Titre :. A heart under the bars
Ecrivaines :. Kina-chan & Hina-chan
Couple :. NaruHina ; SasuHina
Disclaimer :. Les personnages appartiennent à Masashi Kishimoto
Le pauvre petit chien ... Hier il avait mal, aujourd'hui aussi ... Et demain sans doute également... Chaque jour est partagé par la douleur qui ronge mes instants de bonheurs. Je ne veux pas que mes amis s'inquiètent, alors je préfère me taire...
Le soir arrivait toujours trop vite, malgré les si belles journées que je passais en compagnie de mes amis et de Naruto.
Parfois j'ai vraiment l'impression que la vie se moque de moi. J'entre dans la limousine, mon père est premier ministre, contrairement à ce que peuvent penser certain, j'aimerais ne pas être aussi riche. J'aimerais juste avoir une vie « normale», avec un père aimant, une mère douce, une petite sœur rigolote et toujours pleine d'énergie. Mais ça, c'est-ce que je voudrais...
Nous sommes arrivés, je sors et m'approche de la porte immense. Je respire un bon coup et entre. A peine eu-je le temps de refermer la porte que j'entends la voix grave de mon père m'appeler. C'est en tremblant un peu que je me dirige vers l'endroit « habituel ». J'ouvre et referme la porte une fois entrée. Je pose mon sac par terre, avance jusqu'au bureau de mon père et attend.
« - Personne ne t'a fait de remarque ?
- Non »
Il sourit, ce n'était pas très beau à voir.
« - Bien, Pourquoi tremble tu comme ça ? »
Je tremblais, surtout au niveau des jambes, à la fois de peur, de tristesse et de rage, j'en avais marre de ma vie !
- Que ? Tu pleure ? Fit mon père d'un air dégoûté
J'avais baissé la tête, mais malgré cela, il avait remarqué mes larmes.
J'entendis ces pas venir vers moi, et, malgré ma tête baisser, il me gifla. Je tombai à terre... habituée. Il me rua de coup de pieds dans le ventre, zone cachée par mon uniforme scolaire. Les première fois j'avais crié « à l'aide », mais personne n'était venu, ils m'avaient entendu certes, mais avait préféré ignorer mes cris. La première fois, à travers mes cris j'avais entendu des pas passer devant la porte, il s'était arrêter, et alors, j'ai espérer ... vainement j'ai espérer que quelqu'un me sauve de cet enfer. Mais, après quelque secondes, les pas sont repartis me laissant toute seule. Tout le monde m'abonne alors que derrière la porte tout le monde sait ce qu'il se passe, mais il préfère ignorer, ils préfèrent rester dans leur belle vie quitte à laisser la petite « bête » souffrir. Aujourd'hui, je suis habituée, mais je ne peux m'empêcher de crier de douleur, il tape alors plus fort, chaque jour cela me fait de plus en plus mal, il tape sur mes hématomes.
Le lendemain, même heure
« - Après bon nombre d'avertissement, tu a eu l'audace de continuer à fréquenter ces moins que rien, notamment l'Uzumaki. J'ai... !
- Ce ne sont pas des bons a rien !
- Que - Comment ose tu me contre dire ?
- Ce sont mes amis !
- Une Hyuga ne doit en aucun cas fréquenter ces énergumènes ! J'ai donc décidé que désormais tu suivras des cours à domicile !
- Quoi ? Comment ça ? Je refuse !
- Tu n'as pas à partager ton opinion, tu te dois de m'obéir !
- Je préfère vivre dans la rue que de vous obéir, « père » ! »
Je marchai vite vers la porte du bureau quand une main forte m'attrapa le poignet.
« - Tu n'iras nul part !
- Lâchez-moi ! »
Je me retournai vers lui et le poussa de toute mes forces, sans vraiment savoir ce qui allais ce produire.
BAAM !
Après ce bruit, je vis mon père allongé sur le sol, une flaque rouge derrière sa tête, je courre vers lui, me baisse et met deux doigts au niveaux de la gorge pour vérifier son pouls, Rien.
Que dois-je faire ? Appeler à l'aide ? Le laisser entrain de baigner dans son sang ?
Je ne sais pas, c'est décidé j'appel à l'aide, je sais bien ce qui risque d'arriver si j'appel au secours mais je ne peut pas le laisser là, entrain de salir le tapis luxueux.
« - Au secours ! Venez m'aider ! »
Après quelques instants, quatre personnes arrivèrent en trombe dans le bureau.
« - Oh mon dieu ! Maître Hiashi est mort !
- C'est vous qui l'avez tuez !
- Je-je n'ai pas fait exprès, je-
- On verra ça plus tard ! Pour le moment, vous allez en cours et nous, nous allons nous occuper de Monsieur le Ministre.
- Bien »
Je prend mes affaires, et je sors du bureau, je descends les escaliers qui mènent au rez-de-chaussée.
Arriver en bas je prend mes clefs et les met dans mon sac, je sors de la maison.
Je me dirige maintenant vers la limousine qui m'emmène tous les jours au lycée et qui me ramène tous les jours à la maison.
Je monte et m'assoie, le temps me paraît long, plus long que d'habitude...je ne peux pas m'empêcher de penser à mon père, maintenant il ne pourra plus m'empêcher de voir Naruto et mes amies.
La voiture s'arrête, je descends, dis au revoir au chauffeur et me dirige vers le portail du lycée.
Enfin dans le lycée, j'aperçoit Naruto et la bande, je me dirige vers eux et embrasse Naruto.
Je n'arrive même pas à le regarder dans les yeux...
« - Salut Hina, ça va ?
- O-oui
- ça va faire trois mois que vous êtes ensemble non ? Demande Témari
- Oui, dit-il avec le sourire
- Bonjours tout le monde ! S'exclame une vois masculine
- Bonjours Shika » Dit Témari
Je n'ose pas leurs dire ce que j'ai fait, ça me torture !
Au moment ou je me décide enfin a leurs dire une personne m'interpelle...
- Excuser moi ! Vous êtes Mlle Hyuga ?
- Oui pourquoi ?
- ...Je vous arrête pour le meurtre , Vous avez le droit de garder le silence. Dans le cas contraire, tout ce que vous direz pourra et sera utilisé contre vous devant un tribunal. Vous avez le droit de consulter un avocat et d'avoir un avocat présent lors de l'interrogatoire. Si vous n'en avez pas les moyens, un avocat vous sera désigné d'office. Durant chaque interrogatoire, vous pourrez décider à n'importe quel moment d'exercer ces droits, de ne répondre à aucune question ou de ne faire aucune déposition. Dit Le policier en me mettant les menottes aux poignets
Naruto, Shikamaru, Témari et tous les autres élèves me regarde, étonnés, choqués...
L'expression qu'à Naruto me fait pleurer.
Le policier m'emmène dans une voiture et quand la voiture s'arrêta, je sortis et me fis emmener dans une cellule, le temps que le procès à lieu, c'est à dire trois jours.
Je regarde autour de moi, il y a deux lits, une salle ou il y a des toilettes, il y a un poste de télévisions et deux chaises avec une petite table.
Ensuite je vois qu'il y a deux cellules qui entour la mienne, dont une inoccupée, et deux cellules en face de la mienne, occupée par deux femmes d'une quarantaine d'années.
Je partage ma cellule avec un garçon de mon âge à peut près, tiens ? Il est la pourquoi lui ?
Il a les yeux noirs si j'ai bien vu, il a les cheveux noirs, la peau assez pâle mais pas tellement, il a un regard froid, et il a des muscles enfin d'après moi.
Pendant que je le détallais, il a tourné la tête vers moi et il m'a vu le reluqué. La honte, il a un peut rigolé quand j'ai tournée la tête vivement, rouge de honte.
J'ai l'air de quoi moi maintenant ? J'espère même si je sais le contraire, qu'il ne m'a pas vu.
La Honte ! En faite je sais ce que vous pensez de moi, que normalement je devrais être traumatiser du faîte que j'ai tuez accidentellement, je le rappelle, mon père ce matin, et que je devrais aussi me torturer l'esprit de savoir si Naruto va me quitter, mais non.
Le faîte que mon père soit plus là pour m'empêcher de sortir, d'avoir des amies et autres.
Il est aussi plus là pour me tabasser, pour calmer ces nerfs ou je ne sais qu'elle raison.
Pour Naruto, je sais qu'il ne va pas me larguer, enfin je l'espère.
« - Hey ! Poulette ! »
A qui elle parle celle-là ? Moi ? Non je ne pense pas
« - Oh ! Je te cause ! »
Je me pointe du doigt.
« - Oui c'est à toi que je parle !
- Qu'est ce qu'il y a ? »
Le garçon de ma cellule me regarde.
« - Tu m'a l'air jeune, qu'est-ce que ta fait ?
- Je ne peut pas le dire
- Si je te dis pourquoi je suis ici, tu me dis pourquoi?
- D'accord
- J'ai tuez mon mari, et c'est moi qui est suis à l'origine de l'incendie dans l'établissement des filles.
- Quelle établissement pour filles ?
- Avant il y avait un établissement pour filles et un pour garçons, puis il y a quelques temps, moi et des copines de cellules ont incendiées l'établissement.
Alors ? C'est à toi de raconter.
- Je – j'ai tuez accidentellement mon père mais les sujets de mon père ne me croient pas...
- Oh, je vois, dit moi, ton père avaient des sujets donc ça veut dire que tu est riche, alors ils vont payer ta caution.
- Mon père, c'est un ministre, et je ne pense pas non... »
Quand j'ai fini ma phrase, deux agents de la prison me font sortir de la cellule, la jeune femme avec qui je parlais me souri tristement.
- Excuser moi ? Euh en faite vous m'emmener ou?
- Nous vous emmenons pour l'interrogatoire.
Je me tait, je sais très bien qu'ils vont essayer de me faire craqué, je ne vais pas leurs laisser se plaisir.
J'arrive dans la salle, un homme est devant moi entrain de lire un dossier, il me montre le dossier avec une photo en me disant :
« - Tu le connais lui ? Et oui c'est ton père, tu vois la photo ? Celle ou il est allongée dans son sang ? Je pense que oui...
- Vous savez, c'est moi qui l'ai poussé, sans le faire exprès, et il est tombé par terre, comme il était entrain de salir le tapis, j'ai appelée " à l'aide ". Et me voilà ici... » Dis-je en le coupant
Il est stupéfait, je l'avais dit, je ne lui donnerais pas de satisfaction.
« - Hem, bon, et pourquoi la-tu tuer ?
- Je ne l'ai pas fait exprès, je l'ai poussé car il ne voulait pas que je vois mon petit ami, mes amies et il me battait !
- Mensonge !
- Regardez ! Dis-je en lui montrant mes jambes, mes bras et mon ventre
- Qui me dis que se n'est pas vous qui vous l'avez fait ?
- Mais ! Pourquoi j'aurais fais sa ?
- Vous ne savez pas se que j'ai endurer avec lui ! Je veux être jugé pour qu'on en parler plus...
- Bon, je vous verrais demain pour voir plus claire. Emmener-la ! »
On me pris par le bras et on me raccompagna dans ma cellule, la femme m'a demandé ce qui c'est passé, je lui est tout racontez, comme si c'était ma mère et que j'avais eu un mauvais cauchemar.
Le garçon me regarde, je ne me retourne pas pour cette fois, je sais pourquoi, il n'a pas son regard froid, il a un regard compatissent.
« - Euh, T-tu t'appelle c-comment ?
- Sasuke... »
Ouf, j'ai bien crus qu'il allais me mettre un vent...Tiens j'ai bégayer moi ? C'est bizarre.
« - Ta f-fait quoi t-toi?
- J'ai tuez mon grand frère
- O-oh… Je vois »
« HiNATA ! »
