été invitée. Ses mains se posent sur tes épaules pendant qu'elle se glisse entre tes cuisses. La sensation de ses hanches se mouvant contre toi t'arrache un soupir, doux et à peine caché.
Les minutes passent et l'envie non soulagée t'en fait presque mal. Vos deux corps nus, suant, te procure une sensation électrisante à chaque toucher. Ses baisers sulfureux trouvent leur chemin sur ton cou, tout comme sa main qui se glisse sur ta hanche.
La pression devient trop forte pour toi, tu as besoin de ses doigts là où ton plaisir s'accumule et maintenant. Comprenant ta détresse, elle ne te fait pas patienter plus longtemps et envahie ton jardin secret. Tu explose littéralement à son contact, te libérant ainsi de ce mal maintenant satisfait.
Des milliers de sensation t'envahissent, tu te laisse submerger et exprime ta reconnaissance avec plusieurs gémissement et autres bruit.
Ne voulant pas s'arrêter là, ta nouvelle conquête se glisse plus bas en laissant une trainée de baisers sur ton épaules, entre tes seins, ton estomac ...
Comprenant ses intentions, tu ferme les yeux et attend, plus qu'impatiente, la suite.
Un bruit sourd te fait ouvrir les yeux, ton réveil sonne bruyamment. Confuse, tu te redresse sur ton lit et sens une humidité familière entres tes cuisses. Frustrée, tu retombe dans tes draps et exprime ton mécontentement en lançant plusieurs jurons, te plaquant l'oreiller sur la tête pour que personne ne t'entendent. Eh oui, ça t'apprendra à fantasmer et malheureusement pour toi, papa fait irruption dans la chambre ~
« Vas-tu me laisser tranquille, conscience de malheur ?! »
« Nat-chan, est-ce que tout vas bien ? »
La jeune fille sourit maladroitement à son père et hocha légèrement la tête. Toshiro Kuga était un grand homme, son visage donnait l'impression de ne pas avoir été touché par les années. Il avait des yeux couleur océan, les cheveux court, brin, toujours en désordre ce qui lui donnait un coté rebelle, attrayant et cool. Tout le contraire de sa fille qui ressemblait à sa défunte femme. C'était aussi un grand homme d'affaire qui dirigeait la société Kuga en vue de remplacer son père, devenu trop vieux et fatigué pour être à la tête d'une firme nationale aussi grande.
« Dépêche toi de prendre une douche et viens manger, le petit déjeuner est prêt. »
« Tu ne vas pas au bureau ? »
« Iie, je doit aller voir ton grand père. »
« Oujo-sama, votre bain est prêt »
Toshiro se retourna pour voir Mariel, la soubrette en chef de la maison et femme de chambre de sa fille. Il lui sourit et regarda Natsuki.
« Je vais vous laisser. Merci de vous occuper de tout, Mariel »
La soubrette se courba devant le maitre de maison et entra dans la chambre de la jeune fille. Celle-ci soupira et sortie de son lit, inconsciente du sourire amusée qui dansait sur les lèvres de sa servante. Toutes deux se dirigeaient vers la grande salle de bain, dans le silence complet quand soudain …
« Nat-chan ! Ton grand-père vient d'appeler, il aimerait que tu viennes lui rendre visite avant d'aller au lycée ! »
La voix forte et grave de Toshiro résonna dans la demeure. Natsuki se pencha sur la rambarde qui longeait l'escalier du hall principal.
« Mais je vais être en retard si je vais voir grand père ce matin »
« Je pensais que les cours n'était pas ta tasse de thé ma chérie ? »
La jeune fille rougit et continua son chemin sous les rires de son père. Dans la salle de bain, Mariel aida Natsuki à se déshabiller et celle-ci se glissa dans son bain, soupirant de bonheur. La soubrette plia les vêtements de sa maitresse pour les mettre dans la corbeille de linge salle et rougit légèrement. Natsuki le remarqua et questionna la femme du regard.
« Un problème Mariel ? »
« Encore un rêve plaisant cette nuit, Natsuki-sama ? »
La jeune fille s'agita soudainement, très gênée. Elle avait complètement oublié ce rêve étrange et l'effet qu'il avait eu sur elle.
« C-Ce n'est pas ce que tu crois ! J-Je … J-Je n'ai pas eu de pensées déplacées ! Pas du tout ! »
Mariel se retenu de rire devant la tête que faisait Natsuki, devenue en un temps record, aussi rouge qu'une tomate. Elle termina sa tâche et se dirigea vers la jeune fille pour lui laver le dos. La pauvre Kuga s'avoua vaincue et se résigna à dire la vérité, Mariel s'occupait d'elle depuis son enfance après tout.
« C'est toujours le même genre de rêve sauf que cette fois, il y'avais un visage très distinct sur le noir des autres nuits. »
« Quelqu'un qui vous a marquer et qui vous plaisait ? »
« Iie, je n'avais vu ce visage avant »
« Pourquoi ne pas en parler à votre père ? »
« Je me vois mal lui dire que sa fille fantasme sur les femmes »
La jeune rebelle eu un rire forcé, qui ressemblait plus à celui de quelqu'un sans espoir. La servante soupira avec la jeune fille et quitta la salle de bain.
« Je préviendrais votre père que vous serez bientôt prête mais ne tardez pas trop. »
« Merci, Mariel »
La jeune femme se courba respectueusement vers l'avant et laissa Natsuki, seule avec ses pensées. Celle-ci leva les yeux vers le plafond blanc et se remémora son rêve.
« Je me demande qui peux bien être cette fille. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu quelque part … ou alors, c'est juste mon imagination. »
« Natsuki-sama, votre repas vas être froid. »
« Hai, je viens tout de suite ! »
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Tranquillement endormie, une petite brunette profitait de la chaleur de sa couette et n'était pas décider à en sortir dans l'immédiat. Mais la servante déboulant dans sa chambre et ouvrant ses rideaux en avait décidé autrement.
« Oujo-sama, votre mère arrive. »
La brune voulut pousser un soupir mais se retenu, ses bonnes manières obligent. Elle se contenta de se lever et saluer sa mère qui entra.
« Lève toi Shi-chan, c'est un grand jour aujourd'hui »
« Gokigenyou, Okaa-sama. »
« Miss Maria, assurez-vous que Shizuru soit prête pour rendre visite au grand père Kuga »
« Bien, Fujino-sama »
« Kuga … ? Sa veux dire que … ! »
Voyant le soudain enthousiasme de sa fille, Kaya Fujino acquiesça vivement de la tête, toute aussi heureuse qu'elle de revoir les Kuga. Depuis qu'ils avaient quitté le Japon pour vivre en Europe, Kaya n'avait pas revue grand père Kuga, Saeko, Toshiro et leur jeune enfant, Natsuki. Elle s'en faisait une joie et n'avait pas été aussi agitée depuis longtemps. Malgré la mort de son mari, Kaya Fujino était restée aussi belle qu'a ses 20 ans. Le portrait craché de Shizuru.
« Je vais revoir Natsuki … »
Sans perdre une seconde de plus, Shizuru s'éclipsa dans la salle de bain et semblait bien perturber, voir excitée à l'idée de revoir son amour de jeunesse. Se demandant si celle-ci avait changé, la brune ne pu s'empêcher de s'imaginer l'enfant qu'elle avait connu avec 10 ans de plus. Pendant ce temps, dans la cuisine de la demeure, les servantes s'activaient aux fourneaux. Le repas devait être prêt avant l'heure prévue du départ, Kaya était toujours très ponctuel.
« Shi-chan ! Si tu ne te dépêche pas, nous allons être en retard ! »
Haussant la voix pour que sa fille l'entende, la maitresse de maison n'attendit pas de réponse et prit place autour de la grande table qui siégeait dans le salon.
« Okaa-sama »
Kaya regarda sa fille dans l'uniforme de Kaichou qu'elle allait porter dans son nouveau lycée. Fuuka Gakuen était réputé pour accueillir des jeunes de tout milieu social et leur offrir une éducation allant du général au supérieur, de la maternelle à l'université. C'est d'ailleurs ce qui faisait sa popularité.
« Ara Shi-chan, tu es magnifique ! »
« Ookini »
Shizuru prit place aux cotés de sa mère. Le repas n'avait tourné qu'autour du couple Kuga et de leur fille qui devait avoir 17 ans maintenant.
« Oujo-sama, la voiture est prête »
« Tu n'as rien oublié Shi-chan ? »
« Iie »
« Bien, allons-y. Miss Maria ? »
« Hai »
« Prenez le cadeau et suivez nous »
« Bien »
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« Otou-san, je pouvais venir avec ma Ducati. Tu vas devoir m'emmener au lycée maintenant. »
« Je sais, je sais mais on ne prend plus la voiture ensemble depuis que je t'ai offert cette moto. Laisse-moi au moins jouer mon rôle de père en t'amenant à l'école cet après-midi, je les ai prévenus de ton retard. »
« Justement, si on voit que mon père m'emmène au lycée, sa va ruiner mon image de Princesse des Glaces ! »
« Je sais bien que tu ne veux pas te lié d'amitié avec d'autre jeune de ton âge à part Mai, Nao et Mikoto mais -»
« Je ne veux pas qu'on m'approche de trop près, c'est pour ça que mon image me tient à cœur. En jetant mon regard-de-la-mort, ils tremblent tous comme des feuilles mortes ! »
Le père soupira et s'avoua vaincu, sa fille gagnait toujours.
« Mariel, appelez Tatsuya et dites lui d'apporter la Ducati chez le grand père Kuga. Il n'aura qu'à la garer dans la cour »
« Hai »
« Arigato, Otou-san »
« Nous y sommes, Goshujin-sama »
« Bien, fait comme d'habitude Tetsuya-kun et n'essaye pas de changer de rôle avec Tatsuya cette fois-ci. Le grand père sait vous différencier malgré que vous soyez jumeau maintenant.»
« Hai »
« Viens Nat-chan, grand père doit nous attendre dans son bureau »
Pénétrant dans le grand manoir, Toshiro et sa fille furent accueillit par les servantes et conduit dans l'immense salon.
« Attends moi ici Nat-chan, je vais aller prévenir grand père que tu es là. Mariel ne devrais plus tarder à arriver. »
La jeune fille acquiesça de la tête et s'installa sur un magnifique canapé. Elle se retrouva seule dans le salon où elle jouait étant enfant et se perdit dans ses souvenirs qui étaient très flou. Depuis la disparition soudaine de sa mère, Natsuki avait oublié son passé et ne chercha pas à le retrouver. Elle savait que sa mère n'était plus de son monde et ne voulait pas aborder le sujet. Bien sûr qu'elle lui manquait mais elle ne voulait pas souffrir alors elle n'en parlait jamais et son père respecta son choix. Bien trop jeune pour supporter un tel choc, son cerveau préféra censurer sa mémoire et enfermer avec elle, une partie de sa douleur en la plongeant dans un coma peu profond. Du moins, c'est ce que les médecins avaient diagnostiqués quand l'enfant sombra dans un sommeil de 4 mois. Ce jour là, Toshiro avait cru perdre les deux femmes de sa vie mais heureusement, sa fille ce réveilla même si sa mémoire lui manquait.
« Natsuki-sama ? »
Mariel se présenta devant la jeune fille qui semblait absente, le regard perdu. Elle posa sa main sur l'épaule de celle-ci et la secoua légèrement.
« Natsuki-sama »
Natsuki sursauta légèrement en revenant dans la réalité et regarda sa servante, perdue et troublée. Celle-ci lui sourit et lui présenta une tasse de thé même si elle savait déjà que sa maitresse n'aimait pas vraiment ça. Elle pensait néanmoins que sa la détendrait un peu.
« Ne forcez pas, si votre mémoire tente de se réveiller alors sortez prendre l'air »
La voix douce et rassurante de Mariel avait toujours apaisé Natsuki. Elle lui rappelait vraiment le comportement … d'une mère.
« Sa ira ... Un jour ou l'autre il faudra bien que je me souvienne ... »
Un bruit provenant de l'entrée, attira l'attention de Natsuki. Elle se leva et rejoignit le hall principal, en bas du grand escalier central.
« Grand père aurait une autre visite ? »
Mariel suivit la jeune fille qui traversait le couloir et se présenta aux visiteurs en haut de l'escalier, prenant son air dur et froid de Princesse des Glaces.
« Tatsuya ? »
Le jeune homme qui était occupé avec deux femmes, se retourna vers sa maitresse et se courba vers l'avant pour la saluer.
« Natsuki-sama, j'ai apporté votre Ducati comme l'avait demandé votre père et en arrivant, j'ai rencontrée Fujino-sama et sa fille. »
Kaya resta stupéfaite de la ressemblance entre Saeko et sa fille. Elle l'avait l'impression de la voir quand elles étaient étudiantes. Quand à Shizuru, elle resta tout aussi ébahie que sa mère. Natsuki avait tellement changé, elle était magnifique dans son uniforme, en haut de son escalier.
« Natsuki … »
La jeune fille en question était gênée que les regards soit tournée sur elle, et prit quelques couleurs sur les joues. Elle se retourna vers Mariel et la questionna du regard.
« Mariel, est-ce … que je connais ces gens ? »
La soubrette se sentit soudainement incapable de répondre et ordonna qu'on prévienne Toshiro et grand père Kuga. Kaya s'avança vers la jeune fille qui recula un peu, ce qui la surprit grandement.
« Allons Natsuki-chan, je sais bien que 10 ans nous sépare mais ne sois pas effrayée. Tu ne te souviens pas de moi, je suis une amie de ta mère : Fujino Kaya et voici ma fille, Shizuru. L'aurais-tu oublié aussi ? Où sont tes parents ? Je suppose que ta mère est toujours aussi radieuse. »
Natsuki resta silencieuse et soudainement éloignée de tout.
« Ma mère est … »
« Fujino-sama, je pense que vous devriez -»
« Mariel, est-ce bien toi ? Oh tu as bien changé toi aussi ! »
« Je vous remercie mais-»
« Quel est tout ce raffut ? »
Toshiro se présenta à l'autre bout de l'escalier et fut bien surprit de voir Kaya Fujino ici.
« Kaya-san mais que … »
« Okaa-san … »
Le père de Natsuki regarda sa fille, perdu.
« Natsuki ? »
« Je jouais avec Okaa-san dans le jardin et j'ai jeté la balle trop fort … »
Toshiro se jeta sur sa fille et la secoua mais celle-ci avais les yeux vides, elle était seule avec ses souvenirs et revoyait soudainement les images d'une enfance lointaine.
« Natsuki ! »
Elle tremblait et semblait être dans un état second ce qui effrayait beaucoup son père.
« Otou-san était dans la maison … Okaa-san m'avais dit de rester là mais je … »
« Natsuki, reprend-toi ! »
« Mariel, mais que se passe t-il enfin ? »
« C'est très compliquée Fujino-sama … »
« Okaa-sama ? »
Shizuru ne comprenait pas vraiment la situation mais n'aimais pas l'ambiance des retrouvailles. Qu'avais t-il bien pu se passer pour que Natsuki soit dans cet état.
« Je ne l'ai pas écouté … et j'ai voulu la rejoindre de l'autre coté de la rue mais je … »
Plongée dans sa transe, elle laissa couler ses larmes et voyait les images défilé comme dans un mauvais rêve.
« Natsuki, arrête ! »
« La voiture est arrivée de nulle part … j-je … »
« C'était un accident ! Tu entends Natsuki, c'était un accident ! »
« O-Okaa-san à crier m-mais … »
Ce fût le choc dans sa mémoire, elle resta figée et agrippa son père aussi fort qu'elle le pouvait. Ses yeux reflétaient une panique intérieure, sa tête lui faisait atrocement mal. Elle revoyait encore sa mère se jeter sur elle pour la protéger. Prenant enfin conscience de ce qu'il c'était réellement passer ce jour là, Natsuki poussa un cri douloureux en répétant sans cesse.
« J'ai tué Okaa-san ! »
Son père, ne sachant pas la calmer, la serra dans ses bras. Il lui répétait que c'était un accident, qu'elle n'y était pour rien mais rien à faire, Natsuki ne faisait qu'hurler et pleurer en même temps. Le traumatisme était encore trop grand pour qu'elle le supporte et comment le pourrait-elle ... ?
Toshiro porta sa fille dans une pièce à part sous les regards inquiets des occupants de la maison. Pourquoi c'était-elle souvenue maintenant ? Qu'avait-il bien pu se passer pour que sa mémoire lui revienne d'un coup ? Avait-elle vu des choses qui seraient susceptible de lui rappeler son enfance ? Est-ce que Kaya lui aurait posé des questions sur Saeko ? Avait-elle mentionné son nom ou parler d'elle ? Toshiro se faisait des cheveux blancs, il se posait tout un tas de question en essayant de calmer sa fille qui semblait enfermée dans son monde.
