Hellow! Deuxième fiction! Ou plutôt suite de petits drabbles quand l'inspiration me prendra... (ne compter donc pas sur des sorties régulières, déjà que sur l'autre j'y arrive pas...)

J'avoue avoir bien ri en l'écrivant, j'espère que vous prendrez les même plaisir en le lisant que moi en l'écrivant...

De plus, pour ceux que ça rebuterai le titre est tiré d'un célèbre phrase de Jules César: "on est venu, on a vu, on a vaincu" ou "veni vedi vici" pour les puristes. Les fautes sont donc totalement voulues...


Mina avait un secret, un secret qu'elle trouvait stupide et inavouable : depuis toute petite, elle avais peur des poupées. La raison? Sa grand mère qui avais une collection de vielles poupée (qui devaient être cent fois plus vielles que les murs) et ces dernières avaient ces yeux de chiens battus exorbités, bref absolument pas humain.

Lorsqu'elle s'était engagée, elle s'était dit que c'était un mal pour un bien : Elle ne verrai plus pendant cinq ans ces abomination qui composaient le collection de sa chère aïeule. De cette manière elle pourrai peut être faire disparaître son angoisse qui ne la laissait pas dormir…

Deux semaines avant la fin de son service militaire elle avait reçu une lettre de sa mère lui disant que sa grand mère avait été cambriolée et que le (pauvre) voleur avait pris toute l'infâme collection. La nouvelle était merveilleuse, bien que triste pour la victime qui tenait à son patrimoine, mais la peur de Mina s'en était allée hanter une autre personne.

C'est donc calme et le sourire aux lèvres qu'elle s'était rendue à Trost pour sa dernière manœuvre avant de choisir dans quel corps d'armée elle allais entrer. Oui mais comme tout ne peut jamais se passer à la perfection le Colossal avait choisi ce moment pour réapparaître et briser le second mur… Elle s'était donc retrouvée avec le suicidaire (qu'elle trouvait plutôt sympa en réalité), Armin (faible mais elle aimait bien son intelligence), Thomas (un peut casse-cou sur les bords mais pas méchant), Nack et Myllius (totalement inséparables). Une bonne équipe en somme, sauf que Thomas s'était fait avoir… Ce fut le début de la débâcle pour l'équipe 34.

En rouvrant les yeux tout ce dont elle se souvenait était la douleur : celle d'avoir perdu ses amis et celle infligée par sa rencontre avec le mur, rencontre qu'elle aurai bien voulu éviter car elle était encore sonnée et à terre, pas bon ça. Ce fut le bruit sur la droite qui la fit réagir : elle tourna la tête pour voir le titan qui l'observait. Un long frisson remonta lentement le long de sa colonne vertébrale, le titan avait des yeux de chien battu exorbité…

Mina sentit les larmes lui monter aux yeux. Ces foutues poupées la pourchasseraient donc jusqu'à son dernier souffle?!


Normalement il y aura d'autres chapitres... ils sont en cours d'écriture... dans mon pauvre cerveau dégénéré...

review?