Genre: Humour, Aventure, Légèrement Méchant (Mes Vieux Démons), Semi-Pov, OC, combat.

Annonce personnelle : Bonjours à tous, je me présente Sonnyus auteur de deux fan-fiction. Pour ceux qui les connaissent je vous remercie de lire celle-ci. Pour ceux qui me connaisse je rentre d'entrer de jeux dans les grandes lignes. C'est une ambiance bonne enfant que je propose, humour, amour léger d'enfant, c'est très loin de l'ambiance du clan sonnyn ou de sans nom.

Pour ceux qui ne me connaissent pas je suis donc Sonnyus, mon style d'écriture est celui d'un Original Character. Je vais vous écrire une histoire qui durera, j'espère, le plus longtemps possible. Je vais m'inspirer du manga, prendre les noms originelle, enfin ils ne vont pas tenir de rôle dans mon histoire, juste des apparitions légères. Je vais tenter quelque chose de nouveau pour moi, le Semi-Pov dis-moi ce que vous en pensez. Mon histoire se passe après celle de Sakura, des années plus tard…petit parenthèse, Sonny c'est un garçon, désole les filles mais je ne vais pas changer pour vous.

Voilà mon histoire de Card Captor Sonny (CCS). Une petite présentation du perso et de son univers. Je suis heureux de vous annonce que le prochain sort dans trois jours. Cette histoire est coupée en plusieurs parties, ceci est la première et elle est composée de 10 chapitres. Celui-ci est le plus long et le plus cours fait 5600 mots.

Je m'excuse pour toute faute que vous verrez, à la limite montrer les moi et je les corrige rapidement. Je prends toute aide qui viendra et invite à visite mon nouveau profil.

Disclaimer: l'univers appartient au groupe de dessinatrices CLAMP ainsi que Sakura, Shaolan, Kerobero et Yue.

Index : \\\\\\\\\\ = changement de vue

WWWW = retour dans le passée, flash-back

## = Pensée

§§§§§ = Changement de réalité.

Chapitre I: introduction.

Je me présente Sonny, je suis un garçon aux yeux aussi noirs que l'ébène et les cheveux aussi blancs qu'un nuage ainsi j'ai souvent reçu des moqueries de la part de mes camarades et des taquineries de la part de ma famille. Ma famille est celle que tout le monde a, enfin je pense. Je suis âgé de 10 ans et aime beaucoup les gâteaux au chocolat.

Ma mère s'appelle Yuri c'est une femme très attentionner et libérale par rapport à d'autre parents que je connais. Elle me laisse des libertés assez conséquente mais je fais en sorte de ne pas tirer sur la corde à chaque fois.

Mon père s'appelle Kintsune. C'est le papa poule dans toute sa splendeur.

J'ai jamais compris leur travail, c'est «des trucs de grand que les enfants comme moi ne peuvent comprendre…».

Des deux, c'est lui qu'on voit le moins, souvent il reste à l'étranger pendant que maman rentre pour nous rendre visite une fois par mois.

Mais une fois à la maison, il fait tout pour rattraper le temps perdu, passant des journées entières derrière nous pour nous prendre des nouvelles et nous aidé aux devoirs.

Mon grand frère de 10 ans s'appelle Takeo.

Il a la majorité depuis plusieurs semaine, je me rappelle que maman et papa nous avait payé le voyage pour qu'on les rejoint à défaut de l'inverse, pour le fêter ensemble.

Je n'aime pas prendre l'avion, c'était trop long et sincèrement, comment un bout de métal peut voler sans bouger les ailes ?

Mon frère s'était moquer de moi quand je lui ai expliqué ma peur mais il m'a aussi rassuré en restant le plus longtemps avec moi, jouant aux cartes pour m'occuper.

C'est le grand frère dans toute sa splendeur. Moqueur, ne loupant aucune occasion pour nous mettre la honte et se moquer de nous mais si jamais vous avez un problème vous allez vers lui pour qu'il vous aide.

C'est lui le responsable quand les parents sont absents, mais il n'a jamais aimé l'autorité, cela l'énerve.

Ce n'est pas un fainéant, il travaille en dehors de ses cours et sait gérer les situations de crise, seulement il n'aime pas trop avoir des responsabilités.

Pour finir le tour de ma famille, j'ai un petit frère qui s'appelle Yemon.

Si un mot devait le décrire: Démon.

Je ne lui tournerais pas le dos à aucune occasion.

Il a à peine cinq ans, mais cela se voit qui ferait n'importe quoi pour être dans les petits papiers de maman afin qu'elle le porte.

Notre mère lui a donnée ce nom car, à peine née, il aurait demandé les bras de celle-ci, pleurant jusqu'à ce qu'on lui ait donné.

Il a même fait semblant de ne pas savoir marcher pour ce faire porter.

Je me rappelle de ce moment, les parents absents, il a commencé à marcher de la table aux bras de notre frère. J'ai halluciné, appelant tout de suite maman pour lui annoncer. Elle a hurlé de joie en demandant à ce qu'on lui passe le combinais pour le félicite. Une fois de retour à la maison, il a fait semblant de tomber tous les deux pas pour finalement se refaire porter. Elle a finis par découvrir le poteau rose quand il s'est levé le soir même pour demande un chocolat, notre mère avait fait un grand sourire, riant de la situation, toute en lui faissant.

Voilà ma famille. Je suis un enfant assez normal sans vraiment rien de particularité…

«Debout la dedans !»

Enfin j'ai peut-être un petit truc à vous dire…Je suis un Card Captor…

Je relève mon torse moelleusement en regardant mon réveil pour voire qu'il est huit heure.

Je suis en retard de trente minute par rapport au planning familiale mais je ne m'en inquiète pas, continuant à regarder devant moi, les yeux à moities endormis.

«C'est incroyable ! Chaque matin tu éteins ton réveil pour te recoucher ! C'est indigne d'un Card Captor.»

Cette personne qui me fais la leçon s'appelle Seiichi, c'est mon gardien et entraineur…enfin au lieu de vous expliquer je vais plutôt vous raconter mon histoire commençant il y a exactement…Un mois.

WWWWWWWWWWWWWWWWWWWW

Je courais dans la rue qui me mènerais à chez moi.

J'ai finis l'école depuis quelques heures mais j'ai trainé en classe avec mon ami pour faire mes devoirs et sans m'en rendre compte la nuit est tombée.

Je cours, n'aimant pas vraiment la nuit, c'est un monde complètement diffèrent du jour, il y a des mystères à chaque coin de rue et le simple fais de penser que des fantômes pourraient être derrière moi et se cacher à chaque fois que je tourne le regard, ne me rassure pas vraiment.

Je tourne dans une ruelle et vois une fille droite comme un i. Elle porte l'uniforme de mon école et j'étais prêt à la saluer seulement je m'arrête dans mon mouvement quand je remarque des ombres apparaitre mais que rien ne semble les crée.

Je reste cacher, en surveillant pour voir ce qui se passe, enlevant mon sac au cas où.

Les ombres grandissent et une forme matérielle en sort.

J'hallucine, il y a de la lumière autour donc normalement il ne doit pas avoir d'ombre, il n'y avait rien et voilà que des sortes de monstre-bête sortent des ombres apparues étrangement.

Il ne semble pas avoir d'yeux et marche vers elle. Je prends une grand respiration en me disant qu'il faut que je sois courageux et que je l'aide.

Il eut un grand flash et une créature vol à côté de moi.

Je reste surpris par le bruit qu'il fit en s'écrasant.

Je jette un regard rapide pour voire ma camarade avec une sorte de sceptre dans la main en train de se battre contre ces monstres avec…grâce et beauté.

Je reste à observer chaque mouvement qu'elle fait, impressionner qu'elle soit si agile et adroite.

Je me fis réveiller par le grondement de la bête derrière moi. Je me retourne pour voir le monstre se relevé.

Je regarde autour de moi et vois une pierre que je lui jette à la tête pour qu'elle s'enfuie.

Cela n'eut pas l'effet escompté et il se dirige vers moi.

J'entends un petit crie et vit la fille qui est bloqué contre un mur.

J'allais l'aider mais le monstre me saute dans le dos, fourbemant.

Je me retourne en sentant une griffure, fait par sa patte, dans mon dos.

Il allait me mordre la tête, sa gueule était juste à la bon taille pour l'écrase d'un coup de mâchoire.

Je penche la tête pour évite l'attaque et frappe sous sa patte.

Je fais souvent des combats avec mon grand frère. On est des garçons, cela n'a rien d'étonnant. Ainsi je sais que cela fait mal de se prendre un coup à l'aisselle. C'est mon frère qui m'a appris au cas où je me ferais attaque par un chien.

«Tu frappes la patte pour le déséquilibre ensuite tu te mets au-dessus de lui en appuyant sur sa gorge pour le soumet et lui montrer que tu es le plus fort. Le chien s'arrête une fois qui reconnaitra qui s'est fait battre en arrêtant de s'agiter.» Qu'il disait.

Je le frappais donc à l'aisselle, le retourne pour être au-dessus de lui en lui tournant la tête, appuyant le plus fortement possible pour le bloquer à terre. Il s'agite en tentant de me déséquilibre, je m'accroche avec mes jambes autour de son corps. Il continue, je ne suis pas vraiment patient et finis par faire ce que je ferais si je me retrouvais au-dessus de quelqu'un. Je ferme le poing, en mettant mon pouce à l'intérieur de ma main, et le frappe le plus fortement possible, alors qu'il allait m'attraper la gorge, le mettant ko. Je me relève en regardant cette fille.

Elle fait tourner le sceptre dans sa main tout en le tournant autour d'elle.

Elle doit faire partie du club de majorette, ou en tous cas elle devrait.

Une créature se jette sur elle.

Elle frappe d'un coup sec en diagonal sur la tête du monstre qui tombe à terre. Elle recommence son mouvement en attendant qu'une créature l'attaque.

C'est une bonne défense, je n'aimerais pas me la mettre à dos.

Le sceptre n'est pas visible à cause de la pénombre même si je doute que ces bêtes réfléchissent. Ils se jettent à cinq sur elle, je regarde autour de moi et vois un chantier à côté de nous.

Je me dépêche d'aller à l'intérieur pour prendre quelque chose d'utile.

\\\\\\\\\\\\\\\\\Pendant ce temps…\\\\\\\\\\\\\\\\\

Les monstres se jettent sur la fille qui tourne le sceptre autour d'elle et frappe d'un coup monté sur la gorge du plus proche, qui tombe à terre.

Elle tourne son poignet à 90 degré en le retournant pour donner un coup latéral qui frappe la tête du monstre, qui tombe à côté du premier.

Elle jette en air le sceptre pour le reprendre avec son autre main, sa main gauche, afin de frapper un monstre avec la pointe du bec d'un coup descendant.

On voyait qu'elle avait l'habitude avec cette arme. C'était un sceptre qui semblait avoir la tête d'un oiseau au bout, elle frappait chaque créature avec le bout du bec.

Sur les côtés de l'animal il y avait de petit aille blanche qui sont légèrement en arc de cercle, ils devaient mesure dix centimètre.

Le monstre tombe à terre, elle se place sur son côté gauche en plaçant la main droite sur le dessus du sceptre, elle le fessait tourner autour de sa main droite pour le rattraper plus bas.

Elle baisse rapidement la main, le sceptre tombe de sa main, puis le resserre quand celle-ci se trouve à cinq centimètre du vide.

Elle se prépare au nouvel assaut. Des créatures apparue, elle resta dans un calme olympien en attendant, cela serait du suicide de se jette sur eux.

Ils se lancent sur elle, elle les repousses sans plus de difficulté que cela rivalisant de vitesse et agilité, mais cela commençais à la fatigue plus qu'il ne faut.

Elle sentit un monstre derrière elle, elle se retourne mais c'est trop tard il est déjà trop près. Elle met sa main de chaque côté du sceptre en le plaquant contre la gueule du monstre qui, par sa charge, la fait tomber à terre.

Elle reste les bras tendue pour tenter de survivre, les pattes du monstre sont à terre.

Il tenta de la mordre mais elle arrive à la repousse par la force de ses bras.

Le monstre ne peut enlever sa gueule de sur le sceptre, ou ne semble pas penser à le faire. Les autres créatures n'interviennent pas.

Ils se gêneraient entre eux.

Il semble que, malgré leur intelligence très limiter, ils savent faire preuve d'un minimum de stratégie pour ne pas se gêner.

Elle ne peut le repousse sur les côtes, il appuis en milieux de sceptre en ne mettant pas plus de force d'un côté ou de l'autre. Le sceptre semble solide mais la fille se dit qu'il pourrait casser à n'importe quel moment.

Le monstre aussi commence à en avoir assez et lève sa patte gauche pour tenter de la frapper au visage. Il essai avec l'autre patte mais comme précédemment il échoue en butant sur le bras de la fille dont la tête se trouve entre eux. Il lève la patte gauche encore plus haute en griffant le bras de la fille qui émis un cri dû à la blessure, faisant baissé les bras et rapproche ainsi la bête de son objectif.

La bête retente son coup mais cette fois il semble tente de griffer son poignet ou plus exactement le bracelet en argent quelle porte autour de celui-ci.

A la vision de cela, la fille hurle la négation en trouvant la solution.

Elle plie les jambes sous le corps de la bête et la repousse avec ses pieds, cela marche, il se recule mais son sceptre est toujours pris dans sa mâchoire et elle ne pas le lâche sinon elle était certain de mourir. Elle est entrainé par le poids de la bête et se retrouve dos aux autres bêtes qui se jettent sur elle. Elle écrase rapidement la gorge de la bête avec son pied en se jetant en avant pour fais une roulade et une galipette à terre pour se retourner et faire face à tous les monstre.

Elle jette le sceptre en air pour le reprendre de la main droit, secouant la gauche pour la désengourdir. Tous les monstres l'attaquent à ce moment.

Elle frappe un monstre d'un coup diagonal descendant gauche, seulement sa blessure à son bras lui fit mal quand elle sentit le choc avec le monstre.

Elle fait un arc de cercle pour prendre le cou du monstre qui se trouve devant elle avec les ailes afin de détourner sa charge pour qu'il s'écrase à terre.

Par manque de vitesse, elle repousse le monstre suivant par le sommet de son arme, ne pouvant le tourner à cause de sa blessure.

Elle se fit projeter par le monstre repousser précédemment sauf que cette fois, aux lieux du sceptre, elle utilise sa main gauche et le poing droit, afin de ne pas lâcher son arme, sur chaque babine de la gueule du monstre en s'assurant qu'il ferme bien la gueule.

Elle est dos au mur et vite entouré par deux monstre.

Elle ferme les yeux pour résiste à la douleur de son bras en tentant de trouver une solution quand tout d'un coup elle entendit un sifflement puis une sorte de bruit sourd.

Le poids du monstre disparait et semble s'aller vers la gauche faiblement.

Elle ouvrir les yeux pour voir la créature à sa droite tomber à ses pieds. Elle n'a pas le temps de regarde à droite qu'elle vit une autre pierre arrive à côté d'elle pour s'écraser sur le dernier monstre.

Elle se remet vite dans le combat après avoir remarque un garçon portant le même uniforme qu'elle.

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Je suis bien content de mes lancers.

J'ai vraiment de la chance d'avoir trouvé ces pierres.

De retour de mon expédition, je l'ai trouvé en mauvais position.

J'ai rangé ma trouvaille derrière moi et ais pris trois grosses pierres que j'avais repérer dans le chantier.

J'en pose une à terre et jette les deux autre, après avoir bien visé au préalable, sur la bête devant elle et à sa droite. Je siffle pour attirer leur attention mais rien de mieux qu'un coup de cailloux dans la gueule pour bien se faire voir.

Après avoir jeté les deux pierres, je me revoie l'autre grâce à un jongle de mon pied droit.

Je la lance en même temps que la fille me remarque.

Je lui souris mais ne semble pas m'avoir vue en reprenant le combat.

Je vis deux bêtes l'esquive et me foncer dessus, elle leur jette un regard semblant avoir peur pour moi mais une bête l'empêche d'agir.

Je leur souris pour montrer que je n'ai pas peur…En fait si je ne souriais pas, je m'urinerais dessus tellement je tremble.

Je mets mes mains derrière le dos, prend une grande respiration comme m'a conseiller ma mère quand on est stressé, et ouvre les yeux la peur ayant disparue.

Je sors rapidement les marteau de mon dos et frapper la bête avec ma gauche.

Je frappe de toutes mes forces dans un coup latéral droite-gauche.

La bête tombe à mes côtés, pendant ce temps je préparais mon prochain coup, un coup descendant pour écraser la tête du second monstre qui se tait après cela, il hurlait comme un malade. Ce fus au tour d'une autre créature, le chef, qui hurle en rejetant la tête en arrière.

«Ohhhhh désolé, c'était ta famille ?»

Dis-je en me moquant, je ne sais si c'est vrai mais je suis certain a 100% d'être en droit de mon action car ils m'ont attaqué et ont voulu me tuer.

La fille se fais surpasser, une bête se trouve au-dessus d'elle, je cours vers elle en hurlant de la laisser.

Je m'arrête d'un coup pour jeter le marteau de ma droite puissamment.

La bête se prend l'objet, me jette un coup d'œil mais plusieurs de ses camarade se met entre lui et moi.

La fille en profite pour faire une chose que je ne souhaiterais à aucuns mâles, monstre ou non, un coup entre ses pattes.

Il hurlait puissamment en tombant sur le côté grâce à un appui de sa part.

Elle alla l'achevé mais le chef se jette sur son bras.

J'écarquille les yeux en courant rapidement vers elle en hurlant la négation.

Je ne fais pas attention aux monstres qui me foncent dessus.

J'esquive le premier en partant au total opposé d'où il se trouve, puis je glisse au sol entre les jambes du second en me serrant les bras autour du corps espérant ne pas être attrapé. J'arrive de l'autre côté, je me relève en me jetant devant moi tous en tournant autour de moi-même, tendant le bras tenant le marteau pour frapper la bête qui s'était retourné pendant que je me levais. Le monstre tombe et moi je taille une pointe rapidement vers elle.

Je la voie écarquiller les yeux alors qu'elle a vu le mouvement sans pouvoir l'empêcher. Je tends le bras droit en hurlant plus fortement possible.

«Stop !»

Elle recule le bras mais cela se voyais qu'elle ne pourrait pas échapper à la mâchoire de la créature, elle allait avoir le poignet briser.

Soudain, une chose s'illumine autour de son poignet, repoussant la bête loin d'elle.

Je reste étonner un moment en ralentissant ma course puis je l'accélère quand la bête se retourne sur ses pattes.

Je me jette sur lui en la plaquant à terre sur le côté. J'appuis sa gueule loin de moi pour l'écraser mais il se roule sur le dos en m'emportant avec lui.

Je retire ma main, sentant qu'il a ouvert la bouche pour me mordre. Je repousse sa gueule avec mon autre main sur le sommet de son crâne, là ou devrait se trouver ses yeux, s'il en avait.

Il se retrouve au-dessus de moi, mais j'ai appris, durant mes batailles avec mon frère, qu'on peut retourner la situation immédiatement après qu'on se retrouve à terre. Pour ça il faut utiliser la force que l'ennemie à utiliser nous maitriser contre lui.

Je frappe d'une claque la joue de la bête avec ma main droite en appuyant de toutes mes forces, utilisant l'élan qu'il avait pris pour me mettre à terre en se retournant, afin de retourner la situation à mon avantage. Pour augmenter ma chance de réussite, je frappe la patte arrière-droite avec ma jambe droite d'un coup vers l'extérieur

Un de ses piliers détruit, je prendre rapidement sa patte avant-gauche, avec ma main de libre, pour la soulever de tous mes forces, espérant réussir mon coup. Il finit par tomber moins d'une seconde après ma prise. Je le retourne sur le côté comme avant. J'ai lâché sa patte gauche et me suis jeter sur lui, pendant qu'il tombait, pour le repousser afin de bien le maintenir.

Je rompre la force que j'avais sur lui rapidement pour passer sous sa patte, qui voulut me griffer.

J'appuis de tout mon poids sur mon genoux pour espérer le bloquer mais il me repousse, arrivant à me porter sans problème.

Je suis projeté en arrière sur le ventre face à lui.

Je vois devant moi le marteau que j'avais perdu en lui fonçant dessus.

Je le prendre rapidement en entendant hurler et s'avance de moi.

Je plie les jambes en serrant bien le marteau pour le cacher.

Je sens qu'il est juste à quelque centimètre au-dessus de moi.

Je me retourne d'un coup en tentant le bras gauche pour frapper la mâchoire de la bête qui tombe sur le côté en roulant d'un tour.

Je lui jette un rapide coup d'œil puis au marteau qui s'est brisée par le coup exercer.

La créature continue à bouger en se roulant sur le dos pour se remettre sur ses pattes.

Je le regarde surpris, une sorte de petit chose tombe de sa bouche, en regardant attentivement je remarque que c'est une dent.

Je sens un contacte sur mon bras. Je regarde rapidement surpris pour remarquer que c'est la fille que je dois sauver.

Elle m'aide à me relever en me disant de rester derrière elle.

«Normalement c'est le garçon qui sauve la fille dans les histoire…»

La bête se met en position d'attaque et pas besoin de voir sa tête pour comprendre qu'il est en colère.

Il a la gueule ouverte, je remarque ainsi qu'il a en effet une dent de casser.

Il est devenu ictérique et hurle si fort que je me demande comment le japon peut ne pas l'entendre.

«Ok…pour le coup…comme tu as une arme et moi un petit bâton brisé…je te le laisse.»

Elle émit un petit sourire en se jetant sur lui mais avant même de le toucher, il s'évapore dans l'ombre.

Je reste étonner en le regardant s'évaporer, elle émit une petite insulte qui fait très moche dans sa bouche et semble s'excuser juste après à sa mère.

Je regarde autour de moi pour remarque tous les bêtes sont morte. Il n'en reste aucune, je suis très surpris et je tourne la tête vers elle mais elle a disparue.

Je regarde partout, à gauche, à droite, en bas en haut. Je suis assez surpris et ma tête bouge partout puis je finis par la voire en train de partir vers le coin de rue.

«Hey attend moi !»

J'allais partir mais je me rappelle avoir oublié mon sac. Je me dépêche d'aller le chercher.

Je remarque, en retournant au coin de rue où elle a disparue, une petite chose brillant à terre.

Je la ramasse en m'apercevant que c'était une barrette à cheveux. Elle semble incrusté de diamant et en or.

Je regarde dans la direction de la fille me dépêchant de lui courir après pour lui rendre. Je tourne dans la rue mais elle a disparue.

#Quel idiot ? Je ne sais même pas qui c'est…et si elle sera là demain…j'espère qu'elle le sera… #

Je sens mes joues rougir légèrement mais secoue la tête en me traitant d'imbécile. Je me dépêche de rentrer à la maison. Je mets ma clé à la porte et rentre dans la maison.

«Tadaima !»

«C'est pas une heure pour rentrer…»

J'enlève mes chaussures en m'excusant auprès de mon frère qui lit le journal du soir, recherchant quelque petit travaux pour un étudiant comme lui.

Mon grand frère est un grand étudiant qui va une grande école. Je ne sais pas ce qu'il fait, mais d'après ce que j'ai compris il travaillerait dans le commerce. D'ailleurs en y réfléchissant peut-être que c'est pour cela qu'il travaille que dans des restaurants ou magasin.

Je me place devant lui en m'inclinant pour m'excuser.

«Désolé je n'ai pas vue l'heure passée et j'ai vu une fille dans la ruelle qui avait…»

Je me pris une claque sur le dessus de ma tête. Je la relève les mains sur la bosse qui est en train de se crée en criant un «aie !» en le regarde méchamment, boudant un peu.

«Elle avait besoin d'aide et tu l'as aidé, tout comme cette vieille dame que tu as aidé à traverser…arrête de gaspiller ta salive et dépêche-toi de manger.»

«Je te promet que cela ne se reproduira plus…»

«Ne fais pas de promesse que tu ne pourras pas tenir..»

Je relève la tête en me demandant pourquoi il dit cela, c'est vrai que je profite de sa générosité pour rentrer souvent à 18 heures, jouant avec Rei mais je ne suis jamais rentré a…

#19 heure ! C'est dingue je ne savais pas qu'il était aussi tard !#

Je m'assis à table et mon frère se lève pour aller me servir une assiette.

«Itadakimasu !»

Je commence à manger en regardant mon frère lire son journal. Je m'allonge le long de mon appui dos et me redresse immédiatement en sentant une douleur vive.

Mon frère le remarque et demande ce qu'il y a. Je lui réponds que c'est rien mais il sait que si et se lève pour vérifier lui-même. Je me lève rapidement en lui disant que ce n'est vraiment rien.

«Sonny tu saigne…»

#Et mer…credi !#

«Ce n'est vraiment rien je te dis…»

Je souris pour rajouter au côté confiant seulement cela ne prend pas et il me retourne pour me regarde le dos, levant le tee-shirt rapidement au début puis doucement en me voyant grimacer. Il vu la griffure et me demande d'où sa viens.

# «C'est un monstre chien qui m'a fait cela.» Non cela ne va pas marcher, enlevons «monstre»… #

«C'est un chien qui m'a fait cela.»

Je parle spontanément d'une voix assez rapide montrant que je ne dis pas tous.

«C'est un animal sauvage qui t'a fait cela ? Mais il faudrait organiser une battue pour un telle animale...»

«Non ! Non ! Le mieux est de ne rien faire…De toute façon avec la correction que je lui ai mis il ne reviendra pas avant deux ou trois ans !»

Je lève le poing en air, appuyant bien sur mes mot pour montre ma grandeur…

«Aie !»

Je me fais mettre du désinfectant pour soi-disant me protéger des maladies…Je n'ai jamais compris pourquoi un produit qui veut nous protéger est aussi douloureux.

Je me retiens de ne pas pleurer et continue à m'appuyer contre le mur pendant qu'il me passe un chiffon avec de l'alcool.

«Heureusement que les parent sont en voyage sinon tu étais certain qu'ils auraient rameuté tout le quartier pour trouver cette bête…»

Je rigole en disant que je voyais bien maman coller ses claques monumentaux sur l'animal et que celui-ci s'enfuirais après la première donner.

«Comme toi après la première fessée qu'elle t'a donné.»

«Ce n'est même pas vrai…»

«Oh si… tu as barricadé la porte de ta chambre avec ton coffre de jouet et tu aies allé te coucher dans ton lit pendant tout le week-end en pleurant à chaude larme. C'était papa qui t'amenais ton petit déjeuner en tentant d'arrondir les angles…»

«Il n'était pas le seule…toi aussi, tu m'as fait arrêter de pleurer en me racontant la premier fois qu'elle t'a mis une fessée parce que tu avais volé de la confiture dans un supermarché.»

Il hoche la tête en me mettant un bandage autour du corps, ce n'était pas une petit griffure que j'avais.

«Non seulement elle m'a mis une déculotter mais en plus elle est allée au magasin en me tirant par l'oreille tout au long du trajet…On aurait été en voiture cela aurais pris cinq minute mais à pied on en avait pour le quadruple…»

«Hein ?!»

«Quatre fois plus…Durant tout le trajet elle ne m'a pas lâché en me faisant la morale sur le savoir vivre et comment finissais les enfants comme moi.»

Il en sourit mais cela n'a pas due être drôle à ce moment.

«Arrivé au magasin elle s'était excuser de mon comportement et m'avait forcé à avouer…Elle avait payé pour le pot de confiture et même plus pour ma punition.»

Je secoue la tête, c'est vrai que ce fut aussi que cette histoire avait mené au premier travail de Takeo. Elle avait donné comme punition d'être l'employer du marchand. Au début il refusa prétextant qu'il ne pouvait rien lui donner à faire.

«Alors demande lui de s'assoir sur une chaise et de ne rien faire pendant que vous fait le service…aujourd'hui c'est votre employé et vous le gérer comme vous le voulez.»

Ce furent les seule mots qu'elle dit en le laissant dans le magasin. Il eut pour première mission…de s'assoir et regarder les gens passer dans le magasin. Il ne parlait avec personne puis quand il remarque que quelque avait volé quelque chose, il s'est tout de suite lever et s'est appuyer sur le comptoir pour interpellé l'homme de 20 ans.

Je me rappelle aussi de cette histoire.

Dans sa version l'homme avait son âge et lui le miens. Il le surpassait de taille mais après avoir regardé dans les yeux en tenant son regard l'homme s'est rendue en payant et n'est plus jamais revenue…

Dans la version de maman il s'est appuyer sur le comptoir, l'homme l'a regardé et en voyant derrière lui le responsable avec le téléphone décroche, prêt à appelle la justice, il a tout de suite payé pour ne plus jamais revenir.

Depuis ce jours Takeo revenue souvent aider le vieil homme dans ses tache gratuitement au début puis après une semaine il commence à lui donner autant d'argent que maman donnais de poche…soit 500 yens.

Je suis dans mon lit, j'ai mangé depuis trois heures et c'est après avoir regardé un film, avec mon grand frère, que je suis parti me coucher. Je tombe rapidement dans mon sommeil, fatigué par ma soirée. Je me demande si je vais revoir cette fille à ce moment.

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Je suis sur un toit, la ville de Tokyo est devant moi. Je me sens léger, confiant, pourtant il y a devant moi une immense colonne de noir. Ils y a des cris et des hurlements partout autour de moi. Pourtant je suis en confiance.

«Sonny, il faut y aller…»

Je tourne la tête et vois alors cette fille, celle que j'ai aidé…je ne sais il y a combien de temps, elle semble plus âge de un ou deux ans. Je jette une carte en air et j'ai juste le temps de vois un nom…Fly…

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«TUUUT

Je me réveille en sursaute en prenant mon réveille pour le balancer contre le mur.

J'entends un bruit sourd quand tombe à terre. C'est un réveille en plastique qui est recouvert d'une surface protectrice en caoutchouc pour palier mes crise de réveille. Je ne fais cela que quand c'est notre frère qui nous garde sinon je l'éloigne à l'entrée de la chambre me forçant à me lever pour l'éteindre.

Je me rallonge après l'avoir balancer pour retourner dans les bras de morphe et de ce rêve qui est si mystérieux avec cette fille.

Je me lève d'un bond hors du lit, dégageant les couvertures de sur moi.

Je me dépêche de prendre des affaires dans l'armoire. Je sors rapidement pour aller dans la salle de bain. Elle est occupée, je toc à la porte.

«Tu ne vois pas que c'est occuper !»

C'est Takeo, mon grand frère. Je refrappe à la porte en lui disant de se dépêcher que je vais être en retard à l'école.

«Arrête ton cirque d'habitude tu es encore dans ton lit à cette heure…»

C'est vrai, d'habitude c'est lui qui me réveille avec l'odeur du déjeuner.

«Mais si tu tiens tant que ça à partir tôt, tu peux déjà commencer à refaire ton lit.»

Il ne me le dira pas deux fois, je cours rapidement dans ma chambre et refais mon lit en quatrième vitesses puis remet mon réveil en place, tout en le toisant.

#«Tu perds rien pour attendre…je me vengerais.»#

J'entends la porte s'ouvrir et je me précipité à l'intérieur avec mes affaires.

«Doucement tu vas réveiller Yemon...»

Je m'excuse en ralentissant un peu le pas.

Il sourit, disant qu'il va préparer le petit déjeuner.

Je ferme la porte et commence à me déshabiller pour me laver. Une fois fais, je sors rapidement pour mettre mon uniforme, descends les marches pour commencer mon petit déjeuner.

«Doucement tu vas te frapper une indigestion...»

Dit-il en soupirant, on entend le téléphone sonner. Je lève les mains pour les montrer grasses à mon frère. Il soupire et disant que sa journée commence bien.

«Tous n'as paf cours?»
«On ne parle pas la bouche pleine et non, je vais travailler. Tu pourras récupérer notre frère?»

J'hoche la tête, mon frère décroche. Yemon va se lever et me rejoindre assez vite.

Il ne me dit rien mais me salut d'un câlin. En l'absence de nos parents c'est à nous qui prend sa dose. Je le serre fort par mes poignets et pour ne pas le salir. Puis je vois l'heure et me dépêche de partir en le saluant ma tartine encore dans la bouche.

Yemon me retient par la manche et me montre mon bol.

Je soupire en le prenant pour le poser dans l'évier et me préparait à repartir mais encore une fois il me retarde en me montrant ses mains.

Je souffre et ouvre l'eau chaude pour me les lavés, frottant bien fort.

Après cinq seconde je me retourne et part sans demande mon reste. Je prends mon sac de cours et mes roulettes de patin.

J'enfile mes chaussure spécial mais Takeo me retiens en me tendant le combinais. Je le prends étonner, ayant déjà enfile mes chaussure manquait plus qu'à mettre les straches.

«Allo?»

«Sonny... C'est maman.»

«Ah bonjours comment tu vas?»

«Très bien mais ce serai à moi de te poser cette question vue que tu pars bien tôt pour commence que dans une heure.»

«Je dois nettoyer la classe avant les cours. Je me suis porté volontaire.»

Mon frère me demande de lui passer mes pieds par signe. Je l'en remercie intérieurement. Il a dû comprend que c'est primordiale que j'arrive tôt.

Je parle avec maman pendant qu'il me met les straches et fais glisser les roulettes sous mes semelles.

C'est une invention de mon père, sous les semelles de mes chaussures, il a collé une seconde épaisseur qu'il a creusé en son milieu de la largeur des roulettes, pour que puis les faire glisser sans difficulté.

J'adore le roller, c'est mon sport favori.

Père et mère me reproche d'ailleurs que je passe plus de temps à travailler dessus que sur mes devoirs.

Est-ce ma faute si je roulais déjà avant de savoir marcher? Non c'est celle de mon père qui voulut me les faire essayer et mon frère pour me montrer qu'il savait en faire en me montrant comme c'était facile.

Il avait 13 ans à ce moment, maman disait que c'était l'âge bête, j'espère que je ne serais pas comme lui.

Il m'avait appris les bases, et pour le reste c'est à force d'expérience.

Quand on était rentré, maman hallucina. Je ne tenais pas debout mais avec mon frère qui me tenais la main j'ai vite appris à rouler.

Je parle avec ma mère pendant encore dix minutes puis elle décide de me laisser aller à l'école, heureusement car je ne me voyais pas lui demandé de le faire.

Je lui repasse mon frère et les salue tous.

Je me dépêcher de rouler, descendant la grande avenue sur la route prévus pour les vélos, je tends le bras droit en sautant pour faire un virage serrer sans perdre de ma pousser en tournant grâce à un poteau. Il n'y a pas beaucoup de monde qui passe par là, du moins habituellement. Mais comme je suis parti trente minutes en avance que d'habitude. Le trottoir était bondé.

Je saute par-dessus la petite barrière qui nous protège des voitures. Je suis sur la route, je sais c'est dangereux seulement, je reste sur le côté droit proche du trottoir donc, à part si un conducteur à prévue de se garer sur le trottoir en plein milieu des gens, je ne risque rien. Je continue de rouler me penchant en avant pour l'aérodynamisme. Je devais faire du 30 km, seulement j'étais presser.

Un enfant presser d'aller à l'école, c'est le monde à l'envers. Vous n'y es pas, je voulais me dépêcher pour la simple raison de retrouver cette fille…J'ai sa barrette à lui rendre et c'est juste cela.

Je resaute pour passer sur le trottoir en glissant sur la rampe. Je continue puis commence à freiner pour tourner. Il y avait trop de monde pour faire une figure. J'arrive devant l'école juste vingt seconde après.

Il y a du monde qui attend avant d'entrer. Je ne perds pas de temps en voyant qu'elle n'était pas dehors je me dépêche de rentrer.

Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Cela vingt minutes que je cherche et toujours rien.

#Peut être qu'elle est malade et qu'elle ne viendra pas aujourd'hui...#

Je secoue la tête pour chasser cette idée, si je commence comme cela je n'en termine plus. Je regarde encore une fois autour de moi et finit par repère une fille brune.

Je me lève avec l'espoir que c'est elle.

Je m'approche, elle me tourne le dos.

Je suis à quelque mètre et la voilà qu'elle se retourne.

Nos regarde se croissent, c'est elle cela ne fais aucun doute. J'allais dire quelque chose mais la sonnerie retentit et elle ne m'entend pas.

Je m'approche mais un surveillant se met entre nous et me demande d'aller en classe. Je lui dis gentiment qu'il faut que je rende un objet à cette fille mais elle a encore disparue. Je soupire pour me diriger en cours.

Le temps me parait une éternité en attendant la récré.

Je ne suis pas un cancre, je ne suis pas plus un intello, juste un élève normal qui se débrouille en math car j'ai une très grande avancer par rapport au planning scolaire.

D'ailleurs je suis si avancer que le professeur de math me donne des exercices de la classe de CM2. Soit un niveau au-dessus car je suis en CM1, pourtant c'est encore trop simple.

Mon frère a eu la gentillesse de m'expliquer ses cours et de m'apprend aussi la technologie, comme l'on l'appelle au collège, pour que je puisse travailler sur mes rollers.

Enfin tout cela pour dire que je suis un élève moyen. Sauf en Math et en Technologie mais comme je n'ai pas encore technologie cela ne compte pas, ainsi qu'en sport car j'aime bien me dépenser. Ainsi qu'en histoire car j'aime qu'on me les raconte, et je me débrouille en Japonais avec les poésies... De toute façon c'est Anglais que j'ai actuellement.

La sonnerie résonne et c'est immédiatement que ne vais en récré pour la chercher. Il y a déjà des élèves en train de jouer au ballon. Je ne fais pas attention à eux et regarde autour de moi voyant des élèves affluer de partout. Je les regarde tous mais aucune fille ne lui ressembler.

#Trop blanche, trop bronzer, trop petite, trop grand, trop brune... Trop brune?! Mais quelque je raconte ? #

Je regarde ma suspect et remarque, je ne sais comment, que oui la fille que je recherche à les cheveux tire plus clair... Je me surpris à cette analyse.

La récré passe mais je ne la vois pas.

Rei, mon meilleur ami, vienne me voir pour savoir si je voulais jouer avec lui. C'est vrai que ce n'est pas l'envie que me manque comme je suis hypertendues, seulement je n'ai pas envie de louper l'occasion de la voire.

La récréation sonne et je suis obligé de retourner en classe. Je prie intérieurement pour espérer la voire pendant qu'elle va en classe, ainsi je serais d'où elle vient et je me renseignerais.

Après tout j'ai des connaissances un peu partout.

Je remonte en classe, ce n'est pas vraiment l'éclat. Rei le remarque et me demande ce qui m'arrive.

Rei est mon seul ami de ma classe, oh d'autre gens joue avec moi, mais personne à part lui n'est considérer comme «ami», plutôt comme «camarade».

Il a mon âge, les cheveux couleur châtain, un peu près la même taille que moi, je pense qu'il me dépasse de peu. Ses yeux sont couleur vert. C'est unique, peut-être que cela à jouer dans mon choix de nôtre amitié, enfin ce qui a vraiment aidé était que c'était le seule à ne jamais faire de moquerie sur mes cheveux.

Je lui réponds que je cherche quelqu'un mais qu'elle disparait à chaque fois que je la cherche.

«Ce ne serai pas un fantôme?»

Je le regarde étonner en répondant que j'en doute terrifié que ce soit ça.

Il tente de me rassurer en me disant que cette après-midi on a sport. Je l'en remercie mais je lui dis que je ne sais pas si je ne vais pas plutôt rester sur le banc à rechercher cette personne.

«Tu devrai arrêter de la chercher...»

«Hein?!»

«Tu as dit que quand tu commences à la cherche elle disparait donc elle va apparaître quand tu arrêteras. C'est logique.»

Je ne sais pas si c'est logique mais en tous cas c'est assez amusant comme réflexion. J'arrive en classe.

«Salut boule de neige»

Je réponds par un signe de tête, ce genre de moquerie par rapport à mes cheveux ne m'atteints plus. Le cours que j'ai actuellement est Histoire, je ne le suis pas vraiment, regardant par la fenêtre rêvant de libertés. Je vois des oiseaux dans le ciel.

#J'aimerais bien m'amuser comme vous...#

«Sonny...»

Je tourne la tête vers mon professeur en émettant un bruit d'interrogation.

«Tu peux continuer?»

Je lui réponds positivement en faisant comme si j'allais commencer à lire, seulement mon cahier n'est pas ouvert et je ne sais pas à quelle ligne on en est.

Je reçu un livre ouvert devant moi avec comme chiffre 25. Je regarde rapidement et vois alors Rei qui me sauve la mise. Je l'en remercie à voix basse et commencé à lire rapidement.

#ligne 25... À la voilà...#

«Les monstre vivant de la peur nous assagit, ils sont partout. Leur manque de yeux me prouve qu'il on perdue la raison...»

Je m'arrête de moi-même en regardant le titre du chapitre.

#La légende des démons sans yeux. Dommage je pensais que cela pourrait avoir un rapport avec ce qui s'est passée hier.#

«Sonny... Tu peux continuer?»

«Hein? Oh oui pardon...»

Je continue de lire, cela n'était qu'une légende qui ressemble à la créature que j'ai affronté. Pire ce livre d'histoire est loin de m'apporter les réponses que je cherche.

La sonnerie retentit, mon estomac cri famine et je place ma main sur mon bide en hurlant comme un loup affamer.

Cela fit bien rire mon ami qui me traite de gouffre sur patte.

Mine de rien ce n'est pas moi qui est les yeux plein d'étoile quand il voit la boite de Bentō qu'on lui tend.

J'attends qui paie et nous allons nous assoir sur l'herbe derrière le bâtiment.

Nous somme peinard, lui avec sa boîte, moi avec mes nouille instantané cuit précédemment.

Nous parlons de tout et de rien profitant de ce moment entre les cours pour nous reposer. Je ne rechigne jamais une bonne sieste après avoir mangé, d'ailleurs je ne rechigne jamais à la sieste, sauf quand mon ventre crie famine.

La sonnerie retentit et me fais l'effet d'un réveil très désagréable. Je sursaute et me levé pâteux.

Nous avons sport, je dois dire que ma sieste ne m'a pas été désagréable, comme toutes sieste.

Je ne vais pas dire que je suis heureux d'avoir été réveillé brusquement mais maintenant je me sens super mieux.

Nous allons, moi et Rei qui émerge lentement de son sommeil, dans la cours pour attendre notre professeur.

Malédiction? Sans doute car je croise la fille que je cherchais rentrer dans l'établissement.

Elle semble revenir de sa course à la nourriture. Nos regard se croise une seconde, c'est peu mais j'ai bien remarque qu'elle a accéléré en me voyant.

Je ne lui cours pas après, déjà parce que je viens de sortir de mon sommeil donc mon corps ne pourrait pas suivre son rythme, ensuite car mon prof viens d'arriver et on commence notre cours sur le champ.

Je cours autour du terrain, l'esprit ailleurs. Je me pose plein de question. Je me demande comment elle s'appelle.

Pourquoi je ne l'ai jamais remarqué avant ? Bon c'est vrai que les filles ne sont pas vraiment intéressantes et que je préfère jouer avec mes amis. Ainsi je ne fais pas vraiment attention aux filles, seulement je ne sais pas elle semble différente des autres

«Sonnyus ça va ? Tu sembles bizarre…»

Je me réveille en regardant mon ami. Je lui dis que je suis juste étonné de savoir qui est cette fille. Il sourit en disant que je ressemble aux garçons qu'on voit dans les films amoureux.

Je ne relève pas et cours un peu plus vite pour m'éloigner de ses bêtises.

Il en rigole plus et me suis. Je suis plus rapide et endurant que lui mais il n'est pas loin de mon niveau. On se fit arrêter par le prof qui commence un entrainement d'endurant et de sprinte disant qu'on allait affronter une classe du même niveau scolaire que nous.

«Génial, j'en avais assez de te mettre dans le vent…»

Me souffre Rei proche de mon oreille.

Je ne lui dis rien, il pense à chaque fois qu'il peut me mettre dans le vent et quand je le dépasse, il se défend en rajoutant qu'il s'est ménager pour notre vrai duel, si seulement je pouvais l'avoir ce vrai duel.

L'euphorie de la classe fais sourire le prof, moi de mon côté je vais m'assoir afin d'essayer de voir plus clair dans ma tête.

#Je ne sais pas pourquoi mais cette fille m'intéresse… Si seulement je savais pourquoi ?#

Ma classe s'entraine, mes camarades me demandent pourquoi je ne m'entraine pas, étonner que je ne participe pas là où normalement je serai le premier à le faire.

Je prétends que je me repose légèrement en reprenant un souffre que j'ai déjà depuis longtemps.

La classe arrive et les amis des deux classes se saluent. Les garçons se lancent des défis et les filles parlent de tout sauf sport.

Je ne les regarde pas vraiment et ferme les yeux pour profiter des rayons du soleil.

Ma mère dit toujours que quand on ne comprend pas une chose, on s'arrête dans notre action et on prend un bon bain de soleil en arrêtant toute réfléchirons. Et c'est vrai que cela m'a souvent aidé à comprend beaucoup de chose. Seulement un conseil, ne fait pas cela quand vous faite un effort physique car les conséquents s'en ressente après et on regrette.

«Sonnyus ! Tu viens on va commencer la compétions !»

J'émets un bruit en soufflant, un peu de sport ne va pas me faire de mal. Les premier courses démarre et j'attends mon tours, annoncer je vais sur la ligne d'arriver. Je commence par saluer mon adversaire et me met en position après avoir fait quelque échauffement rapidement.

«À vos marque…»

Il se met en position accroupie. Moi je recule ma jambe droite en penchant mon corps en avant, pliant la jambe gauche. Ce n'est pas vraiment la position du départ spirte mais cela m'a toujours permit de gagner alors je ne vois pas pourquoi je changerais.

«Prêt… ?»

Il se redresse, moi je croise mes bras prêt à moindre bruit à partir.

«Par…»

J'ouvre mes yeux en commençant à déplier mes bras et engager mon mouvement d'appuis sur ma jambe gauche pour me lancer.

«…tez !»

Je suis lancé à pleine vitesse, le torse toujours plié et mes bras derrière moi pour l'aérodynamisme. Vers les dernier mètre à parcourir, mon torse se relève doucement en même temps que je commence à faire des mouvements de bras en synchro avec mes foulés, augmentant le rythme pour augmenter mes foulées.

Je traverse la ligne d'arriver rapidement en ayant mis dans le vent mon adversaire.

Je ralentis ma cadence pour m'arrête deux mètre derrière la ligne, j'attends mon adversaire qui arrive dix seconde derrière moi.

On m'annonce mon temps alors que je me redresse en reprenant un léger souffle.

Je ne suis pas vraiment fier de moi car je pouvais faire mieux seulement je ne me sens pas vraiment dans mon assiette.

Je reviens au point de départ alors que tout le monde me demande mon temps.

Je leur annonce que j'ai fait 15.78 sec. Tout le monde s'en trouve éblouis et seul Rei m'annonce que j'ai eus un retard de trois seconde. C'est vrai que durant les entrainements je fessais du 12 secs sur ce parcours.

Quand j'ai annonce cela a mon frère il a allusionner. Le pire c'est que lui il est plus rapide que moi donc je ne comprends pas vraiment la raison de son étonnement.

Je vais m'assoir pendant qu'il pouvoir faire mieux que moi et qu'il affrontera le vainqueur de l'autre classe.

#C'est un compétions qu'ils ont organisé ?#

«Rei ! Tu affronte Kimi.»

«Laissez passez le champions…c'est une blague !?»

Je ne relève pas la tête pour cacher mon sourire alors que je l'entends qu'on lui fait affronter une fille.

«Mais je suis un garçon et c'est une fille…c'est inéquitable.»

«C'est notre choix fais par tirage de numéros…»

«Mais ?...»

«À vos marque…»

Il essaye de se défendre mais à l'annonce du départ il se met en position. Je soupire en me disant qu'il va être ingérable après cela. La course commence et je ferme les yeux en comptant dans ma tête pour savoir combien il a fait.

# ; 10 11 1 … #

«Incroyable !»

J'ouvre les yeux.

#Il aurait finis en moins de douze seconde ?!#

Je dépenche ma tête toute en entendant en même temps la nouvelle.

«Rei…s'est fait battre…»

J'écarquille les yeux en me demandant ce qu'il s'est passé. Certes je le batte en sport mais je connais sa valeur en course et je dois dire qu'il est assez fort, apprendre qu'il s'est fait battre m'étonne.

Je le vois agiter les bras en demandant sans doute une revanche. Les plaisanteries n'ont pas tardé à arrive, le pire c'est qu'elle venait de notre propre classe.

«Il s'est fait battre par un fille… HAHA ! HAHA !»

Je regarde ceux de l'autre classe et aucun n'a l'air étonné.

#Cela voudrait dire qu'elle est connue pour être rapide…pourquoi je n'en ai pas eu d'éco ? #

Rei revient et notre plaisantin commence déjà ses blagues.

Après cinq, je vois Rei assez énerver et j'interviens.

«Dis-moi Metsu…Rappelle-moi ton temps s'il te plaît.»

Il se retourne étonner par ma question, je lui réponse en précisant que j'attends une réponse. Il répond qu'il a fait 18 secs.

«Ah c'est marrant, parce que si Rei s'est fait battre avec 13 sec toi je n'imagine pas le retard qu'elle t'aurait mis…surtout que tu te moque mais tu n'as même pas gagné contre le plus lent de l'autre classe.»

Je le montre du regard et loin de le prend mal il le confirme avec le sourire. Je l'en remercie avec le sourire alors que Metsu semble avoir perdue la fonction de langage. Rei revient et je lui dis qu'il l'a sous-estimé mais qu'à la prochaine il l'aura. Il me remercie mais semble un peu déprimer.

«Tu sais Kimi est l'élève la plus rapide de notre classe. Personne ne l'a jamais battue.»

Dis un élève de l'autre classe qui semble remarquer sa dépression.

Il l'en remercie en s'asseyant sur les escaliers en colère contre lui-même. Les courses se suivent et se ressemble, après une minute je propose, histoire de le faire sortir de sa déprime, un entrainement rien que nous deux.

«Sonny, j'aimerai que tu prenne ma place…»

«Pardon !?»

Je suis étonné et lui demande de préciser.

«Cela ne fais aucun doute que je suis celui avec le meilleur résultat de la classe et elle celle de l'autre, mais je ne peux pas accepter de reperdre contre elle. J'aimerais que tu prennes ma place pour qu'on montre la vraie force de notre classe. S'il te plait…»

Il est suppliant, il sait que je ne peux pas lui refuser si fais cela. Je soupire en disant que je vais le faire à condition qu'il m'accompagne dans l'entrainement.

«Je peux participer ?»

Je tourne mon regard vers le garçon qui a remonté le moral de mon ami. Je lui souris en secouant la tête. Je commence à m'étirer tout en tirant un peu Rei pour le remotive. Je sais d'après cinq minute de sport il ira beaucoup mieux.

Nous nous mettons dans un coin de la compétition pour nous entrainer. Une fille avec une montre s'est placé à la même hauteur que les professeurs, prêts à donner le top.

Je me mets en position sur la ligne d'arriver et cours au top pendant que Rei préviens du changement qui étrangement s'était déjà fait sans qu'il n'ait eu besoin de les voir.

Je commence doucement, ne forçant pas encore et finis par un 16 sec.

Je prends un souffle et retourne à la ligne d'arrive en trottinant. Deuxième top J'accélère légèrement pour faire du 15.5 sec. Troisième, j'accélère commençant à me prendre au jeu 15 sec. Au quatrième je ne prends pas mon temps et repart directement au départ. J'attends le top et part en courant normalement. Je n'arrête à la ligne d'arrive alors que les regards s'agrandisse en me regardant alors que je reparte, me motivant intérieurement.

#Elle a fait moins de douze seconde, il faut que je la prenne au sérieux si je veux la vaincre.#

Je repars encore accélérant et arrive à la ligne d'arriver en 12 secondes. Je suis légèrement fatigue. J'ai chaud sous mes vêtements mais je repars le plus rapidement possible au départ. On me tend une bouteille d'eau que je bois en prenant une grande respiration. Top, je cours vite, accélère encore plus mes fouler, courant encore plus vite. Je ne me relève le torse complètement qu'au dernier mètre.

«Waouh !Bravo tu as 11.43.»

Je sourire content d'avoir battue mon record. Je vais pour me reposer quelque seconde analysant mes derniers courses pour tenter de voire où je peux gagner de la vitesse. Les minutes passe, j'ai vidé une bouteille de 75 cl en me reposant légèrement. M'échauffant quelque instant.

«Dernière course ! Kimi contre Sonny»

Je vais me mettre position. Puis je m'arrête, raide alors que je vois enfin cette Kimi. Je ne l'avais pas fait avant car j'avais la tête ailleurs pourtant si je l'avais fait, j'aurais vu que Kimi était la fille que je cherchais depuis le début de la journée.

«Enfin…Cette fois tu ne m'échapperas pas…»

Lui dis-je alors que je me place à coté elle.

Elle ne me calcule pas.

Je sourire en disant que Kimi est un jolie prénom précisant que j'aurais aimé qu'elle se présente officiellement.

Elle ne me calcule toujours pas, regardant toujours droit devant elle.

«À propos je voulais te dire que…»

«Sonny met toi en position ça a commencé !»

«Hein ?!»

Elle partit sans que je ne comprenne quelque chose. Je me lance sans plus attendre. Ma position ne demande moins d'une seconde et me lance.

J'accélère pour me mettre à sa hauteur. Elle accélère mais je continue de lui colle aux côtes.

Je me penche en prenant une grande respiration pour accélère d'un coup.

Je passe devant elle et la devance de quelque dixième de seconde.

Je suis content, malgré le fais que je veux lui parler je ne dois pas oublier Rei qui était déprimé et qu'il avait besoin de cette victoire.

Je ne m'arrête pas de courir le plus vite. Je ne la vois pas et d'un coup une forme apparaît à côté de moi, me faisant sourire.

#J'ai trouvé une rivale…#

Nous traversons la ligne d'arrive ne nous arrêtant d'au mur 5 mètre plus loin.

Les profs regardent leurs chronos ahuris. Je me retourne en sentant mes jambes me tirer comme des dingues.

Je sors de ma poche, en prenant une grande respiration, la barrette.

Je l'appelle en lui disant qu'elle a fait tomber cela hier. Elle regarde, s'approche rapidement de moi et prend la barrette des mains en partant sans un «merci».

Elle commence à retourne avec les profs qui annonce notre temps.

«10.69 !»

«Ouais…»

«Impossible 10.69 !»

«Rei cela fait plusieurs fois que tu le répète, les profs ont vérifié et oui c'est bien notre temps.»

Cela fait cinq minutes qu'on est libère de nos cours.

Quand ils ont annoncé notre temps, tout le monde, à part moi et Kimi, avaient les yeux ébahis.

Pour nous deux c'est la nouvelle d'après qui a fait très mal.

#Égalite….je ne suis jamais arrivé à égalité…c'est pire que perdre…si tu gagnes ou perd tout le monde sais ce que tu vaux mais égalité…cela veut dire que notre niveau est si équivalent qu'on se ressemble.#

Je secoue la tête en me disant que cela n'est pas important, je lui ai rendu sa barrette qu'elle a pris sans même me remercie mais peu importe.

«On ne fais pas une bonne action pour les bénéfice mais pour son esprit.»

C'est de mon père celle-là. Je dois dire que même si je préfère ceux de maman, mon père a des éclairs de génies.

Je tourne dans la rue vers l'école de mon frère, Rei le remarque.

«Tu ne rentres pas chez toi ?»

«Non je vais chercher Yemon, mon frère travaille.»

«Ok…bon bah à lundi…passe un bon week-end et prépare toi car je ne vais pas arrête de m'entrainer pour te rattraper.»

Je souris en lui rendant la salutation.

Il a retrouvé le sourire, au moins c'est déjà ça.

J'arrive devant l'entrée de l'école, j'ai un peu courus pour ne pas avoir de courbature demain, et là deviner sur qui je tombe.

#Rei ton conseil n'était pas si bête.#

«C'est dingue ça…Je te cherche toute la journée et finalement je te vois deux fois sans le faire express…»

Elle tourne son visage vers moi puis regarde devant elle sans vraiment me prêter attention.

Je me place à côté d'elle et attend aussi de mon côté.

Mon frère sort toujours en dernier car il a club de foot. Il est le gardien de l'équipe et souvent l'attaquant.

«Excuse-moi si je t'embête mais je n'aime pas le silence quand je suis avec quelque que je connais. Donc je vais te parler mais si tu préfères que je me taise dis-le…»

J'attends, elle prend une grande respiration mais ne me dis rien.

«Tu attends ton petit frère ? Ou peut-être ta petite sœur…»

Elle ne dit rien mais semble réagir à sœur.

#Donc dans sa famille on est des sportif…enfin je dis cela mais dans la mienne ce n'est pas vraiment le cas pourtant alors qu'il y a moi et Yemon…#

«Moi c'est mon petit frère, il semble assez intéressé par le foot...Et je dois dire que le voire jouer le change de d'habitude…Ta sœur a un sport favori ?»

Aucune réponse, je l'aurais parié. Je savais qu'elle n'allait pas me répondre mais je voulais tenter.

Je ne vois toujours pas mon petit frère et cela commence un peu à m'inquiéter. Je sais qu'il a la fâcheuse manie de ne pas voir l'heure passer, comme moi.

«Mine de rien j'espère que j'aurais le droit à une revanche…»

Elle me jette un regard.

«Pour la course, je n'ai jamais trouvé d'équivalent dans l'école. Tu as même réussie à faire désespérer Rei et crois-moi ce n'est pas facile.»

«C'est lui qui a hurlé comme un chien qui aboie quand il voit une voiture.»

Je souris un peu.

«Tu as une jolie voix, dommage que je ne l'entends pas assez…»

Elle me demande de me la fermer. Je lui accord la chose en changeant de sujet.

«Hier…ses choses en avait après ton bracelet…Si je me rappelle bien tu as été blessé au bras…Tu vas bien ?»

Elle fait un léger signe pour me confirmer que oui.

«Et toi tu as eus de la chance avec ton dos…il aurait pu te tuer.»

«Oh tu sais ce n'est pas vraiment la première fois que j'aurais finis à l'hôpital…Je me suis briser la jambe en faisant du roller.»

«Tu fais du roller ?!»

Elle semble surprise. Je lui accorde la chose en sortant mes roues de la partie de mon sac qui leur est réservé.

«Pourquoi toi aussi ?»

«Skateboard…quand j'ai le temps…»

«Tu veux dire quand tu ne te fais pas manger par des monstre sans yeux ?»

«Arrête.»

Je levé les mains en disant que je ne faisais que rigoler.

«Tu sais, tu serais plus jolie avec un sourire au visage…»

«La ferme…»

«Qu'est qui t'es arrivé pour que tu sois aussi noir ?»

Je tente le coup, après tout qui ne tentent rien n'a rien.

«Tu n'es pas capable de la fermer ?»

#Qui tente tout perd tout !#

Je vais m'assoir sur un banc pas très loin de l'entrer en me taisant pendant quelque seconde puis je me souviens de quelque chose.

«Je vais me la fermer mais avant je voulais te dire…Tu te débrouille super bien avec un bâton…Tu as eu un entraineur ?»

«Mon père depuis mes 4 ans.»

Je soupire en demandant l'heure, réengageant une conversation pour gagner sa confiance et peut-être trouver la réponse à la question qu'est de savoir ce qui nous unis.

Elle m'annonce qu'il est 17 h 50, ainsi mon frère à un retard de 50 minutes.

Elle s'assit sur le même banc que moi à l'opposer de ma position. Je rigole un peu elle en demande la raison, pensant que c'est sur elle.

«En fait...Laisse tomber tu vas trouver cela stupide…»

«Dis toujours…»

«Tu vas me prendre pour un fou…»

«Au moins je te prendrais pour quelque chose…»

Je la regarde en rigolant une peu.

«En fait tous nous opposer, seulement j'ai l'impression que…je…suis connecter avec toi…Tu vas me prendre pour un fou mais j'ai l'impression que toi et moi on est lié d'une quelconque manière et pourtant plus je creuse pour tenter de comprendre qu'est-ce-que cela pourrait être, plus je me rend compte qu'on est complètement diffèrent…Tu attends ta sœur moi mon frère…Tu fais du skateboard, moi du roller…Tu es très silencieux moi je ne peux m'empêcher de parler…Je me demande si toi et moi on a un point commun…pourtant je continue à penser qu'on est liée…donc voilà pourquoi je rigole. C'est débile mais je ne peux m'en empêcher.»

Il y a un silence alors qu'elle me regarde intensément.

#J'aurais dû me taire…#

«Tu avais raison de me prévenir maintenant je te prends bien pour un dingue.»

Elle sourit juste une seconde mais elle sourit. Je lui ferais bien remarque mais j'ai l'impression qu'elle le sait déjà car elle tourne la tête en son opposer et serre son poing comme en colère contre elle.

#Qu'est qui lui prend ?#

Cela fait plusieurs minutes que nous passons ensemble dans le silence, puis, commençant à en avoir marre, je décide de rentrer dans l'école sous l'étonnement de ma camarade.

«Ils n'ont pas dû voire l'heure.»

Elle soupire, elle pensait la même chose et se décide à me suivre.

Après avoir traversé la cour pour nous diriger vers leur gymnase, on les vis main dans la main, me remarquant mon frère lâche la main de sa camarade qui semble être la sœur de Kimi.

Je vais vers eux pour faire remarquer l'heure mais quand je vis un bleue sur son visage d'ange, cela me fis tout de suite changer mon comportement et je lui demande la raison.

Il ne répondue rien et passe à côté de moi en saluant son amie.

Je le regarde étonner, je me tourne moi aussi vers Kimi et lui souhaite une bonne soirée.

Elle me retient deux seconde pour me dire quelque chose.

«Oublié tout ce que tu as vue hier soir...»

Je lui souris en partant rejoindre mon frère. Elle rajoute qu'elle ne plaisante pas. Je garde mon sourire même si, étant dos à moi, elle ne le voit pas.

Je demande à mon frère la raison de ce bleue, pensant qu'il ne le dira pas devant son amie, mais même maintenant il ne dit rien.

«Tu ne t'es pas laissé faire?»

Silence, j'insiste un plus en montant légèrement le ton.

«Je m'en fiche que tu t'es battue. Mais je ne supporterais pas que tu te fasse martyriser.»

Il soupire.

Je repose la question et obtient un signe de tête positif.

Je lui redemande la raison mais encore une fois c'est le silence.

Nous arrivons à la maison et notre frère ne va pas tarder alors que nous sommes dans le bain.

Je joue un peu avec lui et entendant la porte s'ouvrir je tourne la tête vers notre nouvel arrivant.

«Salut»

«Salut... Vous venez à peine de rentrer?»

J'hoche la tête pendant que l'eau chaude relaxe mes muscles. Je penche la tête en arrière pour me reposer et profiter.

Mon frère fait la même chose.

Soit il m'imite car je suis son exemple, pour son âge c'est normal, soit il a eu une dur journée comme moi, ce qui est tout aussi normal.

«Je vous amène la nourriture ici?»

Je me doute que cela est une moquerie, seulement notre frère lui demande s'il va vraiment le faire d'un ton sérieux.

Il le regarde étonné avec un sourire.

# Il a vu sa joue?#

Je le regarde encore une fois puis mon frère me fit remarquer quelque chose sautant encore plus aux yeux.

«Vous devriez sortir avant d'être friper comme des pruneaux. Et puis Yemon je te signale que maman ne vas pas tarder à rappeler donc au vue de ton état tu devras aller te reposer pour ne pas qu'elle remarque ta fatigue.»

Yemon hoche la tête et tente de se relever mais ses jambes ne le porte plus et le voilà qui tombe dans la baignoire. Je me jette sur lui pour empêcher qui se cogne la tête, mon frère attrape son bras mais, à cause de l'eau, il glisse et c'est nos mains jointes qui lui font un cousin entre les parois de la baignoire et sa tête.

Takeo le prend dans ses bras pour le sécher, l'habiller de son pyjama, puis l'amène à son lit afin qu'il se repose un maximum. Je sors de l'eau et vais pour habiller aussi, cette peur m'a couper l'envie de me reposer.

«Une fois habilitée tu pourras ranger les courses?»

J'hoche la tête quand il sort de la salle de bain.

Rhabiller je vais m'occupe de ma tâche. Une fois finis, voyant qu'on allait bien manger, il revient.

«Le bleu... C'est qui?»

«Il n'a pas voulu me le dire ni même la raison. Je sais juste qu'il ne s'est pas laissé faire.»

Il soupire, disant qu'on est vraiment irrécupérable.

J'émets un son pour confirmer en lui demandant le menue.

Il répond que je suis un ventre sur patte en rajoutant que cela est une grande surprise.

«Maman et papa vont rappeler?»

Il confirme en s'asseyant sur une chaise de la table de notre cuisine.

Il me demande si ça va.

Il sait que je n'aime pas savoir les parents loin de nous. Je sais qu'ils ne peuvent faire autrement mais je me sens mal de ne pas les savoir à la maison.

À dire vrai s'il n'avait pas appelé ce matin, j'aurai le sourire ce soir car j'aurais oublié qu'ils sont encore de ce monde.

Je lui souris, me forçant, en répondant que oui je vais très bien.

Je sors de la pièce en demandant s'il pouvait me prévenir s'il les a au téléphone avant le diner.

Il confirme en restant assit alors que je lui dis aller faire mes devoirs.

Une fois la portée de ma chambre fermer, je m'appuis dessus en tombant le long, mes jambes repliés sur mon torse la tête appuyer dessus.

Je ne fais pas de bruit, pas de respiration trop forte. J'ai appris durant les années à ne faire aucun bruit pendant la fuite de mes yeux noirs.

À suivre

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