Salut a tous ;) Voici donc, après des années à écrire ce qui me passait par la tête, des fictions sur un peu tous les sujets, parfois pas finies, une fiction que j'ai eu le "courage" de poster ^^ ça fait des années que je me dis "faudrait que je réussisse à poster, c'est nul mais tant pis... (ok, j'ai pas forcement une très haute opinion de ce que je fais... et je suis assez secrète en général sur ce que j'écris, j'ai toujours l'impression de me dévoiler... a vous de me dire si cette opinion est juste ou non ;) ) donc la on va dire que je suis en énorme stress de ce que vous (en supposant que quelqu'un me lise bien sur...) allez penser ^^' donc si vous aviez une ptite review a la fin, que je sache si c'est nul ou si ca vaut la peine que je continue à poster (je continuerai surement a écrire, mais poster et me faire juger si c'est clairement nul, c'est pas la peine... ;) )
Le rythme des posts, honnetement, je ne sais pas trop... je vais essayer un chapitre par semaine/tous les 10 jours environ, mais mes études (vive la prepa...) me prennent pas mal de temps...
et pour finir, homophobes, le petite croix en haut a droite n'attends que vous ! il y aura très probablement du lemon plus tard, so don't like, don't read!
disclaimer : tout appartient a stephenie meyer, je ne fais qu'emprunter ses personnages pour jouer un peu avec mon imagination un peu folle ^^
bon, j'arrète de papoter, et voilà le premier chapitre de "Quand le destin s'en est mêlé" !
PoV Jacob
Je m'avançais au milieu de la meute. Les sangsues nous avaient donné rendez-vous dans la clairière, pour nous « entrainer au combat ». Comme si nous en avions besoin… Nous étions créés pour ça, tuer des suceurs de sang. Mais ayant accepté de nous allier à eux, pour le combat, nous n'avions pas d'autre choix que d'accepter leur offre.
Sam ne voulait pas nous exposer sous forme humaine, mais en arrivant, ni Bella, ni son suceur de sang n'étaient là. Sam grogna, et s'avança d'un pas.
Leur chef, Carlisle, si mes souvenirs sont bons, s'avança et dit simplement :
- Edward, a dû rester avec Bella. Il serait plus pratique qu'un de vous au moins change de forme afin de pouvoir converser plus facilement.
Les loups autour de moi s'agitèrent. Je me portais volontaire, sans trop savoir pourquoi. Carlisle reprit.
-Bien sûr, si vous refusez nous pouvons remettre cette rencontre, mais le temps joue contre nous.
Sam me regardait. Il accepta. Je me tournais alors, me mettant derrière un groupe d'arbre pour muter et enfiler un short, avant de revenir vers la meute et le groupe de Carlisle. Je fixais Carlisle. Il me remercia rapidement, avant de s'écarter d'un pas, en disant simplement :
-Mon fils, Jasper, à l'habitude des nouveaux nés. Son expérience nous permettra probablement de vaincre…
Mes yeux se posèrent alors sur le dit Jasper. Quand mon regard croisa le sien, ma vie bascula. Ce n'était plus l'attraction terrestre qui me retenait au sol. C'était lui. Je sentis comme 1, puis 10, 100, 1 000 câbles du plus solide des aciers me lier irrévocablement a lui.
Je me perdis dans mes sentiments, puis réalisai ce qui venait de se produire, et un vif dégout s'empara de moi. Une sangsue ! Une sangsue mariée, qui plus est ! Comment était-ce seulement possible de s'imprégner sur son ennemi mortel ? Ca ne pouvait pas arriver, pas à moi ! Un homme, à la limite, mais un vampire !
La panique, puis la douleur me frappèrent, alors que je réalisai que non seulement mon emprunte allait me rejeter, mais la meute également. S'ils ne me tuaient pas, Le rejet de mon imprégné le ferait à coup sûr.
La douleur amplifiait de seconde en seconde. Je relevais légèrement les yeux, afin de regarder mon imprégné. Je vis de l'inquiétude dans ses yeux, à ma plus grande surprise, mais aussi et surtout de la douleur, qui venait déformer son magnifique visage. Voir la douleur causée à mon empreinte, quelle qu'en soit la raison, décupla la mienne. Je le vis alors tomber à genou, se tenant la poitrine comme pour en contenir le trop plein d'émotions
Il se mit à supplier, sifflant de douleur.
- Jacob, je t'en prie ! Arrête ça ! Comment peut-on survivre avec une douleur pareille ! Il n'attendait apparemment pas de réponse, Jacob je t'en supplie arrête !
Réalisant, sans comprendre pourquoi, que j'étais celui qui causait sa douleur, je tentais de m'éloigner.
La meute était pétrifiée, ils ne semblaient heureusement pas avoir compris, tellement ça paraissait impossible. Un souci de moins pour le moment.
En m'éloignant, je me remémorais mes conversations avec Bella. Il était empathe, ce qui expliquait sa réaction.
Avait-il compris pourquoi ? Je ne pouvais qu'espérer que non. Je ne supporterais pas un rejet verbal de mon empreinte, surtout en sachant que ma douleur lui serait répercutée. Rien que la pensée m'infligeait une douleur telle, que je ne pouvais plus tenir debout.
Après quelques minutes, j'entendis le reste de la meute arriver. Je mutais. J'avais toujours été un des meilleurs pour cacher mes pensées sous ma forme de loup. Cette aptitude allait bien me servir…
Alors qu'ils s'approchaient, Sam tenta, sans grande surprise, de me faire parler.
Ça ne te regarde pas Sam. Ni toi, ni la meute. Laisse tomber, c'est rien de grave.
Je ne voulais pas lui mentir. J'avais juste besoin d'un peu de répit. Pas plus que celui de mon emprunte, je ne voulais pas subir le rejet de mes frères.
Sentant que je ne dirais rien, Sam décida de ne pas insister pour le moment. Il aouta cependant.
- La réunion est reportée à 10H, même endroit.
- Je…
- Et tu viens. C'est sans discussion. Je ne veux pas qu'ils pensent qu'il y a un blessé parmi nous.
- Sam s'il te plait !
Peu importe à quel point mon loup mourrait de ne pas voir mon emprunte, l'idée de lui faire mal à travers ma propre douleur m'était insupportable.
Voyant que je n'arriverais pas à convaincre Sam, je m'éloignais en courant dans la forêt. Je ne voyais que 2 solutions : trouver un moyen d'empêcher ma douleur de l'atteindre, ou ne plus l'approcher, même si je devais en mourir. De toute façon, il était mon ennemi mortel, et marié, il ne pourrait que me rejeter, j'étais donc voué à mourir.
Je m'assis au pied d'un arbre, et me laissais aller à ma peine, pleurant sans honte devant ce que le destin m'avait apporté.
En l'espace de quelques instants, j'avais perdu tout espoir d'un futur heureux. J'étais devenu l'esclave de Jasper Cullen. S'il voulait me tuer, je tendrais la gorge. Ma vie ne m'appartenait plus. La seule chose me maintenant à présent en vie était son bonheur, que je savais ne jamais pouvoir lui apporter.