J'étais assise près d'un arbre en train de réfléchir. Je pensais à la vie, à quel point elle peut être éphémère et même cruelle à certaines occasion. Mon père, que j'aimais tant, mon père si aimant attentionné et considérablement riche venais tout juste de rendre son dernier souffle. En fait, il y a déjà quelques semaines de cela et j'avais assez de difficulté à digérer sa perte. Malgré que je l'aimais beaucoup je me rend compte maintenant que je ne le connaissait pas tant que ça. Les circonstances de sa mort sont encore assez nébuleuse. Rien dans son état de santé ne nous laissais présager qu'il allait perdre la vie, mais comme on dit toujours, c'est toujours les meilleurs qui partent en premier. Ils nous cachaient bien des détails sur sa vie, il était souvent à l'extérieur du pays à cause de son job. Son bureau était situé à Londres, mais il avait été muté aux États-Unis 17 ans auparavant, c'est ici qu'il a rencontrer ma mère et là encore ou elle moi vivons aujourd'hui.

- Mademoiselle votre mère vous demande.

Je me retournai vers ma servante et la remercia, J'avais été surprise car je ne l'avais pas entendu venir, avant que je puisse lui poser une question elle étais déjà repartit dans la direction opposé. Je pris tout mon temps pour me lever et aller rejoindre ma mère. Je me doutais bien de la raison pour laquelle elle me demandait. Depuis la mort de mon père, elle n'avait qu'un idée en tête, aller vivre dans le pays natal de mon père. L'idée lui étais surement venu lors de son petit voyage aux funérailles de mon père. Bref, peu importe. Après avoir refermer l'imposante porte de notre villa, j'allais rejoindre ma mère au salon ou elle prenait un thé assise devant la fenêtre qui donnait sur la mer. J'adorais la vue que nous avions. J'aimais mon pays, je ne voulais pas le quitter pour aller dans un des pays les plus pluvieux dont j'avais entendue parler, je ne l'avais jamais visiter et je ne voulais pas y aller. Ma mère se retourna vers moi et vint me rejoindre passant un bras autour de ma taille et m'attirant ainsi vers l'un des luxueux fauteuils qui constituais le mobilier de notre salon. J'y pris place et soupira fortement, ma mère pris un air contrit et pris place devant moi. Elle ne semblait pas savoir comment m'aborder, ce qui ne fit que confirmer mes doutes au sujet de la conversation qui m'attendais.

- Ma chérie, tu sais ce n'est pas évident pour moi non plus, attend ne dit rien. Dit-elle en me regardant ouvrir la bouche et la refermer... Amy-lee je t'aime et je ne veux que ton bien, et si ce n'étais que de moi nous resterions ici. Mais pour ton bien je crois que tu devrais aller terminer tes études dans une école anglaise. Tu as eu tellement de problème à ton école ma chérie.

- Mais maman, je n'ai pas envie de quitter le pays. Je suis bien ici, maman...

- Je ne pu terminer ma phrase une larme roulant doucement sur ma joue. Ma mère soupira à nouveau et me dit:

- De toute façon ma chérie, ma décision est prise la villa a déjà trouver un acheteur et lors de mon voyage j'ai fais l'acquisition d'un joli petit manoir. Tu vas t'y plaire, Herman... je veux dire ton père et moi en avions déjà discuter avant sa mort. Nous partons d'ici la semaine prochaine le temps que tu t'habitue un peu au pays avant de commencer l'école. C'est ta dernière année et c'est une école réputé. Nous ferons tes course sur le chemin de traverse à Londres, tu verras tu t'y plaira...

Je me levais brusquement et quitta le salon en hurlant ma rage et m'enferma dans ma chambre.

- QUE PERSONNE NE ME DÉRANGE, JE NE VEUX PLUS PARLER À PERSONNE.

Ma mère s'était mise à pleurer dans le salon, mais jamais elle n'aurait avouer qu'elle aussi elle était morte de trouille et qu'elle y allait pour les bonnes raisons. Pour que sa fille comprenne ou étais sa vrai place. Elle faisait parti des nobles, des sangs pur. Ici aux États-Unis, il n'y avait pas autant de préjugé que dans cet autre pays, mais sa fille y aurait sa place.

Une musique forte éclata dans la villa. Je voulais me défouler, je ne voulais pas y aller. Je pris mon hibou et écrivit des lettres à tous mes amis et je l'envoyai. Ensuite je pris appui sur le bord de ma fenêtre, la semaine prochaine je serais à l'autre bout de la planète c'était injuste.

La semaine passa rapidement, un peu trop a mon goût. Mes amis étaient venu me voir avant mon départ, ils avaient même organiser une petite soirée juste pour moi. Mais l'heure de partir sonna, j'embarquai dans l'avion avec ma mère. Nos affaires y étaient déjà rendu, mais ni elle ni moi n'avions envie d'utiliser un portoloin pour se rendre à notre nouvelle demeure. Le voyage fut long, j'étais inconfortable et j'avais envie d'être à mille lieux d'où je me trouvais. Ma mère tenta de me faire la conversation, mais je préférais l'ignorer et faire semblant de dormir. C'était mieux ainsi cela m'évita d'écouter les conneries qu'elle débitait sans cesse. J'aimais ma mère, mais nous étions si différent, je ne pouvais croire parfois qu'elle et moi avions les même gênes.

En arrivant là bas tout déboula si vite, je passais la plupart de mon temps soit enfermer dans ma chambre, soit sur le terrain autour du manoir. Ma mère m'avais dit que nous étions dans un quartier de noble sang pur. Aucun moldus a des lieux à la ronde. Nous sommes allé sur le chemin de traverse acheter mes effets scolaires. Je me suis fais dévisagé parce que je n'avais pas une apparence commune aux personnes qui m'entourais. J'étais assez grande et mince, avec des jambes musclé, pas une once de graisse, de long cheveux blonds qui m'arrivais à la taille, une peau brunit par le soleil californien et de grand yeux vert foncé et éclatant. Mon style vestimentaire était aussi différent. Mes robes de sorcier n'étais pas non plus les même. Nous avons donc du refaire ma garde robe au complet, mais cela n'avais pas tellement d'importance puisque ma mère avait tant d'argent à dépensé.

Le premier septembre arriva finalement, je pourrais enfin m'éloigner de ma très chère mère un peu qui ne cessait de se morfondre de me voir si triste. J'embarquai dans le train et pris place dans l'un de wagon libre. Ma mère m'avait remis une lettre pour que je l'ouvre ce soir. Je la mis dans mon sac à main et pris les lettres de mes amies. Et commença la lecture de ceux ci, quelques personnes vinrent prendre place dans mon compartiment mais je ne tiquai même pas. Je ne voulais pas avoir à combler la conversation, ou même à répondre a des tas de questions pour savoir d'où je venais. Les gens qui était venu se joindre à moi se mirent à se parler. J'avais senti leur regard suspicieux à mon égard, mais voyant que je ne réagissais pas, ils se mirent à parler entre eux. Il parlait d'un Lord mort durant la guerre, et trouvaient cela chiant de devoir retourner à l'école pour recommencer leur septième année. Donc j'allais surement les avoir dans mes cours... Ils étaient à peine âgés d'un an de plus que moi... mais je ne comprenais pas pourquoi ils devaient revenir ici et selon eux ils n'étaient pas les seuls et ils maudissaient cette guerre.

- Tu sais Pansy, on a été chanceux de pas avoir eu la marque comme nos parents, nous on s'en sort sauf.

- Draco, tu sais ce que j'en pense et je ne suis pas la seule à avoir perdu un parent dans cette histoire. J'y ai perdu mon père et toi aussi... Je n'en ai rien à foutre, j'aurais simplement préféré que le balafré et tous les autres n'existe pas.

- Ouais mais Pansy, toi tu y es encore et c'est tout ce qui compte...

La dénommé Pansy mit fin à la conversation en même temps que moi je rangeai les lettres dans mon sac à main. En parlant de son père mort, j'ai repenser au mien et une larme avait rouler sur ma joue. J'ai tenté tant bien que mal de la caché mais elle ne passa pas inaperçu aux yeux du blondinet.

- Quoi? Pourquoi tu me regarde comme ça toi?

J'avais lancé ma question comme ça en le fixant droit dans les yeux. Il esquissa un semblant de sourire sur ses lèvres mince et marmonna un léger. « non, non rien... ». Puis je redirigea mon regard vers le paysage. Le train étais presque arriver en gare quand j'enfilai l'uniforme, eux avais un blason vert et argent sur la poitrine... J'avais cru comprendre que l'école était divisé en quatre maison... Cela ne devait faire qu'augmenter la rivalité entre eux, rien de plus inutile. À la sorti du train on me dirigea vers un demi géant qui allait me faire traverser le lac sur des barques en compagnie des nouveaux de première année. J'étais la seule de 17 ans à me retrouver là... Génial, pensai-je. Puis je me laissais guider en suivant les nouveaux de deux trois pas derrière prise dans mes pensée. J'allais être réparti dans une maison après les nouveaux je devais rester à l'extérieur de la grande salle jusqu'à temps qu'ils m'appellent.

Au moins 10 minutes passèrent avant qu'on m'invite à pénétré. Une dame discourait devant en expliquant sommairement que j'allais être une nouvelle dans l'école et d'être indulgent à mon égard. Aussi comme quoi je venais de l'école de Salem aux États-Unis et que je venais terminer mes études avec eu.

Avant de prononcer mon nom elle resta un instant muette, un vent de murmure se fit entendre et finalement elle dis:

- Parkinson, Amy-lee, venez prendre place sur ce tabouret...

Un silence complet s'abattit sur la salle, je sentis plusieurs regard converger vers moi, sans comprendre pourquoi puis tout devint noir lorsque le chapeaux tomba sur ma tête. Le chapeau me parla un peu et cria:

- Serpentard.

Quelques applaudissement se fit entendre mais très peu, pas comme pour les nouveaux qui étaients passer avant moi. La directrice me pointa une table ou je vis les personnes qui avaient partager mon compartiment dans le train je me dirigeai vers cet endroit sans comprendre leur regard ébahi...


Et voilà ma nouvelle histoire... n'hésiter pas a m'envoyer des reviews c'est toujours apprécier vos commentaire sont les bienvenus...