Note de l'auteur : Première fic' soyez indulgent svp et désolé si il y a des fautes d'orthographes ;P Et au passage il n'y aura pas de magie dans cette histoire...Bonne lecture ^^

Maison Close

Chapitre 1 : L'achat

Depuis mes 17 ans, je suis là dans cette prison, cette maison close pour homme. Mon oncle Dursley à eu cet idée pour que je ne puisse plus voir mes amis et avoir aucun rapport ayant sut que j'étais gay ! Cela fait donc 5 ans que je suis là à glander toute la journée de plus, je n'aime personne ici il n'y a rien à faire, la bouffe et dégelasse et je vous passe le reste.

Mon quotidien et un enfer, cette putaine de vie me prend la tête on nous lève tous les matins à 5h tapante, on a dix minutes si ce n'est pas moins pour se lever et s'habiller. 5h10 on à intérêt à être au réfectoire pour manger parce que à 5h20 plus y a de quoi déprimé sérieusement.

Le samedi les acheteurs arrivent, et oui car au bout de cinq années nous pouvons être vendu a des homosexuelle comme de la marchandise. Pour mon plus grand bonheur on ne ma encore jamais acheter et quel miracle, de toute façon je ne fais rien pour, nous sommes sensé nous habiller très bien et nous tenir correctement, ce que je ne fais jamais. Tous les autres hommes sont en costar cravate et moi je me pointe en décontracté, je ne vais pas me fouler pour des pervers qui veulent nous acheter.

J'ai gardé contact avec des amis qui on eux était acheter par des hommes, ils sont leurs objet sexuel et leurs boniche et sa non merci. D'ailleurs aujourd'hui nous sommes samedi il faut que je m'habille , j'enfile mon jeans délavé et une chemise blanche que j'entre d'un coté dans mon pantalon et pas de l'autre , accompagner de mes feiyue rouge pour bien ressembler a rien , et être le plus moche possible je ne me coiffe pas et porte mes anciennes lunettes qui ne me serve que le samedi maintenant.

Mon tour approche, deux de mes amis on déjà était acheter à la coquette somme de 8000 euro. Priez pour moi que personne ne m'achète. J'entre dans la salle personne à l'air de s'intéresser à moi ! Très bien c'est ce que je veux. Mais au bout de quelques minutes un homme brun avec des lunettes noires et des habits tout aussi noir que le reste lève la main et cri le prix qui est de 2000 euro. Une autre main se lève et cri a son tour 3000 euro, puis d'autres mains, le prix monte jusqu'a 8500 euro de la part du première homme, un autre lève la main et cri 9000 euro. L'homme ne réagit plus et ne fait plus d'offre. Mon cœur bat, un vieil homme affreux à donner le dernier mot.

Une femme aussi brune et habillé de noir avec des lunettes entre et des hommes lui hurlent que la vente est reservez aux hommes, elle continue de marcher et s'assoie à côté du premier qui à lever sa main puis hurle que c'est son cousin. Plus personne ne parle le juge tape une fois, puis de fois et la main de l'homme au fond de la salle accompagner de sa cousine se lève, 10 500 euro hurle la femme suivit de l'homme. Le juge retape une fois, deux fois, puis trois fois.

- Adjugé vendu !

Je soupir et regarde la tête brune sortir de la pièce, je vais préparer mes affaires pour rejoindre cet homme, si il le désir il peut venir me voir déjà mais il ne le fait pas et part. Contre toute attente c'est cette femme qui vient me voir.

- Bonjour, jeune homme.

- Bonjour.

- Sa ne doit pas être facile d'être acheter comme sa …

- Et en quoi sa vous dérange puisque votre cher cousin vient de m'acheter comme de la marchandise. ?

- Tous d'abord, je sais ce que subissent les hommes ici et nous ne vous avons pas acheté pour faire de vous son esclave sexuel et tout le reste. Nous sommes venu ici pour acheter un homme le libérer de cette affreuse prison, ne vous inquiétez pas il ne vous fera pas de mal et de toute façon je vis avec lui…Et votre petit jeu ne marche pas avec moi, je sais que vous ne portais pas de lunettes il n'y a pas de verres et vous avez fait exprès de vous habiller comme sa. Alors sil vous plait retirer ses lunettes et ses chaussures enfiler plutôt les blanches et sortez votre chemise de votre jeans.

Elle me sourie et s'en va, je suis choqué par ce qu'elle vient de me dire. Était-il vraiment la pour me libérer et non se servir de moi pour assouvir à ses besoins ? Je prends mes affaires et le rejoins…