Prologue :
Ce soir-là au 4 Privet Drive se déroula une étrange scène, deux hommes, dont l'un avait une taille assez extraordinaire, et une femme regardait une couverture contenant un bambin âgé d'environ un an posé devant la porte de la maison. Si le plus grand des deux hommes et la femme semblait très émut, la troisième personne qui était un homme d'un âge avancé et qui possédait une impressionnante barbe blanche lui, bien qu'il essayait de se montre une certaine tristesse, possédait dans son regard une lueur de joie intense et de satisfaction qui contrastait fortement avec l'émotion de ce moment. Au bout de quelques minutes les deux premières personnes partirent de cet endroit. Quand se fut le cas le veille homme, tout en vérifiant d'abord que personne ne l'observait, pointa un bâton d'une drôle de forme en direction de la couverture il murmura quelque mots et un éclair bleu zébré de noir se dirigea en plein sur l'enfant dans celle-ci. L'enfant s'illumina alors quelque seconde et le veille homme eu un grand sourire, il s'approcha ensuite du petit et déposa une lettre en disant :
- Adieu, Harry Potter
Il partit ensuite sans se retourner.
OOOOOOO
Cela faisait six ans que cette étrange scène avait eu lieu, et pourtant rien ne semblait avoir changé au 4 Privet Drive. Mais si on observait bien on voyait alors que l'enfant apporté six ans plus tôt avait bien grandi.
Le petit Harry était aujourd'hui âgé de 7 ans, sa vie loin d'être simple était en vérité triste. En effet il vivait chez son oncle Vernon Dursley et sa tante Pétunia, depuis le terrible accident de voiture qui provoque la mort de ces « bon à rien » de parents comme le disait les Dursley. Les Dursley était sa dernière famille vivante et ils étaient assez contrariez de devoir de s'occuper du jeune Harry, sauf bien sûr quand il s'agissait de lui donner toute les tâches ménagère après tout il fallait bien que se sale monstre serve à quelque chose comme aimait le répété Vernon. Mais le pire pour Harry était sans doute les nombreuses réprimandes de son oncle, même quand il n'avait rien fait. Et il devait aussi supporter son horrible cousin Dudley dont le principal loisir était de mener la vie dur à son cousin en jouant par exemple à la chasse au Harry. Tous ces traitement était devenu une routine pour le petit Harry, mais il espérait toujours secrètement que quelqu'un viendrait le sauvé et que enfin sa vie changerait. Et en ce début de juillet, son souhait était sur le point de se réaliser, sa vie allait enfin connaître un changement.
Les vacances scolaires venait de commencé et Harry était à nouveau obligé de s'occuper du jardin de la tante Pétunia pendant que Dudley allait s'amuser avec ces copains dans le parc. Il enviait beaucoup la façon dont Dudley était traité, car comparé à lui son énorme cousin pouvait faire tous ce qu'il voulait et même si il faisait une bêtise il n'était pas puni, et souvent c'est même Harry qui était puni à sa place. Harry était en train de tailler la haie quand sa Tante l'appela.
- Toi, ici tout de suite ! dit-elle sur un ton peu aimable
- J'arrive Tante Pétunia, répondit Harry
- Un ami de Vernon vient manger ce soir et nous n'avons plus de pain alors tu vas aller à l'épicerie en acheter et surtout ne traine pas en route je veux que tu sois rentré dans 40 min et si jamais il manque de la monnaie… ajouta-t-elle d'un ton assez menaçant, tout en levant la main comme si elle était sur le point de lui mettre une baffe.
- D'accord Tante Pétunia. Répondit rapidement Harry en comprenant très bien la menace.
Elle lui donna l'argent, et Harry partit en direction de l'épicerie. Il était heureux de cette sortit, même si elle était courte et si il ne pouvait pas s'arrêter pour aller au parc où il aimait aller pour se reposer tout en observant les différentes personne qui passait par là. En route il aperçut son cousin et sa bande d'amis en train de martyriser un enfant. Il accéléra le pas en espérant que son cousin ne l'ai pas vu. Car Harry savait que si jamais il avait le malheur de croisé son chemin, il arriverait sans aucun doute en retard et avec des blessures chez les Dursley. Une fois Dudley hors de vue, il put reprendre un rythme normal et soupira de soulagement. Arriver chez l'épicier il acheta la baguette de pain, puis repartit le plus vite possible. Le problème c'est que si à l'aller son cousin ne l'avait pas vu, eu retour par contre il ne manqua pas de le voir.
- Eh regarder qui est là, lança Dudley à sa bande. Alors cher cousin on se promène ?
- Non, je suis allé faire une course pour Pétunia, et d'ailleurs il faut que j'y aille, répondit timidement Harry tout en essayant de les contourner.
- Eh pas si vite, j'ai bien envie de joué à mon jeu préféré et vous les gars. Dit Dudley en le retenant par l'épaule
- C'est quand tu veux Dudley, répondit ses amis
- Très bien alors que la chasse au Harry commence, lança-t-il tout en adressant un regarde assez sadique à son cousin
Harry ne perdit pas une minute il se dégagea vite de la prise que son cousin avait sur lui et partit immédiatement en courant le plus loin possible de son cousin. Heureusement qu'il courait très vite, et que son cousin soit ralentit par la masse de graisse qui lui servait de bouée de sauvetage. Il arriva dans le parc et profitant qu'il soit encore un peu hors de vue de son cousin, il se cacha dans un grand buisson. Mais comme celui-ci contenait des ronces il déchira encore plus les vieux vêtements déjà déchiré qu'il portait (et qui dans une autre vie avait appartenu à son cousin), et se coupa à plusieurs endroit. Néanmoins sa cachette se révéla efficace puisque son cousin et sa bande passèrent à côté de lui sans le voir et sortit du parc. Harry en fut soulagé, même si il savait que ce n'était pas fini et que son cousin trouvait bien un moyen de se venger plus tard. Tout à coup il entendit un petit couinement à quelque mètre de lui, en jetant un coup d'œil il aperçut un oisillon surement tombé du nid qui se faisait attaquer par un chat. N'écoutant que son courage, (en même temps un chat ce n'est pas si terrifiant) il se jeta sur le chat, qui eut peur et qui s'enfuit (en jetant un regard du genre mais c'est qui se fou ? faut le faire interné ! :-P). Harry regarda ensuite l'oisillon, il comprit vite qu'il ne pourrait pas le ramener dans son nid (surtout qu'il ne le voyait pas) et que du coup les chances de survie de cet oiseaux était nul. Il réfléchit quelque seconde et prit la décision de prendre l'oisillon avec lui de le garder dans le dos des Dursley. Il le prit dans ces bras alla chercher le pain qu'il avait laissé tomber avant de se cacher dans le buisson et repartit en direction de la maison. Mais Dudley lui tomba dessus avant qu'il est le temps d'atteindre la porte.
- Ecoute moi bien Potter, tu vas me donner l'argent qu'il te reste sinon je dis à mes parents que tu m'as insulté. Lui dit Dudley avec en le regardant d'un air supérieur.
Harry réfléchit quelques secondes et se dit qu'il risquait de toute façon la même punition sauf que d'un un cas Dudley en rajouterait ce qui pourrait alors allonger celle-ci.
- D'accord voilà l'argent. Dit doucement Harry en le lui tendant et en appréhendant déjà la réaction de sa tante et son oncle qui, il le savait, serait terrible.
Dudley afficha un grand sourire et le laissa passer, en le suivant pour ne pas rater le spectacle surtout si son père étais rentré. Harry se dirigea dans la cuisine où il déposa le pain, et cacha très vite l'oisillon sous son t-shirt (l'avantage qu'il soit dix fois trop large pour lui ce que personne ne s'en rendit compte), sa tante l'interpella alors.
- Tu en mis tu temps, tu ne pouvais pas te dépêcher, aller va mettre la table et donne-moi la monnaie. Dit-elle sur un ton méprisant.
- Je…Je l'ai….perdu. murmura pratiquement Harry
- Tu as QUOI ? questionna sa tante d'un air scandalisé
- J'ai perdu la monnaie. Répondit-il en baissant les yeux
- CE N'EST PAS POSSIBLE D'ETRE AUSSI BETE, VERNON VIENT VITE, cria Pétunia
L'oncle Vernon arriva assez rapidement, et en voyant l'état de colère de sa femme il s'inquiéta un peu.
- Oui Pétunia, qu'est-ce qu'il se passe ?
- Cet idiot a réussi à perdre la monnaie.
- QUOI?! Rugit l'oncle Vernon
Vernon se retourna d'un coup, vers Harry qui tentait de se rendre le plus petit possible, il s'avança son visage rouge de colère et commença à frapper Harry. Plus le temps passait et plus il frappait fort, le pauvre Harry qui sentait tous son petit corps lui faire mal. Dudley qui assistait à la scène, se délectait de ce spectacle et étais fière de lui. Après cinq minutes de coups Vernon arrêta et s'adressa à Harry d'un ton très menaçant.
- Écoute-moi bien sale bon à rien, tu vas mettre la table et mieux vaut pour toi que tout soit parfait, et ensuite tu vas aller dans ton placard et tu n'en sortiras que pour faire tes tâches ménagères. Et tu es privé de nourriture pour une semaine. Maintenant hors de ma vue !
Harry se releva avec difficulté, puis il fila mettre la table en vitesse et fini par aller le plus vite possible dans son placard. Une fois à l'intérieur il laissa échapper silencieusement ces larmes, il devait surement avoir un bras et quelques côtes cassées, la douleur était insupportable pour un petit garçon. Réalisant tout d'un coup que l'oisillon avait été peut-être blessé il le sortit précipitamment de sous son t-shirt, heureusement il n'avait rien. Il installa l'oisillon sur ce qui lui servait de coussin (c'est-à-dire la couverture qui lui restait de ces parents emballé dans un t-shirt pour éviter de la salir) et s'allongea pour essayer de dormir malgré la douleur. Harry s'endormit au bruit des rires des Dursley et de leurs inviter. L'oisillon quant à lui regarda étrangement ce jeune humain, qui bien que n'ayant absolument rien l'avait recueilli. Peut-être que celui-là était digne de confiance ? Et en plus il avait l'aire assez puissant puisque seulement quelque minute après qu'il se soit endormi, une lumière l'entoura signe que sa magie venait de soigner ces blessures.
