Voici un os, que j'ai fais sur un coup de tête, c'était mon petit délire du jour ^^ C'est un peu ni queue ni tête mais bon... je prends toutes critiques, si cela peu m'améliorer dans l'écriture... Voilà bonne lecture.
Que vous voulez vous que je vous dise ? C'est comme ça et puis c'est tout.
La vie nous joue des tours, elle nous rend dingue! Insupportable mensonge de la vie...
Soyons vulgaire pour une fois... juste dire ce qu'on pense vraiment au fond de soi. Aller, disons les mots fatals, ceux qui font mal...
J'emmerde le monde, alors le monde m' emmerde, c'est une absurde logique, qui concrétise dans le temps, c'est peut-être paradoxal...
Aller, restons nous même, soyons vulgaire encore une fois, ni trop, ni pas assez. Juste trouver les bons mots.
J' emmerde le monde et le monde m'emmerde... c'est comme lui et moi.
C'est si simple et si complexe à la fois.
Je l'avoue, je le rend fou. Il n'en peut plus, cela se voit. Presque, il aurait pu me supplier, me soumettre.
Je suis digne de représenté son enfer, son petit bout de tentation, de dépendance, qui se voue, accrocher à moi.
Une oppression, une divagation, un semblable à un ennui mortel...
Je joue de mon charme, de mes atouts naturels. Je lui parle, il succombe à ma voix sensuelle...
J'ai des remords, je le torture sans le vouloir, je le hais, je l'aime..
L'humour danse dans nos paroles cyniques, l'ironie fait place. Je me bouscule à cette envie de lui dévoré ses lèvres qui osent se transformer en sourire démentiel. Pure arrogance qui veut m'enfoncer dans le trou noir de la bienveillance...
Répliques, insultes, disputes...la monotone nous à infligé ses coups. J'aurai pu rire. Un rire totalement critique,tellement faux...
J'aurai ris, souris face à lui, je ne peux m'empêcher, c'est mon ange déchu, mon démon... le seul, qui arrive à me cerner, à me rendre passionner par son être tout entier.
Je le hais tellement, sans doute trop fort, que je l'aime à en mourir...
Allons, oui, soyons vulgaire, jusqu'à en périr de nos mots rempli d'émotions.
Lui, un magnifique connard, un sublime enfoiré, un putain merdeux rempli de folles hormones...
Je le résiste encore, mais lui, oui, lui... il m'a cédé.
Je le hais pour cela, car il est lâche de tomber trop facilement à genoux devant moi...
Je l'aime...c'est complètement débile, insignifiant, je l'aime ! Voilà le problème, je suis aussi meurtri que lui...
L'amour est passé. Elle a fait ravage. Elle est encore présente, caché derrière nos ombres obscures...
Lui Drago, moi Hermione, sommes tombé dans la folie de la dépendance d'un sentiment lugubre et scintillant... le mal, le bien, l'amour...
Soyons vulgaire, pour une fois...
J'emmerde le monde, alors le monde m'emmerde...c'est comme lui et moi...
Je l'emmerde trop...alors j'ai eu ma dose de problèmes...Lui, mon autre, mon soucis, une incroyable drogue, ma drogue...
Je l'aime...alors j'emmerde le monde et le monde m'emmerde, et dans ce monde, il y a lui...Drago.
