Hope : Prologue
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Bonjour tout le monde ! Voici ici le prologue de ma toute première fanfiction ! Concernant celle-ci, voilà quelques informations :
-Ceci est une Dramione
-Dumbledore est bien vivant
-Et Voldemort aussi
-Drago est un mangemort
-L'histoire est diviser en deux parties : La Première Partie est un Flashback des évènements précèdant le prologue. Et la Deuxième Partie raconte l'histoire à partir du prologue.
-Et cette histoire va malheureusement mal se terminer...
Sachez aussi que j'écris cette histoire au jour le jour, rien n'est écrit à l'avance alors si il y a -dans le futur- quelques retards pour la publication, je m'en excuse, mais j'ai aussi une vie à côté de l'écriture, avec mes études etc... Je poste un chapitre chaque semaine, le mercredi après-midi. Et je ne vais tout de même pas vous manacez pour avoir des reviews, mais pour ce premier prologue, j'aimerais quand même avoir quelques avis pour m'aider à progresser. Et enfin ! Je voulais aussi remercier ma Louise, ma merveilleuse correctrice qui fait des miracles !
(Malheureusement, tous les personnages appartiennent à l'incroyable M. Rowling ^^)
Brefouille, je vous souhaite une bonne lecture !
Je n'avais aucune idée sur le pourquoi du comment je m'étais retrouvée avec lui ici, dans cette forêt sombre et froide. Je ne savais pas comment cela avait pu m'arriver à moi. Peut-être était-ce le destin ? Peut-être oui, ou juste le hasard, je l'ignorai. Mais il était bien là, juste à côté de moi, nos corps s'effleuraient par-ci par-là, presque sans gène.
Il faisait nuit depuis un moment déjà, il s'était endormi par erreur dans mon lit, tellement il devait être épuisé par nos voyages constant et nos intense réflexions -qu'on pouvait d'ailleurs qualifier d'inutile. On cherchait sans relâche chaque jour un moyen de nous délivrer, de nous libérer de ce Mage Noir qui inspirait la terreur partout en Angleterre, et dans le monde sorcier en général. La recherche des Horcruxes n'avançait pas, ou alors très peu. Nous essayions durant la journée de trouver des indices qui pourraient nous conduire à une piste, n'importe quoi qui puisse nous aider. On faisait sa depuis des mois et des mois. Six en tout, je crois. Et nous savions tout les deux que c'était loin d'être terminer.
Soudain, j'ai senti bougé mon fameux compagnon de route à mes côtés. Endormi, il avait l'air plus tranquille, moins tourmenté par les démons qui le hantait tout les jours. Je crois que toute ces choses que nous avions traversés nous avait rendu plus proches qu'avant, nous étions même devenu amis, malgré nos incessante disputes et taquineries. Ses cheveux blonds s'abattaient sur son visage pâle, translucide même.
Un affreux mal au thorax me pris tout à coup. L'impression que des milliers d'aiguilles s'incrustaient dans ma poitrine me tiraillait. Je me mis soudainement à tousser. J'essayais de respirer plus calmement, mais elle ne faisait que s'intensifier. Je mis ma main sur ma bouche pour stopper cette quinte de toux et avec le moins de bruit possible je sorti de mon lit, évitant de réveiller le garçon, puis de notre tente rapidement. Tout de suite, je sentis le froid glacial de novembre sur ma peau et regretta de n'avoir pris un manteau. Il faisait nuit noir, la pénombre envahissait les lieux et seule la lune éclairait les environs.
Un gout de bile remonta dans ma gorge et tout mon diner s'étala dans l'herbe verte et fraiche. Ma tête tournait, je clignai plusieurs fois des yeux pour mieux voir, mais déjà je sentais mon corps dégringolé et s'écraser dans l'herbe. Je n'eu pas même le temps d'appeler de l'aide que je sombrai dans le noir.
Il y a alors trois mois de cela, je m'étais gravement blésée à la jambe à cause d'un sort de mangemort. Nous étions encore une fois entrain de "déménager" quand ils nous étaient tombés dessus alors qu'on pliait la tente. En une seconde, le premier avait déjà sorti sa baguette et l'Avada m'avait raté de peu, mais ma jambe gauche avait tout de même été touchée. Nous avions immédiatement transplaner avec nos affaires hors de porté de ses ordures.
Nous avions atterrit à la bordure d'un petit village inconnu pour moi. La douleur transperçait mon membre, et je me tenais à lui pour ne pas tomber.
-Où vas-t-on comme sa ?
-Je t'emmène tout de suite voir un médecin Granger, tu ne peux pas rester avec cette blessure, elle est trop grave pour qu'on puisse nous-mêmes la soigner.
-Tu veux m'emmener voir un médecin, tu es fou ou quoi Malefoy ?! Tu veux qu'on se fasse tuer c'est sa ? Je te rappelle que nos têtes sont mises à prix.
-Ne t'inquiète pas comme sa, c'est une personne de confiance. Je sais qu'elle ne fera rien qui puisse nous nuire.
Je m'étais résigné à le suivre, redoutant quand même notre rencontre. Il me soutint jusqu'à une petite maisonnette au cœur du petit village. Une femme plutôt âgée nous accueillit à l'intérieur et m'installa dans une petite piève au fond d'un couloir après avoir parler quelques minutes avec Drago. Cette femme dégageait un savoir et un respect immense qui forçait l'admiration. On avait l'impression en la voyant qu'elle avait traversée de dures épreuves, mais qu'elle en sortait toujours plus forte et brave. Les rides envahissaient son visage, mais malgré ça, on apercevait des vestiges de sa beauté, elle devait être très belle à l'époque, dans sa jeunesse.
Elle commença par m'examiner et, avoir refermée la plaie, entoura ma jambe de bandages.
-Et voilà jeune fille, la plaie est guérie. Il suffisait juste de trouver le sortilège adéquat.
Contrairement à ce que je pensais, sa voix était très douce, et chaleureuse. Je lui étais très reconnaissante, elle aurait pu nous dénoncés Drago et moi mais pour je ne sais quelle raison ne l'a pas fait.
-Merci beaucoup.
J'allais me relever lorsqu'elle me demanda de me rassoir sur le fauteuil à coté d'un petit bureau. Elle brandit sa baguette vers moi et la passa sur la surface de ses vêtements -surement pour un examen de contrôle- lorsqu'une petite lumière rouge au bout de l'objet s'alluma.
-Qu'est ce qu'il ce passe ?
Je ne savais pas qu'à ce moment là, ma vie allait s'écrouler. Je ne compris pas tout de suite pourquoi le visage de cette vieille dame s'était rempli d'effroi. Et c'est là qu'elle m'annonça la nouvelle. Une nouvelle affreuse, mais que je ne pouvais éviter. Moi, Hermione Granger, j'étais malade. Un cancer. Elle ne me donnait plus que quelques années, tout au plus, à vivre.
Mes jours était comptés.
Tout c'était expliqué tout à coup. Mes incessantes toux, ma douleur quasi constante au thorax... Ca avait commencée à peine un mois plus tôt, et la cause en était toujours inconnue. Mais je devais tout de même vivre avec ça tout les jours. Je me souviens tout à fait de mes sentiments lorsque je l'ai appris, j'étais dévastée, je ne mangeais plus, ne dormais plus... J'étais perdue.
Cela à duré quelques jours, et puis je me suis souvenu de qui j'étais. Hermione Granger, une jeune femme forte, intelligente, et surtout qui n'aillais pas abandonner comme ça. Je pouvais le combattre, ce mal, j'en étais sûre. Alors peu à peu je me suis reconstruite, et je me suis reprise en main. Bien évidement, Drago l'avait remarquée tout sa, mais il n'avait posée aucune question, se contentant d'être là. Il croyait peut-être que je pensais à Harry ou Ron, et c'était mieux qu'il ne sache rien de tout ça.
Je n'avais rien dit à Drago. Je n'avais rien dis à personne d'ailleurs. Comment aurais-je pu de toute façon ? Mes deux meilleurs amis avaient disparus on ne sait où, ils étaient peut-être même mort à cette-heure ci, je n'en savais rien. Mes parents avaient oubliés jusqu'à mon existence, et pour Drago... Je n'avais pas eu le courage tout simplement de le lui dire. J'avais fait come si de rien n'était, faisant passer mes toux constante pour un virus bénin, et je souffrais en silence. Ma relation avec lui était devenu trop complexe, nous étions devenu trop proche pour que ma future mort ne lui fasse rien, et la dernière chose que je voulais était de le faire souffrir, surtout dans ce contexte, alors que Voldemort devenait de plus en plus puissant chaque jours. Alors je m'étais tus.
Je me souviens encore de notre encontre dans la forêt, un peu la même que celle-ci, six mois plus tôt, en mai...
