Blabla de moi : Salut tout le monde (enfin ici personne me connaît mais bon) j'espère que mon style vous plaira

Blabla de moi : Salut tout le monde (enfin ici personne me connaît mais bon) j'espère que mon style vous plaira. Bisous

Disclamer : Tout ce que vous reconnaissez appartient à Disney et à Peter Barsocchini. Le reste n'appartient à personne.

Petite note : Si en lisant cette fic, vous avez un arrière goût de déjà-vu, ce n'est pas que je vous surveille mais parce que j'ai eu l'idée de cette fic en lisant le livre Garçons futés et filles rapides, un bel ouvrage écrit par Stephie Devis.

Chapitre 1

Les cours venaient de se terminer, et je courus jusqu'au vestiaire. J'avais passé une désagréable journée et j'avais grand besoin de me défouler. Déjà que j'avais eu le résultat de mon test de science du mois, et il n'était pas folichon, mais en plus, cette Sharpay m'avait suivit partout, me demandant sans cesse si je voulais quelque chose. Je m'appelle Troy Bolton, et je suis la star de mon lycée. Le pied, me direz-vous ? Et bien non ! Car étant un sportif j'ai, comme la plupart de mes coéquipiers, toutes les cheerleaders, qui me tournent autour, espérant sans doute un rendez-vous. Mais en plus, à cause du fait d'être capitaine et de mener l'équipe à chaque victoire, j'ai « l'énormeee » chance d'avoir la plupart des filles du bahut à mes pieds. C'est pour ça que je respecte le groupe d'intello du lycée. Aucune de ses filles ne me tournent autour. De plus, il faut être sacrément futés pour comprendre tout ce qu'il concerne les sciences. Vous l'aurez compris, c'est ma bête noire, cette matière. Je n'y comprends rien. A quoi cela me sert-il de connaître tous ses détails, sur l'air, sa composition, et toutes ses forces attractives ? Quand j'élabore une stratégie, je me base sur les talents de chacun de mes coéquipiers et amis, pour les placer du mieux que je peux. Je n'ai pas besoin de savoir quel sera la force dominante sur le terrain ni quel sera le vent pour placer, Chad, mon meilleur ami, pour qu'il soit au top. C'est le boulot du coach. Autrement dit mon père ! J'ai encore moins de chance que les autres. Contrairement à eux, une fois qu'ils ont quitté le bahut, ils ne font plus de baskets sauf pour se détendre. Moi, j'en fait en rentrant, après mes devoirs, et souvent après le souper, pour être le meilleur. Ça ne me dérange pas, j'adore ce sport, c'est pour ça que j'oublie fréquemment de faire mes devoirs de sciences. J'ai l'esprit bien trop occupé à penser aux stratégies. Le basket, c'est ma passion, mon père a toujours adoré ce sport. Pas comme ses supporters qui regardent les matchs à la télé, vautrés sur leur canapé, non mon père adore jouer à ce sport. Bon évidemment, on ne rate jamais un match officiel, mais ce sont là, juste des occasions d'améliorer mon jeu. Durant le match muet, car on coupe le son les commentateurs sont casse-pieds avec leurs blabla, mon père me montre, les feintes possibles, les tactiques des joueurs et nous cherchons à voir leurs erreurs, pour ne pas que ça m'arrive. Résultat, les sciences me passent par-dessus la tête. J'arrivais au vestiaire en avance. Une fois changé, j'entrais dans le gymnase et dribbla quelques minutes pour que les autres me rejoignent. J'aime bien être seul sur le terrain. J'ai l'impression d'entrer dans un autre monde, qui n'appartient qu'à moi. J'entendais les cris de l'autre côté du terrain, signe que les cheerleaders étaient entrain de se changer. Leur capitaine arriva peu après.

« - Salut Troy. La forme ?

« - Comme d'habitude Sharpay, dis-je en m'éloignant.

Cette fille aura ma peau avec son besoin d'être toujours la seule qu'on voit. A mon avis, s'il y avait eu du théâtre ou quelque chose du genre, elle aurait été la présidente du club. Chad me rejoignit et nous commencèrent à parler stratégie quand il me coupa.

« - Dis-moi à propos de vendredi …

« - T'inquiète, c'est bon, j'ai eu l'autorisation de mon père, je serais au rendez-vous. J'ai du négocier pour avoir la soirée, mais tout est prêt, m'exclamais-je ravi.

Depuis que mes deux meilleurs amis, avaient des copines, nous nous retrouvions qu'un soir par mois. Un vendredi, en général, ou nous passions la soirée entre potes. Bon la plupart du temps, ils parlaient de leurs copines mais au moins, je les avais pas dans les pattes. Chad sort avec Taylor, une fille super intelligente qui cherche toujours à me caser avec la première fille qui lui tombe sous la main. Jason lui, sort avec Kelsie, une fille adorable. Une artiste. Elle joue du piano depuis ses cinq ans, et compose depuis ses huit ans. Même si je les adore, les filles m'ennuient car elles me rappellent trop ma solitude. J'aimerais avoir une copine, mais une qui m'aimerait pour moi, pas pour mes beaux yeux bleus, selon Taylor, ni pour mes talents sportifs. D'accord, si j'en crois la copine de Chad, je ne devrais pas être célibataire. J'ai tout pour moi. Un physique agréable, un cerveau en marche et des capacités physiques qui ferait rêver beaucoup de filles. Bon s'il est vrai que je suis en bonne condition physique, et que je ne suis pas trop mauvais en cours, si on enlève les sciences, je suis loin de partager son opinion sur ma physionomie. J'ai hérité des beaux yeux bleus de ma mère, j'ai les cheveux relativement court, mais assez long, la peau bronzée dû aux entraînements, le reste de mon visage est normal, je trouve mais bon, les filles ça décortique un visage, et juge toutes les parties disloquées. Un mec se contente de décortiquer le corps de la jeune femme et de le noter.

« - C'est bien ce que je craignais. Avec Taylor, on a pas pu se voir de la semaine quasiment entre ses révisions et les entraînements, et Jason vient de me dire qu'il passait la soirée avec Kelsie, elle a réussit à avoir des billets pour un opéra, qui joue à guichets fermés depuis des semaines.

« - Ah ok ! Ben, c'est pas grave, on remet ça, déclarais-je dégoûté de garder ma déception pour moi.

« - T'es sur que ça ne t'ennuie pas ?

« - Non, pas de problème.

« - Je savais que tu comprendrais, déclara Chad.

C'est ça, que je comprenne. Je comprends toujours. Il voit Taylor à chaque cours, puisqu'elle est dans notre classe. Je ne peux pas trop en vouloir à Kelsie, la musique c'est toute sa vie, mais bon. J'avais enfin des plans pour ce week-end, autre que de rester avec mes parents. Surtout qu'ils vont à un gala important. Ma mère étant un professeur d'archéologie renommée, elle est souvent invitée à ce genre de soirée. Si jamais, ils apprennent que je suis libre, mon père va vouloir m'y traîner, et je n'ai aucune envie de les entendre. « Vous devez être si fier de votre garçon. » Ravalant mes mots pour moi, je n'ai aucune envie de blesser mes amis, j'appelle l'équipe. Ils sont tous sur le terrain, et je dirige l'échauffement, tandis que mon père est au téléphone. Seulement, j'ai beaucoup de mal à être concentré. Et pour cause, Sharpay est à quelques mètres et hurle ses ordres. Bien que les filles travaillent dehors, elle s'arrange toujours pour qu'on l'entende à un kilomètre à la ronde. Peu après, mon père nous rejoints. Je lui rends les rênes de l'entraînement et attends simplement ses ordres. Seulement, il m'appelle dans son bureau et dit à l'équipe de faire quelques tours de pistes. Quand j'arrive vers lui, je vois qu'il a les sourcils froncés.

« - Que se passe-t-il coach ?

« - Je viens de parler à Mme Darbus. C'est ton professeur principal, je crois ? Elle menace de te retirer de l'équipe.

« - Quoi, hurlais-je avant de me reprendre, mais pour quelles raisons ?

« - Selon elle, tes notes baissent. Tu te souviens de se que je t'avais dit ? Je veux bien que tu sois dans l'équipe mais tes notes ne doivent pas en pâtir. Je l'ai convaincu de te parler avant de savoir si on était obligé de te retirer de l'équipe. Elle t'attend dans son bureau. Alors, tu y vas, et tu fais ce qu'il faut pour qu'elle te laisse jouer les prochains matchs. Ils sont décisifs ! Allez go !

« - Mais coach, p'pa, je vais rater l'entraînement. J'irais après, j'te le jure !

« - Non, tu y vas maintenant, je te ferais bosser ce soir à la maison. Allez en y allant maintenant, tu peux être de retour pour la fin de l'entraînement.

Sans un mot de plus, il me congédia. Je soufflais de mécontentement, et partit au pas de course. En chemin, Chad m'interpella.

« - Où tu vas capitaine ?

« - Je vais faire une course pour le coach, je reviens, dis-je en courant pour éviter qu'il me m'interroge plus.

Je sais que ma présence est essentielle pour l'équipe. Si jamais ils apprennent que je risque d'en être viré, leur jeu va s'en ressentir. Et, entre nous, je ne préfère pas. Même si je ne suis plus sur le terrain, je veux que notre lycée gagne la coupe inter lycée. Ça fait cinq ans, qu'on nous bat en finale, et tout le monde en a marre ! J'arrive devant la classe de Madame Darbus. Ma prof de littérature. J'expire un bon coup, pour retrouver un semblant de souffle. Heureusement que je suis sportif sinon, je ne sais pas comment je ferais. Une fois plus maître de ma respiration, je toque. J'entre une fois qu'elle me l'autorise.

« - Monsieur Bolton ? Vous êtes là ? Asseyez-vous !

Je ravale mes répliques et obtempère.

« - Je viens de voir votre copie de science. C'est catastrophique ! Vous frôlez le niveau de la mer. Je me vois donc dans l'obligation de vous retirer de l'équipe.

« - Non, s'il vous plait, madame Darbus, ne faites pas ça, m'exclamais-je en me levant et en tendant ma main ouvert en l'air, paume vers elle. Ecoutez, je vais faire un effort, je vous le promets, mais ne me sortez pas de l'équipe. Je ferais ce que vous voulez, je vous le jure, mais ne faites pas ça ! S'il vous plait.

« - Soit, il y a une autre solution. Puisque vous tenez tant à rester dans l'équipe. Vous aurez une préceptrice pour vous aidera en science !

« - Quoi, hurlais-je, excusez-moi, non vous pouvais pas me faire ça. Je vais me reprendre, je vous le jure, mais seul. Je n'ai pas besoin d'aide. Je n'avais pas conscience que mes notes étaient si catastrophiques.

« - Cette décision n'est plus de votre ressort, jeune homme. Vous aurez un précepteur où, je vous retire de l'équipe. Et soyez conscient de ce geste, j'ai déjà sortit d'autres élèves de leur équipe sans leurs laisser le choix. Vous, c'est différent, vous êtes bon élève dans les autres matières. Alors allez voir ce précepteur, dit-elle en me donnant un papier ou étaient notées ses coordonnées, et remontez vos notes. Je vous laisse jusqu'au mois prochain. Si vos notes sont toujours aussi catastrophiques, je donne ce mot au directeur, ajouta-t-elle en me montrant un autre papier. Bien, votre préceptrice m'a dit qu'elle serait dans la bibliothèque jusqu'à dix-sept heures. Prenez contact avec elle, rapidement ! Si au prochain test, vous n'avez pas quinze de moyenne au moins, je le donne.

Je lis le mot, et je pris peur. Ça me semblait plus être un ordre qu'une aimable suggestion. Je hochais la tête quand je me souvins d'un détail.

« - Quinze, mais c'est impossible. Enfin, je veux dire, je ne vais pas avoir assez d'un mois pour me reprendre. Laissez-moi un mois supplémentaire, je vous en pris !

« - Non ! Vous avez un mois seulement, mais madame Callaway m'a prévenue qu'elle noterait aussi vos devoirs afin de faire monter votre moyenne plus rapidement !

« - Quoi ? Mes devoirs aussi ?

J'avale ma salive difficilement. Un rapide coup d'œil à l'horloge située derrière madame Darbus, m'indique, qu'il reste une demi-heure d'entraînement. Je hurle en moi-même, je vais rater mon entraînement à cause de cette folle. Soudain une main passe devant mes yeux.

« - Bien, maintenant allez à la bibliothèque prendre contact, et dépêchez-vous de remonter vos notes. Je sais que le sport est important pour vous monsieur Bolton, mais l'éducation est plus importante.

Aussitôt, elle me donna congé, en agitant sa main. Résigné, et fulminant pour moi-même, je sortis et parcourus le couloir. En prenant à gauche, j'allais à la bibliothèque. A droite, j'allais au gymnase. Jetant un rapide coup d'œil derrière moi, je vis que mon professeur principal était à la porte et me surveillait.

« - Vous verrez. Plus tard, vous me remercierez, dit-elle m'indiquant le chemin de gauche.

Je haussais les épaules et marchait tranquillement vers l'endroit maudit. La remercier, tu parles. Je n'ai aucune intention d'être un pro de science. A la limite, si je n'y arrive pas, je pourrais toujours demander à madame Callaway de me laisser abandonner le cours. On peut le faire à l'université. Pourquoi pas au lycée. La copine du frère de Chad, c'est ce qu'elle a fait en voyant que la matière était trop dur pour elle. De toute manière, mon cerveau n'est pas fait pour comprendre tous ses trucs de science. Non, il est fait, pour faire des stratégies, parler correctement, compter et jouer au basket. Je n'ai jamais compris à quoi servait la science. C'est avec ce genre de pensées, que j'entrais dans le lieu préféré de Taylor. Je me stoppais et regardais ma montre. L'entraînement se terminait dans dix minutes. Je l'avais loupé de toute manière, aussi je décidais de lever les yeux à la recherche d'une terminale. Seulement, je ne savais pas qui c'était. Prenant le papier donner précédemment par madame Darbus, je lus le nom : Gabriella Montez. Bizarre, ça ne me dit rien, mais les terminales, je les connais peu. A part quelques uns qui sont dans l'équipe.

Voilà fin du premier chapitre. Dites-moi si vous avez aimé. C'est la première fic de ce genre que j'écris, et j'aimerais beaucoup savoir si je peux continuer ou si le style, et l'idée sont complètement à revoir.

Bisous

Time Tell Will.