Bonjour et bonne année (en retard) !
Connaissez-vous I hunt killers de Barry Lyga ? Si non, je vous le recommande vivement, c'est un très bon thriller pour "ado". Bref, ce livre m'a inspiré pour cette histoire je voulais simplement dire que je sortirai certaines phrases qui sont du roman. Je voulais seulement vous informer que ces dernières ne sortent pas de mon imagination délirante.
Attention ! Cette fiche comporte de la violence, du sexe et de la vulgarité. Je prie donc aux aux âmes sensibles de ne pas la lire et s'il vous plaît, respectez bien cela !
Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, et heureusement pour eux. Même si j'aimerais bien avoir Zoro...
I'm a killer
Chapitre 1
"Non, non, pitié ! Non ! Je vous en supplie, arrêtez !"
Un cri de douleur suivit rapidement cette supplication. C'était le quotidien habituel dans ce foyer pour orphelin, pour les enfants qui y habitaient. Ils devaient chaque jour, subir le sadisme pervers du directeur, Donquixote Doflamingo. Cet homme, si l'on pouvait l'appeler ainsi, violait les jeunes de son orphelinat. Quant à ces "favoris", ceux qui étaient plus résistants et rebelles, non seulement il abusait d'eux, mais s'amusait aussi à les torturer psychologiquement et physiquement. Roronoa Zoro, quinze ans, en faisait hélas parti. Chaque jour, il devait le calmer soit de ses pulsions sexuelles, soit de ses pulsions sanglantes, ou même les deux en même temps, cela dépendait des jours.
Pour l'instant, c'était le tour de Law, lui aussi était un favori, qui en ce moment même, se faisait enculer par le Jeune Maître comme ce taré aimait se faire appeler, donc s'il était le suivant, il devrait subir les jeux barbares du directeur.
Pourquoi n'en parlaient-ils pas à la police ? Tout simplement parce qu'ils avaient peur de Doflamingo et des surveillants qui se nommaient Vergo, Pica, Trebol et Diamante. Rien de mieux que le règne par la terreur pour gouverner !
Un nouvel hurlement se fit entendre.
"Quel enfoiré..." Souffla-t-on à côté de lui.
Il se retourna et vit que c'était Kuina qui avait dit cette phrase. Kuina, une favorite, fille bien courageuse, c'était celle qui se laissait le moins faire de tout le foyer, elle protégeait les autres, mais c'était celle qui souffrait le plus. Zoro l'admirait pour sa force, mais se gardait bien de le lui dire.
Soudain, la porte s'ouvrit et Law fut projeté dehors, haletant et pleurant à chaudes larmes. Ça aussi, c'était une vision habituelle, dans l'orphelinat de la Terreur. Le Jeune Maître sortit avec son fameux sourire démentiel. Derrière ses lunettes, on pouvait sentir ses yeux faire le tour de la salle pour savoir qui sera sa prochaine victime. Zoro savait que c'était lui, son instinct le lui criait haut et fort, et ce dernier se trompait rarement, sauf quand il était question d'orientation où là, on ne pouvait pas compter sur lui.
Doffy commença à marcher et se mit en direction du Marimo. Bingo. Parfois il détestait vraiment son instinct. Le grand blond le saisit par ses cheveux et le traina dans sa "salle de jeux". Arrivés là-bas, l'odeur de sang et de sueur saisit le vert, mais il se reprit rapidement en entendant la voix du plus vieux lui ordonnant de retirer son T-shirt. Après un long soupir, il le retira, Doflamingo agrandit son sourire en voyant l'énorme cicatrice barrant son ventre à la diagonale. C'était son œuvre, un jour, lors d'une de ses "séances de jeux", il avait planté un couteau dans son poitrail gauche et avait descendu lentement jusqu'au flanc droit. Zoro s'en rappelait aussi très bien, de la douleur ressentie jusqu'au médecin, le docteur Ceasar Clown lui annonçant, souriant, qu'il allait garder cette balafre à vie. Mais revenons au présent, Doffy le saisit à nouveau et l'attacha à une chaise avec une ceinture. Ça y est, cela allait commencer.
Le Jeune Maître prit une petite lame, un wakizashi avec le fourreau et le manche en bois, et le lui montra. Le plus jeune déglutit. Il avait toujours une drôle de sensation en la voyant, une sensation qu'il ne pouvait décrire... Le blond ricana et commença à lui laminer sa chair. Le vert grinça des dents. Surtout, ne pas crier, cela ferait trop plaisir à ce connard. Doflamingo ria encore un plus fort et lui souffla:
" C'est si simple de découper les gens, comme de la volaille... "
Il versa de l'alcool sur ses nouvelles plaies.
"Ne pas hurler, ne pas hurler..." Se répétait sans cesse Zoro, alors que sa peau le brûlait comme de l'acide. Doffy s'amusa ensuite à lui planter des clous un peu partout sur le corps.
"Ne pas hurler, ne pas hurler." Pensait-il. Se le dire dans la tête permettait aussi à ne pas devenir fou, et aussi à garder le peu de fierté qui lui restait.
Son tortionnaire prit de nouveau la lame et la planta sans plus de cérémonies dans l'épaule du plus jeune, puis la tourna sur elle-même. Le pauvre Zoro grimaçait de douleur. Doflamingo éclata de rire:
"Toi aussi, un jour, tu connaîtras cette sensation, tu finiras comme moi, c'est dans ton sang."
Le pire c'est que le vert savait qu'il avait raison. Son père était un célèbre serial killer du nom de Dracule Mihawk mais à la veille de la naissance de son fils, il se fit arrêter par les flics. En apprenant la nouvelle quelques jours plus tard, sa mère se suicida de désespoir. Quant à lui, n'ayant plus de famille, il avait fini dans ce sinistre foyer pour enfants. Mais le goût du sang hérité de son père le hantait, il craignait le jour où il allait basculer, et ces séances viol et de torture ne l'aidaient absolument pas. Certains enfants le savaient, et craignaient le jour où il allait sombrer dans la violence, et le redoutaient. Ils avaient peur que lui aussi commence à les battre.
Heureusement, Kuina était là. Avec elle, la peur des mômes étaient apaisés et le vert était conscient qu'avec elle, il ne deviendrait ni comme son père, ni comme Doflamingo.
C'était son repère, son phare, tant qu'elle était là il ne tuerait pas.
La voix de Doffy le ramena à la triste réalité:
"Les faibles se font voler, violer, torturer et tuer. Ils n'ont pas d'importance. Au mieux, ce sont des meubles, au pire, ce sont des proies. Nous, les forts, sommes leurs dieux, nous les possédons, nous avons le droit de vie et de mort sur eux."
Il prit une chaîne et commença à fouetter avec le corps sanguinolent du vert. Ce dernier avait mal. Il n'en pouvait plus. Son cerveau lui hurlait de crier, mais il se retenait. Pas un seul son ne devait sortir de sa bouche. Pour s'en empêcher, il mordit ses lèvres. Il les mordit si fort qu'un filet de sang en coula.
"Tu es bien obstiné." Remarqua le blond alors qu'il continuait à frapper.
Tout d'un coup, il s'arrêta. Il semblait fixer quelque chose, quelque chose qui se trouvait sur le corps du plus jeune. Zoro se mit lui aussi à le fixer, se demandant ce que l'autre connard voulait. Cela ne sentait rien de bond, surtout que ce taré avait arrêté de sourire, et ça s'était très mauvais signe. Ils se regardèrent ainsi pendant de longues minutes.
Soudain, il comprit. Ce qu'il fixait avec attention, c'était ses yeux ! Ou plus précisément, celui de gauche. Un large sourire déforma le visage du flamant. Il prononça sa phrase d'une voix lente et grave:
"Tu as de beaux iris, dis-moi. Gris métalliques, comme la lame d'un couteau, j'en suis jaloux. Dis, Zoro, est-ce que je peux t'en prendre un ?"
Et sur ces mots, il leva sa lame, et trancha violemment l'œil gauche de Roronoa. Cette fois, il ne put se retenir et hurla aussi fort que sa voix le lui permettait. Son hurlement fut vite suivi par l'éclat de rire du blond qui se languissait de cette scène.
Zoro était allongé sur un matelas, couvert de bandages. Il soupira en repensant à ce qu'avait dit Ceasar au sujet de son œil. Il ne pouvait plus voir avec, sa prunelle gauche était fermée à tout jamais et condamnée à être plongée dans l'obscurité totale jusqu'au restant des jours de son propriétaire. Il était désormais borgne, à moitié aveugle; il devait penser tout de suite à comment combler ce manque et dépasser cet handicap. Ici, dans ce soi-disant foyer, c'était la loi du plus fort qui y régnait en maître. Par exemple, à l'heure du repas, étaient distribués les plats inégalement, ce qui conduisait à de violentes bagarres dont tous les coups étaient permis pour manger, et pour encore plus augmenter l'horreur de la scène, les surveillants pariaient sur les gagnants, et ne venant absolument pas en aide à ceux qui le leur suppliaient. Non seulement ils étaient considérés comme des jouets, mais ils étaient aussi des animaux par les adultes d'ici ! Il devait donc vite retrouver sa forme pour survivre dans cet endroit de malheur.
"Quelle merde..." Souffla-t-il. Il entendit des pas s'approcher. Il tourna difficilement la tête pour voir l'intrus. C'était Luffy. Ce dernier s'approcha lentement du blessé et s'asseya à côté de lui, sans un mot. Il portait toujours avec lui un chapeau de paille. Il avait une cicatrice sous l'œil, causée par Mingo, comme aimait bien l'appeler le plus jeune, ainsi qu'une autre blessure en forme de croix, faite par la même personne qui s'était amusé à lui brûler le torse. Le vert l'aimait bien, son côté enfantin lui redonnait le sourire, et une confiance absolue régnait entre les deux jeunes hommes. Après un long silence, le brun ouvrit la bouche:
"-Kuina... Elle...
-Elle quoi ? Répondit le vert.
-Elle a dit à Mingo qu'elle en avait assez, et qu'elle devait te venger parce qu'il t'a crevé un œil.
-Mais elle est complètement dingue !
-Elle l'a attaqué, mais elle a perdu.
-Oh merde ! Mais quelle conne ! Qu'est-ce qu'il lui a pris, bordel ?!
-J'te l'ai dit ! Elle a voulu te venger !
-Putain de... Bon. Que s'est-il passé ensuite ?"
Quelques heures plus tôt.
"Ras le bol de tes jeux pervers et violents !" Avait hurlé la jeune fille. Tous la regardèrent, étonnés.
"-Ah oui ? Et pourquoi donc ? Tu n'aimes pas quand je te prends et que je t'envoie au septième ciel ? Ricana Doflamingo. Pourtant, tu avais l'air d'apprécier...
-Ta gueule, sale dégueulasse ! C'est complètement faux !
-Mwéhéhéhé... Mais c'est qu'elle a du répondant pour une petite pute !
-Tu n'es qu'un sale crevard !"
Sur ces mots, elle lui sauta dessus avec pour seule arme une pauvre pierre ramassée il y a de cela des années. Elle ne fit évidemment pas le poids face au grand corps musclé de Doffy, mais alors que ce dernier esquivait de plus en plus maladroitement tant il riait devant l'arme ridicule de l'adolescente, qu'elle réussit à le blesser à la joue. Le blond perdit son sourire, il leva lentement sa main et la posa sur sa joue meurtrie, puis la retira et la regarda. Du sang. Son sang. Cette sale morveuse avait osé le blesser !
Furieux, il lui donna une gifle magistrale qui la fit tomber par terre, puis la roua de coups de pied en hurlant:
"-Sale petite garce ! Comment as-tu osé ?! À moi, moi, Donquixote Doflamingo ! Je vais te montrer à quelle point il est mauvais de me mettre en colère ! Vergo ! Le chien !
-À tes ordres, Doffy, répondit ce dernier et sortit aussitôt de la pièce.
-Tu vas me le payer sale chienne, mais je ne vais pas te tuer, non, ce que tu vas subir sera bien pire, tellement horrible que tu me supplieras de mettre fin à tes jours..."
Vergo revint après plusieurs minutes. Il tenait à deux mains un énorme chien grâce à une laisse. Le flamant s'empara de la laisse puis dit à Kuina:
"Je te présente Kaido, il appartient à la race des dobermans. Mais vois-tu, il est en chaleur et a absolument besoin d'une femelle... De n'importe quelle espèce. Tu vas donc le réchauffer ! Mwéhéhéhé !
-Tu n'es qu'un sale bâtard!
-Fufufufu, entre toi et moi, c'est plutôt toi la bâtarde. Allez, ouvre tes deux jambes et fais ton boulot de putain comme tu sais si bien le faire ! Mwéhéhéhé !"
Doflamingo lâcha le chien qui s'avança en bavant vers la pauvre brune qui connut sa plus grande souffrance de sa courte et misérable vie.
Retour vers le présent.
Zoro écarquilla les yeux. Il n'en revenait pas. Cet enfoiré de Doflamingo avait osé faire ça ! C'était monstrueux, horrible, inhumain ! La pire humiliation pour une femme comme Kuina ! Ah ! Mais qu'est-ce qui lui avait pris ? Tout ça pour son misérable œil ? C'était trop bête !
Il se releva et fonça vers la porte. Il avait un très mauvais pressentiment.
"Eh, Zoro ! Qu'est-ce que tu fais ?!" Hurla Luffy.
Le vert lui répondit qu'il s'inquiétait pour Kuina. Il courut partout dans le manoir qui servait de refuge, il ne s'arrêtait pas alors que ses blessures commençaient à se rouvrir, ses bandages devenaient rouges, et tentait tant bien que mal d'oublier la douleur qui se faisait de plus en plus intense. Il avait mal et sa vue, déjà bien endommagée, commençait à se flouter. Mais il continuait à courir et à la chercher. Il devait la retrouver. Après avoir passé trois fois dans la même pièce sans qu'il s'en soit rendu compte, il la trouva enfin, au bord d'une fenêtre.
"Kuina..." Murmura-t-il, d'une voix tremblante.
Elle se retourna et lui fit un sourire triste, ce qui le déstabilisa un peu.
"-Zoro...
-Que fais-tu ?
-Je suis désolée mais, je n'en peux plus, je suis épuisée.
-Kuina, ne me dis pas que...
-C'est la seule solution pour moi, j'ai perdu tout ce qui faisait de moi une femme et ça, je ne peux le supporter."
Pour la première fois, il la vit pleurer. Sa gorge lui faisait mal, il avait de plus de mal à respirer et à parler, or il devait tout faire pour l'empêcher de commettre l'irréparable.
"A... Attends, bégaya-t-il, ne fais pas ça, on peut encore s'en sortir, il y a encore un peu d'espoir !"
Ah ! Quel horrible mensonge avait-il sorti, et il le savait très bien. Mais il ne pouvait la laisser se suicider.
"-Non, Zoro, répondit-elle d'une voix triste, non, il n'y en a plus pour moi.
-Ne fais pas ça !
-Il le faut. Allez, prends soin de toi et des autres, je te confiance. Surtout, arrête de pleurnicher, un homme, ça ne chiale pas !
-Kuina, gémit-il.
-Adieu, Zoro.
-Kuinaaa !"
Trop tard. Elle bascula dans le vide, il courut à la fenêtre pour essayer de la rattraper. mais ne fut pas assez rapide. Elle s'étendait sur le sol devenu rouge par le sang qui ne s'arrêtait pas de couler. Il hurla une dernière fois son prénom, puis dévala les escaliers. Pour une fois, il ne se perdit pas et arriva dès le premier coup en bas. Il tenta de voir si elle respirait encore, mais pas un souffle lui parvint à l'oreille, la vie l'avait définitivement quittée. Alors il pleura, gémit, hurla pour expier sa douleur et sa tristesse. Il avait perdu une amie chère, son modèle son phare, et sûrement la seule femme qu'il ait vraiment aimé. Ses cris rameutèrent beaucoup de monde, des larmes coulèrent sur de nombreuses joues. Voyant l'état du vert et se rappelant de ce qui s'était passé quelques heures plus tôt, ils comprirent vite.
Tous les enfants l'appréciaient, elle était une sorte de grande sœur pour eux tous.
Mais tout de même pourquoi ? Pourquoi a-t-elle fait cela ? Pourquoi les avait-elle abandonné ? Elle aussi avait fui la misère de leur vie. Elle les avait laissé à leur triste sort. Doflamingo avait certes commit la pire des humiliations à elle, mais il n'empêche qu'elle les avait lâché ! La tristesse se mua en colère. Les jeunes commençaient à gronder, et à cracher sur Kuina. Après tout, elle n'était pas aussi courageuse que cela, la preuve, elle s'est suicidée, préférant la mort pour ne plus subir cet enfer qu'est la vie. Elle n'avait pensé qu'à son propre bonheur, les oubliant, ce n'était qu'une sale égoïste ! Elle n'avait plus osé affronter le monstre, et avait fui en choisissant la mort, ce n'était qu'une sale lâche ! Ah, elle était belle, la grande sœur !
Mais certains étaient devenus inquiets. Puisqu'elle n'était plus de ce monde, qui allait les défendre ? Qui allait les protéger contre le démon ? Qui allait être la chaîne de la raison de Zoro, pour qu'il ne sombre pas dans la folie meurtrière ?
Dans la foule pleurante, grondante et apeurée, Zoro le directeur. Ce dernier ricanait. L'enfoiré, il savait qu'elle allait mettre fin à ses jours, c'est ce qu'il voulait qu'elle fasse. Les larmes avaient cessé de couler, son regard devint sombre, dur et effrayant. Son sang démoniaque se mit à bouillir dans ses veines. Il allait montrer à cette enflure qui était le plus fort.
Doflamingo cherchait parmi les enfants sa prochaine victime. Soudain, il croisa un œil gris qui semblait vous transpercer de part en part.
"Alors ça y est, pensa-t-il, il a franchi la ligne."
Il se dirigea vers le possesseur de ce globe oculaire, s'empara de lui et l'amena dans sa salle.
Doffy le balança par terre. Il gloussa:
"-Mwéhéhéhé, je vois que mes leçons ont enfin porté leurs fruits !
-Tu n'es qu'une sale ordure, gronda-t-il.
-Ouh mais c'est qu'il ferait peur, l'animal !
-C'est ta faute si Kuina est morte, connard !
-Et toi alors ? À ce que j'ai cru entendre tu étais là quand cette petite garce s'est suicidé.
-Je t'interdis de la traiter de garce !
-Fufufu, mais pour qui tu te prends, gamin ? Je fais ce que je veux ! Ici, c'est moi le roi !
-Tu n'es qu'un pauvre taré !"
Il se reçut un énorme coup de poing. Mais, ce coup l'envoya valdinguer près de la table où se trouvait le wakizashi.
"-Toi, par contre, gronda Mingo, tu n'as aucun droit ici, tu es à moi. Mais estime-toi heureux que tu aies un traitement particulier. Allons, reprenons les leçons, tu vas bientôt devenir comme moi et comme ton père, ce n'est plus qu'on question de temps."
Il tendit la main pour s'emparer du vert. Soudain, ce dernier prit la lame et trancha la main du blond qui hoqueta de surprise. Il lui trancha sa seconde main, puis ce fut au tour de ses jambes. Il lui sectionna les épaules, puis lui lacéra le ventre. Doflamingo avait raison, ça se découpe comme de la volaille. Des tripes en sortirent et sans savoir pourquoi, il se mit à les découper aussi. Quand il eut fini, il se décida à décapiter le monstre. Il regarda son oeuvre. Ce n'était plus qu'un amas de chair nettement découpée. Il y avait pris du plaisir et continuait à en avoir rien qu'en voyant ce qu'il avait fait. Il en était nullement dégoûté. Il baissa les yeux sur lui et vit qu'il était couvert de sang, puis observa longuement sa lame qui était elle aussi tachée de rouge. Il trouvait cela merveilleux, palpitant, une pulsion malsaine s'empara de lui. Il voulait tant regoûter au plaisir qu'il avait en tranchant Doffy, il voulait tellement revoir la lame recouverte de ce liquide carmin.
"Est-ce que ça va ?" Demanda une voix dans son dos.
Il se retourna. C'était de nouveau Luffy. Il lui offrit un sourire mauvais.
"Oui, tout va bien, ne t'inquiète pas, lui répondit-il, je vais très bien. Je me suis même jamais senti aussi bien de toute ma vie."
Puis il éclata de rire, d'un rire malsain, démoniaque et démentiel. D'un rire de tueur.
Je m'excuse auprès des fans de Kuina pour avoir fait cela à leur personnage préféré, je sais que c'est horrible, mais il le fallait malheureusement.
Est-ce que je peux vous demander une petite review pour ce premier chapitre, s'il vous plaît ?
