Bonjour, alors je reviens sur le fandom Naruto avec des one-shots de rating M. Sur cette série, ce sont des one-shot soft. Il y aura toutes sortes de couple, ce sont les derniers textes que je dois à un défi sur Live Journal. Le thème est indiqué dans l'entête ainsi que le couple (donc si ça ne vous dit pas, vous pouvez aller au prochain chapitre, il y aura peut-être votre bonheur). Cela fait longtemps que je n'ai pas écrit sur ce fandom alors il se peut que je sois dans l'OOC.

Et pour tous ces textes le disclaimers : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.

Thème : 14. La bouche pleine - les nourritures terrestres

Couple : Choji/Ayame

Rating : M

Choji n'était pas un féru de ramens même s'il dévorait tout ce qui était comestible. Naruto avait tout de même su le convaincre de l'intérêt suprême de ce plat en l'invitant un jour au stand d'Ichiraku.

La jeune serveuse était tout aussi délicieuse que les repas confectionnés par son père.

Ayame avait toujours le sourire pour tous, elle avait tout d'agréable. Et elle distribuait le bonheur autour d'elle en même temps que les bols fumants des délices de la maison.

C'était une véritable joie que de venir en ce lieu pour y être aussi bien accueilli.

Choji se surprit de venir de plus en plus souvent sous les tentures blanches du stand de ramen rien que pour apercevoir les yeux rieurs de cette belle femme. Que ce soit en rêve ou que ce soit dans la réalité.

Ils lièrent connaissance malgré la timidité du ninja, elle savait toujours mettre à l'aise ses clients.

Choji s'étonna d'espérer bien plus qu'une vague amitié basée sur le commerce.

Et ses songes se tintèrent d'interdits affolants qu'ils refoulaient le jour venu.

Quand il fut blessé au bras après une bataille, il fut stupéfié en commandant chez elle qu'elle se propose de le nourrir à l'aide de baguettes.

La bouche pleine, il souriait de toutes ses dents alors qu'elle riait de sa gaucherie.

Ayame ne devait pas se douter de l'effet qu'elle lui faisait dans son pantalon ou dans sa tête.

Choji s'imaginait à chaque bouchée de lui prendre la main avec tendresse, de traverser le mur qui les séparait, de lui enlever ce foulard blanc de ses cheveux pour les faire cascader sur ses épaules, de l'embrasser, de lui ôter un à un ses vêtements puis de la faire sienne dans cet espace étroit.

« Vous en reprendrez encore, lui demanda-t-elle quand le bol fut terminé. Je sais que vous êtes un gourmet.

- Ce ne serait pas raisonnable, Ayame », lui répondit-il en rougissant de ses pensées obscènes.