La princesse et le petit pois
Petite distribution pour ce conte, que j'adore par son côté… Tohru. Je vais rester polie.
Alors, le prince c'est le beau, grand et merveilleux : Shigure-san
- Shigure : Pourquoi moi ?
- Mwa : Parce que tu vas draguer plein de filles ?
- Shi-chan : Ha ? On commence quand ?
- Mwa : Tout de suite, après que j'ai annoncé la princesse. Non, pardon, c'est LA surprise du conte, je vais pas vous la gâcher (mais c'est un peu évident qui est la femme idéale pour Shi-chan, non ?)
Ah non, j'oubliais : les personnages sont à Takaya-sensei, dommage je prendrais bien une option sur Shigure…
Il était une fois un prince qui voulait épouser une princesse, mais une vraie princesse.
Il fit le tour de la terre pour en trouver une mais il y avait toujours quelque chose qui clochait ; des princesses, il n'en manquait pas, mais étaient-elles de vraies princesses ?
/Shigure entre et commence à mâter de jolies filles /
Il avait rencontré la princesse Kagura, jolie mais emportée. La princesse Kisa, beaucoup trop jeune pour lui. La princesse Yuki, vraiment trop efféminée et la princesse Kyo, beaucoup trop masculine, sans oublier la délicieuse princesse Tohru qui faisait merveilleusement bien la cuisine et le ménage mais qui manquait cruellement d'imagination.
- Yuki : Hein ? Tu te fous de moi ?
- Kyo : Qui m'a mis cette robe ?
Ils jettent un regard soupçonneux sur l'auteur.
- Mwa : Kagura ? J'ai besoin d'un coup de main, tu pourrais venir tenir compagnie au chaton ?
- Kagura, sourire sadique : Mon Kyon-kyon :
- Mwa : Ayame ? Ton frère a dit, texto « où est mon cher grand frère ? »
- Aya : Je croyais que tu m'avais oublié Nete-chan !
- Mwa : mais non, mais non, je voulais juste te laisser tenir compagnie à ton petit frère et puis, tu vas finir par apparaître, un jour, dans un de mes contes.
Voilà, deux problèmes de réglés.
Mais Shigure semble désemparé donc, je reprends mon récit
Le magnifique prince Shigure, qui faisait s'évanouir les jeunes femmes d'adoration (nda : j'essaie de me faire pardonner de l'avoir laissé 5 minutes) avait dragué la princesse Mayuko mais avait dû abandonner pour son meilleur ami, le prince Hatori, qui était amoureux d'elle autant qu'elle de lui. Et il aurait pu citer des tas d'exemples de princesses merveilleuses mais imparfaites. Il rentra chez lui, tout triste, tant il aurait voulu avoir une véritable princesse.
- Shigure : Ouiiiiiiiiin ! Je veux une femme ! Hatori, t'es qu'un méchant de me piquer mes copines !
- Hatori, blasé : Mais oui, mais oui. Laisse Neteria continuer son récit.
- Mwa : Merci Tori-san, c'est trop gentil.
Un soir, par un temps affreux, éclairs et tonnerre, cascades de pluie que c'en était effrayant, on frappa à la porte de la ville et le vieux roi (nda : très bien conservé, il s'agissait de Kazuma) lui-même alla ouvrir.
- Kazuma : je sais pas comment je dois le prendre ?
- Mwa : Mais je vais pouvoir la raconter MON conte ?
C'état une princesse qui était là, dehors. Mais, grands dieux ! de quoi avait-elle l'air dans cette pluie, par ce temps ! L'eau coulait de ses cheveux et de ses vêtements, entrait par la pointe de ses chaussures et ressortait par le talon... et elle prétendait être une véritable princesse !
Nous allons bien voir ça, pensait la vieille reine Akito, mais elle ne dit rien. (Akito : Comment ça, vieille ? 1/ je suis jeune, j'ai à peine 20 ans. 2/ Je suis un mec !)
- Mwa : Cause toujours…
Auteur / prend une poêle en fonte et devient, très, très menaçante. /
Bizarrement, Akito enfile sa robe et reprend la scène (non mais !)
Elle alla dans la chambre à coucher, retira toute la literie et mit un petit pois au fond du lit, elle prit ensuite vingt matelas qu'elle empila sur le petit pois et, par-dessus, elle mit encore vingt édredons en plumes d'eider. C'est là-dessus que la princesse Ayame devait coucher cette nuit-là.
- Ayame : Non mais ça ne va pas ! Et ma peau si délicate, vous y pensez ?
- Auteur / regard suppliant / Aya, si tu le fais, tu épouses Shigure !
- Aya : Tu pouvais pas le dire plus tôt ?
Reprise, Aya s'étant précipité dans le lit, malgré la grande délicatesse de sa peau si délicate et douce (l'auteur va prendre une douche glacée et revient terminer) :
Au matin, on lui demanda comment elle avait dormi.
- Aya : Affreusement mal, répondit-elle, je n'ai presque pas fermé l'œil de la nuit. Dieu sait ce qu'il y avait dans ce lit. J'étais couchée sur quelque chose de si dur que j'en ai des bleus et des noirs sur tout le corps ! C'est terrible !
- Shigure : Pauvre, délicate, douce fleur ! Comme je vous plains. Venez, que je vous serre dans mes bras robustes. Ma tendre princesse
- Aya : Heu... En fait, je suis un prince.
- Akito : Manquait plus que ça !
- Kazuma : Excellent ! Au moins on aura pas à supporter une autre hystér
Akito frappe son tendre époux mais est interrompue par Saki, sortie d'on ne sait où. Ce qui me permet de glisser la chute de l'histoire et de donner une plaquette de chocolat à Saki-chan.
Alors, ils reconnurent que c'était un vrai prince puisqu'à travers vingt matelas et les vingt édredons en plumes d'oie, elle avait senti le petit pois. Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d'un authentique prince !
- Shigure : Je t'aime mon Aya
- Aya : Je t'aime, Gure d'amour
- Ensemble, se serrant dans les bras l'un de l'autre : Yosh !
- Hatori : Z'êtes désespérant, vous le savez au moins ?
Cependant, le mariage fut décidé.
En effet, Shi-chan s'était rendu compte qu'une personne aussi douce et raffinée qu'Ayame était forcément la personne de ses rêves, fut-elle un homme. Shigure le prit donc pour femme, sûr maintenant d'avoir un vrai prince et le petit pois fut exposé dans le cabinet des trésors d'art, où on peut encore le voir si personne ne l'a emporté. Et ceci est une vraie histoire.
Enfin, j'oublie peut-être un détail. Ayame et Shigure mariés ils se firent jeter dehors par la famille du prince et allèrent emménager chez Hatori, qui acceptait tout, au grand désarroi de Mayu-chan qui manqua les étrangler, surtout que la vraie princesse l'agaçait prodigieusement, on ne pouvait rien lui demander !
Un tout dernier mot : faîtes des review, ayez un peu pitié des débutants et, Nelja, merci de ton soutien.
