Bonjour tout le monde…et oui, c'est ma seconde fic… pour un début, j'avoue pouvoir faire mieux…mais avant le vrai début des choses sérieuses, j'aime qu'on connaisse les personnages, bien que nous connaissons tous les Cullen. Je tiens à préciser que certains personnages sont tout droit de ma personne et qu'ils sortent tout droit de mon imagination. À vous de les connaître!

Chapt.1

Edward pov

J'étais un homme, enfin façon de parler, un homme qu'en le regardant, on pouvait croire qu'il avait tout ce qu'il voulait, mais en réalité se n'était nullement le cas. J'avais 17 ans, physiquement, et mon réel âge répugnerais la plus part des jeunes demoiselles qui me courtisait. Je suis un vampire depuis 1918 et je me porte bien avec ma nouvelle famille. J'avais perdu mes deux parents, avant de moi-même mourir pour devenir ce que je suis. Quand j'étais un humain, ma mère et moi avions attrapé la grippe espagnole. Mon père, sachant qu'il nous perdait tous les deux, avait décidé de se suicider. Ma mère avait supplié le docteur Cullen de me sauver et s'était ce qu'il avait fait, à sa façon. J'avais donc rejoint le rang des Cullen.

Aujourd'hui, nous étions huit vampires dans la villa. Mes deux parents, Carlisle et Esmé, et mes cinq frères et sœurs, Emmett, Rosalie, Alice, Jasper et Lérissa. Nous avions tous, enfin presque, le même âge, nous n'avions qu'une légère différence, à l'exception de Lérissa. Elle n'avait que 12 ans. Elle était le joyau de la famille, l'enfant chouchou des parents. Il est vrai qu'il n'était pas difficile de tomber sous son charme. Juste en le regardant elle et les parents, on pouvait les croire comme une vraie famille. Lérissa était très différente de nous et elle avait su nous le montrer avec ses dons. À la regarder, elle ne ressemblait nullement à un vampire. Son cœur battait et son sang, qui n'avait aucune odeur, coulait dans ses veines. Elle mangeait, dormait et ressentais les émotions comme les humains, mais sa force et se vitesse incroyable la contredisait dans cette voie. Au départ, Carlisle l'avait prit sous son aile pour démystifier sa vraie nature, même moi, avec mon don de télépathie, j'en étais incapable. Nous étions tous tombé sous son charme et s'est ainsi qu'elle est devenu une Cullen.

J'étais très proche de Lérissa, comme nous tous d'ailleurs. Lérissa était extrêmement charmante, mais nous devions cacher son existence à tous les vampires. Lérissa était différente et si les Volturi l'apprenaient, nous aurions tous peur pour elle.

On toqua à la porte de ma chambre. Lérissa bougea légèrement contre moi, elle aimait dormir à mes côtés. J'invitai la personne à entrer et Carlisle, mon père, précéda ma mère. Ils étaient tant attachés à la petite.

-Elle s'est endormit? Demanda Carlisle en s'approchant de mon lit.

J'acquiesçai et baissai mon regard sur ma petite sœur. Son petit corps était entouré de la douillette qui recouvrait mon matelas. Ses longs cheveux noirs étaient éparpillés sur les oreillers.

-Je voulais lui dire que je quittais pour l'hôpital. Elle passera la journée avec Esmé, mais je préfère la laisser dormir, qu'elle reprenne des forces… Tu vas à l'école aujourd'hui?

-Oui Alice m'y force, avouai-je.

-Il parait que la fille du shérif, Isabella, entre au lycée aujourd'hui. Peut-être l'aura tu dans l'un de tes cours.

Mon père se pencha sur Lérissa et lui embrassa le front. Elle bougea légèrement et se tourna sur le dos. Carlisle et Esmé lui firent un sourire conquit avant de sortir de la pièce. Je baissai les yeux sur Lérissa et la détaillai, elle était si différente de nous tous. Ses cheveux noirs, tel une nuit sans étoile, longeaient son corps jusqu'à ses reins. Sa peau blanche, tel une neige tombant du ciel, brillait sous l'éclat d'une luminosité caché par les nuages. Je pouvais revoir ses yeux d'un or doux, renforcé de petite ligne noire, qui transperçaient son visage.

« Edward, école» pensa ma sœur Alice, surexcité, comme toujours.

Je me penchai, à mon tour sur ma petite sœur et l'embrassai sur la joue. Je quittai ma pièce en ayant une drôle d'impression. Ça allait être une journée énormément longue.

Bella pov

Je me rendais à l'école, nerveuse. Ça faisait longtemps que je n'étais pas venue à Forks. La dernière fois remontait à mes huit ans, et aujourd'hui j'étais âgée de 17 ans et je devais vivre ici. Malheureusement, je ne connaissais personne, pas même des rencontres anciennes. Je rentrais dans un monde complètement différent de Phéonix.

Ma mère et mon père étaient séparés depuis toujours. Je n'avais que quelque jours lorsque ma mère était partie avec moi, m'éduquant dan l'État de l'Arizona. Un état chaud et, pourtant, ma peau était blanche, comme si j'avais passé ma vie dans un des pôles. J'étais une fille normal, sans atout en particulier, et extrêmement maladroite. Les garçons m'évitaient, me faisant me concentrer davantage sur mes études, ce qui me valait des notes surélevées. Ma mère s'était remariée avec Phil qui voyageait beaucoup. Ils voulaient voir du pays, profiter de leur nouvel amour. Je ne voulais pas être dans leurs pattes, tenir la chandelle, tandis que je n'avais personne pour m'aimer. Phil était très jeune et très différent de mon père. Je n'étais pas trop en accord avec le choix de ma mère. Je n'aimais pas beaucoup Phil, il essayait de prendre la place de mon père. Mon père était un homme simple, comme moi. Ce que j'aimais avec lui, C'est qu'il ne s'attardait jamais, il vivait sa vie et moi la mienne. Le seul inconvénient avec Charlie, S'était l'endroit où il vivait. Je détestais la froideur et l'humidité de Forks.

Lorsque j'entrai sur le parking du lycée, automatiquement, tous les regards sur tournèrent vers moi. Je sentis le rouge de ma gêne me colorer les joues. Je détestais être le centre du monde. Je sortis de ma voiture hésitante. Cette hésitation me mena à ma perte en me faisant glisser sur l'eau gelée sous ma voiture. Ça y était je venais d'arriver et déjà j'allais me faire rire de moi. Heureusement, deux bras costaud vinrent me rattraper d'une chute évidente.

-Oh…je-excusez moi, je suis extrêmement confuse, m'excusai-je en relevant mon regard.

Je crus rêver en voyant l'homme devant moi et qui m'aidait à tenir sur mes pieds. UN ANGE! Ses yeux topaze me fixaient avec une légèrte lueur d'incompréhension, vite suivi d'une lueur de désire qui passa dans ses yeux, puis plus rien. Fascinant.

-Je nous ai simplement évité une vilaine chute à tous les deux. Tu allais me tomber dessus, dit-il d'une voix tranchante avant de s'éloigner vers le lycée en compagnie de cinq personnes, sûrement sa petite gang d'ami.

Génial, déjà je me faisais des ennemis, en plus, ça devait être le gars le plus craquant que je n'ai jamais vu de toute ma vie. Lorsque je me retournai vers les élèves, après avoir amasser mes effets, je sentis leur regard abasourdi sur moi…Surtout ne rien faire et simplement marcher vers l'accueil… Et s'est ce que je fis. Le lycée de Forks ne comptait pas beaucoup d'étudiants. Tout le monde se connaissait et j'avais l'impression d'être une étrangère venu de l'espace, en voyant leur regard braqué sur moi.

-Salut! Tu es la nouvelle? Me demanda une fille à lunette. Isabella, la fille de shérif.

-Les nouvelles vont plus vite qu'on ne le pense, remarquai-je. Je préfère Bella.

-Moi, c'est Angéla, se présenta t-elle. Tout le monde ici ne parle que de toi, même les enseignants nous avertissent qu'on va avoir la fille du shérif dans nos cours…

Elle continua à parler de pleine chose incensé et à une vitesse folle, mais en parti, elle me semblait gentille. Elle était la première à être venue me voir. À la regarder, elle me semblait d'une fille plutôt discrète… mais elle est carrément le contraire.

-Oh… nous avons le premier cours ensemble, s'écria t-elle en jetant un coup d'œil sur mon horaire, par-dessus mon épaule. Tu vas voir, on va bien s'amuser.

Je ne pus rien dire ni rien faire, elle m'entraîna à sa suite dans une classe dans le bâtiment B. Angéla parlait et je me contentais de l'écouter, légèrement. Nous allions en langue et elle m'informa de tous les potins sur notre enseignant, monsieur Brower. Une fois dans la classe, je me concentrai sur le petit homme joufflu qui me donnait quelque information sur les cours précédent. D'un coup, je me sentis fixer et pas par n'importe quel regard. Je me retournai à temps pour apercevoir une jeune fille et un jeune homme prendre place à l'arrière, à la même place. On pourrait croire qu'ils sont normaux, mais leurs yeux topaze qui tranchaient leur peau encore plus blanche que la mienne, me laissèrent dans un doute. Je ne savais même pas pourquoi je me mettais en garde. La jeune fille aussi illuminée qu'un rayon de soleil, me regardais avec un énorme sourire. Ainsi elle semblait taquine, avec ses cheveux bruns qui partaient dans tous les sens, ses vêtements excentriques et cette lueur dans son regard. Le jeune homme semblait souffrir en regardant droit devant lui. Il tenait la main de la jeune fille, fermement. Ses cheveux blonds lui tombaient sur les tempes. Il semblait tellement naturel comparé à sa compagne.

-Vous avez compris, mademoiselle Swan? Me demanda le professeur.

J'acquiesçai en reportant mon regard sur lui. Malgré ses cheveux gris qui démontraient son expérience, il ne me semblait nullement sévère.

-Vous serez en binôme avec Angéla, conclu t-il en me donnant les volumes nécessaires.

Je me dirigeai vers l'arrière de la classe où Angéla était assise à la table à côté de ses êtres étranges. Je m'assis à la table, évitant de trébucher contre la chaise et sortis mon carnet. J'aimais gribouiller des choses incensées à l'intérieur.

Pendant le cours, mes pensées me dirigèrent vers l'ange qui m'avait retenu d'une chute humiliante ce matin. Sa beauté résonnait dans mon cerveau, me faisant oublier complètement le cours. Ses yeux étaient chasseur de pensées. On n'avait pas le loisir de le faire, lorsqu'il nous capturait comme il me l'avait fait ce matin. J'avais tout de même pu être éblouis par sa beauté angélique, un vrai mannequin. Ses cheveux brun-roux ébouriffé dans tous les sens. Son visage fin, mais carré. Sa mâchoire soulignait son profile et ses lèvres, juste parfaites.

-Bella? Me héla doucement Angéla. On va déjeuner?

-En fait je n'ai pas très faim, mentis-je. Je vais aller à la bibliothèque.

-Mais non, allez viens, m'intima t-elle en me tirant par la main. Tu ne vas pas t'enfermer dans les bouquins sur l'heure du déjeuner.

Dire que je pourrais lui tenir tête était me mentir, elle était si gracieuse, mais jamais j'oserais la contredire. Elle savait ce qu'elle voulait et fallait mieux ne pas nous y interposer. La cafétéria était dans le bâtiment principal et nous dûmes sortir sous l'humidité pour nous y rendre.

La salle était bondée d'étudiant affamé. Des voix de tous les côtés, s'élevaient. Je suivis Angéla dans la file de la cantine. J'avais juste hâte de sortir de cet enfer, je détestais ces endroits, je me sentais trop compressé.

Edward pov.

La jeune fille de ce matin m'intriguait toujours de plus en plus. Elle était si maladroite que je m'avais fait un plaisir de l'aider, mais en la touchant, j'avais senti son odeur si désireuse. Elle s'était confondue en excuse, tandis que mon désir le plus cher avait été de me pencher sur son cou pour me délecter de son jus de survie. Il y a un temps, en tant que vampire, que l'odeur du sang humain nous ne faisait plus aucun effet. Mais avec elle aujourd'hui, en la touchant, j'avais senti les poils de mon dos se redresser, mon venin monter dans ma bouche comme de la bile. En 92 ans de vécue en vampire, jamais je n'avais sentis une telle attirance pour ce breuvage, je m'étais habitué au sang animal, mais j'avais terriblement besoin d'une approche avec elle.

J'entrai dans une villa pleine de vie, mes sœurs et frères sur les talons. Il y avait de la musique populaire qui sortait da la chaîne stéréo, assez forte. Une petite tête noir, passa trop rapidement devant nous, trop vite qu'on la voyait à peine, Esmé derrière elle.

-Euh!... Il y a une fête ici ou quoi? Demanda Emmett.

-Non, ta sœur a décidé de prendre un browni avant son dîner, soupira Esmé. Je déteste ne pas la sentir.

Lérissa grimpa dans les bras d'Emmett la bouche pleine de chocolat. Ma petite sœur pouvait être terriblement enfantin, mais elle pouvait être tout aussi sérieuse. Parfois, s'était même elle qui trouvait solution à nos embrouilles.

-Mais maman, bouda Lérissa. Tes browni sont les meilleurs.

Mes parents nous aimaient trop pour nous en vouloir longtemps. Esmé était une mère née. Elle regarda la petite, longuement avant d'abandonner.

-Va te laver le visage avant que ton père ne voie ça.

J e retournai vers ma petite sœur qui sautait des bras d'Emmett, pour prendre la direction de l'étage. Nous nous ressemblions tous, sauf Lérissa. Elle était jeune et adoré de tous. Elle était la seule à pourvoir battre Emmett sans faire appel à ses dons, la seule qui en connaissait plus que Jasper sur tout, la seule qui était capable de survivre aux journées shopping de ma sœur Alice et la seule a pouvoir supporté Rosalie.

-Comment c'est passé votre journée? Nous demanda Esmé.

-Edward a joué aux héro aujourd'hui, commenta Alice. Il a sauvé la nouvelle d'une vilaine chute. Elle est mignonne, quoi que un peu maladroite, elle est avec nous en langue.

Je fronçai les sourcils, je ne m'étais pas attardé sur son physique, trop occupé à sentir son odeur fruitée délicieuse.

-J'ai juste réagis en humain, elle allait tomber sur moi, expliquai-je.

-Alors elle est mignonne? Me questionna ma mère.

-Elle est mignonne, je n'ai absolument rien d'autre à dire sur son sujet.

Ce qui est faux puisque je n'avais qu'une envi, m'enfermer dans ma chambre pour pouvoir repenser à cette douceur.

-Edward! S'écria Alice outrée. Elle est plus que mignonne, abruti, j'ai dit ça pour te faire réagir. Tu n'as donc pas remarqué ses petites rougeurs délicates qui colorent ses joues à chaque fois qu'elle t'aperçoit de près ou de loin?

-D'accord, elle est peut-être attirante, mais c'est beaucoup trop risqué pour Lérissa. Isabella Swan est la fille du shérif, son cœur bat, son sang coule dans ses veines et son odeur, lorsque tu es près d'elle, est tout simplement magique.

-Tu pourrais faire comme Tanya, un petit coup d'un soir avec la nouvelle et puis bye bye! Proposa Emmett.

Je grognai en me retournant vers Emmett. Quelle idiotie de croire que j'étais capable de faire une chose pareille. Tanya était une cousine de l'Alaska qui collectionnait les hommes, elle avait une préférence pour les humains. Tanya couchait avec eux une nuit entière, puis elle les jetait aux oubliettes, après s'en être abreuvé. On pouvait boire le sang d'un humain sans le tuer ou la transformer, il tombait dans un état d'inconscience et ne se rappelait plus de rien. Tanya faisait ceci à tous les soirs, mais moi, j'avais beaucoup trop de respect pour une femme pour le faire.

-Inutile de te préciser, Edward, qu'Emmett blaguait, intervint Esmé.

Entre nous, s'était très tendu. Nous avions tous une personne qu'on appréciait moins dans la maison. Moi, s'était Emmett. Pourtant, on pourrait croire du contraire en le regardant. Il ressemblait à un ours délicat, mais ses blagues douteuses avaient le don de me sortir de mes gons.

Je m'éloignai du hall pour rejoindre ma chambre. Le seul endroit où s'étais juste moi. Esmé avait prit la peine de nous demander, à chacun d'entre nous, ce qui nous plaisait pour notre chambre. Ainsi, elle était à mon image.

En chemin, j'entendis les sanglots de Lérissa provenant de sa chambre. Nous étions que tous les deux sur cet étage. La maison en contenait trois et nous avions la chance d'avoir le deuxième pour nous deux, s'étais pour le simple fait de protéger ma petite sœur de tous les côtés. Je changeai ma trajectoire pour aller voir ma petite sœur. Nous détestions tous lorsqu'elle pleurait. La porte de sa chambre était entrouverte, me permettant ainsi une vue sur son paradis rose. Tout était en rose et blanc. Coloré, à l'image de Lérissa. Je me glissai dans la pièce, je savais qu'elle savait que j'étais là. Ma petite sœur était assise sur un petit banc encastré dans le mur de sa fenêtre, ce qui lui permettait de voir à l'extérieur.

Lérissa avait entouré ses genoux de ses bras et les tenaient contre son buste. Ses cheveux noirs lisses tombaient autour de son visage, baigné de larme.

-Pourquoi toujours se chicaner? Dit –elle. Ça ne sert à rien, sauf à blesser les personnes aux alentours.

-C'est ça qui te fait pleurer ainsi? Lui demandai-je.

-Ça n'est pas rien, Edward. Un jour tout va empirer et détruire notre famille.

-Ce n'est pas une petite chicane qui va détruire notre famille, princesse. Nous sommes beaucoup trop attaché pour ça.

-Tu n'es pas attaché à Emmett, Rose ne l'est pas avec Alice, Jasper est le seul neutre dans tout ça, et encore il déteste quand il sait que j'en sais plus… Papa arrive! Annonça t-elle en sautant de son perchoir.

-Lérissa, nous étions ainsi bien avant que tu ne rejoignes nos rangs. D'Accord? On ne peut change qui nous sommes.

Elle passa devant moi, sans m'accorder un regard. Doutait-elle de quelque chose?

-Tu pourrais être surpris, murmura t-elle avant de quitter se pièce pour aller rejoindre son papa adoré.

Qu'est-ce qu'elle voulait dire par là?

Alors chapitre terminer, et oui il y a de la chicane dans les Cullen, mais ce n'est qu'un peu de jalousie. Disons que j'aime bien la petite Lérissa, elle est attachante et comme on le dit très douée. Nous allons connaître ses dons dans le prochain chapitre, enfin…

Je vous dis à la prochaine pour un autre chapitre…