Isil Ganar, les fils des ténèbres
Petite explication avant de commencer tout ça : cette fic a été écrite par… moi ! (Non c'est pas vrai ?)
Mais certains personnages appartiennent à Tolkien et je remercie LilyLilas que je viens juste de lire pour deux ou trois inspirations…
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Maman ! Maman !
Une petite voix juvénile perçait dans le grave mouvement de basson du bruissement de la mer. Une enfant sortit alors d'une cabane pour aller au bord de la mer.
Qu'y-a-t'il, Faï ? répondit un jeune garçon.
Maman, elle est où ?
Bébé, tu ne sais pas où elle est ? Hein ? C'est ça ? Elle est dans la maison ! intervint une femme d'âge mûr.
Ah !
Attends un peu Faï, j'arrive.
Le garçon s'habilla et vit (Big Problemo) une horde d'Orques en train de brûler la maison.
Faï ! Reviens ! Cache-toi !
La petite releva la tête, poussa un petit cri de terreur et se nicha tout en bas de la plage, dans une hutte en sable qu'elle avait faite elle-même et qui était de taille à l'abriter. Le garçon, quant à lui, se cacha dans un renfoncement des rochers surplombant la mer.
Lorsque les Orques furent partis, ils sortirent tous deux, tremblants, de leurs caches.
Dagan, qu'est-ce qu'on va faire ?
Voir si les frères et sœurs sont encore là.
Oh, j'ai peur, Dagan !
Faï, tais-toi, je t'en prie.
Ils contournèrent les cendres de la maison et virent une jeune fille d'environ 11 ans tenant par la main une petite fille de 8 ans.
Et maman ? demanda Faï.
Non.
Miliü, qu'est-ce qu'on va faire ? sanglota Dagan à l'adresse de la jeune fille.
On va partir et on va aller en Gondor. Ils n'ont brûlé que les murs de la maison. Faï, va chercher le matériel de voyage le plus léger possible. Dagan, va vite prendre de l'argent. Noria, occupe-toi des chevaux. Moi, je vais préparer nos coutelas.
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Et voilà ! Résumé du chapitre : 4 enfants se retrouvent orphelins et partent en Gondor (800 km de là) tous seuls comme des grands…
Si vous n'aimez pas qqchose, envoyez-moi une review et si vous aimez, je vous en donne aussi la permission.
Les chapitres suivants, je vais essayer de les faire plus longs. Bye-bye !