Le Destin n'est pas inébranlable, juste impénétrable
Disclaimer : Comme vous le savez, du moins je l'espère pour vous, l'univers de Harry Potter ne m'appartient – malheureusement - pas. Je ne me fais pas d'argent sur cette fic, même si j'en aurais grandement besoin, mais là n'est pas la question. Ne prend pas en compte le tome 6.
Note d'auteur : Alors, c'est l'introduction, donc c'est un peu pas terrible, mais il faut bien passer par là. C'est la deuxième fois que je publie ce chapitre, parce que il y avait un peu – beaucoup – de fautes dans la première version. Donc, si vous n'êtes pas endormi(e)s et/ou morts, bonne lecture !
Défault Chapter.
Il devait le faire. Pour ses proches, tous plus en mauvais état les uns que les autres, mais pour la plupart vivant. Mais ce cinglé était fort, très fort. Et décidé à lui faire payer l'affront de lui résister.
« Alors, Potter, tu abandonnes ? demanda-t-il après un énième Doloris envoyé à Harry.
- Ca te ferait trop plaisir… »
Harry avait essuyé cinq Doloris en l'espace de dix minutes. Mais cette souffrance physique était infime comparé à la souffrance morale à laquelle Voldemort (N/A : vous aurez, je l'espère pour vous, deviner que c'était lui) l'avait habitué depuis sa plus tendre enfance. Et après tant d'exposition à ce même sortilège, soit on devenait fou, soit on n'y faisait même plus attention. Harry se trouvait dans la deuxième proposition. Quand Voldemort lui lançait ce sortilège, il ne réagissait même plus, ce qui agaçait au plus haut point le mage noir.
Le Seigneur des Ténèbres avait décidé, cette année, d'attaquer à Poudlard dès le premier jour, ce qui était très étrange, surtout que Dumbledore était présent. Il semblait décidé d'en finir avec le garçon de la prophétie, autrement dit Harry Potter, mais, comme à son habitude, n'y parvenait pas.
« Tu veux que ça continue ? Car je peux tout arrêter dès maintenant, si tu le désires…
- Bien sur ! Si tu crois que je vais gober ça, tu te fourres le doigt dans l'œil, et jusqu'au coude, répliqua Harry. »
Il ne savait pas trop comment faire pour se débarrasser de ce monstre. Mais il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour le faire disparaître, même si pour cela, lui aussi devait mourir. Le Survivant était – selon la prophétie que cette dérangée de Trelawney avait pondue quelques années plus tôt – le seul capable de vaincre Voldemort. Même si il ne pensait pas que ce cinglé puisse vraiment mourir. Il n'était pas assez humain pour ça.
Chacun lançait des sorts sans parvenir à toucher l'autre, ou du moins à le mettre hors d'état. Ils enchaînaient tous ces sortilèges à un vitesse hallucinante, et si Voldemort arrêtait les maléfices d'Harry à l'aide d'un bouclier, Harry, lui faisait à la fois des boucliers, mais il faisait aussi des sauts périlleux pour éviter ceux ne pouvant être arrêté par un quelconque sort, comme les Impardonnables. Mais ils commençaient tout deux à fatiguer, mais ne l'avoueraient pour rien au monde, et ne le montreraient encore moins.
« Ce petit jeu commence à m'ennuyer. Il est temps d'y remédier, annonça Voldemort.
- Oh, mais Tommy, si ça t'ennuie tant que ça, pourquoi tu ne te débarrasses pas de moi ? Oh ! Suis-je bête, tu n'en ai pas capable, même lorsque je n'avais qu'un an ! riposta Harry, qui continuait à faire de l'humour – enfin tout dépend du point de vue – noir malgré son état critique, autant physiquement que moralement.
-Tu l'auras chercher morveux ! Avada Kedavra ! tonna ledit Tommy »
Harry eut encore la force de sauter sur le côté d'un bond impressionnant. Il faillit tomber en se réceptionnant, tant l'énergie lui manquait. En jetant un regard sur le côté, il put voir le regard – très – inquiet de Remus Lupin, qui était auprès de Dumbledore, pour voir comment le vieux sorcier allait. Harry se demandait bien si il était encore vivant, et le souhaita de toutes les fores qui lui restaient (N/A : c'est-à-dire pas beaucoup).
Mais lorsque Voldemort, emplit d'une rage sourde, décida qu'il en avait sérieusement marre de voir cet adolescent lui tenir encore tête, et lui lança un autre Avada Kedavra (N/A : il devrait changer de disque, le sien commence à rayer !), Harry ne put l'éviter en faisant un autre écart, étant distrait. En désespoir de cause, il fit un large mouvement de bras et rejoignit ses mains devant son visage, comme pour se protéger. Voldemort ricana d'un rire polaire à faire frissonner un esquimau (N/A : pas les glaces, les habitants des endroits très très froid ! Faut pas confondre !) devant la soit disante naïveté du Survivant. Mais l'impossible se produit alors. Une sorte d'énergie magique se mit alors en place sous forme de bouclier devant Harry. Et absorba la totalité du sortilège de la Mort.
Toute les personnes présentes dans la Grande Salle, ou plutôt ce qu'il en restait – la majorité de la salle s'étant effondrée, quoiqu'en y regardant de plus près, le château lui-même tanguait dangereusement -, regardèrent l'endroit où le combat faisait rage (N/A : Et qui pour le moment était ajournée, pour cause de stupeur aigue ! Mdr…) avec stupeur – et encore, quel doux euphémisme. Tous les échanges de sorts plus ou moins violents s'étaient momentanément arrêtés. Harry se demandait comment diable il avait put faire ça, et Voldemort ce qui avait bien pu se passer.
Reprenant leurs esprits en même temps, les deux adversaires lancèrent exactement au même moment leurs sortilèges. Pour Voldemort, il s'agissait – encore – de l'Avada Kedavra, et pour Harry d'un sort d'ancienne magie extrêmement puissant. Et ce qu'il s'était passé à la fin du Tournoi des Trois Sorciers se reproduisit. Le sort vert (l'Avada Kedavra) et le sort argenté se rencontrèrent et tissèrent ainsi un lien entre les deux baguettes, qui étaient sœurs.
Mais cette fois-ci, rien n'eut le temps de se passer. Avant que quiconque, excepté Harry et Voldemort, n'ait comprit ce qu'il se passait, une explosion d'énergie magique aveuglante apparut. Harry ferma les yeux et sentit comme une impression de vertige assez tenace. Puis le noir. On pouvait dire que sa dernière année dans l'école de sorcellerie commençait bien. Très bien.
Note d'auteur : Un p'tit click, siouplait ?
Ca ferait très très très plaisir, vous pouvez pas savoir !
Ne pas avoir l'impression d'écrire pour les murs – si ils savent lire, ce qui reste à voir-, quel doux rêve… Et vous pouvez le réaliser !
Et si, je dis bien si, il y a assez de reviews, je publierais le prochain chapitre (qui est déjà écrit, ainsi que la moitié de celui encore d'après).
