Le Pavillon des Chasseurs fous.

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Voici la suite de mes deux histoires précédentes :

« Un fantôme dans l'hôtel » et « La malédiction du Titanic ».

J'ai aussi utilisé certains dialogues de l'épisode : 12.17 « The British Invasion » et un peu de 12.19 « The Future », dans la dernière partie.

Par contre, changement...

Si, au début, la fic part sur une note joyeuse et marrante, elle sera, dans le fond, assez sombre.

Ici, ma nouvelle Team Hunters devra affronter quelque chose de nouveau :

Leurs propres Démons intérieurs...

Et l'histoire est plutôt compliquée, alors accrochez-vous !

Je pense que la fic, dans son ensemble, peut être considérée comme « OVNI »...

Attention à vous !

(Relue, corrigée et approuvée par Caly)

Disclaimer : tous les personnages appartiennent à Eric Kripke à la CW, etc. Je ne détiens aucun droit sur cette série et n'en tire aucun profit. À part peut-être mon plaisir personnel.

Bonne chasse !

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Partie 1 : Nous vivons des heures sombres.

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Lebanon, Kansas, au Bunker :

Mauvaise idée. Ce fut les mots qui vinrent à l'esprit de Dean ce matin-là. Voilà deux jours que Mick campait dans une chambre vacante du Bunker et, la veille au soir, l'aîné avait eu une très mauvaise idée : boire en compagnie de Mick et Sam. Si les Winchester savaient boire et tenir l'alcool, l'anglais quant à lui, était bien au-dessus d'eux. Ainsi, ce matin-là, Dean se tenait devant son énième tasse de café avec une gueule de bois d'enfer et les yeux qui se fermaient tout seul. Pourtant, après la caféine et l'aspirine, rien ne s'arrangeait. Il posa sa tête sur la table et il allait commencer à somnoler lorsque Sam entra dans la cuisine.

Dean leva difficilement ses yeux à moitié ouverts vers son frère et avoua, en découvrant ses cernes et son teint pâle.

- Tu as mauvaise mine.

Le cadet esquissa un sourire en se dirigeant vers la cafetière pour remplir un mug à ras bord. Il sortit de sa poche un tube d'aspirine et répliqua à son tour, en s'asseyant devant son frère.

- Toi aussi.

Dean ne put qu'acquiescer. Après avoir but une autre gorgée du liquide corsé, il confia.

- Je dois bien reconnaître que Mick est incroyable, il sait boire énormément. Je veux dire, nous, on boit. Mais lui, c'est le champion de la descente.

En parlant de lui, Mick débarqua à son tour dans la cuisine. Contrairement aux Winchester, il était déjà vêtu de son éternel costume sombre, de sa chemise bleu claire et surtout, il souriait tout en dévoilant.

- J'ai trouvé une affaire pour nous.

Il se dirigea directement vers le réfrigérateur pour se servir, sous le regard dégoûté de Dean, un verre de jus de tomate. Sam demanda alors.

- Une affaire ?

Mick n'avait de toute évidence pas la gueule de bois comme les frères et il restait tout aussi hyperactif que d'ordinaire. Il répondit alors.

- Oui. C'est à Springfield, dans l'Illinois. Une histoire étrange dans un asile psychiatrique. C'est à huit heures de route...

Il jeta un coup d'œil à sa montre et termina.

- Alors, nous ne devrions pas tarder à partir.

Dean avait encore un pic-vert dans la tête alors ce fut Sam qui questionna.

- Tu veux partir chasser ou tu veux mettre le plus de distance possible entre toi et les Hommes de Lettres Britanniques ?

Mick rit jaune en avouant.

- Les deux.

Puis, il but une gorgée de son jus en demandant, le plus naturellement du monde.

- Sinon, vous n'avez pas de la Vodka ?

L'aîné laissa retomber sa tête sur la table et Sam ferma les yeux en avalant son aspirine.

Dix cafés et trois aspirines plus tard, les Winchester étaient plus ou moins d'attaque pour une chasse. Mais Dean se promit de ne pas mettre de musique dans Baby, aujourd'hui.

Au parking du Bunker, chacun posa son sac dans le coffre de la voiture, puis Mick parut presque gêné, en avouant.

- Par contre... Vous vous doutez bien que, je ne compte pas faire de rapports au Dr Hess, ni parler de l'affaire à Mr Ketch ou en informer quiconque au Q.G...

Dean, qui avait encore mal au crâne, demanda avec impatience.

- Ouais, et ?

- Je ne pourrai, de ce fait, pas utiliser les cartes bancaires des Hommes de Lettres, ni les informations que je serai censé avoir.

Contre toute attente, l'aîné se mit à sourire en comprenant.

- Eh bien comme ça, tu vas enfin voir le vrai côté de la chasse aux monstres. Pas d'hôtel de luxe ou de rapport à écrire. Juste des motels pourris, de la bouffe de Fast Food et du piratage informatique... Bienvenu en Amérique !

Sur ce, il ferma le coffre et s'installa au volant, Sam côté passager et Mick encore derrière, puis l'Impala quitta le Bunker.

Motel « White Rabbit » :

Évidemment, Dean était mécontent de faire une croix sur le luxe qu'apportait Mick avec la « carte magique » des Hommes de Lettres. Mais, une partie de lui-même, jubilait à l'idée de charrier l'anglais sur l'inconfort des motels miteux que Sam et lui avaient toujours connu.

C'est ainsi que, huit heures trente de route plus tard, avec un seul arrêt pour l'essence, l'aîné gara l'Impala sur un vieux parking devant un motel à la façade décrépie par le temps. Dans des tons rouges, ocres et gris, vu de loin le bâtiment ressemblait plutôt à un dépôt abandonné qu'à un motel. Dean se délecta du regard perplexe de Mick lorsqu'ils descendirent tous les trois de l'Impala. Les frères se dirigèrent directement vers l'endroit qui n'avait d'accueil que le nom. Ils demandèrent une seule chambre à un vieil homme à moitié sourd. Mais Mick, derrière les Winchester, imposa deux lits différents.

Dean sourit jusqu'aux oreilles lorsqu'il agrippa la clef. Ils se dirigèrent dans un couloir terni pas les années, jusqu'à la porte 48. Une odeur de renfermé agressa les narines du trio, mais personne ne se formalisa. Après tout, cela collait avec l'ambiance générale.

L'Homme de Lettres fut heureux de constater qu'il y avait un lit deux places et un autre avec une seule place. Sam et Dean dormiraient ensemble, et pourtant, quelque chose semblait gêner Mick. Il tenta de le cacher tout en posa son sac sur le lit une place. Mais l'anglais, trop silencieux, inquiéta Sam, qui demanda.

- Mick, tout va bien ?

Le regard un peu fuyant, il mentit à demi-mot en répondant.

- Oui, toujours. Tout va bien.

Dean, qui n'avait pas remarqué la confusion de Mick, s'amusa.

- J'imagine que c'est la première fois que tu dors avec d'autres chasseurs. Et j'espère que tu ne ronfles pas !

Malgré la boutade, l'intéressé mit quelques secondes à répondre.

- Non, je ne ronfle pas.

Mais, par contre, il faisait des cauchemars. Toujours le même, en fait. Et ce fut cela, qui inquiéta Mick. Les Winchester ne connaissaient pas entièrement son passé et il préférait que certaines choses restent secrètes.

En fin d'après-midi, ils partirent tous les trois en direction de l'asile psychiatrique. Un endroit austère prénommé : Lennox House. Un patient avait disparu d'une cellule, comme par magie.

Sam et Dean s'étaient revêtus de leurs costumes de faux Agents du FBI alors que Mick gardait, comme à l'accoutumée, la même tenue qu'il portait toujours. Mais, l'anglais se mit à sourire lorsqu'il aperçut les deux frères avec leurs costards. Dean questionna, d'un air presque blasé.

- Qu'est-ce qui te fait rire ?

Mick toussota, avant d'avouer.

- Hum... Vos cravates. Enfin, leurs couleurs.

Les frères regardèrent en même temps les cravates qu'ils portaient. Celle de Sam avait des rayures rouges et dorées et celle de Dean vertes et argentés. Quelques secondes plus tard, le cadet tiqua enfin et sourit à son tour. Seul l'aîné ne comprit pas.

- Sammy ? demanda-t-il toujours confus.

Mais ce fut Mick qui répondit, en souriant.

- Avec tous les clichés sur Harry Potter dont tu m'affubles, je pensais que tu avais au moins vu les films. Ou lu les livres... Tu as la cravate aux couleurs de la maison de Serpentard, et Sam...

- Aux couleurs de la maison Gryffondor... termina le cadet.

Dean leur jeta un regard noir à tous les deux durant de longues secondes. Puis, il ajouta, en ne plaisantant qu'à moitié.

- Je vous rappelle que nous allons dans un asile psychiatrique. Et sachez que je peux très bien vous abandonner là-bas et vous y faire enfermer, si j'en ai envie.

Sam sourit derechef en terminant.

- J'aimerais te voir essayer.

Lennox House :

Le bâtiment en question était tellement sécurisé, qu'à ce niveau-là, cela en devenait presque de la paranoïa. De hauts murs de pierres, entourés d'un grillage barbelé électrifié, des gardes armés à tous les coins d'entrées et un grand portail où passaient les voitures et les livraisons. Et, comme panneau de bienvenu, une simple phrase gravée dans de la pierre :

« Lennox House - For mentally insane. »

Le trio dut montrer plusieurs fois leurs faux badges. Au bout de plusieurs minutes d'attente, Dean put enfin garer l'Impala sur les places réservées aux visiteurs.

Ils sortirent ensemble de la voiture et, sans savoir précisément pourquoi, tous trois furent prit comme d'une angoisse soudaine. Les Winchester mettaient cette sensation sur le compte de l'ambiance « prison » de l'établissement et de leurs gueules de bois récalcitrantes. Mick, quant à lui, pensait que c'était sûrement dû au fait qu'il chassait pour la première fois sans filet : sans l'argent des Hommes de Lettres, sans leurs précieuses informations, sans les rapports quotidiens au Dr Hess et tout en fuyant Mr Ketch.

Pourtant, cette angoisse ne les quitta pas à mesure qu'ils marchaient vers ce qui ressemblait le plus à une entrée. Le décor n'était composé que de barreaux, de fils barbelés, de portes blindées, d'hommes armés jusqu'aux dents... Rien de bienveillant, en somme. Ils gardèrent leurs badges en main, pour ne pas les sortir et les ranger toutes les trente secondes. Une fois devant l'entrée de l'asile, une sonnerie atroce retentit, signe que la porte s'ouvrit, comme en prison. Toujours avec la boule au ventre, les trois chasseurs pénétrèrent dans les lieux.

Un endroit lugubre, tout de gris et de blanc, avec un homme derrière un accueil protégé par une vitre et des barreaux. Les gardiens du portail lui avaient déjà fait le topo quant à la venue des Agents, et l'employé dit seulement.

- FBI ? Vous venez pour le patient qui s'est échappé ?

Dean montra son badge, encore une fois, et informa.

- Oui, je suis l'Agent Martell et voici mes collègues, les Agents Stark et Strummer. Nous venons enquêter, pourrions-nous... ?

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase, l'homme sortit un bac en plastique de sous le bureau et le posa devant lui. Il ouvrit ensuite le bas de la baie vitrée, pour y passer le récipient blanc rectangulaire, puis il informa.

- Vous devez d'abord mettre tous vos objets personnels ici.

- Nos objets personnels ? questionna Dean. Genre... ?

L'employé leva les yeux au ciel, manifestement impatient, en expliquant :

- Vos armes, vos bijoux, vos montres, vos ceintures, vos téléphones et clefs de voiture. Tout.

L'aîné n'aimait pas la tournure que prenaient les événements.

- Et si nous refusons ?

- Vous restez ici. Personne n'entre avec des objets potentiellement dangereux.

- En quoi des clefs de voiture peuvent être « potentiellement dangereux » ? s'énerva l'aîné.

Pendant que Dean se disputait, Mick en profita pour jeter un coup d'œil au plan de l'établissement, accroché à un mur de la salle. Règle numéro un : lorsqu'on arrive dans un endroit inconnu, toujours savoir où se trouvent les issues de secours.

L'homme de l'accueil reprit la parole.

- Même un coussin peut être dangereux pour un malade mental. Alors soit vous vous pliez au règlement, soit vous restez sur place.

Tout en bougonnant, Dean plaça son pistolet, ses clefs, défit sa ceinture pour l'y déposer également et il sortit aussi sa flasque de Whisky de la poche intérieure de sa veste sous le regard presque accusateur de l'employé. Sam enleva sa montre et son arme, quant à Mick il n'avait que son pistolet, sa ceinture, une montre et une bague. Les trois hommes placèrent chacun leurs portables en même temps. Une fois le bac en plastique plein à craquer, l'homme l'attrapa pour le ranger dans un casier derrière lui. Puis, il appuya sur un bouton sous le bureau. Une sonnerie comme dans les prisons retentit de nouveau et une porte aux barreaux anthracite s'ouvrit à la gauche des chasseurs.

Lennox House, Bloc C, Chambre 9 :

Ils suivirent un long couloir gris, comme tout le reste, où des chambres/cellules sur leur gauche hébergeaient des patients. À cette heure-ci, ils étaient déjà presque tous dans les vapes, grâce aux médicaments de l'institut. Un autre homme les attendit tous les trois au bout du couloir. Dans un costume sombre, assorti aux murs de l'asile, le crâne rasé et un cigare au bord des lèvres, il se présenta.

- Je suis le Dr Solando, le directeur de Lennox. Merci d'être venu, Agents, pour cette enquête. J'espère que vous allez pouvoir éclaircir ce mystère...

Ils se postèrent tous les trois devant une chambre, vide, de par le fait. Sam commença à questionner.

- Que s'est-il passé, exactement ?

Le directeur, souffla une bouffée de fumée vers la chambre, et répondit.

- C'est là toute l'énigme, justement. Un de nos patients s'est volatilisé. Hier, à 18h tapante, il était enfermé dans sa chambre. Sans fenêtre et la porte verrouillée. Lorsque l'infirmière est passée à 18h30 pour lui donner son traitement, il avait disparu. Comme par magie. Mais, il a laissé quelque chose derrière lui...

Il fit signe aux hommes d'entrer dans la cellule. Les chasseurs s'avancèrent, avec cette angoisse persistante en eux. Leur instinct de survie leur criait à tous les trois de partir en courant. Mais, le boulot avant tout, Sam, Dean et Mick, découvrirent une chambre quasi-vide. Un seul lit aux draps gris, une armoire, des toilettes et un évier. C'est tout. Sauf que, sur le mur de gauche, au-dessus du lit, quelque chose était inscrit. Peint avec des doigts, manifestement, les mots de couleur rouge indiquaient :

« 48 PATIENTS »

Sam s'avança et un doute s'insinua dans son esprit. Il demanda alors au directeur.

- Est-ce de la peinture ou du sang ?

Le Dr Solando, entra à son tour dans la minuscule chambre, tout en fumant son cigare et en répondant.

- Du sang. Le sien. Il s'est coupé avec une vis qu'il a enlevé à l'intérieur de son armoire.

Dean esquissa une moue de dégoût. Maintenant, il comprenait pourquoi il venait d'être dépouillé de tous objets « dangereux » à l'entrée de l'asile.

- Pourquoi ces mots ? reprit Sam. Vous avez 48 patients, ou... ?

- Non... coupa le directeur. Nous n'avons que 45 patients, pas 48. Un seul manque à l'appel, celui qui dormait ici-même, dans cette chambre.

Pour la première fois de la soirée, Mick prit la parole en demandant.

- C'était qui ? Et pourquoi était-il ici ?

Le Dr Solando sortit un papier de sa poche, tout en gardant le cigare entre ses lèvres, puis le tendit à Mick en informant, après avoir soufflé une autre bouffée de fumée.

- Il s'appelle Isaac M. Diveelh. Il était ici depuis peu. Un schizophrène, comme la plupart des patients ici. Isaac est arrivé il y a quelques mois, après avoir tué un des ses collègues car, je cite : « Les voix le lui ont demandé. »

À mesure que le directeur parlait, Mick lisait aussi la feuille du patient qu'il donna ensuite aux Winchester. Il ne savait dire pourquoi, mais l'Homme de Lettres eut un étrange pressentiment. Un très mauvais pressentiment. Comme s'il manquait quelque chose d'important.

- Il nous faudra tout le dossier du patient, informa Dean.

- Bien sûr. Je vous le ferai passer par mon employé de l'accueil.

Sam ouvrit l'armoire dans la chambre. Il demanda encore.

- Les patients ont droit à combien de paires de chaussures ?

- Deux, répondit le directeur.

Le cadet sortit deux paires de chaussures du placard et expliqua.

- Alors l'évadé est parti pieds nus ? Ça n'a pas de sens...

Dr Solando souffla encore de la fumée en répliquant.

- Non, en effet. Et c'est bien pour cela que vous êtes ici, n'est-ce pas ?

Les trois chasseurs se lancèrent tour à tour des regards interrogateurs. Cette enquête n'avait absolument rien de logique. Le directeur les sortit de leurs réflexions.

- Je suis désolé, Messieurs les Agents, je dois retourner à mes contrôles des Blocs. Je vous demanderai de bien vouloir repasser demain, si vous voulez voir le reste de l'établissement. Vous aurez le dossier dans quelques minutes, si vous voulez travailler dessus ce soir. En attendant, j'ai des patients encore présents qui m'attendent.

Et il raccompagna le trio à l'entrée, en passant par les portes grises aux bruits sonores comme en prison. Pendant que le directeur partit chercher le dossier du patient évadé, les trois chasseurs récupérèrent enfin leurs affaires personnelles. Dean rangea sa flasque de Whisky dans la poche intérieure de sa veste, sous le regard étrange de l'employé derrière la vitre. L'aîné ne pouvait l'affirmer, mais il crut le voir sourire.

Quelques minutes plus tard, le Dr Solando donna un dossier rouge aux trois faux Agents, sur lequel était inscrit, en lettres noires : « Isaac M. Diveelh ».

Une fois le document en main, ils repartirent ensemble vers l'Impala.

Devant la voiture, Dean se dépêcha de démarrer Baby. Les autres eurent à peine le temps de s'installer que l'aîné faisait déjà marche arrière en bougonnant.

- Nom de Dieu, j'ai hâte de quitter cet asile de fous ! Je n'ai qu'une envie : rentrer au motel et me servir un verre de Whisky !

Mick et Sam ne purent le contredire, eux aussi voulaient à tout prix partir d'ici.

Évidemment, aucun d'eux ne se doutait que, lorsqu'ils remettraient les pieds à Lennox House, ils ne repartiraient pas en voiture...

À suivre...

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Informations :

- Comme le sujet général de l'histoire est la psychiatrie, je vais utiliser des références en conséquence. Ainsi, le titre de l'enquête : « Le Pavillon des Chasseurs fous », est un clin d'œil au livre de Valérie Valère : « Le Pavillon des enfants fous »

Que j'ai lu en 2010 et qui m'a particulièrement marqué.

- Le nom de l'asile « Lennox House » est une référence à l'asile du film « Sucker Punch », un de mes films favoris. Et, le nom du motel : « White Rabbit » est un clin d'œil à une chanson du film. Chanson que l'on retrouve également dans la saison 2 de Supernatural.

(2.10 « Hunted », au début de l'épisode)

- La trame de l'histoire sera dans le genre de : « Shutter Island ».

Livre que j'ai lu et film que j'ai vu.

- Pour cette histoire, les titres des Parties ont un rapport avec Harry Potter.

Comme Dean embête souvent Mick avec ce cliché anglais, et que moi-même je suis ultra fan d'Harry Potter, je vais utiliser des phrases marquantes de la saga en titre.

- Les couleurs des cravates des Winchester ne sont pas inventés par moi. On retrouve la référence à Harry Potter dans l'épisode : 8.03 « Heartache ». Avec Dean aux couleurs de Serpentard et Sam à celles de Gryffondor.

(Au passage, Serpentard est ma maison, alors pas touche !

Ma sœur est d'ailleurs à Gryffondor, elle. Just FYI)

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Voilà, à lundi prochain !

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PS : Depuis le début de mes nouvelles enquêtes, il y a pour chaque Partie une illustration qui va avec. Vous pouvez les retrouver sur mon compte Twitter.