Base : Gundam wing (Lolita : je me pose la question parfois ! Jimi : si GW ! il sont les mêmes noms ! )

Couple : d'abord 1 2 1, et puis 1x4 et enfin, 2x1 (me demandez pas comment on a osé mettre 1 et 4 ensemble, on en revient toujours pas )

Genre : romance, yaoi un peu lemon… POV alternatif de tout le monde et parfois, ça tourne au OOC

Disclaimer : en fait, on fait tout le boulot en leur écrivant de super belles fic, alors on ne pourrait pas avoir une petite rétribution en nature ? un ou deux G-boy par exemple? Nan, mais pourquoi toujours non ?

Note : comme toujours, c'est sensé être tragique au début, et ça part en sucette en fin de compte. Impossible de faire un truc sérieux avec eux !

Dernière rencontre

Retrouvailles 1

On s'est revu comme ça, par hasard.

Après la fin de la guerre, on s'était tous séparés, enfin presque, chacun de son côté, comme avant. Moi je vivote comme je peux, ��faire des petits boulots par-ci par-l�, surtout en exploitant� fond mes talents de mécanos. Parce que dans�notre société douce et pacifiée, mes autres talents sont rarement appréciés dans la légalité: sabotage, explosif, infiltration, pilotage de mobile suit… et j'en passe. Donc je survis comme je peux. Avec Hilde. Chère Hilde. Qui me trouve toujours des boulots des feux de l'enfer ! C'est elle qui m'a envoyé ici chercher une livraison de pièces détachée pour je ne sais quel vieux tacot. Dans cette ville. Bien sûr, elle ignorait que c'est ici que tout a commencé pour moi. C'est ici que je l'ai rencontré pour la première fois. Ou presque ici. En réalité, c'est plutôt sur une base militaire au large de cette cité côtière qu'on s'est rencontré.

Et quelle rencontre !

Enfin, aujourd'hui il n'y a plus de base militaire ici.

Merci Rélena !

Rélena, c'est aussi ici que j'ai eu la joie de faire sa connaissance. Nan, je suis pas ironique du tout. En gros, je lui sauve la vie (je sais je fais des trucs con parfois, mais l� je ne la connaissais pas encore) et elle, elle m'engueule. Gonflée la blondasse !

Et pourquoi qu'elle m'engueule, parce que j'ai tiré sur le mec qui allait l'abattre froidement. Cette gonzesse est d'une ingratitude ! Le mec en question qui est d'ailleurs assis�� côté de moi en ce moment même. Heero.

Ce cher Heero.

Je me demande�� quoi il peut bien penser.

Okay, vous me direz, je me suis toujours demandé ��quoi il pensait quand il regarde dans le vide. Comme l� maintenant. Comme souvent. Comme presque tout le temps, en fait.

Mais l�, c'est bien ce qu'il pense en ce moment qui m'intéresse.

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Duo. Duo Maxwell.

On ne s'était pas revu depuis qu'on a piloté nos gundam pour la dernière fois. Apparemment, il a su compenser la perte du sien, le Deathscythe. «Deathscythe», c'est le nom inscrit sur la coque de la moto qu'il conduisait tout�� l'heure.

C'est étrange, mais revoir Duo, c'est faire un bond de près de quatre ans en arrière. Revenir�� l'époque où nous pilotions tous ensembles. C'est un sentiment étrange. Autrefois je n'y aurait pas prêté autant attention, mais depuis j'ai appris�� analyser mes sentiments,�� connaître mon ressenti. C'est un peu grâce�� Duo d'ailleurs.

Nostalgie. C'est le nom de ce sentiment étrange. A la fois une tristesse insidieuse et une joie mêlée de d'amertume. Oui, je suis nostalgique de cette époque. Jamais je n'aurais cru pouvoir regretter la guerre�� ce point. Plus que la guerre, c'est la compagnie des autres qui me manque.

Moi qui croyais préférer la solitude !

En même temps, ça me fait mal de le revoir, l� d'un seul coup. Je ne m'y attendais pas du tout. Il m'a pris par surprise. Moi qui ai si souvent souhaité le revoir, le retrouver près de moi, être de nouveau ensembles, quand ça arrive vraiment, je suis pris au dépourvu.

Je me suis arrêté de travailler. J'ai pris des vacances, les premières depuis que j'ai été engagé dans cette boite d'informatique. Trois semaines de suite, histoire de reprendre des forces, sachant pertinemment qu'une montagne de boulot m'attendrais sagement sur mon bureau de travail�� mon retour.

Dans cette réjouissante perspective, je sillonnait le pays, en train, en car, en stop, et parfois,�� pied. Cela me vide la tête, m'empêchant de penser�� tout ce qui me torture l'esprit. L'avantage de cette technique de voyage, c'est que chaque destination est une surprise. L'inconvénient, c'est que parfois c'est une mauvaise surprise. C'est ainsi que je me suis retrouvé ici. Ca ne me pose pas de problème de revenir sur le lieu d'une mission. Non, c'est juste que je voulais éviter de ressasser ces souvenirs, comme un vétéran qui n'a plus que ça pour vivre.

Je me suis arrêté pour manger, puisqu'il était trop tard pour quitter la ville ce soir. Le restaurant était du genre plutôt bas de gamme, je ne suis pas exigeant et je ne roule pas sur l'or. De part sa proximité avec la route, c'était un lieu exclusivement fréquenté par des gens de passage, des routiers, des forains, des touristes… et puis lui.

J'ai immédiatement reconnu sa manière de pousser la porte vitrée de la salle. Le même air invariablement satisfait collé au visage. Avec en supplément un sourire affamé du Duo privé de son quintal de nourriture quotidien. Je remarquais qu'il ne portait plus son col romain mais restait vêtu de noir. En l'occurrence, une combinaison de mécanicien gris foncé boutonnée jusqu'� la taille, le haut retombant sur sa ceinture, laissant un tee-shirt noir�� découvert.

Il marchait avec le même assurance, toujours, et la même souplesse. Celle d'un félin. Je m'étais souvent dit que si les vies antérieures existaient, celle de mon coéquipier serait celle d'un matou quelconque, un genre de chat de gouttière. Chaque pas faisait onduler sa natte châtain. Il ne l'avait pas touchée de puis tout ce temps.

Il me tournait le dos, et je le vis s'accouder au comptoir et appeler un serveur.

Je n'ai pas osé ni me lever, ni l'interpeller, me contentant de le regarder, comme un fantôme du passé qu'il était.

Puis il s'est retourné.

Et il m'a reconnu.

- Heechan

Il s'est avancé. Un sourire sincèrement ravi aux lèvres.

- Ca fait un bail !

Avec une claque dans le dos, il échappa�� la banale poignée de main des retrouvailles.

- Je peux m'asseoir ?

Un hochement de tête lui indique que j'étais seul et qu'il était le bienvenu.

- Alors. Qu'est-ce que tu deviens ?

- Hn.

Ça avait été la pire conversation de mon existence, vraiment je n'avais pas envie de lui parler.

Pas envie de lui raconter ma vie.

- Well ! Toujours aussi bavard ! Qu'est-ce que tu fais dans le coin ? Boulot ?

- Congés.

- Haa ! You lucky ! Dire que je bosse comme un damné !

Cette remarque m'avait arraché un sourire dubitatif. Duo en acharné de travail ? Rien moins que complètement impossible.

- Rigole pas, je suis sérieux. C'est Hilde qui m'envoie toujours�� perpet' pour dénicher des pièces détachées qu'y en a même pas deux au monde ! Tu vois la galère ? Au fait, tu fais quoi maintenant ?

- Informatique.

- Hey ! J'aurais du m'en douter. Ha, c'est mon repas qui arrive. Je vais t'accompagner, okay ? J'ai la dalle ! Tu me croiras jamais si je te dis depuis combien de temps j'ai pas mangé !

Et le repas avait continué ainsi.

Duo. Il est toujours aussi bavard et agité.

Enfin, je suppose qu'il me trouve toujours aussi laconique et coincé.

Et on a mangé ensemble. Et on est resté ensemble. Jusque tard.

Il finissait son dessert, son troisième dessert. Moi j'avais finit depuis longtemps, mais je restais avec lui. Probablement parce qu'il continuait�� me parler. A parler dans le vide. J'aurais pu dormir en face de lui, il aurait probablement continué�� me parler ainsi. Pourtant je buvais littéralement ses paroles. J'appréciais et redoutais�� la fois les nouvelles qu'il donnait. Je n'avais pas envie de l'entendre me raconter comment il faisait sa vie sans les G-boys, et en même temps je voulais savoir, j'étais curieux de savoir ce qu'il devenait, j'étais curieux de Duo.

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On a mangé ensemble et j'ai du parler pour meubler. Avec lui c'est toujours la même chose. Il faut parler pour deux. Faire�� la fois les questions et les réponses. Je me suis toujours demandé ce qui pourrait le faire répondre�� mes questions. Finalement, il avait pas l'air de trop s'emmerder pendant ce temps. J'ai toujours peur qu'il finisse par s'endormir au bout du compte, saoulé par mon monologue.

Et on a finit par sortir.

Il m'a raccompagné au parking. Forcément, quand j'ai vu qu'il était�� pied, je lui ai proposé de le conduire quelque part. Avec ma Deathscythe�� deux roues. Putain, j'en suis fier de cette bécane. C'est le seul truc qui me rappelle un peu celui que j'étais avant. Quand je conduis, je suis de nouveau aux commandes de mon gundam. Sauf que je ne fauche plus personne. Du moins, j'essaye. Mais lui, ça ne lui a fait ni chaud ni froid. A croire que le Wing ne lui manque pas tant que ça. Il est pas humain ce mec !

On fait un tour. Jusqu'aux quais. Face � la mer. Face ��l'endroit de notre première rencontre. On est resté quelques minutes,���observer le site assis sur le cuir de ma Deathscythe. Et puis, il est allé se poser sur un banc. Je l'ai rejoint, et comme ça n'avait pas l'air de lui filer des boutons, je suis resté�� côté de lui.

Et l�, on y est depuis près de deux heures,�� contempler le grand océan. Il est super tard. Ou plutôt, super tôt. Disons, que, dans l'idéal, si j'étais un employé modèle, je devrais me lever dans disons, quatre ou cinq heures. Alors forcément.

- Heechan.

- Hn ?

- Je vais devoir rentrer�� mon hôtel. Parce que, dormir sur un banc public, c'est cool, mais mauvais pour la santé.

- Ha.

C'est moi où il a l'air déçu ? C'est vrai qu'on n'a pas passé beaucoup de temps ensembles. Mais bon. Je ne sais pas comment il va le prendre si je lui demande son numéro de téléphone. On pourrait se revoir. Un jour où je serais moins crevé et plus en vacances.

- J' te dépose quelque part ? Tu es�� l'hôtel ?

- Je n'ai pas encore décidé.

- T'as rien prévu du tout ?

- Hn.

- Okay, alors, tu n'as qu'� venir�� mon hôtel. Comme ça j'aurais pas�� me balader aux quatre coins de la ville. On va pas se quitter comme ça, hein ?

- Quel hôtel ?

- Un hôtel routier�� la sortie de la ville. C'est pas le grand luxe, mais les draps sont propres, et puis, on a déj� connu pire !

Il ne note pas la douce et discrète allusion�� notre passé�� courir les planques et les geôles de OZ.

Je n'insiste pas.

- D'accord.

Et nous voil��� nouveau sur la route. A nouveau la vitesse me grise et me transporte loin, au temps où je pilotais la plus merveilleuse machine du monde. Sauf que je la pilotais seul.

L�, Heechan est derrière moi. Accroché comme jamais�� ma taille. C'est vrai que je roule vite. Très vite. Sachez que les radars sont mes amis et ont plein de jolies photos de moi en train de dépasser toutes les limites de vitesses et de bon sens. Mais que voulez-vous,�� force de m'habituer au gundam, il faut aller loin pour trouver des sensations aussi fortes, intenses et grisantes. Le vent qui siffle�� mes oreilles malgré le casque, le même souffle giflant mon corps, et surtout le moteur de Deathscythe qui hurle entre mes jambes. C'est la chose la plus jouissive que je connaisse.

C'est encore le cas cette nuit. Mais avec en plus un ex-perfect soldier plaqué dans le dos. Les bras de Heechan agrippés�� mes hanches, c'est quelque chose de nouveau. Cela donne un autre goût�� ce trajet en moto. Un frisson nouveau. Son torse serré contre mon dos, je peux presque entendre son cœur battre�� tout rompre. Notre escapade prend une saveur irréelle. Une saveur que jamais aucun de mes passagers n'a su me procurer. A la fois douce et amère. A la fois excessivement excitante et douloureusement affolante. Affolante. C'est exactement ça. J'ai l'impression que mon cœur aussi s'affole. Que je vais me mettre�� paniquer s'il reste ainsi. Et pourtant je voudrais que cela dure la nuit entière.

Je ne sais pas si c'est un bien ou un mal, mais nous finissons par arriver�� l'hôtel. Bien trop rapide. Pour une fois que j'aurais voulu avoir cent bornes�� faire pour garder ce goût dangereux.

-Heu… y'a quelqu'un ?

Apparemment le type de l'accueil est parti pisser. Ou alors il est parti dormir. En gros, y'a personne.

- Il n'y a pas de personnel�� partir de minuit.

- What ? Comment tu sais ça ?

- C'est écrit au mur.

Effectivement, il me montre une mignonne petite pancarte qui me sourit, accrochée au mur, et qui me dit : « si tu as passé la moitié de la nuit dehors, c'est ta faute, alors compte pas sur qui que ce soit pour t'accueillir�� bras ouverts dans cet hôtel minable ». C'est pas les mots exactes, mais l'idée est l�.

- Ah ! Shit�! hem…heu…je savais pas… désolé… vraiment, Heechan, je suis trop con…

- Pas grave. Je trouverais un autre. Tu me ramènes en centre ville.

Un moment, je suis tenté d'accepter. Pour ce délicieux frisson si étrange que je viens de découvrir.

Et puis non. Franchement, on est bien trop fatigué l'un et l'autre pour se remettre en route. Moi en tout cas, je le suis trop pour conduire. Et je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait appeler «sobre». Bref, toutes les excuses bidon sont bonnes pour garder mon ex-coéquipier avec moi le plus longtemps possible. Donc…

- T'as qu'� venir dans ma chambre.

Il me jette un regard étonné. Serait-il devenu difficile avec le temps ?

- Ça nous rappellera le bon vieux temps, quand on vivait dans des planques pourries !

- Hm. Merci.

J'en conclu qu'il accepte.

- Pas d'quoi.

Quand j'ai dit que c'était pas un hôtel de luxe, c'était pas juste une manière de parler. C'était une litote au quatrième degré. La chambre est plutôt petite, en fait, elle est étroite, on dirait qu'elle a été taillée dans un couloir. Sur les murs, la tapisserie se détache tranquillement morceau par morceau. Une ampoule grésille un moment au plafond avant de rendre l'âme dans un claquement sec. Je l'attendais depuis deux jours celle-l�. Heureusement, il y a la lampe de chevet qui diffuse tant bien que mal une pâle lueur sur les murs glauques. Sous nos pas, le lino crisse avec des craquements sonores. Okay, j'arrête la description, sinon, on va encore dire que je me plains. J'ose pas me retourner pour voir la tête de mon invité surprise, attendant avec angoisse le moment où il va prendre la fuite en courant.

- Heu. C'est du provisoire, demain on te trouvera un autre hôtel si tu veux rester en ville.

- C'est pas un problème. Ça ne me gêne pas.

- C'est vrai, j'oubliais : perfect soldier un jour, perfect soldier toujours !

Oups ! L� je m'aperçois que je viens de faire une erreur. Je ne sais pas pourquoi, mais vu sa gueule, c'était une grave erreur de remettre ça sur le plateau.

Soupirant comme un forçat, je me pose sur le lit.

- Sorry… si j'ai dis un truc qu'il fallait pas.

Il secoue la tête. Il s'est (un tout petit peu) décoincé.

- C'est rien.

Il me regarde maintenant fixement, un petit sourire triste aux lèvres. Un sourire qui me fait mal. Le genre de sourire qu'on ne s'attend pas du tout�� voir sur le visage d'un iceberg man�� la retraite.

- Avant tu n'aurais jamais réalisé que ta remarque m'avait heurté. Tu as changé, Duo.

La manière dont il prononce mon prénom me fait frissonner. Je donnerais toute ma collec de comics pour réentendre une fois son « baka ». Pas que ça me plaise tant que ça, mais son « Duo » a réussit�� me mettre mal�� l'aise. Surtout son ton : résigné, l'air hésitant, c'est tellement inhabituel. Incongru.

- Quel que chose ne va pas, Heechan ?

- Hn.

Traduction : négatif. Quoi qu'il en dise, il a encore des vieux réflexes de la machine�� mission qu'il était.

- Bon. Tu peux utiliser la salle de bain en premier.

Tout pour qu'il se détende un peu. Pour que l'atmosphère se détende un peu.

Dès qu'il sort, je peux me relâcher. Si j'avais su qu'il y aurait autant de gêne entre nous, et bien… si, je l'aurais tout de même amené ici, je lui aurais tout de même proposé de rester cette nuit. J'ai vraiment pas envie qu'on se quitte comme ça, comme deux ballots.

He, il sort de la salle de b… pfuit !

Vêtu de noir et vert, j'ai cru revoir le Heero d'il y a deux ans. Haut vert, bas noir, ça a un air de déj� vu, tout ça !

Okay, il porte un boxer, et non son invariable spandex, et son débardeur est devenu beaucoup moins échancré avec l'âge. Anyway, j'ai l'impression de retrouver le perfect soldier d'antan. Ce que je me garde bien de lui faire remarquer. Pas fou !

- La salle de bain est libre.

- Pas besoin, je prendrais ma douche demain matin. Trop crevé. Waaa ! Etouffe un bâillement. On se couche ?

- Hn.

Oul� ! Un peu serré le lit. Proportionnel�� la taille de�la chambre, vous me direz.

Hehem…OO.

Je ne suis pas fondamentalement contre la cohabitation nocturne, mais l�, ça risque de devenir très rapidement gênant.

Remarque, c'est pas la première fois que je dors avec Heechan, mais l�, c'est un peu différent. Voire très. On n'est plus en guerre, on n'est plus pourchassés, ni dans la clandestinité, on ne risque plus de mourir demain. Enfin, si, mais moins. Donc, on n'a pas�� s'en faire pour le lendemain, plus de mission�� la con. Plus d'action diurne.

C'est bien connu,�� l'action, se substitue l'imagination.

Et croyez le ou non, mon imagination est en pleine action. Et c'est pas près de se calmer. Surtout si il continue�� respirer comme ça, dans mon cou.

A SUIVRE…

2 : C'est dégueulasse de couper ici !

Jimi : c'est moi qui décide ! (sourire sadique)

1 : vous deux, omae…

Lolita : ouais, ouais, attends voir la suite, tu auras une bonne raison de nous faire la peau.

1 : qu'est-ce que vous allez me faire ? ;;--;;

Jimi : gnééé ! cuir et latex !

2 : nan !

Lolita : pressé ?